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115 - Boyfriend

💀 WARNING : Ce chapitre contient de vives descriptions sexuelles qui peuvent choquer les plus jeunes. Vous êtes prévenus.

***

LOUIS (Miami, minuit passé, marchant sur la plage, pieds nus, en t-shirts et maillots de bain, pompette) : « Tu te souviens de la dernière fois où on est venus ? »

HARRY : « Quand, pour surfer ? »

LOUIS : « Non... Enfin, je parle aussi de ça, je suppose. J'avais oublié. » (revivant l'action) « Ouais, c'était aussi une expérience. Mais je parle de la dernière fois qu'on est venus ici avec eux, l'honneur qu'on leur a fait en étant présent, la fois où on a dormi sur la plage comme des bouffons et qu'on s'est réveillés avec les pets de Liam dans la tronche. »

HARRY (fait une grimace sous le souvenir) : « La seule fois où j'ai approuvé le fait que tu lui tordes le bras jusqu'à ce qu'il pleure. »

LOUIS : « C'est un peu de ma faute étant donné qu'on a dormi à la belle étoile. »

HARRY (bousculant Louis avec son épaule) : « Tu insinues qu'on ne le fera pas cette fois ? Je n'aime pas les tentes. Tout ce qui est bosse, chapiteau, n'est pas mon truc, que ce soit dans mon pantalon ou en- » (Louis le pousse en retour, Harry glousse) « C'était si nul ? »

LOUIS : « C'était... Nul à ta façon. »

HARRY : « Merde. »

LOUIS : « C'est bon de savoir que tu n'as pas changé. »

HARRY (éclaboussant l'eau avec ses pieds) : « Que je n'ai pas perdu mon mauvais sens de l'humour ? »

LOUIS : « Ta maladresse adorable. Je suis ravi de ne pas t'avoir rendu trop arrogant. »

HARRY : « Oh mais tu m'as rendu arrogant, tu sais. Mon ego a triplé de taille depuis que je t'ai rencontré. Mon corps peut à peine le contenir. »

LOUIS : « C'était trois fois trop petit alors c'est une bonne chose. Tu n'avais pas assez confiance en toi avant. »

HARRY : « J'avais des raisons de l'être. »

LOUIS : « Non. Tu étais bon à l'époque, comme tu l'es actuellement. Pas de raison. »

HARRY (rougit, évitant le sujet) : « De quoi est-ce que tu parlais, tout à l'heure ? »

LOUIS (regardant la mer, sourire serein sur les lèvres) : « A propos de ? Ton ego ? »

HARRY : « Du fait de venir ici. » (Louis lui envoie un regard confus) « La dernière fois ? Tu parlais de la dernière fois où on est venus et tu n'as pas fini ta phrase. »

LOUIS : « Oh, oh. Ouais, j'allais dire... » (sourit à ses pieds, ses doigts de pieds s'enfonçant dans le sable) « La dernière fois, j'ai dit – c'était tellement bête que j'aurais aimé ne pas m'en rappeler... » (rit de manière auto-dévalorisante) « Je disais beaucoup de conneries quand j'étais bourré, hm ? »

HARRY : « Surtout à moi... » (passe ses bras autour du corps de Louis par derrière, menton sur le haut de sa tête) « Tu m'envoyais des signaux contradictoires. »

LOUIS (se penchant contre lui) : « Pas vraiment. Ce qu'on dit quand on est bourrés est... la vérité vraie ou ouais, ce que les gens disent. »

HARRY : « Hmm. De quoi est-ce que tu te souvenais, à l'instant ? Quel mauvais flirt ? »

LOUIS : « Peut être que je ne devrais pas te le dire si tu ne t'en souviens pas. »

HARRY : « Je m'en souviens. Je me souviens de tout ce qui nous concerne. Je me demandais juste de quelle étape repoussante tu parlais. Il y en avait plusieurs. » (Louis roule des yeux, se détache pour marcher de nouveau sur la plage, Harry le suit, souriant en coin) « Tu parles du fait que Ed ait fait l'erreur de me laisser partir ? »

LOUIS : « Non, ça c'était un fait. Il l'a fait. Je suis content qu'il ait fait cette erreur. »

HARRY (affirmant) : « Je suis très demandé. »

LOUIS : « Oh s'il te plaît, quand tu m'as choisi face à Ed, tu as échangé un âne contre un cheval, un pégase même. »

HARRY (riant) : « Ed serait ravi d'entendre ça, j'en suis sûr. »

