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Inspection

Son rituel matinal achevé, l'aubergiste Oukou-Dah-Bango referma son lourd manuscrit avec un soupir satisfait. Tout se trouvait enfin là. Les deux cent cinquante kriss manquants avait été livrés la veille.

Tout est en place. Tout est prêt.

Cependant, une moue contrariée glissa sur ses lèvres charnues. Il était toujours sans nouvelles d'Attia et d'Eljad ben Samora depuis leur départ pour Salasala. Bien sûr, il avait entendu parler - et s'était délecté - de la catastrophique fête des Ancêtres puis des morts mystérieuses au palais, ce qui signifiait qu'Eljad avait réussi son coup. Mais il n'avait pas revu les deux frères personnellement, et cela le déconcertait. Un grain de sable venait-il de se glisser, au dernier moment, dans les rouages si patiemment assemblés ?

De sa large paume, il moucha la bougie posée sur un coffre à ses pieds. L'obscurité tomba dans la petite pièce, n'y laissant pour lueur que celle émise depuis la porte de la cuisine. Oukou-Dah-Bango fixa l'encadrement pâle, une calme résolution chassant ses doutes.

Tout se passera bien. Avec ou sans eux.

°°°

Il était à peine midi quand Valériane franchit l'arc de triomphe à l'entrée de Sucodis. Un sourire s'étala de son visage à son cœur, ranimant ses membres d'une énergie bouillonnante. Certes, la ville était bruyante, sale, et l'air ramenait parfois les miasmes des égoûts ; mais chaque fois que Valériane retrouvait son agitation elle réalisait combien elle lui était chère. La campagne - où elle venait de passer deux jours pour des vérifications routinières - ne manquait pas de charme, mais rien ne valait l'animation de la foule bigarrée, la course des chars et des calèches, la cohue des marchands et des passants, les allées et venues des soldats - le tourbillon de mouvements qui entraînait le monde dans une floraison de vie.

Le tentation de s'arrêter l'envahit alors qu'elle passait devant le plus grand cirque de la ville. Les clameurs, le galop et le grincement des roues témoignaient d'une course frénétique. Elle devait pourtant regagner le palais et elle se détourna, mais, en habituée de ce spectacle, elle ne fut pas étonnée de l'énorme fracas qui s'éleva soudain derrière elle.

Encore un accident. J'espère qu'il n'y aura pas de mort cette fois-ci...

Elle continua son chemin jusqu'aux fortifications du palais. Une agitation inhabituelle régnait devant, sur la grande place pavée de briques ocre. Au centre, à côté de la statue de l'empereur Augustus - l'Empereur aux Dix Pigeons -, s'élevait un nouveau piédestal. Un groupe de sculpteurs s'affairaient à graver dessus, sous la vigilance d'une femme à la robe couleur bronze.

Les sourcils froncés, Valériane mit pied à terre et s'approcha d'elle.

« Qu'est-ce que c'est, madame ? »

La responsable se retourna avec surprise, puis inclina la tête.

« Ah, général Valériane ! C'est pour une nouvelle statue qui va être acheminée bientôt depuis la carrière d'Ostonum ! Une statue de l'impératrice Clélia.

- Hein ? Mais ce n'est pas le moment... c'est du gaspillage d'argent, il faut tout concentrer pour l'instant sur l'effort de guerre ! Arrêtez ça tout de suite. »

Une expression de gêne envahit les traits de son interlocutrice.

« Ce n'est pas possible, général. C'est un ordre du général Écodarix. Il dépend directement de Son Excellence l'impératrice... Il n'y a qu'elle qui puisse annuler ses ordres. »

Encore lui !

Elle allait maugréer des injures quand un mouvement insolite attira son attention vers l'entrée du palais. Un homme montait dans une calèche, et son apparence troublait Valériane... Elle avait déjà vu cette silhouette lourde, ce crâne rasé, cette barbe grisonnante...

Le capitaine Ilinos ?

