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Sixième chapitre.

[EN CAS D'OUBLIE DE DÉTAILS À PROPOS DE L'HISTOIRE, VOIR LE RAPPEL AU DÉBUT DU LIVRE.]

/!\ Rappel : Lucie vit chez Remus, son parrain, avec Newton. Ses pouvoirs sont devenus incontrôlables pendant les vacances. Elle a dû apprendre l'Occlumancie, et elle fait régulièrement des rêves où elle voit Poudlard réduit en cendre.

Précédemment : Lucie est allée à la coupe du monde de quidditch, avec Newton. Elle a du des places grâce à Viktor Krum, et n'est donc pas placée au même endroit que Mr Weasley et sa famille. En allant à sa place, Lucie croise Drago et Lucius Malefoy et elle ne se prive pas de les rabaisser, lorsqu'ils se mettent à la critiquer.

*** *** *** *** ***

« The deatheaters ! »

— C'était incroyable ! s'exclama Newton en descendant des tribunes, les yeux toujours brillants. C'est vraiment le meilleur match de quidditch que j'ai vu de toute ma vie !

— Enfin, tu n'es pas aller en voir beaucoup, répondit Lucie avec un sourire taquin. Mais c'est vrai que la technique de Viktor Krum est époustouflante ! Surtout quand il a raflé le sol pour attraper le vif d'or !

Le match de la coupe du monde de quidditch s'était enfin terminé. Il avait duré environ trois heures, trois heures où Newton et Lucie avaient été parfaitement attentifs. Lucie avait été impressionné par les techniques qu'employaient les joueurs et elle avait été surprise du résultat à la fin du match : l'Irlande avait remporté le match mais c'était les Bulgare qui avait attrapé le vif d'or ! Autant dire que le résultat était quasiment impossible. D'ailleurs, Lucie se posait beaucoup de questions. Comment les jumeaux Weasley avaient pu deviné ce qui allait se passer ? Étaient-ils devins ou quelque chose du genre ?

Lucie et Newton sortirent enfin des gradins et rejoignirent la tente de Mr Weasley tout en continuant de discuter sur la façon dont s'était déroulé le match. Lorsqu'ils entrèrent, ils virent que déjà tout le monde y étaient déjà et parlaient joyeusement entre eux.

— Ah ! Vous voila ! s'exclama Mr Weasley quand il vit Newton et Lucie. Alors, qu'en avez-vous pensé ? Ça vous a plu ?

— Génial ! répondit Lucie, tout sourire. Vraiment incroyable !

Newton s'empressa alors de discuter avec Mr Weasley, tandis que Lucie alla voir Fred, George et Harry qui se moquaient doucement de Ron et de sa fascination pour Viktor Krum.

— Viktor Krum est le meilleur attrapeur au monde ! s'écria Ron en montant sur une chaise pour mieux se faire entendre.

Lucie pouffa de rire. Fred et George échangèrent un regard, puis se mirent d'un même mouvement à tourner autour de la chaise de Ron en chantonnant une musique ridicule pour se moquer de leur frère.

— C'est pas qu'un joueur ! insista Ron en voyant les jumeaux ricaner. C'est un artiste !

— Je crois que tu es amoureux Ron, lança Ginny en lui adressant un sourire moqueur.

Lucie éclata de rire en même temps qu'Hermione et Ginny. Les jumeaux et Harry entamèrent ensuite une petite danse improvisée tout en chantant à tue-tête des paroles qui ressemblaient vaguement à « Ron est tombé amoureux de Krum. »
Lucie pouffa de rire en les regardant et applaudit quand ils eurent fini, amusée par leur comportement enfantins.

Mais soudain, des détonations extérieurs se firent entendre et Lucie redressa vivement la tête en fronçant les sourcils. Mr Weasley venait de quitter la tente à la hâte.

— Ah, la fierté des Irlandais, qu'est-ce que ça peut faire comme bruit ! déclara Fred en souriant.

Mr Weasley rentra alors dans la tente, un air paniqué au visage.

— Arrêtez, arrêtez ! s'empressa-t-il de dire aux jumeaux qui continuaient de se moquer de leur frère Ron. C'est pas les Irlandais ! Venez, vite !

Lucie fronça les sourcils, mais ne se fit pas prier et sortit rapidement de la tente, suivie de près par tous les autres. En sortant, elle fut surprise et décontenancée de voir les gens courir dans tous les sens, paniqués, alors que d'autres transplanaient de partout. Plusieurs tentes étaient en feu et les gens hurlaient de peur.

— Qu'est-ce qui se passe ? hurla Lucie à Mr Weasley, par dessus le vacarme.

— Les mangemorts ! s'écrièrent des sorciers en passant devant eux. Au secours ! Les mangemorts !

Le sang de Lucie se glaça. Des mangemorts ? À la coupe du monde de quidditch ? Mais qu'est-ce que ça voulait dire ? Le Seigneur des ténèbres était mort, pourquoi les mangemorts se montreraient ? Le coeur de Lucie s'accéléra et la panique l'envahit alors. Et si cela avait un rapport avec ses cauchemars ? Et si elle avait raison ?