LOUIS : « Je lui dis tous les jours. »

HARRY : « Bien sûr, étant donné que tu lui envoies des messages tous les jours. » (le provoquant) « Ayant tellement soif d'attention. Sa petite groupie. »

LOUIS : « Soif ? » (crissement exagéré) « Moi ? Assoiffé ? Moi ? Louis Tomlinson, the Tommo, moi ? »

HARRY : « Le plus grand fan de Ed. »

LOUIS : « Mon gars, les gens font la queue pour être amis avec moi – Liam paye pour des tickets Disneys chaque jour pour pouvoir venir manger des frites Mcdo avec moi. Je suis très demandé. Tu es du Gucci en soldes par rapport à moi qui suis du Gucci de nouvelle collection. »

HARRY : « Dit celui qui n'a probablement jamais regardé un défilé Gucci. »

LOUIS : « Regardé un défilé ? Quel genre de clodo es-tu ? »

HARRY : « Celui qui porte du Gucci, Monsieur Adidas. Reviens me parler quand tu arrêteras de t'habiller comme un gamin. »

LOUIS : « Je suis un gamin. Je suis un gamin fier. Qu'est-ce que tu as contre les gamins ? Tu es trop bien pour nous maintenant ? »

HARRY : « Rien, rien. Ce sont de bonnes compagnies. »

LOUIS : « Qu'est-ce que c'est censé vouloir dire ? »

HARRY : « Ça veut dire que tu me fais me sentir mieux. Tu me mets en valeur. Un prince parmi les pauvres. »

LOUIS (faux rire) : « Oh oh oh, prince – prince ? Ok, twink. »

HARRY : « Dit le twink. »

LOUIS : « J'suis un thug, moi. »

HARRY : « Mais bien sûr, bien sûr. Tu disais ? »

LOUIS : « Je disais que les gens m'aiment. »

HARRY (roule des yeux) : « Avant ça. A l'origine. Avant même que tu ne parles de gamins, quand on a commencé cette conversation, de quoi est-ce que tu parlais ? »

LOUIS : « Eum... »

HARRY : « Allez ! La chose que tu as dite. Ce qui date et ce dont tu viens de te souvenir. »

LOUIS : « Je ne sais pas, on s'en fiche non ? »

HARRY : « J'y tiens. » (boude) « Je voulais savoir. »

LOUIS : « Ok, d'accord. Je parlais de, eum... » (léger rougissement) « Je parlais du fait que ce soit facile de sortir avec toi. Qu'il serait facile de sortir avec toi. » (soufflant) « Tu t'en souviens ? »

HARRY : « Ah. Ouais. Ouais, je m'en souviens. »

LOUIS : « J'avais raison. »

HARRY : « A propos du fait de sortir avec moi ? »

LOUIS : « Ouais. » (souriant en coin, balançant des coquillages dans les vagues en balbutiant) : « Ça l'est. C'est tellement facile. C'est si facile de t'aimer et d'être avec toi. C'est dingue. Ça me rend doux. Je ressens des petits picotements. Je me sens un peu étourdi. C'est... c'est... » (secouant la tête) « Je ne sais pas comment le dire sans tomber dans le cliché. »

HARRY (sourit à Louis, le ramène contre lui, embrasse son nez avec affection) : « C'est ça d'être amoureux. »

LOUIS : « Ouais, je suppose que ça l'est. » (sur la pointe de ses pieds, s'enfonçant légèrement dans le sable après chaque bécot sur les lèvres de Harry) « Je suppose que c'était ce que je loupais, hm ? »

HARRY (lui touchant le visage) : « Je ne crois pas que je puisse dire que ce n'est pas mon cas. Je crois que c'est tout aussi nouveau pour toi que pour moi. »

LOUIS (donnant un nouveau baiser rapide à Harry avant de se reculer et de se mettre à courir, les pieds faisant éclabousser les vagues autour de lui) : « Il faut qu'on continue comme ça. Super facile. Il faut qu'on soit sûrs que tout ça ne devienne pas quelque chose qui nous rende la vie difficile. »

HARRY (calme) : « Ne l'ai-je pas déjà fait ? »

LOUIS (se tournant vers lui) : « Comment ? »

HARRY : « Ne te mouille pas les jambes, bébé, sinon le sable va coller à ta peau. »

LOUIS : « Comment as-tu rendu ma vie difficile ? »

