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13. I promised you to keep you safe.


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If you need music:

Playlist: 

Give me love - Ed Sheeran

Kiss me - Ed Sheeran

Sweat - Zayn

The XX - Intro 

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ARIA

Los Angeles, Californie.

Maze's property.

Une main enfouie dans ses cheveux, caressant lentement son cuir chevelu tandis que sa tête reposait au creux de mon cou, son nez frôlant ma peau, sa respiration me chatouillant délicatement. Il n'avait pas parlé, il n'avait pas eu besoin.

Son visage était baigné de larmes à son arrivé et je compris immédiatement qu'il avait gros sur le cœur. Il m'avait prit dans ses bras avec urgence. Dans les premières secondes qui me parurent des minutes, il étouffait ses sanglots en les refoulant dans sa gorge faisant vibrer sa poitrine contre la mienne. Montrer ses émotions n'étaient pas facile pour lui et pourtant je l'avais senti à bout, il avait besoin d'exploser.

Je suis là pour toi, avais-je chuchoté dans son cou. Tu es en sécurité.

C'était ce qu'il avait besoin d'entendre, comme une confirmation pour se laisser submerger par sa tristesse. Nous sommes montés peu de temps après, Maze guidé par mes pas, me suivit jusqu'à mon lit où nous prîmes place, sa tête enfoui dans mon cou, respirant silencieusement mon odeur.

Une vingtaine de minutes s'étaient écoulées dans le silence absolu, bercés par nos respirations et ses légers sanglots. Mon cœur était brisé de le voir de la sorte. Sa carapace, sa forteresse s'étaient écroulées et il comptait sur moi pour le rattraper alors c'est ce que je fis. J'étais là, sans savoir la raison de ses larmes. Était-ce Ivy ? La revoir l'avait-il autant chamboulé que ça ?

Égoïstement, j'aimerais croire que non.

Il a fait d'elle sa famille, il murmura, ses doigts jouant doucement avec les miens. Il avait une famille... Et il l'a détruit. Il m'a détruit... et ma mère, elle... Je ne sais même pas si elle va bien, je... Je n'ai pas de nouvelle depuis longtemps.

Lentement, je passais ma main dans ses cheveux, le laissant me confier ce qu'il avait sur le cœur sans jamais le bousculer ou l'interrompre.

Peut-être qu'elle est même morte, il ricana tristement, et moi je suis là... à espérer la revoir un jour. J'aurais dû la pousser à venir avec moi... J'aurais dû la sauver.

Sa voix se brisa à sa dernière phrase. Je le serrais plus fort contre moi, il inspira longuement, humant mon parfum. Son corps tremblait encore contre le mien, je savais qu'il se retenait d'éclater en mille morceaux, encore une fois.

Pourquoi l'avoir voulu elle et m'avoir... Si mal traité, m'avoir pousser à partir alors que j'étais qu'un putain de gamin.

Je fixais nos mains liées, ses doigts taquinant silencieusement les miens, une tactique pour faire diversion avec sa tristesse et en oublier une partie.

Ton père est une ordure, il n'y a pas d'autre explication, lui assurais-je et il sursauta presque au son de ma voix, comme s'il se rappelait de ma présence. Tu n'avais que seize ans Maze, tu ne pouvais rien faire pour elle si elle ne le voulait pas. Je suis sur qu'elle est fière de toi, que c'est ce qu'elle voulait, te voir partir te mettre en sécurité, loin de lui.

Il acquiesça.

C'est ce que j'aurais voulu pour mon fils, à sa place.

Ses yeux rougis remontèrent vers les miens, ses lèvres effleurèrent ma mâchoire par notre proximité, j'esquissais un léger sourire qu'il me rendit avant de déposer un léger baiser dans mon cou.

T'es d'une douceur..., il soupira. Je ne sais pas ce que j'ai pu faire de bien dans ma vie pour mériter qu'on te mette sur mon chemin.

Je ne sais pas mais quoi que ce soit, je t'en remercie.

Il gloussa contre ma peau avant de rouler sur le dos, à mes côtés pour pouvoir m'attirer contre son torse.

