Un peu avant Rumbelle partie 1 ou au même moment :

De leur côté, Emma, Regina, Cruella, Jefferson et Zelena s'amusaient pendant leur temps libre, ils furent rejoints par Belle qui leur annonça que son heure de colle avait été décalée à 10 h, le lendemain.
Cruella et Zelena taquinaient Regina au sujet d'Emma.
Emma ne comprenant pas tout allait, quand elle et Regina seraient toutes les deux dans leurs chambres, demander des explications.
Justement, la journée était bientôt finit.
La rousse et la mis-blonde mis-brune partirent s'isoler dans leurs chambres suivies de Belle.
Quant à Jefferson, il partit lui aussi vers une toute autre direction.
Il ne restait plus que Regina et Emma, elles étaient dans le couloir marchant à toutes vitesse vers leur chambre.
Enfin...À toute vitesse à cause d'Emma qui tenait fermement la main de Regina dans la sienne.
Elles entrèrent enfin dans la chambre.
- Maintenant, tu va tooooout m'expliquer ! Pourquoi Cruella et Zelena s'amusaient à te taquiner à mon sujet ? Il y a donc quelques choses que tu me cache ? Demanda Emma.
Elle avait l'air aussi sérieuse et était redressée comme un I.
- Tu as dû l'entendre, tu te moque de moi ? Je t'aime, voilà pourquoi elles me taquinaient à ton sujet, pour que je te l'avoue !! Tu es contente maintenant ? De toute façon, tu ne peux pas m'aimer...Je suis trop différente. Dit Regina en retenant ses larmes.
Et sans attendre, elle s'en alla en courant plus vite que bien des jours.
Elle se rendit chez sa mère, de toute façon, elle devait déjà y aller.
Regina était dans le couloir quand elle ne put se retenir de pleurer.
Elle essuya ses larmes d'un revers de la main et continue à courir jusqu'à la chambre de sa mère qui habitait elle aussi ici.
Il était désormais 22 heures, elle n'avait pas fait attention à l'heure mais bon, Cora était sa mère et Regina avait une très bonne raison de réveiller sa mère à cette heure ci.
Regina avait vraiment besoin de réconfort et étonnamment, sa mère lui en apportait beaucoup. Sa mère l'aimait, c'est dommage qu'elle ne le montre pas plus.
Mais que fait on quand on as le cœur brisé ? On coule jusqu'à revoir enfin une part de bohneur ? On se retient et devient aussi froide et glaciale que cet homme ou cette femme ?
On peut faire les deux en même temps, c'est ce qu'à essayer de faire Cora.
Mais sans grande réussite.
Enfin, si l'on est pessimiste.
Regina arriva enfin dans la chambre de sa mère, sa mère n'était pas entrain de dormir, elle regardait vaguement la télé tout en ayant le regard dans le vide.
- Mère ? Demanda Regina. Elle avait du mascara qui lui coulait sur le visage.
Regina avait aussi les yeux rouges.
- Regina ? Que fait tu ici ? Qu'y a-t-il ? Tu as pleuré ? Demanda Cora inquiète de l'état de sa fille.
Regina continua à pleurer et ne répondit rien.
- C'est à cause de Bo Peep ? Je peux la chasser d'ici sur le champ si tu en a envie. Dit Cora.
- Ce n'est pas sa faute mais celle d'Emma. Dit difficilement Regina.
- QUOI ? Comment ça ? Ta nouvelle colocataire a fait quelques choses de mal ? Demanda Cora.
- Je l'aime mais je n'ai pas certainement ma chance avec elle. Elle ne m'aime certainement pas. Dit Regina.
- Ma fille, t'ais je déjà expliqué que quand on ne sais pas, nous ne sommes pas sûre. Peut-être qu'elle t'aime, qu'en dit tu ? Tu es sûre qu'elle ne t'aime pas ? Demanda Cora.
- Non mais c'est certainement sans espoir. Dit Regina.
- Que dois je faire si ce n'est de te conseiller de garder espoir, peut-être qu'elle t'aime. Dit Cora sur un tont solennel.
- Et peut-être qu'elle va me détester. Dit simplement Regina.
- Je t'en prie, pourquoi penses tu cela ? Qu'est-ce qui te prouve que ce n'est pas réciproque ? Demanda Cora.
- Je ne sais pas...Bon, très bien, je vais retourner dans ma chambre. Dit Regina.
Regina sortit donc de la chambre de sa mère avec la peur et la confiance au ventre.
Elle se demandait comment sa mère pouvait lui donner d'aussi bon conseil et pourquoi aussi.
Elle se dépêcha de rentrer dans sa chambre, elle espérait qu'Emma soit réveillée et l'attende peut-être.
Elle avança, dans l'ombre, il faisait désormais entièrement noir.
En un clin d'œil, elle se remit à courir aussi rapidement qu'elle le pouvait pour retrouver Emma.
Elle arriva à l'étage où il y avait sa chambre.
Les murs étaient d'une couleur très bleutée.
Il y avait quelques tableaux accrochés aux murs.
D'ailleurs, il y avait celui d'Emma, d'elle-même et d'autres élèves logés ici.
Le tableau représentant Emma était magnifique tout comme Emma.
Elle reprit ensuite son chemin jusqu'à la dernière chambre de l'étage.
Elle entra dans la chambre.
- Moi aussi, je t'aime ! Dit une voix qu'elle adorait entendre depuis peu.
- Emma ? C'est vrai ? Demanda Regina.
- Oui, Regina, je t'aime ! Dit Emma.
Regina sautat sur Emma qui était installée sur un fauteuil.
Elles échangèrent un baiser passionné. Puis fatiguée par autant d'évènements en une journée, Regina s'endormit, elle avait la tête contre l'épaule d'Emma, c'était mignon.
Emma ne bougea pas et resta dans cette position. Au bout d'une heure, elle s'endormit elle aussi après avoir, pendant toute l'heure, regarder Regina dormir.
Elle était toujours aussi mignonne. Se dit Emma.
Au petit matin, à 9h44 étant donné que le mercredi, elle n'avait pas cours, elles étaient toujours blottie l'une contre l'autre.
Quelqu'un frappa à la porte.
- Sœurette, tu peux ouvrir ? Demanda la rousse.
- Darling, ouvrez, aujourd'hui, on va bien s'amuser ! Dit la brune-blonde.
Regina ouvrit la porte.
Elle avait ce sourire des beaux jours.
Sa sœur comprit tout de ce qu'il s'était passé.
- Grâce à toi et maman, Emma et moi, on sort ensemble. Chuchota Regina.
- Maman ? Elle a fait quoi ? Demanda Zelena.
- Alors, elle n'était pas dans le coup ? Demanda Regina étonnée.
- Oui, pourquoi tu crois cela ? Demanda Belle.
- Bah...Elle m'a encouragé, m'a répété que j'avais toute mes chances. Dit Regina.
- Ah bon, sœurette, tu en es sûre ? Tu en as la preuve ? Moi, ça m'étonne d'elle. Dit Zelena.
Emma n'était toujours pas réveillée.
- Humm...Je vais y aller, mon heure de colle commence dans quelques minutes. Dit Belle en prenant ses jambes à son coup, enfin façon de parler, elle y allait quand même assez vite mais pas comme si elle voulait fuir quelqu'un ou quelque chose.
Les discussions continuèrent jusqu'à l'arrivée d'une femme.