Mais c'était impossible... L'adjoint d'Ecodarix se trouvait en quarantaine depuis son arrivée dans l'Avant-poste, toujours souffrant d'une maladie sozyès inconnue. Médecin comme druides s'accordaient sur la nécessité de cette mesure, l'état du capitaine ne s'améliorant pas malgré les potions et les prières. On ne pouvait risquer une épidémie au palais. Jusqu'à présent, rien n'avait pu laisser penser à Valériane qu'Ilinos quittait sa chambre en cachette.

Elle aurait voulu l'interpeller, or la calèche s'ébranlait déjà. Valériane se retourna vers son cheval, mais la responsable du chantier la retint :

« Attendez, général, je me permets de solliciter votre avis, au sujet des inscriptions à la gloire de l'impératrice... (elle déroula devant elle ses parchemins) c'est à propos de la fameuse bataille d'Ossenkaheim, contre les Barbares du Nord... est-ce vraiment l'amiral Barkas qui a sauvé la situation ? Ne faudrait-il pas plutôt en gratifier Son Excellence ?

- Je ne sais pas, je n'y étais pas ! » râla Valériane en ramenant son regard à l'autre bout de la place, où la fameuse calèche disparaissait dans une avenue adjacente.

Trop tard ! Que les fantômes l'emportent !

Elle se remit en selle et ajouta machinalement :

« Oui, oui, c'est l'amiral Barkas, je crois. N'écrivez pas une chose fausse... Vous n'avez qu'à demander à Écodarix ! » termina-t-elle par raillerie.

Cependant le capitaine Ilinos occupait son esprit.

Ce sera facile de vérifier.

°

Quelques minutes plus tard, après s'être hâtée autant que le permettait la discrétion la plus élémentaire, elle parvint à l'aile du palais naguère attribuée à la délégation impériale. Le calme régnait sur l'atrium. Le soleil éclairait largement la statue en son centre, un éphèbe au javelot.

Valériane s'avança jusqu'à la première porte de l'allée ouest. Elle songea qu'elle allait frapper, et que si elle n'obtenait pas de réponse, elle entrerait. Mais son poing s'arrêta juste devant le battant de bois brun. Elle venait d'entendre du bruit derrière. Elle n'eut même pas le temps d'y réfléchir que la porte s'ouvrit, sur une personne qui se figea avec stupeur :

« Général Valériane ?

- Général Écodarix ? »

Elle se ressaisit avant lui :

« Que faites-vous là ? Et où est votre adjoint ? »

Elle avait pu voir derrière lui que la pièce était vide. Écodarix repoussa la question d'un geste agacé.

« Qu'en sais-je, moi ? Il est sans doute parti aux latrines ! »

Valériane eut un haut-le-cœur. Cette enquête la renvoyait sans cesse au même endroit. Elle en avait assez. De plus le mensonge était flagrant, elle savait qu'Ilinos disposait d'un pot de chambre pour ne pas avoir à fréquenter les lieux publics.

« Ah oui, les latrines, grinça-t-elle. Il est sans doute parti y jeter une bague ? »

Quelque chose tressaillit au fond des yeux d'Écodarix. Il se reprit dans l'instant, haussa ses sourcils pointus sur son plus beau masque de morgue outragée :

« Une bague ? De quoi parlez-vous ? Vous déraisonnez ! »

Elle ne répondit pas. Elle savait qu'il avait compris, même si, aucune preuve formelle l'incriminant, il ne le reconnaîtrait jamais. Une partie d'elle-même avait conscience d'avoir commis une énorme bêtise en se découvrant ainsi. Il serait désormais plus méfiant que jamais, voire tenterait peut-être de la supprimer à son tour. Un homme assez déterminé pour porter au doigt une bague empoisonnée ne reculerait devant aucune extrémité. Ils se jaugèrent en silence. Ce fut lui qui plia :

« Mais que me voulez-vous, à la fin ?

