[EN CAS D'OUBLIE DE DÉTAILS À PROPOS DE L'HISTOIRE, VOIR LE RAPPEL AU DÉBUT DU LIVRE.]

/!\ Rappel : Lucie vit chez Remus, son parrain, avec Newton, son frère. Ses pouvoirs sont devenus incontrôlables pendant les vacances. Elle doit prendre des pilules qui bloquent ses pensées, à la manière de l'Occlumancie, et elle fait régulièrement des rêves où elle voit Poudlard réduit en cendre. Lucie a fait aussi la rencontre de Amos Diggory, le cousin de sa mère, Emilia, ce qui fait de Cédric Diggory son cousin à elle. Lucie a appris par Dumbledore que lorsque Voldemort reviendra elle aura un choix à faire : rester avec ses proches, ou partir à la recherche des enfants élémentaires pour sauver le monde.

Précédemment : Harry a été choisi comme étant le champion de la coupe de feu, pour représenter Poudlard avec Cedric Diggory. Ron lui en veut car il croit que Harry a mis son nom lui-même. Lucie l'aide donc à s'entraîner pour la première épreuve qui a lieu bientôt. Elle a aussi fait un « rêve » où elle était dans une bibliothèque contenant des milliers de livres, et alors qu'elle se baladait elle tombe sur un garçon : Logan Morell. Ce dernière se révèle être un des garçons élémentaires, celui qui maîtrise le feu. Un moment, Lucie lui touche le bras. Ils sont désormais « connectés ».

*** *** *** *** ***

Cela faisait deux semaines que Harry avait été choisi pour le tournois des trois sorciers. Sa relation avec Ron ne s'arrangeait pas et rendait tout plus difficile pour tout le monde. Lucie passait la plupart de son temps à s'entraîner avec Harry - Hermione faisait aussi de même avec lui - pour qu'il apprenne des sorts susceptibles de lui être utiles pour le tournois, mais ils ignoraient quelle épreuve Harry allait devoir affronter alors ils apprenaient des enchantements un peu au hasard. C'était un peu stupide, mais ils ne pouvaient pas faire autrement.

Lucie était aussi allée parlé à Drago, peu après que Harry ait été choisi, et lui avait demander s'il avait mis le nom de Harry dans la coupe ou si quelqu'un qu'il connaissait l'avait fait. Le Serpentard avait été plutôt surpris qu'elle puisse penser cela de lui et il en avait aussi été blessé. Lucie l'avait immédiatement remarqué et s'était rapidement excusée. Les choses entre eux commençaient à s'arranger doucement, ce qui rendait Lucie plus qu'heureuse, mais elle doutait pourtant toujours d'elle et de ses sentiments.

La jeune fille avait aussi appris il y a peu de temps, que Sirius avait contacté Harry via la cheminée de la salle commune de Gryffondor et qu'il lui avait donné quelques conseils. Cela avait beaucoup peiné Lucie, qui aurait voulu lui parler un peu, mais elle n'était pas là au moment où Sirius avait fait son apparition. Son père s'était contenté de répondre à sa lettre, lui disant dedans qu'elle lui manquait plus que tout et qu'il l'aimait. Lucie avait été très touché, et cela lui avait fait quelques peu oublié qu'elle ne l'avait pas vu dans la salle commune.

Concernant ses rêves, Lucie n'avait toujours pas rêvé de Logan Morell, mais elle sentait pourtant toujours sa présence en elle. Elle sentait parfois sa tristesse et sa colère, mais beaucoup plus lorsqu'il était heureux. Apparemment, c'était un garçon joyeux et ses crises de joies rendaient automatiquement Lucie beaucoup plus joyeuse que d'habitude. Logan influençait son humeur sans qu'elle ne s'en rende compte. Évidemment, ses amis avaient remarqué sa bonne humeur - tout comme Newton qui restait beaucoup avec elle - mais ils n'avaient rien dit. Après tout, ils n'allaient pas se plaindre qu'elle soit heureuse.

