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Royal : *rond comme une queue de pelle, bourré, beurré comme un coin ou toute expression relatant le fait qu'il a trop bus comme un cochon. Il engueule inlassablement une chaise d'avoir volontairement voulu l'enterrer vivant, ce qui est faux car c'est une fort aimable et courtoise chaise qui fait dignement son travail en étant, elle, utile à n'importe quelle société*

Ardress : *l'enregistre parce que marre d'avoir à subir ce genre de pertes du temps*

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Anarchy : *profite d'une journée détentes pour emmener sa fille à la piscine. Celle-ci s'amuse sous le regard de son père adoptif. Pourtant quelque chose tracasse l'homme*

Mirachar : *habillée comme il ne faudrait pas dans un lieu publique, s'approche de manière peu discrète* eh, dit ?

Anarchy : ... *sans même la regarder* là l'appelle la police...

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Auteur : j'ai fini le cahier ! Tristesse insondable !

Elza : prends un nouveau dans ce cas ?

Auteur : *surjoué* comment vais-je bien pouvoir faire ?

Elza : dans l'armoire, regarde dans l'armoire !

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Auteur : *écrits les pages de ses cahiers d'écritures, lève le stylo et s'arrête au cause d'un doute* attends... Mon pseudonyme, il prend un "es" à la fin ou pas ?

Despicable : *le regarde comme si celui-ci n'était qu'un débile profond* je rêve ou tu me poses vraiment la question ?

Auteur : ah parce que tu sais toi ?

Despicable : bien sûr que non abruti ! Et je m'en fous royalement !

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Shizu : il me semblait qu'on n'avait pas terminé le livre précédent

Despicable : on l'a pas finit

Shizu : alors pourquoi on en commence un nouveau dans ce cas ?

Despicable : par principe de ne jamais finir ce qu'on commence...

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Thaéni : *en train de ranger des perles de la taille d'un homme dans une grotte sous-marine de son palais*

Khtälaq : *tient Owen en mode « berserk » dans sa patte gauche. Celui-ci ne semble pas plus grand qu'un chaton venant de naître par rapport aux dragons. Ses crocs, ses griffes ou n'importe laquelle de ses armes ne semblent du démon ne semble avoir d'effet contre les épaisses écailles et le dragon hivernale ne semble être plus importuné que cela ou même s'en rendre compte* c'est quoi ce truc à ton avis ? Je suis tombé dessus ça criait, criait... et ça ne veut pas se taire et je ne comprends pas un traitre mot de ce que cette bestiole dit...

Thaéni : *fronce le museau* j'en sais rien, tu devrais le jeter dans un coin, c'est surement plein de cochonnerie et il est en train de crever chez moi, là...

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Ishmak : au fait, ça se passe comment avec ta copine qui n'est pas ta copine ?

Khtälaq : ben ce n'est pas ma copine justement !

Ishmak : à d'autres, petit frère *ricanement sournois*

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Flamme : elle a l'ait sympa, ta mère...

Hermine : elle vit sous l'océan le plus déchaîné du globe, elle provoque des tempêtes et elle noie les gens qui se foutent d'elle...

Flamme : elle fait peur, ta mère...

Hermine : c'est rien, c'est rien... *pat pat Flamme*

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Auteur : un peu d'Erébique, parce que ça fait longtemps...

Narazeth : le nom «Khtälaq » à l'écrit désigne le « bourrasque venue du Nord ». On dit que les vents froids sont provoqués par son souffle. De plus, il s'agit d'un dragon cannibale mangeant les hommes et les dragons sans distinctions. En tradition orale son nom signifie « celui qui trahit deux fois ».

Cormak : cela vient du fait que les dragons sont surtout adorés dans le Sud, dans le désert. Comparé au Dahaku, le Khtälaq est peu voir pas apprécié du tout car il n'apporte que la famine, le froid, le raccourcissement, et tous ce qui se rapporte à l'hiver en général. Pourtant, d'après certaines légendes, il serait l'esprit protecteur des chasseurs car comme eux il traque longuement ses proies. C'est également le dragon des bergers car il aime le confort de la laine, étrangement, et celui des médecins car il leur aurait appris l'usage des herbes médicinales entres autres. Il est donc aussi craint et détesté que vénérer. Il aime se cacher dans les blizzards, la neige et dans les bois d'arbres aux troncs clairs. Malgré son air plutôt maigre, voir famélique, il est plutôt bien nourrit et dévore tous ceux qu'il attire... après quoi il n'en reste plus rien...

Eilis : les noms de familles n'ont pas tant d'intérêts dans ce monde, ils ont même presque complètement disparus. Les rares familles qui en possèdent encore sont en général des nobles qui se disent descendant ou vainqueurs de dragons... c'est faux, il faudrait être fou ou Annabelle pour oser à s'attaquer à eux... ça revient un peu au même...

Lucile : en réalité, la seule véritable faiblesse d'un dragon est le froid. Trop intense, celui-ci sombre dans une profonde léthargie et ne se réveille que quand les températures se font plus clémentes. La faim peut aussi être à l'origine d'un sommeil de dragon. Khtälaq et Ishmak sont un peu différent car considéré comme esprits des saisons. Le premier tient mieux aux froids mais fatigue vite à la chaleur et pour la seconde c'est l'inverse : elle ne tient pas du tout le froid... Selon certaines légendes, les pensées, le romarin et l'absinthe pousseraient là où un dragon dormirait...