- Parler un peu. »

Il rouvrit la porte de la chambre avec un soupir.

« Eh bien parlons ! Entrez. »

Elle hésita. Ce n'était sans doute guère prudent de s'enfermer avec lui, mais si elle pouvait apprendre quelque chose... Il portait certainement des armes, même si elle les voyait pas... Mais elle était elle aussi équipée, l'épée pesait à son côté d'un poids rassurant, ainsi que le poignard dans le creux de son dos et la dague à sa cuisse. Elle choisit de franchir le seuil derrière lui.

La pièce donnait une impression de propreté malgré le lit défait. Le bureau était rangé, seuls quelques livres et le nécessaire d'écriture s'y trouvaient. Écodarix tira une chaise pour s'asseoir devant. Valériane s'installa sur un banc damassé de velours émeraude, assez loin pour prévenir toute attaque. Écodarix ne semblait cependant pas agressif, plutôt contrarié voire embarrassé.

« Eh bien, qu'est-ce que vous voulez savoir ? Si c'est à propos de mon adjoint, je ne sais pas où il est. Je me doutais bien qu'il sortait en cachette... c'est pour ça que je suis venu vérifier ici. Les fantômes l'emportent ! Il est certainement dans un tripot des bas-fonds... ou que sais-je !

- Cela signifie donc qu'il n'est pas réellement malade ? »

Écodarix poussa un soupir gêné.

« Non.

- Et pourquoi fait-il semblant ? Pourquoi le médecin et les druides marchent dans son jeu ? »

Nouveau soupir embarrassé.

« C'est moi qui leur ai demandé de le faire.

- Mais pourquoi ? s'impatienta Valériane.

- Parce qu'il ne peut pas paraître en public ! Comment vous dire... le capitaine Ilinos n'est pas un capitaine.

- Comment cela ? Qu'est-il alors ?

- Mais rien ! (Il ricana.) Je vous l'avais pourtant dit, le soir de notre arrivée, lors du banquet... C'est un bon à rien, un vaurien, un... un plébéien, c'est tout !

- Le banquet... répéta pensivement Valériane. C'est pour ça qu'il s'est rendu malade volontairement, en consommant des huîtres avariées ? »

Écodarix lui décocha un coup d'œil surpris.

« Ah, vous savez ça... »

Il s'interrompit d'un coup, retenant sans doute le dernier mot, aussi. Valériane lui adressa son sourire le plus mielleux.

« Je comprends. Il serait très vite démasqué s'il discutait avec quelqu'un. Il faut donc le tenir à l'écart à tout prix. Mais pourquoi a-t-il été envoyé ici avec vous ? Dans sa lettre adressée à Raerus, l'impératrice mentionnait bien le capitaine Ilinos. Elle est donc au courant de la supercherie ? »

Écodarix hocha la tête.

« Oui.

- Et à quoi rime tout cela ?

- Je ne peux pas vous le dire. »

Valériane haussa des sourcils outrés et il eut un geste d'apaisement.

« Ce n'est pas que je ne veux pas, mais je ne le peux pas. En fait, je n'en sais rien moi-même. (Il soupira profondément.) Je ne sais pas si vous allez comprendre... Les intrigues politiques à Sortor sont très complexes, rien à voir avec ici, lâcha-t-il avec une nuance de mépris. Toujours est-il que ce... cet individu...dérangeait mon père, le sénateur Cassio. Comme j'ai été envoyé ici, il a sauté sur l'occasion de s'en débarrasser. Il a fait jouer ses relations et hop, me voilà affublé d'un adjoint pour partir de l'autre côté de l'océan ! »

Valériane renifla avec circonspection.

« Ah ?... Il y a pourtant des manières définitives et discrètes de se débarrasser des gêneurs... vous n'êtes pas sans l'ignorer ! » persifla-t-elle.

Il fit mine de ne pas comprendre le sous-entendu et secoua la tête.

