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Prix-Mika

Mika était assis au sol à observer les jouets mis devants lui. Des jouets de bébé selon lui qui aurait préférer qu'on lui donne une console de jeux vidéo pour se distraire pendant que les adultes parlaient. Du haut de ses 8 ans, il agrippa une poupée à disposition et envisagea que ce pouvait être marrant de lui arracher la tête. Pendant ce temps, son père et sa mère était assit devant une femme noir qui le regardais de loin.

''Je lui est fait passer plusieurs tests. Les résultats sont inquiétants.''

La mère du garçon se tortilla la main. Elle aurait préférer qu'on lui dise que son bébé était tout ce qu'il y avait de plus normal.

''Selon les questions que je lui est poser, il ne semble pas éprouver grand émotion à l'égard des autres. Dés qu'un choix l'avantageais au détriment des autres, il le sélectionnait.''

''Les enfants sont souvent égoïstes. Ça s'améliore avec le temps. En vieillissant il prenne conscience de plein de chose.'' Tenta la mère pour se rassurer.

''Madame, lorsque j'ai demander à votre fils s'il préférait option 1, avoir un nouveau jeu vidéo et une nouvelle cuisine pour vous ou option 2 une nouvelle console de jeu avec plein de jeux vidéo, mais rien pour vous, il a choisit la 2.''

''On essai de lui apprendre le partage.''

''Ce n'est pas une question de partage. Lorsque je lui est dit que vous seriez triste de ne pas avoir une nouvelle cuisine, il a répondu que ce n'était pas son problème. Lorsque j'ai tenter de le faire changer à l'option 1 en disant que s'il choisissait la 2, ils vous arriveraient un accident grave, il a hausser les épaules et dit qu'il espérait que sa nouvelle famille soit moins... sur son dos.''

La femme devient livide en un instant, alors que son mari se redressa sur sa chaise la bouche grande ouverte.

''Votre fils n'a réellement aucune considération pour autrui. Votre mort ne lui ferait ni chaud ni froid. J'ai noter une absence de remord, d'empathie, de compassion. Même de la tristesse pour sa propre personne. J'ai tenter de le mettre dans des situations qui pourrait le rendre triste et les seules réponses que j'ai réussi à stimuler ce sont la colère, l'incompréhension et la neutralité. Habituellement les enfants pleurent quand je les mets dans ses situations.''

''Mickey a...''

''Madame, il est trop jeune pour un vrai diagnostique, mais il a tout les critères pour être un sociopathe.''

''On va le faire interner.'' Répondit l'époux les dents serrer.

''Hors de question qu'on l'enferme!'' S'insurgea la femme. ''Il doit avoir un traitement. Une façon de faire que mon bébé développe ça?''

''Une solution miracle n'existe pas. Ce genre de comportement peut provenir d'un dysfonctionnement du cerveau ou un traumatisme enfant qui la convaincu de faire abstraction à tout sentiment pour survivre. On ne réussit pas à faire apparaitre des sentiments à un enfant ont le bourrant de médicament. Au contraire, la médication fait souvent l'effet inverse. Nous pouvons par contre, à l'aide de scéance, le forcer à porter un jugement plus pousser sur le monde qui l'entoure. C'est un processus long et fonctionnelle uniquement si le patient à le désire de comprendre et changer, mais...''

''Je vous vois venir. Vous voulez juste notre argent en planifiant une montagne de scéance!'' Répondit l'homme aggressivement.

''Je n'ai pas choisit se métier pour l'argent, monsieur, mais pour aider ceux qui...''

''Vous aurez pas un sous. Je l'avais bien vu depuis longtemps que c'était un psychopathe mon gars. On va le faire interner avant qu'il tue quelqu'un et sa sera plus notre problème.''

''Notre Mickey ne tuerais jamais personne!'' S'insulta la mère.

''Je vous arrête tous de suite, il y a une différence en psychopathe et sociopathe. Votre fils n'est pas calculateur ou manipulateur. Plutôt impulsif et désorganiser. Qui plus ai, ce ne sont pas tous les sociopathes qui commette des crimes. S'il sont bien encadrer, avec des amis recommandable, une famille qui les soutiens et un entourage non nocif, ils peuvent très bien foncitonner en société sans commettre de crime.''

''Donc s'il vous voit souvent pour que vous l'aidiez dans son cheminement, tout va s'arranger?'' Demanda la mère pleine d'espoir.

''Seulement s'il a se désir d'apprendre. Pour le moment, il ne semble avoir aucune motivation vers se chemin. Il faudrait lui trouver une source de motivation qui le convainquerait d'apprendre et changer.''

