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Chapitre 2 : Feeling Myself

— J'espère que vous avez révisé les gars, examen surprise ! balança le grand chef et professeur Clarkson. 

Nombreux, nous étions à écarquiller les yeux et à être stupéfaits de son audace de nous donner un contrôle en cuisine moléculaire, alors que le cours s'achevait dans moins de 20 minutes. 

Mais, plus rien ne nous surprenez de la part de cet homme qui était notre enseignant référent d'un talent de folie dans son domaine de la cuisine moléculaire, mais il se la pétait clairement. 

Il fit passer les copies, et bien que j'avais compris le cours, je n'avais pas révisé hier soir avant de me coucher. Mon voisin de table avait littéralement envie de se rebeller, mais malheureusement, il n'avait pas validé tous ses crédits du précédent semestre avec lui et il savait très bien que Clarkson était sévère et qu'il n'allait pas le rater s'il bronchait. 

Je lui balançai un sourire contrit et lui proposai de recopier sur moi s'il pouvait. 

Basile Hennes était très sympa, mais pas suffisamment studieux, pourtant il était très bon en pratique. Il était dans ma promotion depuis notre première année universitaire. Il était très discret et filait à chaque fin de cours, comme s'il avait le feu aux fesses. 

— Merci Ken, chuchota-t-il.

Je me mis à répondre au QCM qui était étonnement simple. Basile n'eut pas besoin de me recopier dessus très longtemps, car il termina avant moi et quitta la salle de cours. Je ne tardais pas non plus et le rejoignis à l'extérieur. Il avait déjà marché plusieurs mètres avec ses grandes jambes que je fus obligée de le héler pour qu'il se retourne. Il s'arrêta le temps que je n'arrive à sa hauteur et je lui souris.

— T'es toujours pressé, commentai-je. T'es la fusée de notre promo, ajoutai-je. 

— C'est parce que ... commença-t-il, non rien. Merci encore de vouloir partager tes réponses avec moi chez Clarkson. T'es bien la seule, pouffa-t-il. 

— Effectivement, constatai-je. Je devrais peut-être arrêter. 

Il sourit tout en haussant les épaules et nous nous dirigeâmes vers la bibliothèque pour bosser nos différentes matières. D'autres camarades ne tardèrent pas à nous rejoindre. Dans cette promotion qui changeait beaucoup depuis la première année, nous n'étions qu'une dizaine à ne pas avoir changé de parcours. Je n'avais pas réellement d'affinités avec eux, mais pour les travaux de groupe, nous nous mettions ensemble. 

En général, je me mettais avec Basile, car il était sérieux, bien qu'il ne soit pas très bavard. Il me semblait aussi qu'il avait une copine assez jalouse, c'était pourquoi il ne traînait pas trop avec les gens de la classe. 

Vers 17 heures, je décidai d'allumer mon téléphone que j'avais éteint ce matin. J'aimais bien faire ça et aussi, pour la bonne raison que Romeo m'avait harcelé pour savoir qui était ce garçon dont je parlais hier soir. 

Bien sûr, comme il exagérait tout, il avait ajouté que j'avais brisé le cœur de Paul et qu'il ne s'en remettrait jamais. 

En le rallumant, plusieurs notifications apparurent et la plupart venait de lui. Je roulais des yeux et préférai ne pas les lire. J'étais tout simplement prête à lui parler de mon Angelo Jones que je n'avais jamais vu de ma vie, mais qui me plaisait bien. 

Évidemment, j'avais créé des faux messages échangés pour que ça paraisse plus réel. C'était très simple avec une application adaptée. On n'y voyait que du feu. J'avais décidé de ne pas montrer de photo, que j'aurais pu prendre au hasard sur le net, car Romeo était trop fort pour retrouver une personne, juste grâce à une image. 

