Chào các bạn! Vì nhiều lý do từ nay Truyen2U chính thức đổi tên là Truyen247.Pro. Mong các bạn tiếp tục ủng hộ truy cập tên miền mới này nhé! Mãi yêu... ♥

Surprise !

Bonjour tout le monde ! Comme son nom l'indique, ce chapitre est une petite surprise pour vous chers lecteurs ou participants du Concours ! Je me suis moi-même confrontée au thème du concours et voici ce que j'ai réalisé : (cela vous fera patienter jusqu'à demain, jour d'ouverture des votes) Bien sûr, ma nouvelle est hors compétition. :)

Assise à l'ombre d'un vieux saule, la jeune fille admirait distraitement les mouvements de balancement des branches légères. Les bruissements de la brise fraiche dans les feuilles de l'arbre lui procurait un calme et une sérénité dont elle adorait les effets. Ses doigts entremêlés aux brins d'herbe tendre et la tête reposée contre le tronc du saule, la jeune fille profitait de cette lourde journée d'été. Se laissant bercer par le chant duveteux des oiseaux, la jeune fille détaillait chaque parcelle qui entourait la demeure familiale des Westfield. La couleur verdoyante des collines du comté la charmait depuis sa plus tendre enfance mais seul le souvenir de la réprimande de sa mère au sujet de sa robe tachée par la pelouse l'inquiétait. En effet, cette dernière accordait beaucoup d'importance à l'apparence de sa fille, surtout que celle-ci allait, à l'époque, devoir épouser le riche Duc de Westfield.

    Enfin... Pour le moment, la jeune fille préférait rester totalement absorbée par les paysages de son Somerset natal. Pour sûr, la jeune anglaise voulait à tout prix éviter le sujet de son mariage   avec un homme aigri et imbu de sa personne pour qui les femmes n'étaient qu'un moyen de perpétuer le nom d'une famille. Il s'était d'ailleurs empressé d'ajouter qu'il n'acceptait ce mariage avec une fille d'une classe inférieure à la sienne, que par amitié pour le père de la jeune fille. À présent que cette dernière était mariée à lui, elle ne pouvait s'empêcher de repenser à sa vie d'avant, et en particulier à Daniel... Daniel et ses yeux d'un bleu semblable à un ciel de printemps nuageux... Daniel et ses magnifiques cheveux bruns aux légers reflets dorés...

    La jeune fille se souvenait aisément de sa première rencontre avec le jeune homme : elle s'apprêtait ce jour-là à sceller son cheval à l'écurie quand elle avait aperçu ce beau garçon brosser la robe ébène de son étalon préféré. Il s'était tout d'abord excusé avant de se présenter comme le nouveau palefrenier du domaine des parents de la jeune fille. Ainsi avait commencé leur histoire, d'un simple regard, d'une simple excuse, d'un simple mot, d'un simple instant... Au début, les deux jeunes gens se saluaient simplement jusqu'à commencer à se voir chaque jours pour enfin réussir à se parler. Au fur et à mesure des jours, les deux jeunes adolescents se rapprochaient un peu plus l'un de l'autre, admiraient les qualités et les défauts de chacun, et se racontaient même leur quotidien. De là avait commencé leur relation, et maintenant que la jeune fille y repensait, elle regrettait atrocement ce temps-là.

    Mais le plus insurmontable pour elle était le moment où elle avait annoncé à Daniel qu'elle devait épouser le Duc de Westfield. Elle revoyait encore ses yeux d'habitude si joyeux perdre soudainement leur étincelle ainsi que ses jolis traits se fermer. Daniel n'avait pas prononcé un seul mot après la déclaration qui avait déchiré le coeur de la jeune femme, ce qui laissa assez de temps à cette dernière pour s'enfuir de l'écurie sous les hennissements légers des chevaux, le visage déchiré par les sanglots.