HARRY (hausse légèrement les épaules) : « Je ne sais pas. N'ai-je... N'ai-je pas été blessant ? Toute cette expérience, jusqu'à maintenant, jusqu'à ce qu'on tire les choses au clair... n'était-ce pas difficile ? Dur. Pour toi ? »

LOUIS (fronce les sourcils) : « Tu penses que c'est de ta faute ? »

HARRY (évitant tout regard, shootant dans le sable pour se distraire) : « J'en fais partie. »

LOUIS : « T'es sérieux ? J'étais dans le déni concernant mes sentiments envers toi pendant à peu près un an et tu veux te blâmer pour ça ? »

HARRY : « Tu avais une bonne raison. »

LOUIS : « Comme ? »

HARRY : « Tu sais. »

LOUIS : « Je le sais mais est-ce que toi, tu le sais ? »

HARRY : « Je n'en ai pas besoin. Je sais que tu le sais. Je sais que tu avais du mal avec quelque chose et c'est assez pour toi. Je n'ai pas à te blâmer si le fait de ne pas tirer les choses au clair t'a fait plus de mal que ça ne m'en a fait. Si tu ne pouvais pas le faire, c'était pour une bonne raison. »

LOUIS : « Tu ne peux pas me blâmer mais tu peux te blâmer toi même... »

HARRY : « Je... »

LOUIS : « Pour une chose sur laquelle tu n'avais aucun contrôle. »

HARRY : « Ce n'est pas ce que je suis en train de dire. »

LOUIS : « Tu peux te blâmer pour nous avoir laissé nous rapprocher alors que j'étais celui qui a emménagé dans ta chambre et n'en est jamais parti, et j'étais celui qui... » (guillemets avec ses doigts) « Avait besoin de câlins après ce livre idiot sur le cancer. Et j'ai demandé tes vêtements, je t'ai demandé des câlins et je t'ai réclamé de l'attention – j'ai tenu ta main en public et je t'ai laissé m'embrasser et me câliner la nuit. »

HARRY : « Louis, assez. »

LOUIS : « Non, non. Je pense qu'on doit passer par dessus ce problème que tu as construit dans ton esprit pour que tu sois bien au courant de qui a fait les premiers pas dans la relation et qui nous empêchait vraiment de devenir quelque chose et a rendu tout ça super difficile – et je ne parle pas des fois où on s'est touchés dans le noir et on a fait comme si ce n'était rien le lendemain matin. »

HARRY : « J'ai aussi fait des erreurs- »

LOUIS : « Comme ? »

HARRY : « Je... J'ai... » (secouant la tête, perdu) « Je t'ai poussé. »

LOUIS : « Vers le fait d'être gay ? Je ne crois pas. Vers le fait d'être quelqu'un que je ne voulais pas être ? » (secoue la tête) « La seule chose vers laquelle tu m'as poussée était le fait de prendre une décision pour que tu ne sois pas confus sur quoi faire avec moi. »

HARRY : « N'est-ce pas mal ? »

LOUIS : « L'aurais-je fait sans toi ? On aurait dit que j'étais bien trop content d'ignorer à quel point j'étais continuellement malheureux.»

HARRY : « Beau- »

LOUIS : « Beau, Beau, Beau. Ed, Ed, Ed. Hunter, Hunter, Hunter. Nick, Nick, Nick, tu sais que tu as le droit de flirter avec des gens quand tu es célibataire, pas vrai ? Tu étais célibataire. J'étais trop lâche pour faire un pas en avant alors tu étais célibataire et tout ça était juste bien que- » (grognement triste) « Bien que je t'ai fait culpabiliser à ce propos après, parce que je me sentais comme une merde. Ça m'a fait du mal, oui, mais je l'ai mérité. Je n'avais aucunement le droit de te garder rien que pour moi alors que je n'avais rien à t'offrir. »

HARRY (bouche bée) : « Mais je – je t'avais promis... »

LOUIS : « Je sais. Et je ne suis pas en train d'en parler pour dire qui a dit quoi, j'ai dit, tu as dit, je pensais, tu pensais. C'était trop dramatique, trop long, et rempli de trop de pleurs. Parce que c'est toi. Et moi. Et qu'on est tous les deux un peu foutus dans notre tête, si tu ne l'avais pas encore remarqué. Et on avait besoin de traverser beaucoup de hauts et de bas pour finir par être stables. Ce n'était pas une comédie romantique cliché. »