''Il aime les jeux vidéo et le sport. On pourrait...''

''On a assez dépenser en spécialiste pour lui et tu voudrais le récompenser d'être un problème pour la société en lui achetant des jeux?'' Se choqua le père du petit garçon.

''Pourquoi tu es incapable de l'aimer! C'est ton garçon! Notre bébé! Je l'aime et je veux l'aider!'' S'énerva la mère en montant le son.

Les trios se tut voyant Mika apparaitre dans leur champs de vision.

''Maman tu as crier. Pourquoi?'' Demanda l'enfant d'un ton neutre.

''Je vais bien trésors. C'est gentil de t'inquièter, ton père avait juste dit quelque chose qui ma énerver.''

''Je ne m'inquiétait pas, mais les jouets sont ennuyeux et vous parlez de moi.''

Sa mère perdu son sourire en un instant avant de tenter de le retrouver et tendre les bras.

''Viens ici Mickey. Viens dans mes bras.''

L'enfant obéit et grimpa dans les bras de sa mère en souriant.

''Je t'aime Mickey.''

''Je t'aime aussi maman.''

''On parle de toi, oui. On dit que tu n'a pas un comportement... gentil.''

''Ah bon.''

''Tu n'as pas envie d'être gentil mon grand garçon?''

''Qu'est-ce que ça va m'apporter?''

''Et bien... beaucoup de chose. Tu vas... moi j'adorerais ça que tu sois un gentil Mickey.''

L'enfant haussa les épaules avec désinvolture avant de se tourner vers sa mère et constater que des larmes coulait sur ses joues. Sans aucune douceur, il mis son doigt sur l'une des gouttes et l'enfonça faisant grimacer sa mère.

''Tu pleures. Tu as mal?''

''Ça te rend triste quand maman pleure?''

''Non, j'ai pas mal moi.''

''Mikael, j'aimerais te poser quelque questions supplémentaire si tu veux.''

Le châtain claire se tourna vers la femme noir qui l'avait déjà interroger pendant de longue minutes tantôt.

''J'ai pas envie de vous parlez à vous. Vous êtes ennuyante.''

La dame hocha la tête avant d'enchainer.

''Je veux juste savoir pourquoi tu as dit à ta mère que tu l'aimais?''

''Parce qu'elle est gentille avec moi. Papa non, lui je l'aime pas. En plus il fait souvent pleurer maman.'' Dit le garçon ignorant son père qui leva les yeux au ciel.

''Et tu aimes qu'elle soit gentille et heureuse pourquoi?''

''Parce que lorsqu'elle l'ai, elle me fait pleins de câlin et de bisous et sa me fait un drôle de chatouillement dans le ventre et sa m'amuse.'' Dit Mika en rigolant.

Puis, il colla sa tête dans le cou de sa mère et elle ressera son entraine sur lui en l'embrassant sur le front.

''Tu sais Mikael, je crois que ta mère serais plus souvent heureuse, si tu te comportais bien envers les autres. Si tu penserais à leur bonheur et pas uniquement le tien. Et comme ça, elle aurait toujours envie de te faire des câlins et des bisous.''

Le garçon tourna le regard vers sa mère comme pour chercher une approbation. La femme lui offrit un magnifique sourire. Le garçon cacha son visage dans le chandail de sa mère. Son père croisa les bras sachant ce que sa femme allait décider pour eux.

''Mickey, ça me rendrait heureuse que tu rencontre cette femme et l'écoute pendant qu'elle t'aide à t'améliorer. Tu veux faire ça pour moi?''

''Non.''

''S'il te plait mon trésor? Si je vois que les professeurs me disent plein de gentille chose sur toi et que tu te fais des amis sans faire du mal à personne, je serai tellement heureuse que tu me supplira d'arrêter de te serrer dans mes bras.''

Mika releva la tête vers celui de sa mère. Il l'observa un moment avant de prendre son visage dans ses petites paumes de mains.

''Tu es belle maman. Belle et gentil. Un peu stupide aussi. J'ai pas envie de t'échanger pour une autre, même si tu me demande toujours l'impossible. Si tu me promets plein de câlin, je vais écouter ce que la madame veut me dire.''

''Et faire des efforts pour changer? T'adapter? Devenir le gentil garçon que je sais que tu es?''

''Comment je peux savoir ça?'' Dit le garçon en serrant plus fort sa mère.

"Je te le dirais."

"D'accord."

''On fera plein d'activité ensemble et je te couvrirais d'amour. Pour toujours je te le promet, mais pour ça tu doit être gentil.''