    Il lui arrivait parfois de repenser à la sensation de sa main légèrement rugueuse sur sa joue, de ses lèvres délicates sur les siennes et à sa prise, ferme mais néanmoins douce, autour de sa taille. Tous ces instants avec celui qu'elle aimait lui manquait. Sa présence lui manquait, tout son être lui manquait. Ne plus entendre son rire mélodieux la torturait, ne plus apercevoir son sourire malicieux lors de leurs enfantillages l'attristait, ne plus sentir l'effleurement de ses doigts contre les siens la désespérait et ne plus entendre ces trois petits mots glissant de ses lèvres charnues l'assourdissait.

    Seulement, la jeune fille avait toujours su que sa famille n'accepterait jamais qu'elle aime un simple garçon d'écurie, la prédestinant depuis sa naissance à épouser un Duc. Elle n'avait pas eu le choix, elle avait dû épouser le Duc de Westfield, la fortune de la famille diminuant un peu plus chaque jour. Voilà à quoi elle en était réduite...

    L'anglaise se leva délicatement de la pelouse et se dirigea vers le manoir d'un pas lent et résigné, non sans jeter un dernier regard vers la plaine émeraude avant d'entrer dans la vieille bâtisse en pierre. Les couloirs étaient, comme à leur habitude, ornés de portraits du Duc. Le regard hautain, la posture fière et la garde-robe fastueuse, cet homme était l'incarnation même de l'arrogance. Chaque fois qu'elle le voyait, la jeune femme ne pouvait empêcher un haut le coeur de faire son apparition dans sa poitrine. Sa vie allait être celle-ci désormais : obéir à son mari, faire bonne figure devant les invités de leur repas, mourir d'ennui chaque jour qui passerait et élever les enfants qu'elle aurait probablement... Elle cessa immédiatement d'y penser. Elle n'avait que seize ans, elle était trop jeune pour devenir mère ! Mais, il faudrait certainement qu'elle le soit un jour ou l'autre, ses parents n'attendant que cela pour consolider son union à la riche famille Westfield.

    Elle ouvrit la porte de sa chambre. Le Duc n'avait pas encore exigé partager la même chambre que sa femme mais il ne saurait attendre plus longtemps. Elle dirigea ensuite son regard sur la fenêtre qui la reliait au monde extérieur. Une étrange silhouette se tenait devant. Elle était persuadée de la connaître : ces épaules carrées encadrées par une simple chemise de lin, ces longues jambes habillées d'un pantalon noir ample et ces cheveux hirsutes. Ce ne pouvait être lui ! Comment avait-il fait pour arriver jusqu'ici ? Soudain, le jeune homme se retourna.

    — Daniel ?

    — Qui d'autre ?

    Sous le choc, la jeune fille referma précipitamment la porte, de peur qu'une domestique ne passe et ne s'aperçoive ainsi qu'un autre homme que son mari se tenait dans la chambre. Daniel n'avait pas changé, son visage toujours aussi gracieux et sa voix aussi suave que la dernière fois. Elle sondait son regard mais n'y percevait plus aucune once d'amertume, à sa grande surprise. Était-il venu lui annoncer qu'il en aimait une autre ?

    — Que viens-tu faire ici Daniel ? demanda-t-elle un peu plus durement qu'elle ne l'aurait voulu.

    — Je suis là pour toi Rosella, annonça-t-il ne perdant pas une seconde son assurance naturelle.

    Il lui sourit. Il avait rêvé de la revoir depuis le moment où elle avait quitté l'écurie, en larmes, après lui avoir annoncé ses fiançailles. Son doux visage était inlassablement encadré par ses boucles anglaises qui rayonnaient comme au premier jour tandis que son regard bleu montrait toujours autant de curiosité. Il admirait à présent sa tenue de femme mariée, constituée d'une robe immaculée à la forme évasée, son corset mettant en valeur sa taille fine et ses gracieuses épaules légèrement dénudées. Elle restait magnifique en toute circonstance, et c'était ce qui plaisait le plus au jeune homme. Rosella était désormais à seulement un mètre de lui. Elle l'examinait de la tête aux pieds, comme si ce dernier allait disparaitre d'une seconde à l'autre, quand brusquement elle l'embrassa. Daniel répondit instantanément au baiser tout en passant son bras autour de la taille de la splendide jeune fille. Ses douces lèvres lui avait manqué, de même que la sensation d'être seuls au monde, que plus rien n'existait autour d'eux.