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Saaz : *assis, il a un air boudeur, deux jambes dépasses de sa gueule*

Slac : crache.

Saaz : *fais un « non » de la tête*

Slac : et tu auras droit à une histoire ?

Saaz : *ses oreilles se redressent, comme si il éprouvait un certain intérêt désormais*

Slac : deux histoires ?

Saaz : *se met en position de sphinx et est complètement attentif désormais*

Slac : d'abord, tu craches.

Saaz : *ouvre la gueule à contrecœur et tire la langue. S'y trouvent une Minthe couverte de bave et légèrement mâchouillée*

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Pendrag : *enroulé autour d'un pommier, ses écailles noires tranchent avec le brun du tronc, pourtant on a du mal à discerner ou commence la bête et ou finit l'arbre*

Flamme : *curieuse* c'est le fameux arbre de la connaissance ? Ou de l'immortalité ?

Hermine : ah non, c'est juste un pommier sauvage...

Flamme : pourquoi ce truc garderait un bête pommier ?

Hermine : *prise au dépourvu* euuh... *cherche une explication possible, mais elle ne trouve rien de concluant* parce que les fleurs ne sont pas dépourvues d'une certaine élégance ?

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Vouivre : *émet un cri ressemblant à un gazouillement somme toute plutôt adorable*

Saaz : *rugit avec suffisamment de puissance pour que les cheveux de Royal partent loin de la tête de leur propriétaire*

Royal : ... Putain de lézard...

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Lucifer : *tente l'autorité* couché !

Thaéni : *écrase ce bon vieux pamplemousse sous son flanc *

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Jézabel : ben dis donc... On peut dire que tu t'es fait coloniser, toi...

Annabelle : ne m'en parles pas *couvertes de vouivres qui n'arrêtent pas de piailler, jouer avec ses vêtements, mâchonner ses cheveux et se servir de sa tête comme zone d'atterrissage, et ce jour et nuit* et j'ai beau les chasser, ça ne sert à rien, elles reviennent toujours à la charge

Jézabel : utilise de la cannelle, elles n'aiment pas l'odeur alors ça les fait fuir

Annabelle : t'as pas une autre astuce ? Parce que tu ne veux pas que je les tue parce qu'elles sont apparemment sacrées et je n'ai pas de cannelle, c'est beaucoup trop cher !

Jézabel : ah bon ? Pourtant on en trouve un peu partout pour quelques pièces

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Blanche : *se réveille dans un endroit complètement noir, sans sol, sans mur et sans plafond. Il n'y a qu'une immensité du vide le plus total si on oublie l'étrange personnage qui la fixe depuis un petit moment déjà. C'est un bonhomme rougeaud, courtaud, aux allures de porc. Il a un léger début de calvitie, de petits yeux noirs et un nez légèrement retroussé. Il portait un vieux costume en tartan tout droit sorti de l'arrière-boutique d'un mauvais tailleur aux origines douteuses. Il transpirait fort, et son haleine sentait le tabac chiche et la menthe. Elle ne put s'empêcher de reculer, dégoûtait par cette vision. Comment ce porcinet osait-il l'approcher ?*

George : *a un fort accent du dernier siècle anglais* vous allez bien ? Vous venez de tomber ici... Et ce monde n'est certainement pas le même que le vôtre, alors je suis là pour vous l'introduire, ce serez bête qu'une des dernières viennent à mourir...

Blanche : une des dernière, dernière quoi ?

Georges : et bien dragon, pardi ! Malgré le fait que la longévité de votre espèce soit exceptionnelle, le fait est qu'elle est en déclin, c'est normal en même temps quand il y a plus de morts que de naissances...

Blanche : *fort irritée* non mais je peux savoir de quoi tu te mêles espèce de jambonneau sur pattes ?

Georges : *tente de la calmer en vain* ne vous énervez donc pas ainsi ! Vous allez vous agiter et vous réveiller pour de vrai dans le monde physique si ça continue !

Blanche : *bout, fulmine, enrage* si ça peut m'épargner cette mascarade, ça ne peut qu'être tant mieux !

Georges : mais enfin voyons ! Qui va vous expliquer toute la procédure et vous enseigner toutes les subtilités, vous présenter les gens que vous rencontrerez ? Et puis- *mais déjà sa voix se perdait au loin tandis que la dragonne se sentait tirée vers le haut par un point à l'intérieur de son ventre. Elle avait l'étrange impression de n'être faite qu'en coton. Bon débarras, songea-t-elle en repensant à l'homme. Au moins elle devrait désormais être tranquille. Elle pouvait néanmoins sentir quelque chose de froids et humide sur sa patte et une consistance légèrement caoutchouteuse comme du champignon en dessous. Un léger vent chaud de printemps venait lui fouetter le museau et faisait gonfler ses ailes en glissent entre ses cornes et ses écailles. Elle entendait également une personne s'approchait d'elle. Enfin une bonne nouvelle ! Une douce voix emplit alors voluptueusement ses oreilles*

Khtälaq : princesse, tu baves...

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Auteur : blanche est la création de Kyubi34 , Khtälaq et Ragnarök sont la même personne (pratiquement, à quelques différences près)

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Blanche : je croyais que t'aimais pas les trésors, alors c'est quoi ce tas d'or qui en est indécent tant il déborde ? *pointe du doigt Khtälaq qui se trouve devant l'entrée d'une grotte où se trouve devant l'entrée d'une grotte où se trouve suffisamment d'or, de bijoux, de pierres précieuse, d'étoffes et autres frivolités de ce genre pour créer une tour Eiffel d'un luxe insolent rien qu'avec ce qu'il y a de visibles à la surface*

Khtälaq : *comme si ce n'était rien, hausse à peine les épaules* ça ? Juste deux-trois bricoles, rien de plus...