HARRY (sourire sur le côté) : « Mais ça a quand même un peu suivi le schéma de ce genre de film. Rencontre, amusements, jeux, mauvaises fêtes, soupçons, mauvais garçon, tentation... »

LOUIS : « C'était plutôt un script écrit par un gars défoncé, travaillant trop, payé à l'heure. » (Harry pouffe et hoche la tête) « Je te dis juste tout ça pour que tu arrêtes d'être fixé sur qui blâmer. Je comprends ça, on est heureux. On est putain de heureux et ça fait peur à ton petit maillot de bain jaune... Mais ce n'est pas une raison pour fouiller dans le passé et de bouder en y repensant. » (Harry plisse ses lèvres entre elles, prend une inspiration) « Tu n'es pas un méchant, Harry. Je ne sais pas pourquoi t'essayes de te faire passer pour quelqu'un de tel. Ce n'est pas ton style. »

HARRY : « Peut être que j'en avais marre de jouer au héros. Je l'ai aussi dit, ça, ce soir là, tu t'en souviens ? Jouer la carte du héros, tu disais. »

LOUIS : « Tu as dit qu'un héros ne se construisait pas en une seule journée. Je ne sais pas pour toi mais pour moi tu as l'air d'un putain de héros. Ou du moins d'un héros en devenir. »

HARRY : « Et toi ? Qu'est-ce que ça fait de toi ? »

LOUIS (sourit largement) : « Le protagoniste. »

HARRY : « Le protagoniste n'est-il pas censé être le héros de l'histoire ? »

LOUIS : « Mais merde, t'es mon prince sans nom qui vient délivrer Blanche Neige. T'as genre, zéro seconde à l'écran pendant que je suis en train d'évoluer et tout le bordel, de grandir en une meilleure personne. Je suis en train de devenir le papillon que j'étais destiné à être. Et tu es... eh, tu es là. »

HARRY : « J'ai des souvenirs différents sur ce film parce que.. hm... j'ai l'air de me souvenir du fait que je sauve ton petit cul bombé. »

LOUIS : « Ne me vole pas la vedette. Je suis celui qui suis sous les projecteurs pendant que tu cries 'Hey !' en arrière plan. »

HARRY : « S'teuplait, je me bats contre des sorcières – pendant que toi t'es allongé moitié mort, ce qui marche bien étant donné que tu dors toute la journée pendant que je me fais de l'argent. »

LOUIS : « Dormir toute la journée, n'était-ce pas... toi, il y a quelques jours ? »

HARRY (plisse les lèvres) : « Tu m'as surpris pendant mon temps libre. »

LOUIS (devenant plus sérieux) : « Quel était le but de tout ça, de toute façon ? »

HARRY (s'approchant de lui, le prenant dans ses bras, souriant) : « Je boudais. Comme tu l'as dit. A propos d'être sans scène, je suppose. Tu es là en train de changer et je n'ai même pas de temps à l'écran. » (moque une moue boudeuse) « Tous ces changements qui vont probablement... » (petit soupir) « Peut être... me rendre inutile. Tu n'auras pas vraiment de scène si la princesse n'a pas besoin d'être sauvée, pas vrai ? Si la princesse se sauve toute seule. »

LOUIS : « Tu te sauveras tout seul. Parce que je ne te sauverais pas. Je suis bien trop occupé pour cette merde. » (se détache encore, Harry essaye de le garder contre lui, Louis lui tire la langue, s'extirpe de ses bras) « Il faut qu'on se concentre tous les deux sur le fait d'aller mieux. C'est plus facile, je pense. Si je deviens meilleur pour moi et que tu deviens meilleur pour toi alors on sera tous les deux meilleurs et ensemble. Y a bien moins à organiser que si tu me sauvais, que je te sauvais pendant qu'on était ensemble, et qu'on finissait pas être sauvés tous les deux. Si tu veux que quelque chose soit fait, il vaut mieux que tu le fasses tout seul. »

HARRY (hoche la tête, subjugué) : « Mais j'aime bien te sauver. Ça me fait me sentir... Important. »

LOUIS : « Tu as d'autres qualités. Tu n'as pas besoin d'ajouter ''héros'' à la liste. » (plus timide) « Et bien, tu me sauves déjà bien assez en me montrant l'exemple. Tu m'inspires, être subtil est un de tes trucs. »

HARRY : « Je ne crois pas que j'étais subtil quand je t'appréciais... beaucoup. »