— On a reçu un mail de Clarkson, dit Emily en regardant son téléphone. Mais quel salaud ! Il a mis les notes de tout le monde dans le corps de mail et il annonce qu'il aura avec lui, un étudiant de troisième année qui va nous montrer comment faire toutes sortes de caviars, parce qu'on est incompétents. 

Je regardai mes mails et effectivement, il avait mis les notes de tout le monde. J'avais obtenu un A- et je regardai la note Basile qui avait obtenu un B+. La plupart avait des C ou des D. 

— Il n'y avait vraiment que Ken qui s'en sort dans cette matière, commenta Nathan. 

— Certainement parce qu'elle est gentille et que c'est bien la seule à partager ses réponses, répliqua Basile en se levant. Merci pour ce B+, Mackenzie Wang-Jones.

Il s'abaissa vers moi et m'embrassa la joue à la surprise générale avant de s'en aller. Je sentis mes joues chauffer. Heureusement pour moi, j'étais foncée et donc ça ne se voyait pas. Ouais, Basile était assez spontané aussi. 

— Tu passes tes réponses à Basile ? fit Emily partagée entre le choc et le déception.

— Eh bien, oui. Nous ne sommes pas une promo très solidaire. Vous faites du chacun pour soi et il n'y a que Basile qui me partage des réponses en calcul des mesures, ajoutai-je. Sur ce, je m'en vais. À demain ! 

Je fuis à mon tour et quittai l'enceinte de l'établissement en saluant quelques enseignants. 

À l'extérieur, Romeo m'attendait de pied ferme et les bras croisés, la mine renfrognée. Ses yeux me lançaient littéralement des missiles sauf que j'en fis abstraction en m'avançant vers lui.

— Salut Rome. J'espère que tu as passé une excellente journée. J'ai encore eu un A- en cuisine moléculaire. Ce prof ne me mettra jamais un A+. Ça m'agace, tu sais. J'ai tellement eu de B avec lui, que le A n'a même plus de valeurs à mes yeux. 

Romeo lâcha un rire tonitruant tout en se tortillant. Je le regardai faire son cinéma et lorsqu'il se calma, il reprit sa mine froide.

— Qu'est-ce que je suis pour toi, Mackenzie ? 

Mais quel acteur celui-là ! Il disait mon prénom entier que lorsqu'il était en colère. 

Et à cet instant, il n'avait aucune raison de l'être. 

— Mon meilleur ami, le frère que je n'ai jamais eu, le petit-ami d'Eve et son futur mari ...

— Non ! hurla-t-il.

Cela me fit sursauter et quelques étudiants nous regardèrent. Je soufflai et croisai les bras, prête à recevoir ses jérémiades. 

— Si j'étais réellement ton meilleur ami, tu m'aurais dit que tu parlais à un gars. 

— Tu me fais une crise de jalousie ? le questionnai-je. Parce que si c'est le cas, je t'arrête de suite. J'ai le droit d'avoir mon jardin secret, Romeo. Tu n'es pas mon père et même mon père ne réagirait pas comme tu le fais.

— Tu m'as ignoré toute la journée ! amplifia-t-il, choqué. Je me suis inquiété pour toi. J'ai cru que ton mec était venu te kidnapper et tout. 

Je levai les yeux et me mis à rire par sa folie. Il avait beaucoup trop d'imagination. Comme si on allait me kidnapper, moi, Mackenzie WJ ou que j'allais fuir je ne sais dans le pays avec un gars dont j'étais follement amoureuse. 

Cela le calma et j'en profitai pour l'embêter en tirant sa petite queue de rat qu'il avait à l'arrière de sa tête. Il pensait que ça faisait stylé, mais c'était horrible. Bon, en toute franchise, ça lui allait bien cette petite tresse. Puis, Romeo était réellement un joli garçon. Son teint était nickel - il faisait des masques une fois par semaine, il me forçait même à en faire - et il ne laissait pas indifférent la gente féminine, même masculine. 

Très souvent, on pensait que nous étions frère et sœur, du fait que notre carnation de peau n'était pas trop éloignée. Et, à regarder de près ou peut-être qu'à force de trainer ensemble, nous avions quelques similarités. 