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Ishmak : t'es nouvelle ?

Blanche : *méprisant* bien sûr que non !

Ishmak : *malicieusement* pas besoin que je te le dise du coup... tu le sais déjà !

Blanche : peut-être pas suffisamment ancienne dans ce cas...

Ishmak : *rire* je me disais aussi !

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Queen : un dragon ?

Nouma : un crocodile ! Ce n'est pourtant pas compliquer par tous les dieux ! Un cro-co-dile !

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Royal : rien qu'à ton regard j'ai déjà compris ce que tu veux

Saaz : *grognement content*

Royal : c'est non !

Saaz : *gémissement plaintif, croise ses pattes sur son museau*

Royal : ah ! Tu as enfin reconnu ton m-

Dahaku : *passe un gros coup de langue à Royal, ce qui a pour effet de lui arracher la moitié des vêtements et de coiffer les cheveux de celui-ci à la verticale*

Royal : ... je hais ces foutues bestioles de merde de tous mon être...

Saaz : *mort de rire*

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Khtälaq : princesse, tu dors ?

Blanche : *grognement sourd et ensommeillé* qu'est-ce que tu veux encore ? Parce que oui, je dormais là !

Khtälaq : tu bouges dans ton sommeil

Blanche : ça me fait une belle jambe, et alors ?

Khtälaq : *recouvert par la dragonne, presque entièrement. Il n'a l'air de pouvoir bouger qu'à grand peines* et alors je ne suis pas ton lit, Blanche ! Vire de là !

Blanche : *avec suffisance* tu pourrais déjà t'estimer heureux de pouvoir me servir de matelas, franchement

Khtälaq : je crois que je vais vraiment finir par te mordre, princesse...

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Saaz : *en train de roupiller sur la table du conseil, une forêt touffue a peu à peu envahit le palais avec tout un écosystème complexe entre les plantes, les herbivore, les prédateurs, les prédateurs, les nécrophages, les champignons et autres micro-organisme. Il y a même une marre avec des tritons s'ébattant joyeusement, des têtards et une cistude se reposant sur une branche morte parmi les roseaux et les joncs. Il est même possible pour qui cherche bien de trouvés des bolets et autres champignons comestibles*

Royal : ... tout faire brûler ! Que l'on me donne une hache ! *s'agite frénétiquement*

Ardress : *le frappe sur le côté du cou, le faisant s'effondrer dans les vagues affres de l'inconscience. Elle le traîne ensuite à sa chambre (à Royal, pas de blagues), n'étant pas suffisamment motivée pour le porter* va dormir, ça te fera le plus grand bien...

Royal : *émet un chapelet de borborygmes incompréhensibles*

Ardress : oui, plus tard... pour le moment tu dors...

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Lucifer : ah, Aimée ! Tu tombes bien, est-ce que tu peux me donner le papier qui me permet de dissoudre les gens s'il te plaît ?

Sépharé : *air au bout du rouleau* pour la énième fois, je ne suis toujours pas Aimée... Bon sang, qu'est-ce que vous avez tous à me confondre avec ? On ne se ressemble même pas, je suis un peu plus petite et je n'ai pas les yeux violets. Et on s'habille pas du tout pareil !

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Auteur : la pomme de châtaigne ?

Despicable : tu ne vas pas encore recommencer avec cette connerie ! On en a soupé !

Auteur : je fais ce que je veux ! *tape misérablement le miroir avec un pot de compote à la pomme et à la châtaigne, ce qui as un effet assez peu notable sur celui-ci*

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Ishmak : dans le temps, les dragons régnaient sur les différentes peuplades qui ont pu exister ce monde

Blanche : *naïvement* et qui peut bien régner sur les dragons ?

Ishmak : *rire* attends, t'es vraiment absolument sérieuse là ? En tout cas, ton attitude explique très bien pourquoi tu es avec mon frère...

Blanche : on n'est pas ensemble !

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Blanche : faut que tu m'expliques...

Khtälaq : quoi donc princesse ?

Blanche : comment ça se fait que quand je t'ai rencontré tu étais tout chétif, tout petit et que tu détestait tout ce qui était précieux et que maintenant tu es bien plus grand et épais et que tu possèdes un des plus grand trésor qu'il ne m'ait jamais été permis de voir ?

Khtälaq : l'esprit de contradiction je suppose ?

Blanche : ça ne peut pas tout expliquer !

Khtälaq : et alors ? Qu'est-ce que tu veux que je te dise du coup ?

Blanche : donne-moi tout

Khtälaq : *léger mouvement de recul* euuh... Tu me fais peur là, princesse...

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Owen : ce n'est pas parce que tu es albinos comme moi que tu peux te la péter, j'étais dans les conneries avant toi !

Dahaku : *sous sa forme humanoïde* ben si tu veux le raton laveur... Ce n'est pas mon problème

Owen : je suis le seul yaourt !

Dahaku : non mais comme tu veux...