Ce matin-là, Lucie était bizarrement joyeuse, comme depuis deux semaines. Elle avait un peu parlé avec Hermione et Ron, avait rapidement croisé les jumeaux Weasley - accompagné par Lee Jordan - puis elle était comme à son habitude descendu rejoindre Harry dans la grande salle. Ce dernier était visiblement dans la lune, fixant son bol de céréales sans rien dire. Lucie s'assit à côté de lui, se posant des questions sur son comportement.

— Tout va bien, Harry ? lui demanda-t-elle en lui touchant le bras pour attirer son attention.

Il releva les yeux vers elle, l'air soucieux. Il se pinça les lèvres et hocha négativement la tête.

— Hier soir, Hagrid m'a emmené dans la forêt interdite, avoua-t-il à voix basse.

— La forêt interdite ? répéta Lucie, les yeux écarquillés. Pourquoi faire ?

— Il m'a montré ce que j'allais affronter durant la première épreuve.

— Et alors ?

Harry prit une grande inspiration et serra les poings. Il ferma les yeux un instant et souffla, comme pour s'assurer qu'il ne rêvait pas.

— Des dragons.

— PARDON ?

— Chut, Lucie !

Lucie soupira et regarda un instant autour d'elle, s'assurant que personne n'avait écouté leur conversation, puis elle reporta son attention sur son ami. Elle n'en revenait pas. Des dragons ! Elle savait que les épreuves étaient dures mais à ce point ! Comment pouvait-il y faire face ? Harry avait beau être doué, il n'en avait clairement pas le niveau.

— Comment tu comptes faire ? lui demanda Lucie à voix basse.

— J'en sais rien ! répondit-il en passant une main sur son front. Il n'y a aucun sorts qu'on a appris qui pourront m'être utiles !

— Demande de l'aide aux professeurs, alors.

— Et je pourrais faire quoi ? Lucie, la compétition est dans moins de deux semaines, je n'aurais jamais le temps d'apprendre un sortilège d'ici là !

— Il va bien falloir que tu trouves quelques choses !

— Oui, mais je sais pas quoi !

Harry soupira et passa une main sur son front, nerveux.

— Excuse-moi, souffla-t-il. Je n'ai jamais été aussi stressé.

— C'est normal, Harry, la rassura Lucie avec un petit sourire. Tu trouveras quelques choses, j'en suis sûre.

Harry serra les poings et son regard devint soudainement plus dur, plus froid.

— Ron savait, déclara-t-il d'un ton froid.

— Quoi ?

— Ron savait pour les dragons, Hagrid me l'a dit. Ron savait ce que j'allais devoir affronter, et pourtant, il ne m'a rien dit.

Lucie ouvrit la bouche mais la referma aussitôt, surprise. Ron savait mais ne l'avait pas dit à Harry ? Pourquoi ? Bien sûr, Ron lui en voulait mais ce n'était pas une raison pour ne pas aider Harry ! Surtout une information aussi importante que celle-ci !

— Je vais aller le voir, dit alors Harry d'un ton déterminé.

— Pour lui dire quoi ?

— J'en sais rien, pour savoir ! Il aurait pu me le dire mais cet idiot a préféré garder ça pour lui !

— Tu risques d'aggraver la situation, Harry, souffla Lucie, un peu inquiète pour son état.

— J'en ai rien à faire ! s'écria-t-il, hors de lui. Mon meilleur ami m'a caché ce que j'allais devoir affronter durant la première épreuve !

Sur ses mots, Harry se leva brusquement de table et saisit son sac de cours avant de partir à grands pas de la grande salle. Lucie lui emboîta rapidement le pas, faisant abstraction des gens qui les regardaient étrangement et chuchotaient à leurs passages.

— Harry, attends ! souffla-t-elle en arrivant à sa hauteur. Ne lui parle pas, pas dans cet état. Ça risque d'empirer les choses entre vous. Il vaut mieux que vous alliez vous expliquez dans un endroit plus calme.

— Non, il faut que je le cherche. J'ai besoin de lui parler. Maintenant.

