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Chapitre 10

Chloé se tenait devant Marinette, impassible. La bleutée se demandait se qu'elle venait faire ici. Chloé voulait lui parler, mais pourquoi.

- Bien, commença enfin Chloé, Je suis venue te présenter mes excuses, je n'aurais pas du aller si loin. Je m'en veux, mais sache que je te déteste. Tu m'as prit quelques choses et je te prendrai quelques choses en retour ! Voilà au revoir.

Sur ce la blonde disparu aussi vite qu'elle était apparu.

Laissant la bleutée stupéfaite et bouche bée.

Les parents de celle-ci entrèrent ne sachant rien de la scène qui venait d'arriver.

Adrien était dans son lit, assit, il fixait les fenêtres sans les voires.

Un souvenir avait réussi à remonter, plus douloureux. Et cela l'avait mit dans une sorte de transe.

Dans le jardin de la famille Agreste, deux petits garçons blond s'occupaient : l'un lisait tranquillement un livre et l'autre courrait après un ballon.

Le blond aux yeux verts s'arrêta et interpella le blond aux yeux bleu-gris.

- Félix, viens jouer au foot avec moi ! Demanda le blond aux yeux vert.

- Non Adrien, je n'aime pas courir. Répondit celui aux yeux bleus-gris.

Le regard d'Adrien s'assombrit. Il savait pourtant que Félix n'aimait pas l'agitation, son asthme ne lui facilitant pas les choses ; il préférait les jeux de cartes et les livres.

- Je vais chercher le jeu de carte alors ! s'exclama Adrien.

Le regard de son frère jumeau s'illumina et il délaissa son livre pour rejoindre son cadet qui avait deux minutes de moins que lui.

Félix, oui, c'est lui que sa Lady avait croisé, il en était certain.

Adrien se rappelait de ce jour qui aurait dû être pour eux synonymes de liberté mais qui s'était transformé en la plus horrible de leur vie.

Adrien regarda son réveil, si il se dépêchait, il pourrait aller voir Marinette.

Le blond s'affaira tellement vite qu'il put aller voir son amie.

Il toqua doucement à la porte et un timide entrée lui répondit.

Le regard du blond la détailla, cherchant à savoir si elle allait bien.

Marinette était assise dans son lit, son carnet de croquis ouvert sur la table. Ses habituelle couette avait repris leur place et un sourire ornait son visage.

Le cœur de celle-ci battait à tout rompre, le rouge tentait l'arête de son nez.

Elle était tellement touchée que son ami viennent la voire.

Adrien s'approcha doucement du lit de sa princesse, et vint s'assoir près d'elle.

Son cœur aussi pulsait. Le jeune homme avait du mal à tenir en place alors il laissa son regard balayé la salle.

La chambre était assez grande, les murs peint de blanc, la pièce sentait le désinfectant, le lit de sa camarade était au centre une table de chevet à sa droite.

Le blond n'aimait pas les hôpitaux, encore plus en se moment. Cela lui rappelait le récent événement qui l'avait déstabiliser...

Son regard vint se plonger dans celui saphir de sa camarade.

Les deux adolescents ce fixait, admirant les yeux de l'autre. Leurs cœur battait à l'unisson, une sorte d'aimant les attirait l'un vers l'autre.

Nul n'osait dire de mot ayant peur de gâcher la magie du moment.

La porte s'ouvrit sur Tom Dupain, le père venait pour ramener un déjeuner digne de ce nom à sa fille.

Il fut surpris de voir les deux enfants aussi proche. Il se sentit de suite coupable, il venait sans doute d'interrompre un beau moment Adrinette (Sabine Cheng croie dure comme faire en ce couple, c'est pour cela qu'elle l'a prénommée Adrinette.)

À l'arriver du boulanger, Adrien et Marinette s'était éloigné l'un de l'autre, un silence gêné s'installa.

- Bien, lança Adrien en se frottant la nuque, je vais y aller il ne faudrait pas que je sois en retard.

Le garçon s'en alla, à peine eut-il fermé la porte qu'on l'interpella.

- Mr Agreste ! S'exclama un médecin.

Adrien se retourna surpris. Son cœur bat ait à tout rompre
"que se passait-il, était-ce la fin ?"

Le médecin lui fit un grand sourire et lui dit:
- Mr Agreste, pourriez vous me signer un autographes pour ma fille, Lili. S'il vous plaît.

Le visage du mannequin se decomposa, il avait tellement eut peur ! Toutes ces questions pour seulement un autographes !
"Je vais finir par mourir."

Le jeune homme se reprit et offrit son plus beau sourire au médecin.

- Bien sûr.

Le médecin lui tendit une feuille et un stylo et le garçon s'empressa de la signer pour pouvoir fuir cet endroit de malheur.

Alya Césaire se préparait pour aller au collège. Elle était heureuse elle allait enfin pouvoir retrouver Marinette.

La rousse avait eu la grippe pendant une semaine et elle avait donc dû rester au lit.