Owen : tu oses protester ? Mais que pourras-tu faire face aux pouvoirs des fruits ?! *brandit une papaye canonisée*

Dahaku : *prends une lente inspiration, émet un claquement de langue et souffle une flamme puissante qui enveloppe Owen et la papaye, les grillant à la perfection. Il se dégage alors une alléchante et agréable odeur de barbecue, de viande grillée et caramélisée*

Owen : ... Ok, tu craches du feu, c'est assez cool... Mais pas sympa, mec !

Dahaku : *rire* tu ne peux pas dire que je ne t'avais pas prévenus en tout cas !

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Ardress : *somnole sur l'appui de fenêtre d'un des couloirs du palais de Royal tout en regardant les gens s'affairer à l'extérieur*

Royal : *l'air particulièrement désappointé sous sa forme d'enfant. Il vient lui tirer le bras pour la tirée hors de sa rêverie et attirer son attention sur lui* hé, Ardress

Ardress : *tourne la tête et ouvre un œil avant de complètement gagatiser devant lui* oh ! T'es trop adorable, comme ça franchement !

Royal : *suspicieux* c'est quoi cette réaction à la con ?

Ardress : c'est juste que j'aie toujours voulue être mère

Royal : oui ben ce n'est pas mon problème, là j'ai besoin d'aide !

Ardress : qu'est-ce qu'il y a ? C'est rien de mal *rire amusé* non, mais sérieusement t'es jus trop adorable, j'en peux plus ! *lui fais un câlin*

Royal : *rugit de colère* lâche-moi immédiatement ! Tu n'es pas ma mère !

Ardress : *feint de manière absolument parfaite la tristesse, allant jusqu'à essuyer une larme* je le sais bien... Ce que tu peux être dur parfois...

Royal : t'arrête un peu ton cinéma ? J'ai besoin d'aide, je suis bloqué...

Ardress : ne t'inquiètes pas, j'avais prévu ce qu'il fallait faire si jamais cela venait à se produire...

Royal : *soulagé* je savais que je pouvais compter sur toi...

~plus tard~

Royal : *se retrouve dans une école maternelle, cernait par des gosses qui sont déjà de véritables truands sans foi ni lois, plus retors et malveillants les uns que les autres, et capable de facilement rivaliser physiquement avec lui* putain ! Ardress !

Professeur : *épuisé, il a beaucoup trop forcé sur le café. Le fait qu'il soit surmené l'a obligé à rogner sur son temps de sommeil, l'amenant au bord du burn-out* c'est son premier jour ?

Ardress : oui, il est donc un peu nerveux, du coup je vous prie de l'excuser... *elle lui offre un sourire gentil, vaguement charmeur et clairement amusé. Cependant, dans l'esprit de Royal, celui-ci est interprétable bomme empreint d'un sadisme pur. Elle tapote un peu la joue du roi des démons* ne t'en vais pas, je vais annuler tes rendez-vous pour la journée, et je m'occuperai de tout ton administratif, comme d'habitude

Royal : si tu me laisse ici, je te jure que tu vas le regretter...

Ardress : *elle se met à rire comme si il avait fait la meilleur blague de l'année* je te laisse ici, halfeün. Owen viendra te chercher avec ton goûté à la fin des classes. Alors essaie de sympathiser avec les autres, sois sage !

Royal : s'il te plaît, me laisse pas ici !

Ardress : *s'appuie nonchalamment* et si justement ça me plaît que tu restes ici ?

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Createur : *dors tranquillement*

Azafel : *lui verse un seau d'eau pleins de glaçons sur la tête*

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Nadi : *toute amusée, gratouille le ventre de la Faramine* t'es un bon dragon, toi ! T'es vraiment super gentille*

Faramine : *regarde Voydel d'un air affamé*

Voydel : *ne sait plus du tout où se mettre dans ses baskets* tu es sûre qu'on ne risque rien ?

Nadi : oh, tu sais, elle m'a déjà un peu mordu, mais rien de grave... C'était juste le bras, alors il a fini par repousser...

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Jézabel : décidemment, ça s'arrange pas pour toi dis donc...

Annabelle : *a encore plus de vouivres autour d'elle* tu sais, si ce n'était pas toi venait de dire ça à l'instant, tu aurais pris un coup de poing

Jézabel : je m'en doute... Au moins, elles ont l'air de bien t'aimer

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Neroshe : *entre comme une furie chez Jézabel* je veux immédiatement des excuses de la part de ta putain de gosse pour ce qu'elle m'a dit !

Jézabel : je ne peux pas m'occuper de toi maintenant, attends dehors.

Neroshe : *ricane* parce que tu as mieux à faire que de t'occuper de moi pour le moment peut-être ?

Jézabel : dans la mesure où je suis en train de faire attention au membre que je coupe pour pouvoir ligaturer correctement les artères et les veines afin d'éviter que mon patient ne meure d'hémorragie ou de septicémie, on peut d ire que oui, je suis réellement débordée...

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Auteur : le vrai pouvoir de Mahel ? Vous voulez absolument avoir un exemple de ce qu'elle est capable de faire ?

Lambda : hell yeah !

Auteur : bon, soit... Un sort parmi les plus basiques dans ce qu'elle a dans sa manche...

Mahel : *sans trop y penser, limite si elle y fait attention, une aura verte l'entoure et se propage au sol tandis que le sol se déchire, se crève et que des spectres, zombies et autres manifestations de morts ne commencent à en émerger et à entraîner Lambda dans les entrailles de la terre bien qu'il se débatte comme un beau diable en hurlant à l'aide. Lorsque tout à disparu, les crevasse disparaissent et la brume verte disparaît*

Auteur : ... On avait dit basique

Mahel : c'est ce que j'ai fait

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Neroshe : mais t'es complètement malade ? Pourquoi t'as fait ça ?