Je n'avais pas d'autre réponse à lui donner, je n'étais pas non plus un miracle pour qu'il parle de ma présence comme telle. Il méritait toute la douceur du monde, celle que son père lui avait retirée trop jeune. Si je n'avais pas si peur de son paternel, je lui aurais bien dit deux mots voir... Exercé mes entraînements sur sa face de rat. Malheureusement, j'étais une poule mouillée.

J'aurais aimé que mon père le traite différemment, plutôt que faire de lui une arme, une partie de moi lui en veut pour ça. Surtout lorsque je vois réellement les répercussions de leur choix sur cet ado en manque d'affection et d'un cadre familial stable.

Je ne veux pas que tu te sentes coupable, chuchota-t-il. Je te connais assez pour savoir que tu culpabilise des choix de ton père. Je ne lui en veut pas, il m'a peut-être formé à être... mercenaire, mais... D'une façon, il a été le père que j'aurais aimé avoir. Il a veillé sur moi, m'a donné un toit et de quoi manger. Grâce à lui, je ne suis pas mort de froid dans la rue...

Cette image me brûla la rétine, je fermais les yeux retenant les larmes d'inonder mon visage mais je ne pus refouler le sanglot qui m'irrita la gorge. Il me décala, de ses mains sur mes épaules pour poser son regard sur moi.

Aria, il murmura dans la pénombre. Ne pleure pas pour moi... Je...

Mes lèvres se posèrent brusquement sur les siennes, coupant court à ses mots. J'avais besoin de lui faire comprendre qu'il m'avait à présent. Que j'étais sienne s'il le voulait, que jamais je ne l'abandonnerais. J'aimerais qu'il sache qu'il est ma maison comme je voudrais être la sienne, qu'il était devenue ma safe place autant que les petites étoiles sur le plafond de ma chambre d'enfant, autant que ma série préférée. Que je n'avais besoin de rien d'autre si je l'avais lui, alors je l'embrassais, comme jamais je ne m'étais permise de le faire et il comprit.

Mon cœur se serra lorsque, contre nos lèvres, nos larmes se mélangèrent. 

Nous n'étions plus nous mais l'ados et la jeune fille mal traité par son amant et son oncle, essayant de se guérir l'un l'autre comme on le pouvait.

Son bras s'enroula autour de ma hanche, dans l'infime espace que j'avais créé en me redressant pour pouvoir l'embrasser. Sa main prit en demi coupelle mon visage lorsqu'il approfondit notre baiser le rendant plus urgent, plus passionné plus... vitale.

Je le laissais faire lorsqu'il bascula sur moi, mes jambes s'écartèrent naturellement lui laissant la place qu'il nécessitait. Je me surpris à les enrouler, supprimant la distance entre nos corps et il grogna contre mes lèvres.

Aria si on continue comme ça je... Putain je suis instable, je ne pourrais pas m'arrêter.

A-Alors ne le fait pas, murmurais-je, les yeux clos. Je... Je ne veux pas que tu t'arrêtes.

Regardes-moi...

Et je le fis.

Mon cœur explosa dans ma poitrine à la vue de ses prunelles vertes, si pures, si douces. Silencieusement, il m'observa comme pour s'assurer de l'authenticité de mes mots. J'esquissais un léger sourire qui se refléta lentement sur ses lèvres. Il repoussa une mèche derrière mon oreille laissant son index retracer ma mâchoire.

Je ne veux pas que tu t'en sente obligé.

Ce n'est pas le cas, lui assurais-je. Je suis sûr de mon choix.

Et par choix je voulais dire qu'il était le bon, avec qui je pouvais être moi-même, que je lui faisais confiance. Indirectement, je lui faisais comprendre que je savais qu'il n'était pas eux.

« — Je ne suis pas eux. Je ne te ferais jamais ce qu'ils ont pu te faire. »

Ses paroles tournèrent en boucle encore et encore dans ma tête. C'était ses mots, il y a de ça une année et elles étaient encore fraîchement ancrées dans mon esprit. Tout comme chacune de ses promesses et paroles.

J'ai confiance en toi Maze, soutins-je. Je sais que... Tu me tiens en sécurité.