LOUIS : « Je crois que tu étais assez subtil pour moi. Je suis aveugle, souviens-toi. Je croyais que tu étais hétéro pendant la moitié de la saison... ce qui est énorme étant donné à quel point c'est ridicule. Tu es genre... » (secouant la tête, ayant l'image, souriant) « Je n'arrive pas à t'imaginer avec Eleanor. Ce serait trop drôle. »

HARRY : « Presque aussi drôle que de t'imaginer toi, avec elle. »

LOUIS : « Oh. Touché, Styles, touché. Tu n'as pas perdu tes répliques à la noix. »

HARRY : « Tu les gardes vivantes tout au fond de moi. »

LOUIS : « Je t'encourage trop à les sortir. Et maintenant que tu as Liam transpirant – c'est mon boulot. »

HARRY : « Il faut bien que quelqu'un parle et remette les gens à leur place, faisant la queue pendant que tu pointes et fais le paon et craques et fonds comme un glaçon à chaque fois que je te fais un sourire. »

LOUIS (bouche grande ouverte) : « Tu... Retires ce que tu viens de dire, espèce de – Je ne fais pas tout ça ! » (Harry rayonne, Louis le tacle dans le sable, l'écrasant, mains sur le t-shirt de Harry) « Retire ce que t'as dit – Je suis flippant, horrifiant, fort, grand, méchant- »

HARRY (entre deux rires, voix étouffée par les mains de Louis faisant semblant de frapper son visage et écrasant ses joues) : « 5'9. »

LOUIS : « Je mesure 5'9, je suis très intimidant, le leader du groupe. Les gens ont peur de moi. Je ne deviens pas tout doux et tout mou pour quiconque. »

HARRY : « Quiconque, vraiment ? Quiconque ? »

LOUIS (couvrant la bouche de Harry avec sa main) : « Retire ce que tu as dit. Ou je te tuerais et balancerais ton corps dans la mer. »

HARRY : « Les corps flottent- »

LOUIS : « Pas quand ils ont pris la grosse tête comme toi – depuis quand t'es coquin comme ça, espèce de loser. T'es juste un loser, tu sais ? Un loser bizarre, maladroit, étrange, avec des lèvres roses, des fossettes, des yeux stupides et une tête de grenouille attirante. Ça ne changera jamais. »

HARRY : « Les grenouilles mangent des petits poissons comme toi pour le petit déjeuner. » (riant, réussit enfin à retirer les mains de Louis de son visage) « Assez, s'il te plaît, tu as gagné. La grenouille abandonne. »

LOUIS : « Bien. » (place ses mains sur le sable de chaque côté de la tête de Harry, le regarde, les deux rouges après avoir rigolé si fort) « C'est bien, parce que c'est comme ça que ça doit être. Moi, toujours au dessus »

HARRY (séducteur) : « Je peux trouver d'autres moyens pour que tu sois au dessus, tu sais ? »

LOUIS (comprenant, sexy) : « Ah ouais ? Tu as quelques idées pour moi ? »

HARRY (baisse les yeux sur leurs corps, les fesses de Louis sur son entrejambe, place ses mains sur les hanches de Louis) : « Celle ci, par exemple. »

LOUIS (donne un seul coup en avant, bougeant ses fesses sur l'entrejambe grossissante de Harry) : « Hm, c'est pas une mauvaise idée, Styles. » (chuchotant exprès) « J'aime quand c'est visible. » (les yeux de Harry sont vifs sous l'excitation) « ... Hm... » (se baisse pour embrasser le côté des lèvres de Harry) « Quelque chose de risqué. » (trace un chemin de baisers le long de la mâchoire de Harry jusqu'à son cou) « Quelque chose qui peut facilement être interrompu par les autres. » (Harry bouge légèrement en dessous de lui, penche la tête pour que son cou soit plus ouvert aux baisers) « Les autres qui sont sur la plage, dormant dans leurs tentes, n'ayant aucune idée de ce qui est en train de se passer ici.. » (suçant le cou de Harry) « De ce que je peux te faire... » (Harry gémit) « De ce que je vais te faire. »

HARRY (rauque) : « Qu'est-ce que tu vas faire ? »

LOUIS : « Devine, bébé. »

HARRY (grogne) : « 'Peux pas. Il y a une infinité de possibilités différentes. »

LOUIS (touche les lèvres de Harry avec les siennes, Harry ouvre la bouche, Louis l'ignore, mord légèrement la lèvre inférieure de Louis, la relâche) : « Oh, une infinité ? »

HARRY (les yeux se fermant) : « Ça peut être n'importe quoi. »