— Allons nous réfugier dans la forêt ! leur cria Mr Weasley en les entraînant. Venez !

Newton saisit Lucie par le bras. Il avait l'air paniqué, mais ce n'était rien par rapport à ce que ressentait Lucie. Newton partit immédiatement à la suite de Mr Weasley, et Lucie jeta un regard derrière elle pour vérifier que les autres les suivaient bien. Mais rapidement, ils furent englouti par la foule. Les gens, paniqués, bousculaient Lucie dans tous les sens et elle trébucha plusieurs fois. Elle fut forcée de rapidement lâcher le bras de son frère lorsque quelqu'un la percuta violemment par la gauche, et elle fut distancée quelques secondes après.

— NEWTON ! hurla-t-elle en essayant de jouer des coudes pour avancer.

— Lucie ! cria à son tour Newton en se retournant vers elle.

La jeune fille essaya d'avancer, mais Newton disparut devant elle, tout comme Mr Weasley. Elle se retourna alors pour voir si Harry, Ron et les enfants Weasley n'étaient pas là, mais elle ne vit personne. Elle était seule au milieu de la foule. Sa panique augmentait au fur et à mesure que les gens la bousculaient, et toujours aucun signe des autres.

— NEWTON ! cria Lucie, les larmes aux yeux dû à la panique. Harry ! Ron !

Soudain, quelqu'un lui bouscula violemment l'épaule et Lucie perdit l'équilibre un instant. Elle faillit tomber en arrière, mais deux mains solides la retinrent et la remirent sur pied. Lucie se retourna et fut soulagée de voir le visage de Fred Weasley.

— Ça va ? lui demanda-t-il en posant ses mains sur ses épaules.

Lucie acquiesça vigoureusement de la tête en essuyant les quelques larmes qui avaient coulé sur ses joues. Elle n'avait jamais vu Fred aussi inquiet. Il regardait sans cesse autour de lui, cherchant apparemment lui aussi les autre membres de sa famille.

— Tu n'es pas avec George ? lui cria Lucie par dessus le monde.

— Je l'ai perdu de vue, répondit Fred sur le même ton. Où sont les autres ?

— Je ne sais pas, ils ont dit qu'ils allaient vers la forêt.

— D'accord, suis-moi.

Fred prit la main de Lucie dans la sienne et l'entraîna de nouveau dans la foule. Lucie s'accrocha solidement à son bras par peur de le perdre. La jeune fille grimaça à cause des quelques personnes qui la bousculaient, mais Fred serra alors plus fort sa main et la rapprocha de lui. Au bout de quelques minutes à jouer des coudes, ils finirent par atteindre la forêt. Heureusement, il y avait beaucoup moins de monde et Fred serra alors moins fort la main de Lucie, mais il ne la lâcha pas pour autant. Ils marchèrent un moment, à la recherche de Mr Weasley et des autres, mais comme ils ne les trouvèrent pas, ils décidèrent de s'arrêter.

Ils s'arrêtèrent près d'une souche d'arbre et Lucie s'assit dessus en tremblant. Elle passa sa main sur son visage. Elle n'avait jamais eu aussi peur de sa vie. Devant elle, Fred faisait les cent pas d'un air soucieux, les sourcils froncés.

— Je suis sûre qu'ils vont bien, lui dit Lucie avec une voix tremblante. Fred, je suis sûre qu'ils vont tous bien, calme toi.

Lucie se leva en voyant que Fred continuait de marcher nerveusement et elle le prit par les épaules pour qu'il la regarde.

— Fred, calme toi ! répéta-t-elle d'une voix tremblante. Ton père travaille au ministère de la magie et c'est un bon sorcier ! Je suis certaine qu'il a mis tous les autres en sécurité.

Lucie le regarda un instant puis le prit dans ses bras. Elle avait besoin de réconfort, d'être rassurée. Heureusement, Fred ne sembla pas trouver son geste déplacé et passa à son tour ses bras autour de ses épaules en la rapprochant de lui. Lucie tremblait toujours. Les événements l'avaient terriblement chamboulé. La jeune fille se recula au bout de quelques instants et alla se rasseoir sur la souche, Fred s'assit à ses côtés. Bien qu'il ne semblait pas aussi nerveux, sa jambe droite bougeait cependant dans un rythme frénétique.

— Comment tu as su que c'était moi ? demanda-t-il soudainement à Lucie.

— Quoi ?

— Comment tu as su que c'était moi et pas George ? clarifia-t-il.

Lucie fut légèrement décontenancé par ce brusque changement de conversation, mais elle songea que c'était bien de penser à autres choses. Elle ne put se retenir de sourire légèrement tout en se frictionnant le bras. Bien que c'était encore l'été, c'était le soir et une légère brise s'était mise à souffler.

— Tu as quelques choses de différent par rapport à lui, répondit Lucie.