    — Daniel, soupira-t-elle doucement en se détachant de lui, pourquoi es-tu réellement venu me voir ?

    — Je veux que tu quittes cet endroit avec moi, dit-il, ses mains encadrant le visage de la jeune fille.

    — Je ne le peux, et tu le sais aussi bien que moi Daniel...

    — Il ne t'a rien fait, j'espère, demanda-t-il, inquiet pour elle, alors qu'elle se tournait de manière à être dos à lui.

    — Non. Mais cela ne saurait tarder !

    — C'est pour cela que tu dois partir avec moi Rosella !

    — Je... Je ne sais pas... Ma famille compte sur moi, ils ont besoin de cet argent, objecta-t-elle. 

    — Tu parles de ces mêmes parents qui t'ont forcé à épouser un homme de trente ans ton ainé  ? demanda rhétoriquement Daniel en haussant légèrement la voix.

    Rosella ne savait plus quoi faire, plus quoi dire, plus quoi penser à cet instant. Devait-elle fuir avec l'homme qu'elle aimait et laisser sa famille sans argent ? Ou devait-elle refuser la proposition de Daniel et le perdre à tout jamais pour vivre une vie dont elle ne voulait pas ? Elle pouvait entendre les pas de celui qu'elle aimait se rapprocher d'elle. Elle ne pouvait pas laisser passer cette chance, pas sous prétexte que ses parents n'auraient plus de fortune alors qu'ils l'avaient confier au premier homme venu... Elle méritait de choisir son avenir, elle méritait de vivre avec celui qu'elle aimait pour le reste de ses jours.

    — Je sais que cela doit être dur pour toi de choisir, mais comprends-moi, je ne veux pas d'une pareille existence pour toi, articula-t-il calmement. Je sais que tu seras malheureuse avec cet homme, et c'est pour cette raison que je te propose de partir avec moi ce soir.

    — Daniel... Je... C'est d'accord, céda-t-elle.

    Désormais elle allait vivre sa vie, sans avoir à suivre l'avis de ses parents ou même subir l'autorité de son mari. Elle allait devenir maîtresse de son destin et personne ne l'en empêcherait. Elle serra Daniel dans ses bras, savourant encore une fois cette proximité qui lui avait tant manqué depuis son départ de la demeure de ses parents.

— Comme je suis heureux ! Nous serons enfin libres, s'exclama joyeusement le grand brun.   

— Mais où pourrons nous nous retrouver ? demanda-t-elle. Ma chambre est un endroit trop risqué.

    — J'ai aperçu un vieil abri à l'abandon non loin d'ici, près de la sortie du domaine... Je t'y attendrai !

    — Parfait ! Il faut que je prépare mes affaires à présent, se rappela la jeune fille.   

    — Très bien, accepta-t-il en l'embrassant tendrement. Je t'aime Rosella !

    — Moi aussi Daniel, avoua-t-elle avant qu'il ne lui vole un dernier baiser.

    Il quitta ensuite la chambre en sortant par la fenêtre. Rosella n'avait jamais été aussi heureuse de sa vie. Ce soir, elle allait quitter pour toujours cette vie dont elle n'avait jamais voulu pour enfin devenir qui elle rêvait d'être, de plus, avec l'homme qu'elle aimait. Elle resta de nombreuses minutes, plantée là, au milieu de la pièce, à songer à sa vie future avec Daniel à ses côtés. Elle n'y croyait pas. Elle saisit ensuite sa malle, oubliée dans un coin de la pièce, et y rangea négligemment quelques robes et souliers dont elle aurait certainement besoin pour sa nouvelle vie. Son sourire ne la quitta pas une seule seconde durant la confection de sa garde-robe de voyage. Bientôt elle serait libre, il ne restait pour cela plus que quelques heures à patienter...