Lucie soupira mais ne redit rien, et le suivit à travers les couloirs. Bien vite, elle remarqua que les élèves de Poudlard - même ceux de Gryffondor - portaient tous un badge avec marqué « À bas Potter », fièrement accrochés à leurs robes. Lucie fronça les sourcils en voyant les accessoire se changer pour montrer ensuite Cedric Diggory avec une couronne sur la tête, signe que les élèves soutenaient le Poufsouffle, mais pas Harry. Ce dernier sembla légèrement blessé mais il ne dit pourtant rien, se contentant de passer outre.

— Où avez-vous eu ces badges ? demanda d'un ton sec Lucie en agrippant le bras d'un troisième année qui ricanait avec ses amis.

— Tout le monde en distribue, répondit le garçon en haussant les épaules.

— Enlève le tout de suite ou je te lance un sort dont tu te rappèleras.

Voyant Lucie esquisser un geste pour sortir sa baguette, le deuxième année obéit, bien vite imité par son groupe d'amis après que Lucie leur ait jeté un regard noir. Elle revint près de Harry en grognant. Elle détestait ça. Lucie était une personne d'habitude calme et très douce, mais là c'était beaucoup trop pour elle. Elle trouvait cela totalement injuste.

— Tu n'étais pas obligée de faire ça, lui dit Harry, mais son regard lui montrait qu'il lui en était reconnaissant.

— Je sais, répondit-elle en lui souriant faiblement. Mais je n'ai pas pu m'en empêcher.

Ils continuèrent de marcher à travers les couloirs, et Lucie jetait un regard noir à tout les élèves qui portaient ce stupide badge. Elle avait demandé à quelques groupes d'amis de les enlever, mais elle avait finalement renoncé. Apparement, tout Poudlard portait ces fichus accessoires.

Lucie et Harry ne trouvèrent pas Ron, mais plutôt Cedric Diggory qui rigolait avec ses amis. Lucie était plutôt heureuse de constater qu'il ne portait le badge « À bas Potter » mais ne put s'empêcher de se demander s'il en était l'auteur. Harry se dirigea vers Cedric, apparemment désireux de lui parlé, mais les deux amis durent passer à travers un groupe de Poufsouffle qui leur barrèrent la route.

— Ils te plaisent nos badges ? lança un garçon de cinq ou sixième année à Harry.

Le Gryffondor grogna et serra les poings. Lucie leur lança un regard noir et les bouscula sans ménagement, laissant passer Harry devant elle.

— Bande de tocards, grogna Lucie en bousculant le garçon qui avait parlé à Harry.

Le Poufsouffle lui saisit le poignet et la retourna vers lui, l'air menaçant. Lucie aurait pu être surprise, après tout les Poufsouffle étaient réputés pour être toujours plutôt gentils et aimables, mais elle était plus en colère qu'autre chose.

— Répète pour voir, grommela le garçon en lui tenant toujours le poignet.

— Quoi ? T'es sourd en plus d'être débile ?

Il faisait bien une tête de plus qu'elle - même plus - mais Lucie n'en avait clairement rien à faire, sa colère l'aveuglant. Elle n'était pas consciente du risque qu'elle prenait en s'emportant autant, tout les dommages qu'elle pourrait causer sans le vouloir.

— Je te déconseille de me mettre encore plus en colère, grogna Lucie en serrant les poings.

— Sinon quoi ? Tu fais pas le poids.

— Sinon je te fais geler jusqu'à ce que t'explose. Tu veux que je te montre ?

Déjà que Lucie avait du mal à se contrôler en temps normal, mais la colère rendait tout plus compliqué. Et à ce moment précis, elle avait une grande haine pour le garçon en face d'elle. Ses poings commencèrent lentement à prendre une teinte bleuté, et ils se firent plus durs. On pouvait entendre de la glace craquer à ses phalanges. Le garçon de Poufsouffle lui lâcha la main mais cela ne suffit pas à calmer Lucie.