— J'ai horreur quand tu fais ça, bougonna-t-il. Allez, je t'invite à prendre un café. Tu vas tout me raconter.

***

— Merci.

La serveuse lui balança un clin d'œil et en retournant la serviette, nous découvrîmes qu'elle avait laissé son numéro de téléphone. 

Quelle garce ! 

— Je vais envoyer ça à Eve ! dis-je, hilare. Elle va disjoncter. 

— Non ! me supplia-t-il. Tu sais très bien qu'elle va me prendre la tête. 

J'acquiesçai et souris doucement. Il avait entièrement raison. Eve aurait rappelé sur le champ et aurait insulté cette jeune fille à distance. Eve était adorable, mais elle était aussi très jalouse. 

— Tu me couvrirais si tu découvrais que je trompais Eve ? me questionna-t-il après un bref silence où je répétais mon texte dans ma tête. 

Interloquée par celle-ci, un petit gloussement m'échappa. Je l'observai et il semblait attendre une réelle réponse de ma part. Cela fit disparaître aussitôt mon rictus. Il était très consciencieux de ce qu'il venait de me demander. 

— Rome ...

— Ken, c'est une vraie question que je te pose.

— Tu la trompes ? 

— Non, répondit-il.

Je le scrutai. Il ne mentait pas. D'ailleurs, il roula des yeux et ajouta :

— Je voulais voir jusqu'où aller notre meilleure amitié. 

— Ah. Eh bien, je ne sais pas, déclarai-je avec honnêteté. Je n'aimerais pas que ça arrive parce que j'aime beaucoup Eve. Néanmoins, t'es mon Romeo à moi, donc je suppose que je ne dirais rien parce que tu passes avant elle, expliquai-je. Bien sûr, je te harcèlerais pour que tu dises la vérité, je t'insulterais parce que tu auras déconné, mais je t'aimerais toujours. Tu pourras même pleurer sur mon épaule. 

Son regard était touchant, je savais que je l'avais touché. Ça faisait bien longtemps que je ne lui avais pas dit que je l'aimais. C'était lui qui le faisait très souvent, car il était très démonstratif et protecteur envers moi. Depuis que nous étions gamins d'ailleurs. 

— Bon, souffla-t-il satisfait. Qui t'a volé ton cœur ? 

— Eh bien, il ne m'a pas encore volé mon cœur, mais on se parle beaucoup. Il s'appelle Angelo Jones et il vit à New-York. On s'est connu sur un forum culinaire, parce que j'avais besoin d'une recette ancienne. Bref ! Et il était curieux de savoir ce que je faisais et on a parlé, parlé, parlé, racontai-je avec une fluidité parfaite. 

J'étais plutôt douée. 

— Purée ! Tu as dit qu'il s'appelait Angelo Jones ? Genre, il a le même nom de famille que toi ? dit-il en écarquillant les yeux. 

— Ouaiiiiiiis ! D'ailleurs, ça nous fait toujours rire, poursuivis-je avec une petite moue. 

— Il est sur les réseaux sociaux ? m'interrogea-t-il en sortant son téléphone.

— Malheureusement, non. 

— Quoi ? lâcha-t-il, outré. Il te ment Ken ! Qui aujourd'hui n'est pas sur un réseau social ? Je vais le chercher. Il doit avoir un pseudo, du genre Angel ...

Mon cœur se mit à tambouriner très fortement dans ma poitrine, parce que je n'avais pas pensé à cet aspect, mais une idée me vint en tête. 

— Tu sais Rome, il a voulu qu'on dise qu'on soit en "couple", mais on s'est jamais vu. On se parle que par message. Il ne m'a jamais appelé et quand je veux le faire, il refuse. Il veut qu'on se voit lorsqu'il viendra au Culinary Institute of America. Il dit que c'est un romantique notre façon de se connaitre. 

