16. I called you.
( TW/ TRIGGER WARNING: Ce chapitre contient des passages pouvant heurté la sensibilité de certaines personnes.)
MAZE
Los Angeles, Californie.
MAIS QU'EST-CE QUE...
Je la regardais, impuissant, montant sur l'estrade au milieu de la foule attirant tous les regards vitreux sur elle. Je descendis mon verre d'un trait, sans jamais détourner les yeux de son corps moulé parfaitement dans sa petite robe rose.
L'idée d'aller péter la gueule à ce putain de DJ qui venait de lui faire un clin d'œil me tortura l'esprit, mais je devais me contenir. J'avais une mission.
En parlant de ça, les voilà qui dirigeaient leur regard emplit de perversité sur Aria. Je craquai mon cou, essayant de détendre mes muscles alors qu'elle leur demanda d'approcher de son index.
Putain de merde.
PUTAIN DE MERDE.
Elle allait clairement me faire péter un plomb, et je ne pouvais pas me le permettre. Je devais rester focus sur ce foutu Daryl. Il fallait que je sache pour Kol, car rester dans l'ignorance de ses intentions pourrait la mettre bêtement en danger.
Alors qu'ils se levèrent tous les quatre pour la rejoindre, mon attention se bloqua sur Daryl qui comptait lui aussi se rincer l'œil.
Oh que non, toi tu restes avec moi.
Rapidement, je me dirigeais vers lui, barrant son chemin de ma main sur son torse. Ses yeux remontèrent vers moi, son visage se décomposa au même moment que mon rictus sadique ne prit place sur mes lèvres.
— Toi et moi, on va parler.
D'un signe de tête, il me montra le petit recoin où il était assit avec sa bande. Sans un mot de plus, je le suivis, tournant le dos à ma petite brune.
— J'aimerais que tu fasses vite. Ne tourne pas autour du pot, il y a une putain de déesse qui vient d'entrer sur scène, il se servit un verre de whisky. C'est la première fois que je la vois et putain... j'ai pas envie de perdre se spectacle.
— Je veux savoir ce que mijote Kol avec Aria.
— Oh tu veux dire, avec ta nouvelle p'tite mission ? il pouffa de rire. On m'a dit qu'elle était bandante.
Je contractais la mâchoire pour me contenir et ne pas lui péter sa gueule d'arrogant. L'air distant, j'allumais une cigarette.
— Je ne sais rien sur les intentions de Kol.
— Ne me fais pas ton acting à deux balles, je sais que Kol te raconte littéralement tout. Alors soit, tu te dépêches de tout balancer soit..., je sortis mon glock 17 avant de le pointer discrètement sur lui. ...soit je te bute, et tu sais que j'arrive toujours à mes fins. Il n'y a rien que je ne puisse savoir.
— Putain, je suis pas une balance, il grogna.
D'un geste rapide et contrôlé, je sortis mon couteau pliant noire, je l'ouvris d'un coup sec avant de le planter dans le dos de sa main, qui tapotait les cendres de sa cigarette dans le cendrier, clouant sa paume à la table.
La musique camoufla son cri de douleur.
— PUTAIN DE CONNARD.
— Maze, le rectifiait-je, alors, maintenant est-ce que tu es prêt à redevenir la petite balance de merde que tu es ?
Son regard noir me fusilla, accroissant mon sourire carnassier. J'apportais ma cigarette à mes lèvres tirant longuement dessus.
— Il veut faire foirer ta mission, ok ?
— Tu ne m'apprends rien là, dis-je en retirant la lame que je gardais près de moi prêt à le planter à nouveau, tandis que mon autre main resserra mon glock. Je te conseillerais d'approfondir.
Il attrapa un mouchoir sur la table pour compresser sa blessure, discrètement je jetais un bref coup d'œil vers Aria qui dansait toujours.
— De ce que je sais, il ne te porte pas réellement dans son cœur et toi non plus. Tout ce qui veut c'est t'anéantir, il m'a parlé d'une chance qu'on lui tendait, et que cette fois il réussirait à te faire échouer.