''Je le serais.''

***

Debout sur un tabouret devant le four, Mika brassait de la soupe dans un chaudron. Sa mère sortie de la salle de bain en toussant de plus belle et sourit le voyant à l'oeuvre. Elle vient donc le serrer dans ses bras par derrière et Mika lui offrit un sourire.

"Que fais-tu mon grand garçon?"

"À manger."

"Bien. C'est très gentil de ta part. Tu le fais tout seul en plus?"

"Pas le choix, tu arrête pas de tousser, tu vas contaminer les plats." Dit le jeune garçon en levant les yeux au ciel.

La femme répondit en toussant de plus belle.

"Tu as raison trésors. On dirait que depuis la semaine passer ma toux ne fait qu'empirer. J'ai peut-être une pneumonie."

"Maman?"

"Oui, Mickey?"

"Tu veux m'aider à faire la sauce pour le poulet. J'ai oublier comment."

Elle vient embrasser son garçon sur le front.

"Bien sûr mon amour. On va la faire ensemble."

Elle se remit à tousser avant de sortir les ingrédients des armoires et montrer à son fils les bonne proportion. Elle lui confia de continuer la vérification du feu pendant qu'elle sortait des légumes à couper. Ils travaillèrent ainsi l'un à côté de l'autre, sa mère chantant une douce chanson à son fils ponctué de toux.

"Je devrais peut-être appeler un médecin. J'ai l'impression que je perd la voix." Dit-elle en toussant de plus belle.

Mika l'observa se diriger vers le téléphone, mais elle tomba en chemin et se mit à tousser un liquide rouge qui salit le plancher devant elle. Il observa sa mère pleurer avant de perdre connaissance. Il soupira avant d'éteindre les ronds allumer et éloigner tout ce qui pourrait prendre en feu sans surveillance. Il descendit du banc pour aller chercher le téléphone et apella les uegences.

"Bonjour, on aurait besoin d'une ambulance pour ma mère. Elle crache du sang et c'est évanouie dans la cuisine."

"Respire-t-elle encore?"

"Oui."

"Parfait, ne t'inquiète pas, une ambulance est en route."

"Je m'inquiète pas. Mais faite vite, je sais pas comment la ramener en vie si son coeur veut plus battre." Dit-il avant de raccrocher et venir s'asseoir à côté de sa mère. "Ça va aller ma maman. On va pouvoir recommencer à cuisiner ensemble quand les ambulanciers vont te réveiller. Tu pourras me chanter d'autre chanson."

***

Mika observa son père quitter la chambre d'hôpital après que sa mère en crise de larme lui demande de la laisser seul. Le nul, il avait appeler sa femme par le nom de sa secrétaire. Mika regarda son père refermer la porte et reporta son attention sur sa mère qui pleurait un masque à oxygène sur le visage et le peu de cheveux qui lui restait coller par la sueur. Elle était belle sa mère avant, c'est dommage que ce ne soit plus le cas.

''Maman, je veux pas que tu meurs.'' Dit-il en penchant la tête sur le côté et ne montrant aucune émotion supplémentaire à sa remarque.

Sa mère se tourna vers lui et tendit une main pour qu'il s'approche et qu'elle puisse lui flatter la joue. Il le fit heureux d'avoir un contact amoureux avec une personne. Chaque fois que sa mère le touchait pour le flatter, l'embrasser et le serrer dans se bras, un chatouillis confortable s'installait en lui. Qu'il aimait cette sensation de chaleur au contact d'une autre personne.

''Si tu meurs je serais seul avec papa et il me fait jamais de câlin et me crie toujours après. C'est plate à la maison sans toi. On cuisine plus ensemble et plus personne ne me dit qu'il m'aime. Faudrait que tu guérisses pour rentrer et faire comme avant.'' Expliqua Mika qui voulait que sa mère comprenne l'importance d'aller mieux.

''Mickey mon chéri, j'aimerais tellement.''

Elle lui flatta la joue, tout doucement.

''Je veux que tu me promettes que quoi qu'il arrive, tu dois être gentil avec les autres.''

''Vous dites toujours ça, mais jamais vous dites aux autres qu'ils doivent être gentil avec moi!'' Grogna Mika qui en avait assez que personne ne remarque que lui aussi souffrait.

''Mickey, ce que tu m'as dit tantôt. Le fait que tu ne veux pas que je meurt. C'est bien.''

''C'est quand tu vas guérir et revenir à la maison?''

''Je ne vais pas rentrer. Mon cancer est au stade final. Je suis désolé.''