Harry lui posa finalement une main sur l'épaule et la tira légèrement en arrière, lui intimant de laisser tomber. Mais Lucie ne l'écoutait plus et continuait de fixer le Poufsouffle avec haine. Ce fut finalement une voix grave et masculine qui la ramena sur Terre :

— Qu'est-ce qu'il se passe ici ?

Lucie se retourna et soupira de soulagement en voyant qu'il s'agissait de son cousin, Cedric. Automatiquement, les poings de Lucie reprirent leur couleur normale et elle les desserra.

— Trevor ? répéta Cédric en posant une main sur l'épaule de Lucie. Qu'est-ce qu'il se passe ?

— Elle nous a insulté ! répondit le dit Trevor en croisant les bras.

— Il a commencé, répliqua Lucie comme une enfant. Si tu voulais pas que je vous insulte, fallait pas nous provoquer, dit-elle à l'adresse de Trevor. A commencer par ces stupides badges.

— Je vous ai dit de pas les porter, soupira Cedric en fronçant les sourcils.

— Il a triché, il le mérite ! répondit une fille en désignant Harry.

— Fous-lui la paix ! répliqua immédiatement Lucie en lui lançant un regard noir.

— Laisse tomber Lucie, lui souffla Harry.

Harry tira alors la manche de Cédric et d'un signe de tête, lui indiqua qu'il voulait lui parler. Cedric eut l'air un peu surpris, mais acquiesça et le suivit rapidement. Lucie resta alors là, regardant ses idiots de Poufsouffle avec un regard sombre. Et dire qu'elle trouvait les Poufsouffle adorables en temps normal !

Cedric revint finalement vers elle, mais pas Harry. D'un coup d'œil, Lucie comprit qu'il était partit parler à Ron qui traversait justement la cour. Elle décida de ne pas le rejoindre, ne voulant pas se disputer elle aussi avec le Weasley.

— Ça va ? lui demanda Cedric, les sourcils froncés.

— Oui, tout va bien, répondit Lucie avec un faible sourire.

— Si tu as un problème, tu peux venir me voir, tu sais.

Lucie sourit sincèrement à son cousin. Elle avait beau ne pas vraiment le connaître, il se montrait là pour elle et ça la touchait beaucoup. Il avait l'air de la considérer comme quelqu'un de proche, alors que ce n'était pas le cas. Et par dessus tout, même s'il devait penser que Harry avait triché, il ne lui faisait pas de remarques et le défendait même. Cedric était définitivement quelqu'un de bien.

— Merci, Cedric, dit-elle. Tu sais, je suis vraiment contente qu'on soit de la même famille.

Cedric sourit sincèrement à son tour. Les gens autour d'eux semblaient un peu étonné par cette annonce, après tout, très peu de personnes étaient au courant de leur lien de parenté, mais aucun des deux concernés n'en étaient dérangés.

Lucie lança un rapide coup d'œil pour voir où était Harry et remarqua qu'il était actuellement en pleine altercation avec Drago. La jeune fille fronça les sourcils et fit une légère grimace.

— Excuse-moi, dit-elle à son cousin en commençant déjà à s'éloigner. Il faut que j'aille sauver Harry des griffes de Malefoy. On se voit plus tard.

— Oui, à plus tard, répondit Cedric en se décalant pour la laisser passer.

Lucie lui sourit une dernière fois puis rejoignit à grandes enjambées son ami qui visiblement se disputait plutôt violemment avec son petit ami. Cette situation était tellement étrange du point de vue de Lucie... Elle arriva à leur hauteur au bout de quelques pas.

— ... il dit que tu ne tiendras pas cinq minutes !

Drago ricana bêtement, imité par ses amis Serpentard dont cette horrible Pansy Parkinson. Harry regardait son pire ennemi, furibond, ce qui poussa Lucie à intervenir, même si elle ne comprenait pas très bien la conversation.

— Fous-lui la paix Malefoy, lui dit Lucie avec mépris en se mettant face à lui.