    Assise sur la chaise en face de celle de son mari, Rosella écoutait distraitement les paroles de ce dernier. Il faut lui faire croire à une affreuse migraine, se rappela la jolie blonde. Depuis plus de dix minutes, la jeune fille se contentait de remuer le potage présent dans son assiette en songeant à Daniel. Et si son mari se rendait compte de la supercherie ?

    — Tout va bien, très chère ? Vous semblez pâle depuis le début du souper, remarqua le Duc de Westfield.

    — Euh... Oui, minauda-t-elle, ce n'est simplement qu'une migraine qui s'est déclarée cet après-midi, à la suite de ma promenade dans les jardins.

    — J'espère que cela s'arrangera rapidement, avoua-t-il, un curieux sourire sur les lèvres.

    — Je le souhaite aussi...mais pourrais-je tout de même quitter la table pour la soirée ? Je préférerais me reposer dans ma chambre pour le moment, si vous me le permettez...

    — Bien sûr, je vous en prie !

    — Merci infiniment, dit-elle en se dirigeant d'un pas rapide vers la double porte de l'immense salle à manger de la propriété.

    La porte franchie, Rosella ne contrôlait plus ses pieds qui avançaient machinalement vers le couloir menant à sa chambre. Cette réaction surprenait même la jeune fille qui ne pensait pas parvenir à se repérer aussi facilement dans les dédales de couloirs après seulement une semaine passée dans ce manoir gigantesque. 

    A peine fut-elle entrée dans sa chambre que Rosella s'empara de sa malle et la fit passer par le rebord de la fenêtre qui menait à un balcon. Il ne restait plus qu'à descendre de là grâce au lier montant jusqu'au garde-corps de pierre. Daniel avait déjà fait cela auparavant, elle pouvait bien y parvenir elle aussi ! Rosella enjamba alors le garde-corps, la malle sous le bras, et descendit tout en prenant bien garde de ne pas marcher sur sa robe, ce qui lui causerait certainement une chute pour le moins douloureuse. Une fois de nouveau sur la terre ferme, la jeune fille couru discrètement jusqu'aux écuries et se chargea d'attacher solidement la malle à la selle de son cheval.

    Aussitôt installée sur sa monture, Rosella lança le cheval au galop, les sabots de ce dernier cognant lourdement contre la terre sèche de ce mois d'août. Les cheveux aux vent et le sourire aux lèvres, la jeune fille se sentait envahie par un intense sentiment de liberté. Elle se trouvait maintenant sous la haie de chênes blancs qui bordait l'allée principale du domaine. Le bruissement des feuilles dans la brise fraîche du soir renforçait l'élan de liberté qui l'enivrait tandis que le faible halo laiteux de la lune à travers le feuillage des arbres rendait l'atmosphère des plus romantique. Une fuite à cheval en pleine nuit, la jolie jeune fille aurait très bien pu être le personnage principal d'un de ces romans d'amour dans lequel l'héroïne pouvait aimer celui de son choix...

    Après être arrivée devant ce fameux abri, Rosella descendit de son destrier pour enfin se diriger vers l'entrée de ce petit cabanon en bois. Seules une vieille table, une bougie presque totalement fondue, deux allumettes et un petit tabouret se trouvaient à l'intérieur. Daniel n'était pas encore là. Rosella décida alors de prendre place sur le tabouret et attendit patiemment que la porte de l'abri ne s'ouvre sur l'amour de sa vie. Malgré le clair de lune, Rosella entreprit tout de même d'allumer la bougie présente sur la table. Elle frotta alors l'allumette contre le bois sec de la table puis alluma la mèche de la chandelle...