Narazeth : parce que ce n'est pas assez évident peut-être ? Il a tenté de me tuer !

Neroshe : et t'étais obligé de le brûler vif devant tout le monde ? Ça suffit, maintenant tu arrêtes tes conneries. T'es un vrai...

Narazeth : monstre ? Tu l'as déjà dit toi-même, pas besoin de te retenir, être ce que je suis c'est être un monstre. Je te dégoûte, avoue... Tu passes tout ton temps à m'esquiver sauf quand tu as besoin de moi !

Neroshe : ne m'oblige pas à te tuer...

Narazeth : enlève ton épée de ma gorge, tu n'auras pas le temps ni l'audace de l'enfoncer plus.

Neroshe : comment on a pu en arriver là ?

Narazeth : à partir du moment où tu as décidé à cause de ton ego d'accorder du crédit aux propos d'une gamine...

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Neroshe : j'imagine que si tu te montres, c'est que tu dois jubiler...

Mahel : je suppose que je devrais dire oui...

Neroshe : tu as gagné, je te le laisse.

Mahel : *soupire de lassitude* tu n'as décidemment toujours pas compris

Neroshe : de quoi ?

Mahel : à vrai dire, plusieurs chose, dont une qui me semble déjà essentielle. Avec toi, Narazeth est une femme, alors si tu pouvais arrêter de faire comme si c'était un homme...

Neroshe : c'est tout ? Merci de l'info mais ça m'aide pas, là. Alors je te prierai de bien vouloir dégager maintenant.

Mahel : quelle agressivité, c'est navrant. Je te signale que depuis que vous avez fait ce... Pacte ensemble, ton état, tes sentiments, ils peuvent l'affecter profondément en fonction de la force avec laquelle tu les ressens... Il faut voir comme une coupe sous une coupe et qui se remplit du trop-plein pour soulager... Ta frustration, ta peur, ta colère, c'est certainement plus toxique que l'argent sur Narazeth, et on ne peut pas soigner ce genre de choses

Neroshe : parce que je devrais me sentir coupable de ce soudain pétage de plombs ?

Mahel : en partie je suppose...

Neroshe : *grogne* autre chose ?

Mahel : oui, une dernière. Le fait de devenir un djinn n'est pas de perdre son humanité comme on le croit souvent, au contraire... C'est de faire de son pire défaut la plus puissante de ses forces...

Neroshe : si ce n'est que ça, les Hommes en sont également parfaitement capable...

Mahel : mais à la différence des djinns, les humains finissent inlassablement par mourir...

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Auteur : je vous avoue que je ne sais pas ce qui devrait me gêner le plus... Écrire ces conneries alors que je devrais bosser ou le cd de méthodes de langues espagnol que j'écoute alors que suis en train d'écrire les dites connerie ?

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Blanche : un jour, je dominerai le monde !

Khtälaq : *en train de somnoler, rouler en boule*

Vouivre : *ne fait que passait par là et regarde la dragonne s'esclaffer d'un rire machiavélique en piaillant et en battant des ailes*

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Syth : *a le regard emplis de mépris* ... Je peux savoir ce que tu comptais faire, espèce de sale petit vers de terre ?

Kanope : *cache une fiole en terre cuite pleine de poison, innocemment* moi ? Rien, pourquoi ?

Syth : te fous pas de moi, je vais te vider comme truite...

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Neroshe : libérez Cuba !

Lÿra : laisse-moi juste deviner... Tu es encore allé boire jusqu'à plus soif à l'œil dans un bar jusqu'à la fermeture ?

Neroshe : je ne suis pas bourré d'abord, je te ferais dire ! *si, elle l'est carrément*

Jézabel : *prends sur elle, soupire* je vais chercher Annabelle... C'est la troisième fois en moins d'une semaine...

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Narazeth : *se retrouve à [ville de votre convenance]* bon, c'est trop le foutoir, on y voit rien... *rase tout dans une immense explosion, ne laissant ni survivants ni bâtiments intacte* c'est tout de suite plus clair tout de même...

Tomorrow : espèce de grande tarée...

Narazeth : quoi ? C'est vrai !

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Despicable : j'y pense... Ça va faire un moment qu'on n'a pas eu du lycée...

Auteur : ce n'est pas faux... T'as raison, il faut y remédier au plus vite !

Despicable : ... J'ai creusé ma propre tombe !

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Royal : *se penche en arrière en râlant* j'ai trop la flemme pour bossé...

Ardress : *après avoir classé un nombre impressionnant de fiches, elle les tasse avant de les glisser dans une chemise qu'elle met dans le sac de Royal, et bien qu'il la fusille du regard, elle fait comme si de rien étais* ce n'est qu'une rédaction, je pense que même toi tu auras amplement le niveau pour t'en sortir

Royal : j'y pense ! T'es une sorte de secrétaire, a lors tu n'as qu'à la faire à ma place !

Ardress : en partant de ce principe, je n'ai le droit que d'écrire tes idées, alors je ne suis pas tenu de le faire à ta place

Royal : *boudeur* tu pourrais agir de manière sympa et m'aider de temps en temps...

Ardress : uniquement le jour un club sera fondé pour avoir ta peau, d'ici-là, niet.