Un autre élément la faisait se sentir bien, Nino. Ce garçon qu'elle avait rencontré une semaine auparavant l'avait de suite attiré.

La jeune fille se mit donc en marche pour aller au collège.

Arrivé au collège, Alya, trouva Adrien et Nino en grande discussion mais il n'y avait aucune trace de Marinette.

"C'est inquiétant."

- Alya !!! S'exclama le D. J.

La futur journaliste se tourna vers son ami.

- Hey Nino. Salut Adrien. Les gars, vous savez où est Marinette.

Les deux garçons échangèrent un regard. Finalement, c'est Adrien qui prit la parole.

- L'autre jour, à la fin des cours, j'ai entendu un cri provenant des toilettes des filles. Je m'y suis précipité et j'y ai trouvé Marinette allongé au sol subissant les coups de Chloé.

La Césaire n'en revint pas. Elle fit un signe de tête au blond de continuer.

- Elle a été transféré à l'hôpital. Ne t'inquiète pas notre petite Mari est résistante. Elle a l'abdomen recouvert d'écchymoses, un bleu à la tête et quelques égratignures par-ci par-là.

La rousse était sidéré, elle savait Chloé odieuse, mais à ce point là ! À cet instant, Alya avait envie de trouver la jeune fille et de "lui foutre son poing dans sa gueule."

Nino ayant remarqué que sa camarade commençait e s'enflamée, posa ses mains sur ses épaules et la fixa de ses yeux chocolats.

- Ne t'en fait pas, meuf, lança-t-il, elle a écopé d'une semaine d'exclusion et de travaux d'intérêt ! Et puis, le plus important, c'est que Mari aille bien. Rassure toi, je connais Marinette depuis le bac à sable et c'est pas une tornade blonde qui va la mettre au tapis. T'aurai vue les bleu qu'elle se fait elle même !

Alya se détendit et offrit un sourire reconaissant à son camarade.

- C'est vrai tu as raison ! Répondit-elle. Y a deux semaine elle s'est étaler dans les escaliers et elle a même pas eu mal ! Cette fille est forte.

Le sourire au lèvres, les trois adolescents s'élancèrent dans les couloirs pour assister à leur premier cour de la journée.

La journée passa vite et bientôt la sonnerie se fit entendre.

La Césaire allait partir quand Nino l'a rattrapa.

- Et ! Alya ! Déclara Nino, Attends moi. J'ai envie de t'emmener quelque part.

La jeune fille le regarda, ne sachant pas quoi répondre.

Ne lui laissant pas le temps, le brun attrapa sa main et l'entraîna dans les rues de Paris.

Alya avait le cœur qui battait à tout rompre. Les mains moites et des rougeurs paraît sont visages.

Je se préoccupant pas de sa camarades. Nino l'emmena a l'endroit qu'il avait décidé.

La Tour Eiffel.

La Dame de Fer se tenait la, devant eux, majestueuse.

Pendant leur marche, la nuit était tombé, la tour était donc illuminé.

Nino tira Alya de sa contemplation pour l'emmener gravir les marches qui mène au sommet.

Arrivé, essoufflé. Les deux jeunes gens se contemplèrent et éclatèrent de rire.

Alya s'avança pour aller s'acoudée à la rambarde.

Les étoiles était visible et la vue était magnifique. Elle aurait pu rester la et écrire un article sur la magnificence de ce qu'elle voyait.

- C'est vraiment magnifique. Laissa-t-elle échapper.

Le D.J acquiesça silencieusement.

Le garçon, lui, n'admirait pas le ciel étoilée non. Il observait Alya. Détaillant sa camarade, essayant de regarder chaque détail de son visage.

La demoiselle le remarqua, et posa un regard appuyer au jeune garçon.

- Nino, lança-t-elle, pourquoi tu m'as emmené ici. Et pourquoi tu me fixe.

Le garçon rougit. Son visage était tellement cramoisi qu'on aurait pu faire cuire un œuf dessus.

- Et bien pour tout te dire... Oh regarde le pigeon là bas ! On dirait qu'il va voler le sac à la pauvre dame.

Alya le ramena vers elle et lui jeta un regard noir.

- Bon, tu as gagné, murmura-t-il. Alya, je ne suis pas un grand romantique, mais pour toi j'ai fait des efforts. Ce que je veux te dire. C'est que je te kiffe meuf. Depuis que je t'ai rencontré, je suis comme attiré vers toi. Lorsque j'ai du temps libre, je ne  pense qu'à toi ! C'est ptre...

La rousse ne lui laissa pas le temps de continuer et l'embrassa. D'un baisers langoureux et sincère.

Leurs cœur battaient en rythme et leur visage était cramoisi.

Qu'il se sentait bien collé l'un à l'autre.

- Andouille, Je t'aime aussi.

Et voilà, un chapitre de fini. J'espère qu'il vous a plus. Au fait a partir de maintenant je ne mettrai plus de titre au chapitre, une amie m'a fait comprendre que cela lui gâchait parfois le plaisir de lire. Bye les miraculers.

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