J'inhalais une bouffée de nicotine tout en essayant de contrôler les tremblements de mes mains sous la rage qui augmentait pour cette ordure.
— Il veut la briser, l'anéantir. Détruire la confiance qu'elle éprouve pour toi, la mener à sa perte. Parce que c'est ce qu'on lui a ordonné.
Mon nez se plissa sous la fureur qui brûlait mes veines. Ma respiration s'accéléra au même prix que les battements de mon cœur. J'allais vriller, je le sentais.
— Pour qui est-ce que...
— Oh Maze, un rictus malicieux étira ses lèvres alors qu'il me coupa. Tu es bien plus intelligent que ça. Tu es très doué pour résoudre ce genre d'énigme.
Ma vision s'assombrit et sans réfléchir, je brisais l'air en envoyant mon couteau qui s'enfonça dans son épaule. Je me penchais sur la table, posant mes paumes contre la surface.
— Arrêtes de me prendre pour un débile, crachais-je, tel du venin tout en pointant mon arme sur son front. POUR QUI EST-CE QUE CE BÂTARD FAIT-IL LA PUTE !
Il me toisa à travers ses cils blond, sa respiration hachée par la douleur que chaque inspiration lui faisait éprouver grâce au couteau encore planté dans son épaule.
— Réfléchis Maze, qui voudrait à ce point faire du mal à la fille du petit informaticien des Rivers ?
J'inspirais, mordant ma lèvre inférieure avec furie. Tout mon corps tremblait de rage, mes pensées fusèrent à la recherche d'informations mais rapidement, un seul nom me vint en tête.
Les putain de Turners.
— Kol est la petite pute des Turners, n'est-ce pas ? je plissai les yeux en sa direction.
Quelques secondes passèrent avant qu'il n'acquiesce d'un mouvement de la tête. Maintenant que j'avais toutes les réponses, je mis le silencieux sur mon glock 17.
— Je t'ai tout dit Ma—
Une balle entre les deux yeux le fit taire. Je repris mon couteau que je repliais avant de le ranger dans ma poche arrière. J'enlevais le silencieux et bloquais mon arme dans ma ceinture avant de le cacher par ma chemise à la couleur sombre.
Tirant le rideau opaque, je cachais la scène de meurtre et descendis les deux petites marches qui me séparait de la piste de danse.
Je me postais près des escaliers pour qu'Aria puisse me voir et qu'elle comprenne qu'il était temps de partir. Mais lorsque mes yeux se posèrent sur l'estrade, mon sang se glaça. Elle était vide, la lumière rouge qui illuminait la brune avait disparu tout comme elle.
Putain de merde.
PUTAIN DE MERDE.
Réfléchis, réfléchis, réfléchis.
Je frappais mon front de ma paume alors que je commençais à perdre le contrôle de mon corps. Je voyais rouge. Mes yeux allaient de droite à gauche désespérés de la retrouver.
— Tu aurais vu la danseuse en robe rose ? demandais-je à l'une des danseuses à l'étage.
— Euh... je crois qu'elle est partie avec trois clients, mais... je suis dispo moi.
Ma mâchoire se contracta plus violemment., je repoussais ses mains de mon torse avant de tourner les talons et dévalais l'escalier. C'était impossible qu'elle soit partie avec eux de son plein gré, ils l'avaient kidnappé.
Arrivé dans le couloir, je poussais chaque porte, vérifiais chaque recoin de chaque pièce.
— NON, NON, NON, une voix affolée s'éleva de derrière la prochaine porte.
Pas une voix, sa voix.
En deux temps trois mouvements, je sortis mon arme et tentais d'ouvrir la porte. Ces fils de pute l'avaient fermé de l'intérieur.
— ARRÊTES ! JE T'EN SUPPLIE.
Son cri de désespoir fit écho dans ma tête. Pris d'une rage démesurée, j'envoyais plusieurs coups de pied dans la porte.
— Je n'ai jamais aimé les filles faciles, alors continue de te débattre... ça ne fait que m'exciter encore plus.
Sa voix me fit péter un plombs.