Royal : tu devrais avoir honte de ne pas venir en aide aux gens dans le besoin

Ardress : *ricane* tu veux retourner en petite section ? Tu avais de t'y plaire, et puis c'était au niveau de tes compétences, imbécile

Royal : *grince des dents* tu le refais, je te crève les yeux.

Ardress : ne dis pas n'importe quoi, ce serait perdre inutilement du temps pour toi comme pour moi, et ça ne te défoulerai même pas

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Flamme : *est en cours de mathématiques, elle a le regard vide et vitreux comme si elle dormait éveillée. Elle se lève brusquement d'un seul coup et cours hors de la salle en hurlant* pourquoi je gâche toute ma belle jeunesse dans cet endroit si triste ? Je pourrais faire de choses bien plus intéressantes dehors !

Hermine : *un peu plus tard, la ramène en la traînant par le col* la prochaine fois que ça t'arrives, tu prends un verre d'eau, tu comptes dans ta tête et tu inspires calmement

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Elza : (forme III) au fait, je demandais un truc, parce qu'il y a un détail qui me chiffonne quand même

Annabelle : quoi ?

Elza : c'est quel genre d'école ici pour qu'on puisse avoir tout ce qu'il y a de proposé ?

Tomorrow : ben merde... Non, je n'y avais jamais réfléchit, mais maintenant que tu le dis...

Neroshe : *joue avec les ficelles du sweat de Narazeth* de moment qu'on l'a, on s'en fiche un en même temps, non ?

Aimée : dites, vous croyez que c'est détourné avec de l'argent détourné du coup ?

Nadi : *se pelant une mandarine* le mieux se serait d'aller voir dans ce cas...

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Lucifer : *tente de planquer la suite d'un manga dans la poche kangourou de son pull*

Narazeth : *juste derrière lui, il y a une légère odeur de brûler* repose ça ou je te fais expérimenter la gravité comme cobaye, tu vas pleurer des larmes de sang

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Nadi : *déambule dans les couloirs de l'établissement pas vraiment scolaire jusqu'à une aile particulière du complexe, celle du musée d'art. Devant l'entrée il y a un banc où semble attendre Voydel, un peu nerveux. Elle s'y assoit et lui prends la main* tu voulais me voir ?

Voydel : *il est carrément anxieux* oui...

Nadi : *inquiète* quelque chose ne va pas ?

Voydel : je crois qu'il faut qu'on discute... A propos de nous deux...

Nadi : *se trémousse, mal à l'aise* j'avoue que la manière dont tu entame cette conversation me fait un peu peur... Qu'est-ce que tu veux dire exactement par-là ?

Voydel : *lui caresse la joue avec un sourire amusé* non, ce n'est pas ce que tu crois. Ce que je veux dire en fait c'est qu'on ne sait pas tant de choses l'un sur l'autre, alors, pour mieux se connaître...

Nadi : *pousse un long soupir de soulagement* ne me fais pas ce genre de coup, j'ai l'impression que tu veux me tuer

Voydel : *rire amusé* d'accord, j'essaierais d'y penser la prochaine fois...

Nadi : *sourire* c'est ça, moque toi... Enfin bon, vas-y, commence... Je t'en prie

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Kuro : je me demandais... Tu n'as pas l'âge, alors qu'est-ce que tu fais dans lycée ?

Malware : c'est simple, je regarde les jeunes s'épanouir dans leur vie, les adolescents devenant adultes

Kuro : ah ouais ?

Malware : non en fait je viens ici juste parce que mon frère bosse ici, et comme c'est tranquille, j'en profite...

Kuro : donc t'as un frère... Je n'aurais pas cru, mais bon... C'est qui ? C'est Suffer ? Parce que si c'est lui vous vous ressemblez vachement, surtout au niveau du comportement et tout...

Malware : ah non, tu te méprends, mon frère c'est Pain

Kuro : le fou complètement taré, le sadique ambulant, le pion qui n'existe que pour faire le mal ?

Malware : ouais, c'est à peu près ça, tu l'as plutôt bien cerné... Beaucoup trop bien même...

Kuro : je n'ai pas de mérites, c'était vraiment super trop facile ! Il ne met même pas de cadenas à sa porte

Malware : parce que normal une serrure suffit...

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Owen : *à bout de nerf* mais tu vas exprimer quelque chose, merde ! Ou avoir une réaction un tant soit peu différente d'un ennuie profond ? *tente de taper Suffer qui le maintien facilement à distance en le tenant la tête*

Suffer : au lieu de t'épuiser à l'inutile, tu devrais plutôt penser à travailler ton orientation post-bac afin de ne pas finir comme un clochard à la rue sans espoir de sortie

Owen : ah ouais ? Et pourquoi tu es tout le temps sur mon dos et que tu ne dis rien Royal qui perturbe le cours à longueur de temps ? Ce n'est vraiment pas juste !

Suffer : parce qu'a priori pour toi il y a encore un peu d'espoir, lui on se demande juste combien de temps il va tenir

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Lucifer : *tient une pile de livre plus haute que lui. Il a un peu de mal à cause du poids, mais il avance bien que doucement*

Pergamim : *le vois, le pousse en bas de l'escalier*

Les livres : *tombe par terre, pêle-mêle, dans la terre, les flaques, la boue, les caniveaux. Ils se plient, se cornent, des couvertures s'arrachent*

Lucifer : *se relève, complètement hors de lui* non mais ça t'amuse peut-être ? T'es complètement malade ou quoi ? L'autre tarée de bibliothèque va encore péter un câble contre moi si elle apprend ce qui vient de se passer !