Une vague de soulagement traversa son regard. Il déglutit en acquiesçant d'un hochement de la tête.

Sauf si toi tu-

Dis pas de connerie, il pouffa, amusé. Je n'ai jamais caché le désir que tu éveillais en moi.

Mon visage s'échauffa à ses mots. Son sourire s'élargit découvrant ses dents blanches à l'alignement parfaite, son pouce caressa doucement ma peau. D'un dernier regard, il s'assura de mon consentement avant d'embrasser mon menton, puis une lignée de baisers se déposèrent contre ma mâchoire jusqu'à mon point sensible juste en dessous de mon lobe.

Ma tête tournait, je n'avais jamais ressenti une telle sensation pour un contact si infime. Et moins il me touchait, plus il me frôlait et mon envie se décuplait.

Ma respiration se bloqua dans ma gorge lorsque ses doigts se déposèrent à l'extrémité de mon débardeur, ils se glissèrent en dessous, remontant lentement chatouillant mes côtés.

Un hoquet de surprise s'échappa d'entre mes lèvres lorsque son autre main attrapa la mienne pour la diriger vers sa chevelure. Mon cœur se mit à battre à tout rompre lorsque je compris pourquoi il faisait ça.

Ce n'est que moi, regarde mes yeux.

Ses doigts se refermèrent contre les miens, m'invitant à empoigner sa chevelure, beaucoup plus longue que celle de... mes bourreaux.

Dis-moi leur couleur, chuchota-t-il comme s'il avait peur de me brusquer.

Ils sont verts, répondis-je, rauque.

Ils ne sont pas marrons.

Pas comme les leurs.

Il sont verts, Maze est le seul à en avoir de tels.

Il sentit mon corps se détendre contre le sien, d'un hochement de la tête, il m'encouragea dans cette voie. Mon visage s'inclina davantage sur ma droite lui facilitant l'accès. Mes lèvres s'entrouvrirent laissant un léger soupir de satisfaction s'en échapper lorsque son pouce effleura le bout de mon téton, durement érigé.

Audacieuse, sa voix rauque éleva un frisson le long de mon échine.

Je savais pertinemment qu'il faisait allusion au fait que je ne portait pas de soutien-gorge. Dans d'autre circonstance, je lui aurais frappé le bras, mais la façon qu'il avait de le dire ne fit qu'accroître mon désir pour lui.

Je me cambrais pour l'aider à ôter mon haut. Ses mains se hâtèrent à écarter les cheveux qui m'occultèrent la vue et un léger rire brisa notre silence. Je grimaçai par manque de sensualité, il pressa mes joues faisant ressortir mes lèvres avant d'y plaquer sa bouche. Il avala mon gémissement au moment où sa main surplomba mon sein droit.

Son corps glissa lentement contre le mien, ses lèvres laissant de multiples baisers dans son chemin. Il m'observa à travers ses cils sombrent alors que son souffle chaud contre mon téton durci par le désir me fit frissoner. Un rictus satisfait étira ses lèvres, me bloquant momentanément la respiration.

Tout chez lui faisait grimper mon désir.

Son regard brûlant, m'observant de façon sauvage.

Son sourire arrogant et provocateur.

Ses cheveux ébènes ébouriffés par mes doigts.

Ses mains habiles sachant où et comment me toucher.

Je laissais échapper un couinement au contact de sa langue contre la peau sensible de ma poitrine, mon dos se cambra cherchant désespérément le contact du sien. Sa main longea ma jambe, de ma cuisse jusqu'au creux de mon genoux et la releva, m'invitant silencieusement à l'enrouler autour de sa hanche. Je ne me fis pas prier.

Ton corps est si réceptif à mon toucher, mon cœur...

Je me mordis la lèvre, évitant un énième gémissement d'en sortir à l'effet de son souffle contre ma peau humide. Mes paupières s'ouvrirent à nouveau sur son visage lorsque son corps remonta, me faisant face.

Laisse-moi te toucher à l'endroit que tu aimes, me supplia-t-il entre deux baisers, laisse-moi le faire pour toi.

Mes hanches s'élevèrent contre les siennes à ses mots et ce fut à son tour de gémir contre ma bouche. Ses pupilles se dilatèrent davantage, il captura ma lèvre inférieure entre ses dents tirant légèrement dessus.