    Elle se rappelait parfaitement le jour où Daniel lui avait avoué son amour. Cela s'était passé deux ans auparavant, le 15 juin 1838 précisément. Elle s'en souvenait exactement car c'était aussi le jour de son anniversaire. Il lui avait offert ce joli collier qu'elle portait à cet instant même autour du cou. Elle avait d'abord été surprise par son cadeau, le jeune garçon ne possédant pas assez d'argent pour manger à sa faim, mais l'avait tout de même laissé attacher le bijou sur sa nuque. Elle l'avait remercié infiniment pour son cadeau puis l'avait serré dans ses bras comme elle en avait l'habitude.

    — Puis-je t'avouer quelque chose Rosie' ? avait demandé le brun alors âgé de quatorze ans à cette époque.

    — Bien sûr Dani', avait-elle déclaré joyeusement.

    — Je voulais te dire que, avait-il commencer en prenant une grande inspiration devant les yeux inquiets de la jeune fille, je t'aime profondément et sincèrement. Je ne me verrais pas finir ma vie sans toi, tu es la plus intelligente et ravissante fille que je n'aie jamais rencontré, tu as été mon amie malgré ma pauvreté, et je crois que je t'aime depuis le premier regard que j'ai échangé avec toi...

    Rosella se souvenait qu'elle n'avait plus su quoi dire après les paroles touchantes du jeune garçon. Elle aussi commençait à ressentir quelque chose pour Daniel mais ne parvenait pas un mettre un nom sur ce sentiment. Peut-être était-ce de l'amour ? Puis sans attendre une minute de plus, la jeune fille avait embrassé Daniel. Ce dernier avait saisi sa chance et avait répondu instantanément au baiser. Rosella avait alors échangé son premier baiser avec le jeune garçon...

    Les secondes s'écoulèrent... Les longues minutes passèrent... Puis les heures disparurent à leur tours... La cire fondue s'échouait indéfiniment contre la table alors que le sourire convaincue de la jeune fille s'estompait lentement. Peut-être que Daniel n'arriverait jamais finalement. Pourquoi était-il venu la convaincre de partir avec lui dans ce cas ? Une douleur lancinante dans la poitrine et les larmes perlant sur ses joues, Rosella souffla la bougie...    




    Quelque part, dans le bois entourant le manoir des Westfield, se trouvait Daniel, étendu sur le sol dur et froid, une main sur son abdomen écarlate. La respiration du jeune homme se faisait très difficile, si bien que du sang commençait à jaillir d'entre ses lèvres si fragiles. En effet, une balle était logée dans sa poitrine. Soudain, des bruits de pas contre la terre aride firent tourner la tête de Daniel.

    Devant lui se trouvait un homme aux cheveux noirs grisonnants et aux yeux aussi sombre que la nuit. Ce dernier assistait à l'agonie lente et douloureuse du jeune homme, un pistolet à la pointe du canon encore fumante dans la main. Le Duc de Westfield souffla nonchalamment sur cette brume artificielle qu'il venait de provoquer.

    — Dans le mile, s'écria-t-il, heureux d'avoir atteint sa cible en examinant le corps inerte de Daniel. J'ai tout entendu de votre petite conversation à travers la porte de sa chambre... Rosella croira tout simplement que tu l'as abandonné ! Cette petite sotte doit d'ailleurs t'attendre patiemment dans ce cabanon délaissé à l'heure qu'il est, mais rassures-toi, elle te rejoindra un jour prochain aux cieux, ricana le Duc tandis que Daniel tentait désespérément de répondre à ces provocations, en vain. Il faudra seulement que cela passe pour un accident, pensa le chasseur invétéré en s'éloignant dans l'obscurité.

    — Rosella... murmura doucement le blessé.

    Ce fut après cette dernière parole que Daniel rendit son dernier souffle...




Voilà ma nouvelle ! J'espère qu'elle vous aura plu... N'hésitez pas à me le dire en commentaire surtout ! :) Je publierais demain toutes les nouvelles participantes du concours. J'espère que vous serez nombreux à supporter vos textes préférés !

Bạn đang đọc truyện trên: Truyen247.Pro