''Alors je vais me retrouver seul avec lui?''

''Tu dois être gentil avec ton père. Il fait de son mieux.''

''Mais je l'aime pas.''

''Mal. Tu ne peux pas dire ça de ton père.''

''Même si je le pense?''

''Essai de...''

''J'essayerai rien du tout. Il ta fait pleurer. Il me fait rager. Je vais continuer de pas l'aimer.''

La mère observa son fils sans un mot.

''Si tu meurs pas je vais être méga gentil tout le temps, tu verras. Alors meurs pas.''

''Je t'aime Mickey.''

''Je t'aime aussi, mais ça veux dire que tu ne vas pas mourir?''

***

"Écoute moi bien Mikael!" Grogna son père pendant que son fils sortie de la voiture et mettais son sac d'école sur son dos. "Si j'ai encore comme information que tu tes de nouveau battut, je te fait interner, est-ce clair."

La lèvre légèrement fendu, le jeune adolescent observait son père en envisageant de le frapper pour qu'il arrête de parler. Depuis qu'il avait commencer le secondaire, il ne faisait qu'enchaîner les bagarre dans les couloirs. Il était le centre d'attention de tous et il aimait cette sensation gratifiant de l'emporter sur son adversaire.

"J'ai promis à ta mère de pas le faire si tu voyais ta psy, mais ça va faire trois mois, depuis la mort de ta mère que tu ne vas plus la voir. Tu es impoli, violent et une sérieuse plaie dans ma vie. Ta dernière chance. Ta suspension est fini, si j'entend encore parler de toi en mal, tu finiras enfermer avec d'autre psychopathe dans ton genre."

"Sociopathe."

"Pardon?"

"Je suis pas un psychopathe. Je suis un sociopathe. C'est ce que maman disait."

"Quel importance ça là! Tu es dérangé, alors tiens toi droit." Répliqua le père en s'éloignant vers l'établissement scolaire.

Mika se dirigea en classe le regard noir. Il ne voulait pas être là. Il voulait être nulle part. Mort. Comme sa mère. La seul qui lui faisait vivre un minimum de bonheur. Peut-être que s'il provoquait un terminal, on le cognerais assez fort pour qu'il meurt.

Il n'écouta rien au cours. Fixant son bureau devant lui. Il ne voulait plus vivre. À la fin de la classe, il observa les étudiants quitter et une fille pleurait dans un coin. Le bruit de ses lamentations le dérangeait. Il avait envie d'aller lui cogner la tête contre le mur pour qu'elle arrête, mais le son se stoppa et lorsqu'il regarda de nouveau, il vit un garçon de sa classe la serrer dans ses bras. Bien sûr qu'elle pleurait plus, les câlins c'était magique. Il aimait en recevoir, même si uniquement sa tante lui en donnait maintenant. Il observa le garçon au cheveux brun sourire a la fille avant de s'eloigner. Avait-il le droit de lui demander un câlin? Il se leva d'un bond de sa chaise prit ses choses et se dirigea vers le garçon dans le couloir.

"Hey!" Dit-il de façon forte et sec.

Il ignorait son nom, il devrait chercher à l'apprendre. Le garçon se tourna vers lui avant de baisser ses yeux bleu au sol et trembler.

"Mika... tu... tu n'étais pas.... sus... suspendu pour bagarre?"

"Je suis revenu. Tes pas capable de dire une phrase sans béguayer?" Demanda Mika.

Des larmes apparurent sur les joues du garçon devant lui. Merde pourquoi il pleurait. C'était lui qui voulait un câlin. Il baissa son regard sur ce que le garçon tenait dans sa main. Un vulgaire sandwich.

"C'est juste ça que tu as pour manger?" Dit-il en pointant le sandwich.

Aussitôt le garçon lui mit dans les mains.

"J'ai pas faim, tu peux le prendre. Je... je veux pas me battre." Dit le brun apeuré avant de s'éloigner presque à la course.

Ah, mais il avait pas eu son câlin. Son approche avait peut-être été mauvaise. Comment on se faisait des amis déjà? Sa psy avait dit de trouver des points commun. Déjà il faudrait qu'il apprenne son nom. Peut-être que s'il retournait voir la psy, elle l'aiderait à ce que le garçon lui fasse un câlin et l'aide comme il a aider la fille. Et s'il recommençait à voir la psy, son père ne pourrait plus le garder enfermer.

Il avait maintenant une nouvelle mission. Premièrement en apprendre plus sur lui et deuxièmement le faire son ami. Ainsi quelqu'un de gentil lui ferait des câlins réconfortant comme sa maman.

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