— Je t'ai pas parlé, l'orpheline ! répliqua Drago en lui lançant un regard dédaigneux. Retourne lécher les bottes de tes parents ! Oh attends, ils sont morts ! Vraiment dommage, ça !

Pansy Parkinson éclata d'un grand rire tonitruant, tandis que Lucie le regardait, profondément blessée. Elle n'était même pas énervée, juste touchée par ses paroles. Elle savait que Drago et elle devaient faire comme si ils se détestaient, mais il était tout simplement allé trop loin en parlant de Thomas et de Susan Jones.
Harry le bouscula violemment en arrière, ce qui fit trébucher le Serpentard.

— Ne lui parle pas comme ça ! le menaça Harry, le regard noir. Tu es vraiment pathétique, tout comme ton abruti de père !

Harry prit ensuite plus doucement Lucie par les épaules et la retourna, de façon à ce qu'ils tournent le dos aux Serpentard. Harry commença à partir et Lucie lui emboîta le pas, les larmes aux yeux.

— Pathétique, moi ! entendirent-ils dire Drago derrière eux. Non mais attends...

— Oh sûrement pas mon garçon !

Lucie et Harry se retournèrent d'un même mouvement et furent surpris de voir le professeur Maugrey sortir de nulle part. Il s'avança, baguette en main et d'un coup rapide transforma Drago en fouine blanche. Harry éclata de rire et Lucie sourit à son tour. Il l'avait mérité.

Fol Œil commença alors à faire voler la fouine dans les airs tout en murmurant des injures à son encontre. Les élèves s'étaient rassemblés autour d'eux, riant de bon cœur. Le professeur Maugrey tira soudainement le col de Crabbe et mit la fouine à l'intérieur de son haut. Le Serpentard commença alors à paniquer, demandant à Goyle de l'aider mais il ne put rien faire.

Drago - toujours en fouine - ressortit quelques instants plus tard de l'autre côté du tee-shirt de Crabbe mais Fol Œil mît immédiatement la fouine dans le pantalon de Goyle. Lucie éclata de rire, sa tristesse ayant finalement place aux délices de la vengeance.
Le professeur McGonagall fit finalement son entrée alors que la fouine ressortait par les chaussures de Goyle.

— Professeur Maugrey ! déclara McGonagall en fronçant les sourcils. Est-ce que c'est un élève ? demanda-t-elle ensuite en pointant du doigt Malefoy toujours en animal.

— En principe c'est une fouine, répondit Fol Œil avec un sourire satisfait.

Le professeur Maugrey continua de balancer Malefoy dans tout les sens jusqu'à ce que McGonagall interrompe le sortilège en lançant un sort. Drago prit donc sa forme humaine. Il se trouvait étalé par terre, les cheveux en pagaille et couvert de terre. Il se leva d'un coup, l'air furieux et pointa Fol Œil du doigt.

— Mon père en entendra parler ! s'écria-t-il.

— C'est une menace ? s'exclama Maugrey avec un regard noir. C'est une menace ?!

Le professeur Maugrey continua de crier des injures à Malefoy qui avait pris la fuite. Le professeur McGonagall rappela à l'ordre Fol Œil et Lucie crut bien qu'il allait l'écouter, mais une fois qu'elle eut le dos tourner, il lui fit une grimace. Maugrey commença à partir et demanda à Harry de le suivre. Avec un regard, Lucie lui intima d'obéir et de son côté, alla rejoindre Hermione à la bibliothèque. Elle repensa à son altercation avec Malefoy. Elle ne voulait plus rien avoir à faire avec lui.

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Bonsoir !

Désolée pour le retard, et pour la longueur de chapitre qui est particulièrement long, j'espère que ça ne vous dérange pas. Comme prévu, je reprends le rythme de une publication par semaine seulement...

Que pensez-vous de ce chapitre ? De Lucie qui s'emporte ? De l'intervention de Cedric ? Et enfin, de la remarque de Drago, puis de la réaction de Lucie ? Était-ce exagéré ?

Merci de lire mon histoire !
Bonne soirée.