Et comme si la pression était trop forte, sa main s'enroula autour de mon cou, inclinant mon visage vers le haut afin de pouvoir approfondir le baiser comme il le souhaitait. Je ravalais un hoquet de satisfaction à la sensation de sa langue contre la mienne combinée de la pression qu'exercèrent ses hanches contre les miennes apaisant momentanément la tension entre nos cuisses.

Mes doigts s'enfouirent dans sa chevelure le faisant grogner, sa main libre emprisonna ma cuisse dans une tentative d'augmenter le contact entre intimités.

Je n'avais jamais ressenti un désir tel que celui-ci.

Mon cœur battait à tout rompre à l'idée de réussir à passer le pas, avec lui. L'idée qu'il puisse vouloir être celui qui m'aiderais à oublier mon passé. Il était prêt à éclater d'amour à l'idée qu'il veuille être le seul à me faire aimer avoir des rapports.

Mon corps cria de manque lorsqu'il se redressa pour ôter son t-shirt sombre. Je déglutis en admirant son torse parfaitement sculpté, ses abdominaux dessinés à la perfection jusqu'à sa ligne "v" descendant jusqu'à se cacher derrière le bandeau de son boxer.

Il me laissa le temps d'admirer les tatouages ornant sa peau, d'une main, je me redressais. Son regard aux pupilles dilatés m'observèrent attentivement, son corps tressaillit au contact de mes lèvres entre ses pectoraux.

Aria...

Son torse montait et descendait dans un rythme rapide. Il jura au moment où nos regards se rencontrèrent, sa main emprisonna mon cou dans une tentative de maîtriser à nouveau la situation. Ses lèvres se poussèrent contre les miennes et mon corps bascula en arrière, collé au sien.

J'ai été formé contre la douleur... Contre la torture, il énuméra, embrassant la peau de mon cou. Mais personne ne m'a formé à cette sorte de supplice. Ton regard qui me dévisage alors que tes lèvres embrassent chaque parcelles de ma peau, je... Putain Aria c'est le pire des supplices et le seul auquel je cèderais à la seconde.

Il m'arracha un gémissement en mordillant mon téton.

Je céderais à tout pour toi... Je serais prêt à tout pour toi.

De mes mains emmêlées à ses cheveux, je le suppliais de remonter contre mon visage, mes lèvres demandant encore et encore le contact des siennes. Comme il l'avait implicitement promit, il céda et prit ma bouche en otage.

Ses hanches se poussèrent contre les miennes.

Il râla tandis que je couinais de d'affliction lorsque son téléphone se mit à sonner. Il se pencha, je tournais la tête vers l'écran: Ezra. J'eus envie de rire quand il déclina l'appel cependant il fallut une demi seconde pour qu'une second appel ne s'enclenche.

Ezra je te jure que je vais te-

BOUM.

Une énorme explosion retentit. Maze se redressa immédiatement sur ses genoux, le regard alerte.

EZRA ?

LE QG EST PRIT D'ASSAUT, réussis-je à entendre malgré le bruit de balles fusant.

Comprenant l'urgence, je sautais hors du lit afin d'enfiler des vêtements, prêtes à partir. Des pensées horribles m'assainir, les unes pires que les autres, brouillant mon ouïe et le reste de la conversation.

Ses mains se posèrent sur mes épaules, m'arrêtant dans mes mouvements. Je tressaillis de terreur en voyant ses iris baignés d'urgence.

Qu'est-ce que tu fais ?

On doit aller les aider !

Hors de question que tu-

Je t'en prie Maze, n'as-tu pas dit que je faisais partie de votre famille ? il sembla frissonner à mes mots.

Un combat intérieur prit place dans son esprit pesant le pour et le contre. Se fut lorsqu'il s'activa, sa main prenant la mienne, il nous tira vers son bureau où il ouvrit une armoire contenant des armes.

Sans que je ne puisse contester, il m'enfila un gilet pare-balle qu'il serra autour de mon corps. Ses doigts tremblèrent contre ma peau démontrant sa détresse. J'aimerais le rassurer le problème était que j'étais aussi incertaine de ce qui allait se passer.