C'était lui, il était là et putain il était enfermé avec elle.
Je poussais un cri guttural envoyant mon pied une dernière fois sur le bois avant qu'elle ne cède en s'ouvrant sur le côté.
La scène qui se déroulait face à moi me fit presque sombrer dans la démence. Son corps surplombait le sien, allongée sur le bureau, la main de se fils de pute remontait sa robe plus haut sur sa cuisse alors qu'elle se débattait.
Il la tenait en place avec sa putain de main, à nouveau sur son cou.
— Tu as trois secondes pour te dégager de son corps, le menaçais-je en essayant de maîtriser ma voix.
— Sinon quoi ? il rit sans bouger. Tu ne peux pas me tuer, tu te rappel ?
— DÉGAGES DE SUR ELLE !
Il poussa un ricanement. Lentement, il relâcha son emprise. Je m'attendais à ce qu'elle accourt vers moi, à ce qu'elle me prenne pour son bouclier humain mais non. Rien. Elle ne bougea pas. Tout ce que je percevais, c'était son corps secoué par ses tremblements causés par la terreur.
— Éloignes-toi d'elle.
— C'est quoi, un ordre ? Dois-je te rappeler que tu n'es plus mon chef ?
Alors que je montais mon glock sur lui, il attrapa Aria, la collant contre son torse, son arme braquée contre sa tempe.
Tu viens de commettre une erreur.
Mon regard se posa sur le sien. Son mascara avait dégouliné sur ses joues à cause des larmes qui s'y étaient déversées. Son visage était livide, sans émotion. Aucune lueur ne traversait ses iris, elle était en état de choc.
— J'ai toutes les cartes en main pour te faire tomber, Maze.
Je grimaçais de dégoût alors que son bras s'enroula plus fermement autour de sa poitrine, son sourire s'élargit lorsque ses doigts effleurèrent de haut de son sein droit.
Ce fut son déclic, elle cligna plusieurs fois des yeux, les ancrant aux miens. Sa respiration s'alourdit, d'un regard entendu, elle sembla comprendre ce que je lui demandais silencieusement.
Mettre la self-défense en pratique.
Mon glock toujours braqué sur son front, j'admirais Aria s'activer répétant à la perfection ce que je lui avais appris.
Son talon frappa son abdomen le propulsant contre le bureau. Alors que de ses mains tremblantes elle le visa de l'arme qu'elle venait de lui voler:
— Aria, tentais-je, approche.
— JE T'AI SUPPLIÉ DE ME LÂCHER, elle explosa soudainement tandis que sa main resserra la crosse. JE T'AI SUPPLIÉ D'ARRÊTER !
Kol, assit au sol, se massait la mâchoire qu'elle avait endommagé par son coup de coude. Ses pupilles la dévisageaient avec une certaine fascination, tandis qu'elle s'éloignait de lui, je m'approchais doucement d'elle.
— Tu mériterais que je... que je...
— Bah vas-y ! Fais-le ! hurla-t-il.
Elle tressauta et son index actionna la gâchette. Sa respiration se coupa, elle venait de lui tirer une balle dans le ventre.
— Qu'est-ce que... oh mon dieu.
La culpabilité de son acte la fit reculer de plusieurs pas avant que son dos ne heurte mon torse. Elle sursauta et avant qu'elle ne braque l'arme sur moi, je lui retirais de ses mains tremblant violemment.
— Je suis là, soufflais-je alors que ses iris submergées par le désespoir me fixaient.
En quelques secondes, son visage changea du tout au tout, ses sourcils se froncèrent et ses pupilles se dilatèrent sous la haine.
— Kol ! des voix s'élevèrent au loin appelant cette petite merde.
— Ok, soufflais-je, Aria, il faut partir maintenant.
J'attrapais à la hâte sa main mais en quelques secondes elle se débarrassa de mon toucher, sous mon regard confus.
— Je rigole pas là Aria, ils arrivent il faut se...
— T'es qu'un putain de menteur, elle cracha, tu m'avais promis.