« Non. Apparemment, il ne faut pas qu'il meure. J'avais bien proposé la même chose à mon père, mais... ! Non. J'ai l'impression qu'il le dérange d'un côté mais qu'il a besoin de lui de l'autre... Et en attendant c'est moi qui le supporte ! Que les fantômes l'emportent, cet abruti, par-delà les terres gelées des Barbares et par-delà les terres chaudes des Sozyès, par-delà les premières étoiles et par-delà les dernières nuées... »

Tout à sa tirade, il s'était levé, un bras tendu avec emphase. Valériane ne put retenir un rire.

« Vous avez raté votre vocation, général Écodarix, vous auriez dû être druide. »

L'imaginer revêtu de robes décorées et les cheveux décolorés augmenta son hilarité. Il se rassit, les pommettes rouges et les yeux mécontents, mais fanfaronna tout de même :

« J'excelle dans tout ce que je fais.

- Bien sûr... grinça Valériane. L'impératrice en sait quelque chose, sans doute ? »

Elle se renfrogna. Comment avait-elle pu s'amuser un instant en compagnie de ce vil usurpateur, qui avait gagné son grade par des procédés inavouables ? Elle reprit brutalement :

« Votre histoire ne me convainc pas. En quoi un simple plébéien pourrait à ce point encombrer l'impératrice et un sénateur réputé ?

- Je vous ai dit que je ne le savais pas. Mais... je pense que... ça a peut-être un lien avec l'assassinat de Rampa.

- Le précédent empereur ? Mais en quoi ? Comment ? »

Écodarix souffla avec lassitude.

« Je ne sais pas, combien de fois faudra-t-il vous le dire ? Et croyez-moi, il y a des histoires dont il vaut mieux ne pas se mêler. Ça se voit que vous êtes née dans cet Avant-poste et que vous ne connaissez rien à la cour impériale.

- Ilinos n'a pas craint de s'en mêler, lui, semble-t-il. Il a découvert des choses compromettantes ? Votre père a-t-il trempé dans l'assassinat de Rampa ? »

Écodarix l'enveloppa d'un regard glacé.

« Vous êtes donc ignorante à ce point ? Rampa a été tué au Sénat même, en plein jour. Il a été poignardé par cinquante sénateurs, tandis que les cent quarante-sept autres regardaient.

- Et votre père...

- Il regardait. »

Valériane demeura pensive.

« On dit que Rampa était fou... c'était vrai ? À ce point ?

- Plus encore. Si le Sénat s'est résolu à l'éliminer, c'est qu'il mettait l'Empire en danger. Vous avez quand même, j'espère, entendu parler du désastre de la baie d'Ossenkaheim ? C'était sa faute, en réalité, même si personne n'a osé le dire.

- Ah, Ossenkaheim... répéta Valériane, pensive. L'impératrice y était aussi, n'est-ce pas ?

- Oui, elle était à la tête de la flotte, avec l'amiral Barkas. Mais Rampa est arrivé de Sortor à l'improviste et a voulu diriger les opérations. Mais comme il était fou...

- C'est vrai que son principal conseiller était un pigeon ? »

L'œil d'Écodarix s'éclaira et il sourit, apparemment ravi de colporter les ragots.

« Tout à fait ! Un pigeon albinos, il se nommait Armocillus. Rampa ne faisait rien sans le consulter. Il lui jetait un mélange de graines et de paillettes d'or, et il décidait en fonction de ce que choisissait le pigeon. »

Valériane étouffa un rire, et Écodarix lui adressa un regard entendu.

« Mais ce n'est pas tout, il consultait aussi souvent un druide exclu de son ordre pour des pratiques illégales... Mon père était très informé là-dessus. Si ça vous intéresse, je pourrais vous raconter des choses à faire condamner n'importe quel citoyen ! »

Valériane, à nouveau, s'amusait malgré elle, en imaginant cette fois le père et le fils échanger les derniers potins. Mais elle secoua la tête.