LOUIS : « N'importe quoi, hm ? »

HARRY : « Tu peux me faire n'importe quoi. »

LOUIS : « J'ai beaucoup de pouvoir. Je vais en abuser et devenir fou. »

HARRY : « Je ne vois pas ce qu'il y a de mal là dedans. »

LOUIS (se rassoit sur Harry, le regardant, souriant en coin) : « Je suis un honnête.homme » (soulève le t-shirt de Harry jusqu'à ses aisselles, la respiration de Harry se saccade) « L'honnêteté, n'est-ce pas ce que tu aimes ? » (fait courir un doigt le long du torse de Harry jusqu'à son ventre, s'arrête à l'élastique de son maillot de bain) « N'est-ce pas ce qui te rend tout excité ? »

HARRY (bourru, donnant un seul coup de bassin vers Louis) : « Je ne sais pas, peut être qu'il serait utile de vérifier si je le suis ou non. » (suçant sa lèvre inférieure) « Excité, je veux dire. »

LOUIS : « Je devrais te rendre la pareille. » (bouge en arrière vers l'entrejambe de Harry, trace le contour de sa bosse) « C'est juste, je pense. »

HARRY (gémit) : « Très – très juste. »

LOUIS (l'agrippe par dessus son maillot de bain) : « C'est bien ce que je me disais. » (ses doigts s'approchent plus de l'élastique, passe une main) « On devrait jouer à 'qui l'a mieux fait'. »

HARRY (yeux clos, rire étouffé) : « Tu as déjà gagné. »

LOUIS (sourcils arqués) : « Ah oui ? » (ses doigts se glissent vers l'intérieur, effleurent le bout de Harry) « C'est tout ce que ça prend ? »

HARRY : « Tes yeux... » (souffle plus lourd) « Sont tout ce qu'il me faut. La façon dont tu me regardes. » (Louis passe sa main entière dans le maillot de bain, Harry se tend) « Dont tu m'embrasses... » (Louis fredonne, l'agrippant comme il se doit) « Tu pourrais ne rien faire et je serais comme ça pour toi. »

LOUIS (coquin) : « Tu es facile. » (glisse sa main une fois le long de son sexe, étalant le liquide pré-éjaculatoire, Harry gigote sur le sable, bougeant encore pour plus de contact) « Comment vais-je pouvoir m'améliorer si tu ne me pousses pas ? » (touchant la fente avec son index, le mouillant) « Comment vais-je pouvoir apprendre de nouvelles choses si elles ne sont pas nécessaires ? »

HARRY (souriant) : « Tu deviens coquin, hm ? »

LOUIS : « Je crois que tu es celui qui est coquin. Littéralement. » (Harry pouffe, insouciant, Louis fait glisser son doigt sur la longueur de Harry jusqu'à ce qu'il atteigne ses testicules, Harry se cambre sur le sable) « Je serais plus que partant pour t'impressionner. »

HARRY (haletant, appâté) : « Tu ne saurais pas quoi faire avec ça, mon petit garçon. »

LOUIS : « Ah, vraiment ? » (son doigt touche légèrement l'entrée de Harry, tournant, Harry se mord pour ne pas gémir) « Ça, juste là ? » (enfonce mais pas assez pour pénétrer) « Je ne saurais pas comment faire parce que je suis très hétéro, n'est-ce pas ? » (Harry chuchote 'encore') « Parce que je n'ai jamais vu ce genre de choses ? »

HARRY (lèvres plissées, parlant à peine) : « Et – Bien. Non- » (Louis enfonce de nouveau jusqu'à presque entrer cette fois, Harry gémit son nom) « Pas d'expérience. »

LOUIS : « Je pense... » (retire totalement sa main, le maillot de bain de Harry contenant une grande bosse, mouillé) « Corrige moi si je me trompe mais... » (sa main s'enroule autour des cuisses de Harry, attire Harry contre lui pour que les fesses de Harry rencontrent sa propre érection) « Je crois que ça fonctionne comme ça, pas vrai ? »

HARRY (baisse les yeux vers l'endroit où leurs corps sont attachés, excité mais surpris) : « Tu n'aurais pas les couilles. »

LOUIS : « Non ? » (s'abaisse, entre les jambes de Harry, roule des hanches contre Harry pendant qu'il l'embrasse) « Je n'ai pas les couilles ? Tu ne les sens pas, là ? Contre ton petit cul ? » (mordant le cou de Harry) « Ne t'en fais pas. Tu les sentiras bien assez quand je serais enfoncé en toi jusqu'à en toucher ton nombril. »