Sa voix se brisa et je sentis mon cœur se serrer malgré moi. Elle ferma les yeux tentant de calmer ses émotions mais lorsqu'elle les ouvrit, son désespoir perla sur ses pommettes rougies.
— Je t'avais pourtant prévenu, ricana le salopard à l'intention d'Aria.
Plissant le nez sous la colère je l'assommais d'un coup violent avec la crosse de mon arme contre son crâne.
— Maintenant on s'en va ! lui intimais-je, Tu auras tout le temps pour me hurler à quel point je suis une merde et un horrible monstre plus tard.
Elle entendit les voix devenir plus fortes ce qui la rendit directement plus coopérative. Je lui tendis la main qu'elle saisit rapidement. Passant la tête dans l'embrasure de la porte, je vérifiais que la voie était libre avant de la tirer vers la porte de sortie de secours qui m'avait fait office d'entrée au début de la soirée.
Sa main resserra la mienne lorsque des coups de feu retentirent dans notre dos. D'un geste abrupt, je la fit passer devant moi avant qu'elle ne pousse la porte pour nous faire sortir.
— Cours ! hurlais-je tout en ouvrant la voiture à distance.
Je sortais mon arme ainsi que celle de Kol que j'avais gardé, les pointant vers la sortie que nous venions de prendre, tout en allant à reculons vers la berline noire.
Je réussis à monter à l'intérieur et démarrer avant que les coups de feux ne retentissent, touchant la carrosserie.
— Baisses toi !
Les pneus crissèrent contre le goudron lorsque je sortis brusquement du parking, m'engageant sur la route.
À côté de moi, son corps frêle tremblait, son regard perdu devant elle. Je grognais en frappant le volant ce qui attira son attention vers moi.
— Je vais y retourner et buter ce fils de pute !
— Je veux rentrer..., elle souffla dépourvue d'énergie.
Sa voix rauque et fragile me fit l'effet d'une bombe. Il avait réussi, il l'avait détruit, elle avait perdue le peu de confiance qu'elle avait en moi.
— Aria...
— S'il te plaît, non.
Impuissant face à la situation, je décidais de respecter sa demande et restais silencieux le reste du trajet.
À peine avais-je stationné la voiture dans le garage, qu'elle en sortit. Sa démarche rapide me fit comprendre une chose: elle voulait s'enfuir de moi.
Il m'était impossible de la laisser faire et sans m'en rendre compte, je lui courais déjà après. De ma main, j'attrapais son poignet, en une fraction de seconde elle se tourna vers moi, le regard noir.
— Lâche moi, tout de suite, elle articula lentement, d'une voix calme, bien trop calme étant donné la fureur qui électrifiait ses iris.
— Je...
— Tu quoi ? elle reprit la parole. T'es qu'un putain de menteur Maze ! Je t'ai fait confiance, et tu...
— Putain je t'ai surveillé, ok ? la coupais-je. Tout s'est déroulé si vite, je...
— Je t'ai fait confiance, elle répéta et sa voix se brisa, tout comme ses yeux se noyèrent dans son désarroi. J'ai placé toute ma confiance entre tes mains, Maze. Littéralement. J'ai cru que rien ne pourrait m'arriver avec toi dans les parages. Tu m'as promis que plus jamais il me toucherait, ni lui, ni personne. Tu as promis que tu me protégerais.
Kol avait tort. Il ne l'avait pas brisé.
Je l'avait brisé en détournant mon regard.
— Est-ce que ça en valait la peine, dis moi ? elle renifla. Est-ce que j'ai réussi ma mission, Maze ?
— J'ai réussi à tout savoir, oui.
Elle inclina légèrement la tête, la secouant négativement.
— À présent que je sais tout sur Kol, j'ai toutes les cartes en main.
— À quel prix ? sa voix enrouée, me rappela sa main écœurante enroulée autour de son cou.
— Je ne savais pas qu'il était là, Aria.
— Tu ne savais pas, mais tu avais des doutes ! Tu aurais dû être plus vigilant ! Tu... Tu m'as laissé entre ses mains.
Sa lèvre inférieure trembla et ma poitrine se serra.