Black Widow's QG

Tout ce que je pouvais voir c'était de la fumée. Le parking souterrain était submergé de fumée mais ce qui m'alertait le plus était l'absence de sécurité à l'entrée, du moins c'était ce que je pensais jusqu'à ce que ma vue s'éclaircisse en m'approchant.

Le bras replié contre nos nez évitant d'inhaler encore plus de toxicité, Maze tenait fermement ma main libre. Les deux mercenaires tenus de la sécurité de l'entrée n'étaient plus que cadavres jonchant le sol, la blessure par balle creusant leur peau au milieu de leurs crânes.

Reste près de moi, ne lâche pas ma main, compris-je malgré sa bouche barrée de son bras.

J'acquiesçais rapidement.

Du coin de l'œil je le vis retirer son glock de sa ceinture, puis un second qu'il me tendit.

Je crois que tu sais t'en servir ?

Une nouvelle fois, j'acquiesçais, et l'adrénaline me brûla les veines. Il poussa doucement, plusieurs personnes était à terre mais selon l'expression froide de Maze, ce n'était pas des black widows. Les détonations d'armes à feu paraissaient à la fois lointaines et proches. Ça ne venait clairement pas du sous-sol mais plutôt en direction des salles de réunions.

D'une légère pression sur ma main, il me fit signe de longer le mur. Je serrai un peu plus la crosse de mon glock au fur et à mesure que nous avancions essayant de calmer les battements de mon cœur.

Des bombes fumigènes lâchaient encore de la fumée blanchâtre rendant notre visibilité encore plus mauvaise. Prudemment mais tressaillant à chaque coup de feu, nous continuons.

Emerson ! je reconnus Kaz. Il faut bloquer la porte du sous-sol, ils ont trouvé notre troisième entrée !

Maze pressa le pas, chevauchant les cadavres au sol. J'observais son expression faciale mais il restait de marbre. Arrivés à la salle de repos, toutes les armes se braquèrent sur nous le temps d'une seconde, assez pour que j'ai l'impression de faire un arrêt cardiaque.

Bordel de merde, soupira Chase excédé. Aucune perte de notre côté, on a réussi à buter la première embuscade mais... Une deuxième se trouve à la deuxième porte et une autre à la dernière. Mike à dû leur donner les plans du QG !

Madds arriva d'une pièce adjacente suivie par Ezra et Linn.

Il faut les repousser ! s'emporta Madds.

Tout le monde est là ? demanda Maze en survolant la pièce faisant mentalement l'appel de ses mercenaires. Divisez vous en deux groupes de dix, chacun prend une entrée. Madds toi tu prends Aria et tu vas dans la pièce blinder.

Quoi ?! Je ne te laisserais pas !

Ecoutes-moi, ses mains sur mes épaules me tournèrent vers lui. Ce ne sont pas des cibles immobiles, ils ne vont pas hésiter et te tirer de sous. Ils s'en foutent de qui tu es, au contraire, je suis la cible numéro une et toi la deuxième, si ce n'est pas l'inverse.

Sans me laisser le temps de réagir, il fit signe à Madds de m'emmener.

Ne fais pas ça, murmurais-je, le sentiment d'impuissance enveloppant mon cœur.

Je fais ce que je t'ai toujours promis, te protéger.

Sa main se posa rapidement contre ma nuque m'attirant contre lui, nos bouche s'entrechoquèrent d'un geste rapide. Puis avant même que je n'ai le temps de le retenir, il m'échappa et sortit de la pièce me laissant seule avec Madds.

Elle me traîna de force le long des couloirs, tandis que nos cœurs s'arrêtèrent au son d'une bombe.

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Hey hey hey !


Comment allez vous ?

Moi ça va !

J'ai écris ce chapitre le cœur battant, autant pour avoir imaginer Maze pleurant, comme leur échange spicy et puis la fin....

Qu'en avez-vous pensé ?

N'hésitez pas à me dire en commentaire ne soyez pas timide j'adore les lire...


Kisses&LotofLove,

 🦋

Mélissa.

Instagram:  sweetydarka






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