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Texte 6

Plumtache

La grande discussion de la literie et des autres membres de la chambre

La porte fermée et la maison entièrement vide, ce n'est que dans ces moments-là que l'on entend bruire la chambre de l'étranger.
A chaque fois, ce sont des débats endiablés qui sont lancés, des histoires abracadabrantesques qui sont racontées, des points de vues qui sont expliqués.
Et grâce à moi, bibliothèque de métier et de mon ami, vous en avez sous les yeux un extrait.

Remettons donc la situation dans son contexte, cette fois, à ma grande surprise, la lampe de chevet s'est jointe au débat. Débat qui n'en était pas vraiment un étant donné étant donné que tout le monde était du même avis. Ils voulaient tous voir partir l'étranger.

- "C'est une horreur ! Une injure ! cria le lit. Nous ne pouvons supporter plus longtemps ce traitement ! Vous vous rendez compte ? ! Je suis un canapé-lit ! Et cette immonde créature humaine ne me remet jamais dans ma forme première ! Mes muscles fondent et je ne tiens plus debout et j'ai pris du poids. Regardez mon matelas ! Il n'a jamais été autant rebondi ! Qu'est-ce que dirais ma pauvre propriétaire si elle me voyait ....

- Mais arrête donc de geindre, tu n'es pas le plus à plaindre, gémit la couverture. Rendez-vous compte ... Chaque soir, je suis maltraitée, malmenée ! Vous vous souvenez quand il s'en voulait d'avoir brisée une amitié par sa stupidité ? Qui est-ce qui a pris ? C'est bibi. Il m'a tordu, plié, menacé de me déchirer. Heureusement grand dieu, il n'en a rien fait."

La suite était attendue par tout le monde et la tension était palpable dans la petite pièce, heureusement, la suite ne se fit pas attendre.

- "Et le jour où il a menacé de tout plaquer et où il a pleuré ? Mon dieu, il était ridicule ! Tout ça car sa meilleure amie le fuyais, que son amour a menacé de l'abandonner qu'une de ses amies c'est barré à jamais et qu'il regrettait une dispute avec un ami qui, au fond, lui était cher !"

La chambre entière riaient, se moquant ouvertement de l'hôte bien faible qu'elle accueillait.

- "Et nous ? dirent simultanément les oreillers. Chaque après- midis, il nous empile, nous jette au sol, nous écrase de son poids et jamais il ne nous retape ! Nous restons atrophiés ... Et chaque nuit nous supportons ses cheveux sales et son dos en sueurs. Et nous supportons de nous faire tordre par ses petites mains quand il fait des cauchemars et de supporter ses crises de colère contre lui-même. Et ..."

Une petite voix l'interrompis soudainement. Elle était faible, déformée et pourtant, le silence se fit immédiatement quand elle résonna. C'était la lampe de chevet qui, pour une fois, parlait.

- "Hum hum, en effet, vos problèmes sont bien tristes. Mais à moi maintenant de témoigner. Lorsqu'il est arrivé, il m'a royalement ignoré, j'en ai tellement souffert ... Donc j'étais tellement heureuse quand pour la première fois il m'a regardé ! Mais ... Mais c'était pour me débrancher ..."

Tout le monde était indigné, horrifié par cette annonce ... Mais la lampe continua, des larmes de poules coulant le long de son ampoule.

- "Et ... Et ... Et chaque soir je suis violentée ... Mon pied est arraché ! Au ... Au profit d'un téléphone insignifiant ... L'étranger. Il s'en sert pour communiquer avec ses amis. Pour les aider selon lui. Mais moi ... Je n'y crois pas. Il est inutile à cet univers, il ne fait rien de bien, même écrire il n'y arrive pas ! La preuve en est de ce cahier poser sur le bureau. Il est rempli de textes, de poèmes tous plus nuls les uns que les autres. Alors aider les gens ? Vous n'y pensez pas. Personne ne l'aime, ses amis l'ignorent, sa famille à dis être heureuse de se débarrasser de lui pour trois longs mois. Alors bon !

Et le débat a continué, en changeant peu à peu de sujet. Il fut évoqué le bazar qui régnait dans la pièce, le bureau qui jamais n'étais utilisés, la paire de chaussettes qui, par on ne sait quel moyen, c'est retrouvé sur l'abat-jour et les papiers couverts de texte et de dessins laisser à l'abandon de çà et là. Il fut prolongé par l'évocation des jours passés, mais rien qui puisse vous intéresser. Nous terminons donc notre histoire ici, par une phrase marquante prononcée par la porte juste avant le retour de l'étranger : "C'est français vraiment ... Aucun respect pour le mobilier allemand".

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