Narazeth : *derrière lui, glaciale à en fendre les pierres* l'autre quoi, espèce de petite merde de délinquants de mes deux ? *ça commence à sentir le barbecue*

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Createur : *a l'air perplexe, regarde son bureau* il me semblait pourtant que j'avais laissé des pommes ici... Tu ne les as pas vues ?

Terre : *avec une innocence parfaitement maitrisé* des pommes ? De quelles pommes tu pourrais bien parler ?

Createur : *soupire* c'est mon Abel et Caïn... Je pense que devrais te lancer par la fenêtre

Terre : *vexée* toujours aussi mesuré à ce que je vois

Createur : je sais parfaitement me montrer mesuré si j'en ai l'envie

Terre : prouve-le dans ce cas

Createur : dommage, j'en ai pas du tout envie *lance Terre par la fenêtre sans autre forme de procès. Elle finit sa course dans une fourmilière*

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Hona : *effondrée en larme, et prostrée sous sa table, certains tentent comme ils peuvent de la consoler tandis que les autres élèvent semblent plutôt mal à l'aise

Terre : *fusille le Createur du regard*

Createur : tu auras beau me regarder comme ça, je n'en ai rien à faire

Terre : ça t'arracherai la gueule de montrer un peu de compassion ?

Createur : pour quelle raison devrais-je faire ça ? Je lui juste demander de me citer trois pays d'Afriques, d'Asie et d'Amérique, soit neuf au total. Alors ça ne me parait vraiment pas si dur que ça, pour moi elle cherche juste à attirer l'attention de tout le monde, à perturber et à ralentir le cours parce qu'elle n'apprend rien.

Terre : sois un peu bienveillant

Createur : le monde ne va pas s'arrêter de tourner à chaque fois qu'elle sera en difficulté en signalant celle-ci par un gros panneau de "danger"

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Royal : *saute par la fenêtre*

Ardress : je ne sais pas si je dois rire ou pleurer...

Owen : on est au cinquième

Ardress : *avec un immense soulagement* alléluia !

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Asus : comment un fantôme peut être attaché par des menottes si il est immatériels ?

Auteur : je ne savais pas que tu avais ce genre de fantasme à ton âge...

Asus : *prends une teinte violette très prononcée* me fait pas dire ce que je n'ai pas dit, enfoiré !

Auteur : *ricane* d'accord, d'accord... Je t'avoue que je n'en sais rien, il vaudrait mieux demander à ta mère, ou à ton père... Je ne suis pas sûr de savoir...

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Royal : *saute de nouveau par la fenêtre, pour la quinzième fois en une heure*

Ardress : j'avoue, sa stupidité m'impressionne par moment, ça doit plus ou moins faire un saut toutes les quatre minutes...

Owen : *baille longuement* mais il faut dire que c'est tout de même assez lassant au bout d'un moment

Ardress : tu veux un peu de pop-corn ?

Owen : tu as l'air bien joyeuse...

Ardress : *rire* il faut dire que ce n'est pas tous les jours que l'on voit un documentaire en direct sur la méthode de suicide des lemmings...

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Aannar : les lampes à lave, je ne dis pas... c'est sympa, ça rajoute une petite touche très année 80 à la déco d'une pièce... C'est cool, mais pas quand c'est fait avec de la vraie lave !

Syth : oui, bon... Une fois que ça a refroidit, c'est un peu lourd à cause de la pierre, je l'admet

Aannar : seulement un peu selon toi ?

Syth : mais ça peut toujours servir !

Aannar : je vais te l'utiliser dans ta gueule, tu vas voir comment ça peut encore servir...

Syth : primo, JE le tiens dans MA main, secundo, essai et je te fais bouffer ton ego dans la lave, mais liquide ce coup-ci

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Blanche : pourquoi on est dans cette école pour saltimbanque ? Et surtout... Qu'est-ce que je fais dans ce corps de charognarde ?!

Khtälaq : mais parce que dans ce monde, les dragons peuvent passer d'une enveloppe à l'autre, et que même si tu es plus petite que la plupart d'entre nous, il n'empêche que ce lieu est sacrément contraignant à cause de sa taille, alors *réprime un bâillement en s'étirant* c'est tout de même plus pratique pour ici d'avoir cette taille quand même...

Blanche : *pas du tout convaincus* peut-être, mais j'aurais quand même pus faire entendre mon avis, et puis ils n'avaient qu'à construire plus grand !

Khtälaq : bah, c'est juste une question d'habitude

Blanche : j'ai quand même envie d'essayer un truc... *noue un bandeau autour de la tête de Khtälaq sans que ça ne change quoi que ce soit, il est toujours aussi mou et endormit* ... Dommage

Khtälaq : t'es pas toute seule dans ta tête, princesse...

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Royal : je viens de le remarquer, mais comment ça se fait qu'il y a de la musique en continue ici ? En plus elle est bien naze

Ardress : je ne vois pas ce que tu reproche à jamiroquaï. Et c'est la sonnerie. La politique de l'établissement c'est de laisser les élèves aller au cours qu'ils veulent quand ils le veulent

Royal : bah pourquoi j'ai un emploi du temps moi alors ?

Ardress : sans doute parce que tu n'as pas été jugé assez mature je suppose ?