— Tu veux dire, physiquement ? demanda Fred en fronçant les sourcils.

— Non, intérieurement, expliqua Lucie. Tu sais que j'ai des... pouvoirs, concernant la manipulation mentale et tout le reste. Et bien, j'ai découvert que chaque personne avait sa propre « énergie ». Tu vois ce que veux dire ? C'est comme un code barre, il n'y en a pas deux pareils. Donc je n'ai pas besoin de lire dans ta tête pour savoir que tu n'as pas le même code barre que lui. Tu comprends ? Je le ressens en moi.

Fred acquiesça de la tête en se frottant les mains. Apparement, il avait froid lui aussi.

— Même si j'ignore ce qu'est un code barre, oui. Je vois à peu près ce que tu veux dire.

Lucie et Fred patientèrent quelques minutes dans le silence. Ils n'avaient aucun moyens de joindre Mr Weasley et ils ne savaient pas à quel endroit précis il était. Et il n'était pas judicieux de s'aventurer seuls dans la forêt.

— Tu as froid ? lui demanda Fred.

— Un peu. Et toi ? répondit Lucie en soufflant dans ses mains.

— Moi aussi. On aurait dû prendre un manteau.

Lucie sourit en hochant positivement la tête. Malheureusement, dans leur précipitation, il n'avaient pas pris de veste et ils n'étaient tout deux habillés qu'avec un tee-shirt à manche longue.

— Attends, rapproche-toi, lui dit Fred.

Lucie fronça les sourcils mais ne dit rien et se décala vers la droite pour se coller à Fred. Puis le jeune homme passa un bras autour de ses épaules et lui frictionna le bras pour la réchauffer. Bien qu'en temps normal, elle aurait été gêné, elle ne le fut pas et se contenta de sourire légèrement.

— Merci.

Fred continua son geste pendant plusieurs minutes jusqu'à ce que des bruits de pas et des éclats de voix se firent entendre. Lucie se releva en même temps que Fred et ils se dirigèrent tout deux vers la source des voix. Ils se trouvèrent soudain nez à nez avec une dizaine de sorcier qui pointaient leur baguette sur eux.

— Ne bougez plus ! s'exclama un homme en se démarquant des autres. Qui êtes vous et que faites-vous là ?

Lucie se rapprocha légèrement de Fred, ne sachant pas qui était ses hommes et du coup, légèrement effrayée. Fred du sentir son geste, car il se tourna vers elle pour lui chuchoter :

— T'inquiètes pas, ce sont des gens du ministère.

Lucie se détendit immédiatement et soupira de soulagement.

— Je suis Fred Weasley et elle, Lucie Jones, déclara Fred. Nous avons perdu mon père dans la foule.

— Fred !

Lucie leva la tête et fut aussitôt soulagée de voir Mr Weasley foncé vers eux, l'air inquiet.

— Vous allez bien ? demanda-t-il aussitôt. On vous cherchait !

— On ne vous voyait plus, répondit Fred en serrant son père dans ses bras. Mais t'inquiètes pas, on va bien. Et les autres ?

— Ils sont tous rentrés au Terrier, répondit Mr Weasley en regardant si Lucie allait bien. Tout le monde va bien.

Lucie soupira une nouvelle fois de soulagement, heureuse que personne ne soit blessé. L'homme qui leur avait posé des questions s'approcha d'eux. Il était vêtu d'une robe de sorcier noir et d'un chapeau melon. Son regard était accusateur et sa petite moustache frémissait lorsqu'il parlait. Il s'avança vers eux, toujours le visage suspicieux.

— Est-ce vous qui avez fait ça ? demanda-t-il en désignant le ciel.

Lucie leva le regard et fut surprise de voir une marque dans le ciel. C'était un crâne dont un serpent sortait de la bouche. Elle n'avait jamais vu cette marque et un frisson la parcourut.

— Barty, ce sont des enfants ! s'exclama aussitôt Mr Weasley pour les défendre. Et c'est mon fils !

Pendant que l'homme au chapeau melon échangeait quelques mots avec Mr Weasley, Lucie se pencha vers Fred.

— C'est quoi cette marque ? lui chuchota-t-elle.

— C'est la marque des ténèbres, répondit-il. Sa marque.

— Qu'est-ce que ça veut dire ?

— Cette marque apparaissait lorsque des mangemorts avaient tué quelqu'un, à l'époque, avoua Fred.

— Mais personne n'est mort ? demanda Lucie d'une voix inquiète.

— Espérons-le.

*** *** *** *** ***

Bonsoir !

Pour une fois, j'aime bien ce chapitre là, je trouve que c'est bien d'avoir un peu d'action !

Pauvre Lucie, elle a été séparé des autres, heureusement que Fred était là ? D'ailleurs, qu'avez-vous basé du rapide rapprochement entre elle et Fred ? Et qu'avez-vous pensé du chapitre en général ?

Merci de lire mon histoire !
Bonne soirée.

[PARTIE RÉÉCRITE]

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