Romeo m'observa et posa son téléphone, la mine sérieuse. 

— Bon. Ça ne me rassure pas tout ça. C'est trop mystique même. Tu discutes peut-être avec un gros pervers, Ken ! Imagine que c'est un pédophile ? Mon Dieu, arrête de parler avec ce mec. 

— De toute façon, ça fait que trois mois qu'on discute. Il devrait venir dans les prochaines semaines. Si ce n'est pas le cas, c'est que c'est un menteur, ajoutai-je. Et, je ferais ce que tu m'as dit. 

Il hocha la tête et me demanda mon téléphone que je lui passai sans hésiter. Je n'avais pas besoin de lui demander pour savoir qu'il était dans mes messages en train de les lire et de les analyser.

— Vous parlez vraiment que de bouffe, ricana-t-il. Mh, c'est vrai qu'il est assez romantique. 

— Il aime beaucoup le vélo aussi. On a beaucoup de points communs, dis-je. 

Il opina de la tête et continua sa lecture de messages.

— Vous ne partagez même pas d'émojis et il ne t'a jamais dit qu'il t'aimait Mackenzie, me fit-il remarquer. 

— Eh bien, tant mieux. Je trouve ça très précoce de se dire ce type de choses, surtout qu'on ne parle que par message. Bon, rends-moi mon téléphone.

Je n'attendis pas et le récupérai sous son regard éberlué.

— Je ne l'aime pas trop ce type. Il n'est pas très clair. Et il parle comme une personne âgée. Il a quel âge ? 

— Il a 21 ans. Et, je trouve qu'il s'exprime correctement. 

— Ouais, pouffa-t-il. Il écrit comme toi. Même pas de mots en raccourci. Vous êtes déjà ennuyants. 

Mon expression resta de marbre, mais j'avais envie de me pisser dessus. 

— Je trouve que tu juges trop, Rome. Bref ! 

Il s'adossa à sa chaise et commença à me parler de Paul qui était vraiment peiné, après la bombe que j'avais lâché. Ils avaient été tous embarrassés pour lui, sauf que j'expliquai que je n'avais pas d'autres choix que de lui dire la vérité. Il commençait à être trop insistant et ce n'était pas à mon goût. J'aimais bien les gars qui ne montraient pas qu'on leur plaisait ou que ça soit fait de manière subtile. Je trouvais ça beaucoup plus sexy que le gars qui exhibait clairement qu'il n'attendait que votre feu vert pour que vous sortiez ensemble. 

Pour moi, l'amour et le sentiment "d'aimer", c'est un peu comme de la cuisine ou un plat qu'on a préparé. Le plus important, c'est le résultat final grâce aux ingrédients. Le goût du plat ou du dessert doit vous laisser stoïque. 

— Et tu l'imagines comment ton serial killer ? m'interrogea-t-il.

Je lui jetai ma serviette de table usagée à la figure, ce qui le fit rire.

— Je ne sais pas trop. Tu as bien vu que dans les messages, il disait qu'il avait une chevelure assez conséquente, qu'il avait une oreille percée d'un anneau et qu'il avait des yeux d'une couleur basique ...

— Il joue trop au gars mystérieux, c'est irritant. C'est forcément un noir. Je nous connais, on aime beaucoup se donner un genre, alors que nous sommes des gros loveurs. 

J'éclatai de rire, face à ses bêtises. S'il savait que mon Angelo Jones n'existait pas ...

— Au moins, tu n'auras pas à changer ton nom de famille si vous vous mariez. Bien sûr, il faudrait qu'il soit aussi beau que moi et que ça ne soit pas un psychopathe. 

— Oui, très pratique. Mais, je pense que tu vas trop loin. Peut-être qu'il ne viendra jamais ici. J'aime à penser que ce n'est qu'un imposteur. 

— Alors, ne t'accroche pas trop à ses messages et je continue ma recherche de prétendants pour toi. Il n'est clairement pas validé pour le moment. 