HARRY (haletant vraiment) : « On a pas... » (perd le fil de ses pensées alors que Louis embrasse ses clavicules et remuant légèrement les hanches, les deux toujours en boxers) « On... » (gémit) « Dehors. Sable- » (grogne quand Louis pose sa bouche sur un de ses tétons) « Lou... »

LOUIS : « Tout ce que j'entends sont des excuses. » (léchant la partie sensible) « La mer, le sable, les gens, le lit, les vêtements... » (lève les yeux vers Harry qui est transpirant et rouge) « Je croyais que tu aimais faire ça dehors. Mais maintenant, Princesse veut des conditions parfaites ? » (Harry gémit, secoue la tête, remuant son corps contre celui de Louis) « Des draps de satin, trois matelas et du champagne ? »

HARRY (chuchotant) : « Non, non, mais... »

LOUIS : « Mais ? »

HARRY : « Préservatifs ? »

LOUIS (fronce légèrement les sourcils) : « Je suis propre, sain – tu l'es aussi. »

HARRY (léger rire) : « Ce n'est pas à propos de ça- » (Louis penche la tête sur le côté) « Lubrifiant ? »

LOUIS : « Lubrifiant ? »

HARRY : « Ça fait partie du processus. »

LOUIS (boude davantage) : « Ouais ? »

HARRY : « Viens là. » (Louis bouge pour l'embrasser de nouveau, Harry entoure son corps de ses bras et de ses jambes alors qu'ils se mettent tous les deux à l'aise, se détache, Louis boudant toujours) « Ça fait des mois que je ne l'ai pas fait et... ça prend un peu de temps la première fois. Ce n'est pas aussi simple que le sexe avec une fille. On a au moins besoin de lubrifiant, ou bien ce sera douloureux. »

LOUIS (geint, cache sa tête dans le cou de Harry, donne quelques coups de bassin pour que leurs érections se frottent l'une contre l'autre) : « Mais j'en ai envie. »

HARRY : « Je sais. » (Louis suce son lobe, Harry grogne) « Je le veux aussi, terriblement, tu n'as pas idée... Mais patience. Il faut qu'on le fasse bien. »

LOUIS (chuchotant) : « Non, j'en ai besoin maintenant... » (se met totalement au dessus de lui) « Je suis tellement dur. Je te veux maintenant. Je veux être à l'intérieur. Je veux te sentir. »

HARRY : « Oh, mon pauvre bébé. » (griffant monotonement le dos de Louis) « Tu veux jouir ? » (Louis hoche la tête) « Il y a une chose qu'on pourrait faire. »

LOUIS (levant la tête) : « Ouais ? »

HARRY(souriant en coin) : « Tu te souviens de ce que disait Ed ? » (Louis réfléchit une seconde avant de sourire largement) « Tu veux essayer ça ? »

LOUIS (tremblant sous l'excitation, hochant vigoureusement la tête) : « Oui, maintenant, comment... Oui. »

HARRY (étire ses doigts, ses paumes face à Louis) : « Donne moi tes mains. » (Louis place ses mains sur celles de Harry, Harry les amène contre sa bouche, en embrassant le dos, joueur) « J'ai de plus grandes mains, je crois que je devrais le faire. »

LOUIS (retire brusquement ses mains) : « Non, moi. » (baisse les yeux sur leurs entrejambes, puis de nouveau vers Harry, souriant largement) « Comment ? Montre moi. Je veux le faire maintenant. »

HARRY (sourit largement en retour) : « Il faut qu'on se débarrasse de tout ça avant. »

LOUIS (saute sur ses pieds, s'extirpe de son maillot en quelques secondes, tombant presque, sans hésitation ni honte) : « Et après ? »

HARRY (toujours sur le sable, regardant Louis de haut en bas sous le choc, clignant des yeux devant son entrejambe exposée) : « O-ok, wow, c'est – tu... vraiment ? »

LOUIS : « A ton tour. » (s'agenouille sur le sable entre les jambes de Harry, commençant à tirer sur son maillot avec impatience) « Allez, enlève ça. »

HARRY (s'en remettant à peine, riant alors qu'il cambre le dos pour que Louis puisse retirer son maillot de bain) : « Petit nugget excité. »

LOUIS (balance son maillot sur le côté, tous les deux fesses nues, Louis regarde Harry avec des yeux interrogateurs et plein de désir, chuchotant) : « Et maintenant ? »