« Ce n'est pas de ça dont je voulais vous parler, mais de choses plus concrètes. »

Le visage d'Écodarix se ferma comme une porte qui claque. Il se leva brusquement.

« Ça suffit comme ça ! Vous voulez me faire perdre tout mon temps ? J'ai autre chose à faire. »

Il se dirigea vers la sortie et, sur le seuil, se retourna pour la regarder bien en face :

« Permettez-moi seulement de vous dire une chose, général Valériane. Vous faites trop confiance à Raerus. Vous croyez tout ce qu'il vous raconte sans même réfléchir. Vous risquez de le regretter un jour... Et si vous voyez mon adjoint quelque part, soyez assez aimable pour m'en avertir ?

- J'allais vous dire la même chose », railla Valériane.

Elle quitta la chambre après lui, non sans une rapide inspection qui la laissa dépitée : rien de caché nulle part, et tous les meubles étaient fermés à clé.

Cette entrevue avec Écodarix lui laissait une sensation désagréable. Elle l'avait embrouillée plus qu'elle ne l'avait éclairée... Il lui avait parlé de trop de choses, donné trop d'informations inutiles... Quel intérêt de discourir sur un empereur mort plus de cinq ans plus tôt ? Ou bien... si la fameuse conspiration prenait sa source dans les secrets de la cour impériale, comment pouvait-elle espérer la déjouer, elle qui n'y avait jamais mis les pieds ? Il faudrait en référer à Raerus, peut-être la déchargerait-il de cette tâche compliquée. Raerus...

Une énième fois, elle eut envie de maudire Écodarix. Il avait même tenté d'instiller en elle le doute quant à son chef ! Ce gêneur œuvrait vraiment sur tous les fronts...

« Valériane ! »

Elle tourna la tête. Deux silhouettes familières traversaient la cour ensoleillée à sa gauche pour la rejoindre. Elle remarqua immédiatement, dans la main de Méro, plusieurs rouleaux maintenus de cordons rouges. Son cœur s'accéléra.

« De mauvaises nouvelles ? Qu'est-ce que c'est ?

- Ça vient de Rémus », répondit son collègue en les lui fourrant sans les mains.

Rémus ! Enfin, depuis tout ce temps...

Elle les déroula pour lire, même si Méro entamait un compte-rendu :

« Il est à Huastahuan. Les Sozyès ont envoyé des émissaires pour tuer Raerus et déterminer l'emplacement de leurs disparus. Il a réussi à les suivre et il est sur le point de les intercepter. Mais il nous demande de renforcer la sécurité de la ville au cas où ils parviendraient à lui échapper.

- Malheur... » gémit Valériane, tellement absorbée qu'elle faillit heurter une colonnade de plein fouet.

Méro ricana et l'empoigna par les épaules pour la remettre au milieu de passage.

« Vous voyez les choses de travers, intervint Clion d'une voix tranquille. Ces émissaires sont un bon signe pour nous et non l'inverse. Ça nous prouve qu'il y a des dissensions internes entre les Sozyès. Sinon, ils n'auraient pas besoin de preuves aussi formelles pour nous attaquer. »

Méro lui donna une tape sur l'épaule.

« Qui eût cru que le général le plus perspicace serait celui qui est entré à l'école des officiers grâce à un subterfuge de ses amis ? »

Mais Valériane fit la moue.

« Dissensions ou non, on sait qu'ils ont déjà commencé à lever une armée... Ces émissaires sont peut-être juste une manœuvre pour nous occuper. Il faudrait en parler avec Raerus... si seulement...

- Mais justement ! l'interrompit Méro. On vient de rencontrer l'Étoile au Firmament Aliolius, il nous a dit que Raerus va mieux et qu'il s'est levé. Nous allions le voir quand nous t'avons croisée. Il est temps qu'il reprenne les choses en mains... et avec tout ça, j'ai dans l'idée qu'il ne sera pas de bonne humeur. »

°°°

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