Chapitre 19. Soirée
538 mots
Dabi et Hawks vont enfin s'avouer leurs sentiments, c'est pas trop tôt au bout du 19 ème chapitre !
___________________________

Pdv Narrateur.

Dabi n'a jamais aimé les soirées, mais aujourd'hui c'était l'anniversaire de Compress et Himiko comptait lui faire une soirée inoubliable.

Hawks ne semblait pas enchanté non plus, faire la fête avec des vilains n'est pas dans son plan d'infiltration à vrai dire. Il peut toujours s'éclipser pendant que eux font la fête, oui cette idée lui semblait bonne.

...

Alors que la soirée avait commencé depuis une bonne trentaine de minutes, Hawks cherchait encore le bureau de Shigaraki, c'est immense ici !

Pdv Hawks.

Alors que je cherchais encore, je vis soudainement, Dabi qui semblait être très bourré car je doute que celui-ci se traînerai au sol, face dans le parquet, la marque du sol sur le front, en chantant à tue-tête "Trois petits chats" en étant sobre.

Je le relève alors et le regarde dans les yeux, oh que oui il était bourré ! Ses yeux sont tout vitreux.

Il rapproche sa tête de moi, ses lèvres plus qu'à quelques millimètres des miennes, est-ce que ça va aller aussi loin que la dernière fois ?

Il me tombe finalement dessus mais je le rattrape. Il relève la tête et caresse ma joue tout en me regardant avec un sourire bourré, tout tordu.

—T'es un gentil poulet rôti toi !
fit-il avant de retomber sur mon épaule et de rompier sur moi.

Je l'amène donc dans ma chambre, ne sachant pas où se trouve la sienne, et le pose dans mon lit.

Honnêtement, j'avais la flemme de continuer de chercher, je m'allongea alors aussi et m'endormit presque aussitôt.

...

C'est alors le lendemain que le point de non-retour a été franchi. Qu'Icare a volé trop près du soleil et qu'il fit une chute libre sans fin, ne sachant pas dans quel état il allait se retrouver à l'arrivée.

C'est alors qu'il se réveillait juste, qu'il ouvrait ses beaux yeux bleus qui m'hantaient tant, et qu'il me fixait de son air confus.

—Huh ?... Pourquoi t'es là toi la volaille ? Sors de ma chambre.

Il jeta un coup d'œil autour de lui.

—Huh... Hein? Putain j'ai mal au crâne moi..
continua-t-il.

—T'étais bourré, du coup je t'ai foutu dans ma chambre.

—On a pas fait de trucs ?
Ses yeux me fixèrent avec interrogation.

—Nan.

—Dommage..

Je vis flou deux secondes, j'avais bien entendu ?

—Quoi ?!

—J'ai juste dit dommage.. J'aurai bien aimé..

Je cligne une fois des yeux. Deux fois. Trois fois. Et mes yeux s'écarquillent.

—Euh-huh-je-be-je oh..

—Quoi ?

—Je-pen-bo-k-zi-no-..

—Toujours rien compris.

—Le tact ?!!
réussis-je enfin à formuler.

—Je l'emmerde.

—Euh huh et donc eum... Pour dire ça.. C'est que tu ressens... Quelque chose ?

—Peut-être, et toi ?

—Euh hum bah je- oui.

Mon interlocuteur souriait, avec cet air de petit con, je ne savais pas si j'avais envie de l'embrasser ou de lui foutre mon poing dans la gueule.

_________________________

OUI IL EST PETIT MAIS C'EST COMPLIQUÉ À ÉCRIRE L'AMOUR.

pas d'autres justifications.

oui j'ai galéré à écrire de la merde, mais c'est compliqué à écrire aussi une déclaration.

bah aurevoir alors.