Putain, j'ai merdé.
J'ai merdé, j'ai merdé, j'ai merdé.
— Tu avais dit que tu savais faire deux choses à la fois.
Elle retournait mes paroles contre moi et putain j'étais impuissant face à cette femme. Son empreinte sur son cou avait à peine disparut qu'elle se retrouvait avec une autre plus imposante encore.
— Je...
Ma voix s'évanouit.
Elle tourna les talons prête à m'échapper.
— Je suis désolé...
Ses talons ne tapèrent plus sur le sol.
Je relevai mon regard pour la voir, pétrifié au milieu de la pièce.
— Je suis tellement désolé, Aria.
Je vis ses épaules s'affaisser avant d'être prise de secousse, et voila que je la faisais pleurer.
Je suis qu'une merde.
— J'ai brisé la promesse que je t'avais fais et je m'en veux. Je me déteste pour ça.
La vérité était que Madds m'avait tout dit. Je connaissais le passé d'Aria, de son oncle jusqu'à son putain d'ex. J'aurais dû me tenir aux aguets dans ce putain de club. Mais bordel je n'avais pas mesuré le danger, pas à cette ampleur.
Et pourtant je calculais toujours tout, mais cette fois, mon obsession pour Kol m'avait aveuglé et l'avait mise en danger.
Est-ce que ça valait le coup ? Putain, non.
Je voulais savoir, mais pas au prix de la voir me fuir tel un monstre, pas au point qu'elle me déteste. Pas au point de voir dans ses yeux de la haine envers moi.
— Je t'ai appelé.
Sa voix tremblante me fit revenir à la réalité. Elle me faisait maintenant face, et putain j'aurais préférée qu'elle reste de dos. Ses iris brouillés par ses larmes me transperçaient tels que deux lames aiguisées.
— Je t'ai appelé en pensant que tu viendrais me retirer de ses mains qui me touchaient. J'y ai cru de tout mon être, j'ai espéré que tu m'entendes.
Ma mâchoire se contracta violemment.
Mon cerveau me torturant en faisant repasser les images de ce bâtard sur son corps.
Son regard analysa chacun de mes faits et gestes lorsque je m'approchais d'elle, à ma surprise, elle ne recula pas.
Sa poitrine montait et descendait rapidement, ses mains tremblaient irrépressiblement malgré tous ses efforts pour ne rien laisser paraître. Le fait est qu'elle était à bout, il l'avait épuisé, mentalement comme physiquement.
Son menton se releva vers moi, alors que je m'approchais jusqu'à presque toucher sa poitrine de mon torse.
— Je suis désolé, mon cœur. ma voix se transforma en un murmure. Tellement désolé.
Ses yeux jonglaient entre les miens comme pour jauger ma sincérité et je n'avais jamais été aussi sincère qu'à présent.
Je ne m'excusais jamais, mais pour elle je le faisais.
Ses larmes tombèrent du bord de ses paupières en même temps que ses barrières. Je l'attirais contre mon torse tandis que ses bras s'enroulèrent autour de mon corps, ses doigts s'accrochant désespérément à ma chemise.
Mon emprise autour de ses épaules se raffermit lorsque je la sentis pleurer contre moi, son corps prit de spasmes interminables.
— Je te jure que je vais le retrouver et le tuer.
Ses mains se desserrèrent avant d'empoigner le tissu plus agressivement.
— Il... il a dit que tu ne pouvais pas.
Un ricanement mauvais vibra dans ma poitrine.
— Personne ne peut m'interdire de te venger, mon cœur.
Sa respiration se coupa.
— Je le tuerais pour avoir osé te toucher sans ton accord.
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Hey !
J'espère que ce chapitre vous a plu ?
Je dois avouer que j'ai lâché quelques larmes en écrivant ce chapitre.
(Non c'est faux, j'ai chialé comme une merde.)
Avez-vous perçu le petit indice que j'ai glissé dans le chapitre au sujet de la rancœur de Maze envers Kol ?
N'hésitez pas à partager vos théories !
Kisses,
Mélissa.
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