HARRY : « Devine. » (devenant plus à l'aise dans le sable, regardant Louis s'approcher entre ses jambes, alignant lentement leurs longueurs) « Bon garçon. Utilise tes mains. »

LOUIS (entoure leurs deux longueurs de ses doigts) : « Comme ça ? » (Harry bat dans sa main, Louis le sent, frémit, jure à voix basse) « Bordel, c'est génial. On est à peu près de la même taille, peut être que tu n'es pas si gros après tout. »

HARRY (rire étouffé, bougeant les hanches pour se retirer et se remettre entre les doigts de Louis) : « C'est bon, pas vrai ? » (grogne le prénom de Louis) « Le cadeau de Ed au monde. »

LOUIS (resserre sa main pour qu'ils se touchent de partout, créant plus de friction alors que Harry bouge) « C'est – C'est... » (secoue la tête, ne pouvant détachés les yeux de leurs deux membres durs) « Ça, on le fera tout le temps. » (regarde sérieusement Harry) « Tout le temps. »

HARRY (autre gloussement) : « Crache. »

LOUIS : « Où ? »

HARRY : « Sur nous. Crache, pour que ce soit bien glissant. » (Louis fait une grimace) « Tu as peur d'être sale, tout d'un coup ? Je suis presque sûr que j'ai du sable dans le cul. » (Louis roule des yeux, recueille un peu de crachat dans sa bouche, gonflant les joues, regardant Harry, à nouveau) « Oui, comme ça. Promis. » (hoche la tête, laisse lentement couler sa salive sur les deux érections, toujours bien serrées dans son poing) « Étale tout. » (mime d'un geste de la main dans le vide) « Comme ça. »

LOUIS (hoche de nouveau la tête, bouge sa main de haut en bas, la salive adoucissant le processus) : « Bordel – ok. Ouais ? Comme ça ? » (Harry gémit, hoche la tête) « Plus vite ? »

HARRY : « Tu décides du rythme. C'est toi qui guide, ouais ? Ce qui est bon pour toi sera bon pour moi. »

LOUIS (devenant de plus en plus excité) : « Fais attention. »

HARRY : « Quoi ? »

LOUIS : « Fais attention – A la fin. Tu es bon pour ça. Ne jouis pas avant moi. Attends pour qu'on le fasse ensemble. »

HARRY : « Ta main ne sera-t-elle pas trop sale ? »

LOUIS : « Tais toi, Styles, ou je la ferais glisser ailleurs, cette main. »

HARRY (riant) : « Amuse toi bien maintenant parce que- » (Louis serre ses doigts, Harry s'étouffe avec ses mots, Louis sourit davantage) « Parce que la prochaine fois, tu ne seras pas capable de retirer mon visage de dans ton cul pendant des heures. » (Louis gémit, durcit davantage, ils le sentent tous les deux, bougeant plus rapidement les hanches, faisant moins attention) « Profite bien de ton moment de pouvoir. »

LOUIS : « De grands mots pour quelqu'un à deux doigts d'envoyer la sauce dans ma main. »

HARRY (tête jetée en arrière, yeux clos) : « Tu as juste de la chance que je... Oh... Que je tienne au sommeil des autres. Je ne veux pas que tes cris, ah, ne les réveillent. »

LOUIS (se mordant la lèvre, ayant du mal à former des phrases) : « On verra qui va crier maintenant. »

HARRY : « Je ne suis même pas à deux doigts, bébé. »

LOUIS : « Ouais ? » (retire sa main et érection pour se reculer assez pour s'abaisser et placer ses lèvres autour de l'extrémité de Harry, Harry glapit sous la surprise, ouvrant les yeux, Louis se retire avec un sourire en coin, crache de nouveau sur le membre de Harry) « Oh, ne te fais pas d'idées. » (joueur) « Je rends juste le tout glissant, comme tu l'as dit. »

HARRY (secouant la tête, large sourire sur son visage) : « Merde... »

LOUIS (se positionne de nouveau sexe contre sexe) : « Quoi ? »

HARRY : « Je t'aime. Et je sens que t'aimer va vraiment être amusant. »


FIN DE LA SIXIEME SAGA

***

QUESTION DU CHAPITRE : Larry ont l'air de tenir le coup et d'être forts alors pourquoi y-a-t-il une autre saga ? Quels bouts ont besoin de se joindre dans leur relation et dans leurs vies privées ?

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