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Eole : *fais un très long exposé sur le système féodal du 16ème siècle* voilà, j'ai finit

Prof : *se réveille brusquement* j'ai décroché à chocolatine

Eole : je n'ai pas dit chocolatine

Prof : bien sûr que si, tu l'as dit. Zéro, c'était trop chiant

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Lucifer : *les écouteurs enfoncé dans les oreilles, écoute la "danse des canards, rentre dans quelqu'un par inadvertance* putain ! Tu peux pas faire attention où tu vas- *tombe sur une Molhok passablement sur les nerfs et qui a l'air de n'attendre que quelque chose pour se défouler* ... C'est mon chant du cygne

Molhok : *se craque les phalanges* je ne te le fais pas dire, trou du cul

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Auteur : un peu de normal ça ne fait pas de mal !

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Eole : encore toi ?!

Nahi : *perplexe* on se connaît ?

Eole : ne fais pas genre ! Je n'ai pas oublié l'affront que tu m'as fait subir

Nahi : *panique* mais c'est la première fois que je te vois, je sais même pas comment tu t'appelles !

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Ishmak : *a une dispute de fratrie avec Khtälaq, du coup ça fuse, surtout en dialecte*

Blanche : *ne peut pas tout comprendre mais prends énormément de notes, parce que des deux côtés ça envoi plus de dossier gênants que jamais*

Khtälaq : *au bout d'un moment* je peux savoir ce que tu fais exactement, princesse ?

Blanche : *range prestement la plaquette avant de répondre de manière innocente* rien d'intéressant, pourquoi ?

Khtälaq : tu espionnes un peu trop facilement je trouve...

Blanche : tout de suites les grands mots, franchement...

Khtälaq : c'est ça, je te crois

Blanche : *avec suffisance* qu'est-ce que ça peut te faire de toute façon ?

Khtälaq : oh, rien, rien... Au fait, je voulais savoir, tu aimes toujours autant te prélasser dans les pièces d'or ?

Blanche : *si elle le pouvait, elle serait d'un magnifique rouge pivoine* comment tu peux savoir ça, toi ?!

Khtälaq : tu squattes ma grotte, je te ferais dire, princesse. C'eut été bizarre que je ne le remarque pas surtout...

Ishmak : *amusée* ooh ! Ça devient très intéressant là !

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Narazeth : les bars peuvent rouvrir !

Neroshe : et ?

Narazeth : *les yeux pleins d'étoiles* qu'est-ce qui te ferais envie ?

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Methi : *jette le contenue d'une bassine de vaccin sur Damiya en pleine rue*

Damiya : *est juste trempée de la tête aux pieds* ... Cours. Vite.

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Auteur : c'est peut-être moi, mais à chaque fois que je veux écrire "Methi", je n'écris que meth... Pourtant je ne prends pas de drogues, jamais !

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Despicable : t'avais pas un rp à organiser, toi ?

Auteur : moi ?

Auteur : ...

Auteur : *déni* je ne me rappelle pas non

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Prof : vous allez vous calmer ! On a un programme à respecter et à finir pour le bac !

Proviseur : *entre en coup de vent* mon petit, les épreuves sont annulées

Asus : *jette le prof par la fenêtre * CHIER !

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Nadi : *au-dessus d'un fleuve de lave en train de tresser ce qui semble être des fleurs séchés*

Voydel : *voit Eole qui passait par là, attrape délicatement le visage de Nadi qu'il tourne vers lui avant de l'embrasser tout autant de douceur*

Nadi : *fond contre lui, presque littéralement*

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Auteur : le premier qui critique George prend euuh... Une banane-grenade. Parce que George, il es gentil !

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Sépharé : Tomorrow ! *se jette dans les bras de Tomorrow*

Tomorrow : *rire* qu'est-ce qui se passe ?

Sépharé : dis, pourquoi les oranges portent le même nom que la couleur ?

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Malware : j'ai dit non

Shiro : *comme sa mère* s'il te plaît papa ?

Kuro : s'il te plaît ? *comme sa fille*

Malware : *inflexible* pas de grignotages après 20 heure.

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Nadi : *discute avec Crown et Astra de cinéma*

Saaz : *joue à chat perché avec Owen en faisant pousser des chênes*

Narazeth : *fais un concours de transformation avec Somorre avec Kamifae en arbitre*

Eole : *donne un cours de torture à Nahi qui semble plutôt intriguée*

Ardress : *ayant passé la nuit à travailler, elle a des cernes plutôt balèzes, et pique régulièrement du nez*

Royal : *à deux doigt d'éclater en sanglots parce que plus personne ne l'écoute et le respecte* ce n'est pas un peu finit ?

Saaz : *lui saute sur la tête avant de repartir tout aussi vite*

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Syth : ce qui est bizarre dans ton monde, c'est que c'est plein de neige et de dépressions...

Aannar : je dois le prendre comment ?

Syth : aussi bien que Kanope qui pleure accrochée à ton dos depuis tout à l'heure je suppose...

Aannar : *soupire* d'ailleurs, qu'est-ce que tu lui as fait pour qu'elle soit dans cet état ?

Syth : pour une fois, je n'y suis pour rien. Je lui ai juste demandé si elle voulait un peu d'aide parce qu'elle être lavée de ses péchés pour savoir ce que ça fait !

Aannar : et pour ce genre de chose, là tu l'aides...

Syth : *fin sourire* j'ai pourtant rien fait de spéciale...

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Le mot de la fin : 7180 MOTS !