Je lui souris grandement et continuai de prendre mon goûter tout en discutant avec lui.

Je savais qu'il allait me laisser tranquille pendant quelques temps, grâce à ce faux Angelo Jones. 

***

Dans ma chambre étudiante où ma colocataire venait de faire un passage éclair, avant de disparaître, j'étais en Facetime avec ma grande-sœur qui me racontait ses déboires sentimentales avec son gars du moment, au lieu de se concentrer sur ses cours de droit, car elle envisageait d'être la future Annalise Keating. 

— Franchement, tu fais bien de ne pas penser aux mecs. Men are trash. 

Je levai les yeux tout en bossant mes cours. Elle fit tomber un bol et grimaça, tandis que ma mère lui hurlait de faire attention. 

— Je crois que le bol n'était pas très en accord avec tes propos. Et, je suis d'accord avec lui. Ce pauvre Dwight ne t'a rien fait. C'est toi qui n'est pas clair avec lui, rétorquai-je. 

— Moi, Diana Wang-Jones, bombe que je suis, tu crois que je vais lui dire que je développe des sentiments assez forts pour lui. Oh hell no ! Un peu de dignité. 

— Du coup, Dwight a entièrement le droit de côtoyer d'autres femmes. Tu lui as dit que tu ne voulais pas une relation exclusive Diana. 

Ma soeur me regarde avec son side-eye de la mort et me "tchipa" avec toute la haine qu'elle avait. Puis, elle repoussa ses grosses boucles pour se donner de la contenance. 

Je ris, car elle savait que j'avais raison. 

— Tu devrais me soutenir. 

— Tu devrais lui dire que tu l'aimes. 

— Je ne l'aime pas, je l'apprécie ! renchérit-elle en appuyant sur le dernier mot. 

— Dit-elle alors qu'elle a envie de commettre un meurtre dès lors que Dwight parle à une soeur noire, ajoutai-je. On devrait se soutenir. 

— Je te déteste Mackenzie, maugréa-t-elle, mécontente. 

— Et moi, je t'aime Diana. Ce n'est pas de sa faute. Ni celle de ces filles. C'est de la tienne. Je suis persuadée que si tu lui disais la vérité, Dwight décrocherait la lune pour toi et arrêterez d'aller voir ces filles pour te rendre jalouse. Et toi, arrête de le torturer avec tes side-chicks boys, exemple : Sam ! Tu n'as visiblement pas assez suivi Murder pour vouloir tenter avec un gars avec ce type de prénom. 

Elle éclata de rire et moi aussi. J'arrivais toujours à faire rire ma grande-soeur à la folie incontrôlée. Je l'aimais énormément, mais souvent elle exagérait trop et réagissait en conséquence. Elle était un peu comme Romeo. C'est pour cela qu'ils s'entendaient bien et même, il fut un temps où il avait eu le béguin pour elle. C'était hilarant. 

Ce qui était aussi surprenant, c'était lorsqu'elle était dans son domaine, en tant qu'avocate d'affaire, elle était très contrôlée voire calme. C'est limite, on ne la reconnaissait pas. 

Ouais, je "fangirlais" sur ma grande-soeur. 

— Je t'aime vraiment ma petite cacahuète. J'ai hâte de te voir ce week-end. On va bien en profiter. Je vais dire à papa de me laisser sa carte. 

— T'es dingue ! Allez, je te laisse. À vendredi. 

Elle approcha ses grosses lèvres de la caméra de sa tablette et je ricanai avant de raccrocher. 

Ouais, j'avais définitivement une vie pas mal, avec une famille et des amis aimants. Je faisais des études qui me passionnaient et j'étais enfin tranquille sur ma situation sentimentale. 

J'étais d'ailleurs étonnée qu'elle ne m'est rien demandée. Peut-être que cette balance de Rome lui en avait déjà parlé, qui sait ! 

Dans tous les cas, je vivais ma meilleure vie. 




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