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Renaissance dans l'obscurité

Plus le temps passe , plus l'amour grandit ... C'est beau n'est-ce pas ? Qu'est ce que je méritait de plus ? Aux côtés de Luciano , ma vie n'était plus qu'une simple vie mais un véritable rêve évéillé ... Mon amour pour lui était.... indescriptible ... tout simplement.

On se retrouve maintenant chers lecteurs 3 mois après les précédents évènements :

Nous avons préféré quitter l'Italie pour notre sécurité. Nous nous sommes envolés pour les États-Unis. Luciano continuait ses affaires et gravissait les échelons . Quant à moi j'étais son associée .... un ange de la mort pliée à son service . Eh oui , .... j'avais repris les meutres . Et aussi ma soit disant carrière de chanteuse car finalement ça me plaisait bien d'être connue comme tel .
J'utilisais mes talents d'espionne au profit des plans de Luciano . J'avais complètement basculer du côté opposé de mes principes initiaux. Mais peut importe ! Ma nouvelle vie me convenait largement comparé à la première.

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* Dans le bureau de Luciano sur notre lieu de travail.

Un client entre ...
Son attitude à directement piqué ma curiosité. Je ne pû m'empêcher de faire un léger sourire narquois ce qui le destabilisa aussitôt.

- Luciano : Je vous en prie ! Avancez !

- Moi : Vous avez apporter la prime ?

- Client : Évidemment !

- Moi : Parfait . ( Je m'accoude derrière la chaise de Luciano où il était assis derrière son ordinateur ) .

- Luciano : Eh bien ? Que me fais le plaisir de vous recevoir ici dans mon humble bureau ? .... Monsieur le Président !

- Moi : Un Président ? Humm pas très commun comme affaire !

- Président : ( Il baisse le regard au sol ) Président d'un parti criminel le plus répendu ! Je viens pour vous faire part de mon souhait d'éliminer tout mes opposants .

- Luciano : Eh comment pourrait-on vous croire ? Votre attitude de reflète pas votre grade !

- Président : Mais je !?

- Luciano : Le parti criminel avec le plus grand réseau du monde m'apartient ! Renseignez vous mieux avant d'essayer d'imiter les hauts placés ! T'es qu'un vulgaire larbin ! Je sais exactement qui t'envoie !

- Président : Mais non ! Mais comment ?!

- Luciano : Je vous présente Isabella Senchez , ma femme . Elle sera votre ange de la mort !

Il tombe de sa chaise et recule en rempant en me voyant avancer vers lui avec un sourire glaçant .

- Président : Non ! NOOON !

- Moi : Adieux !

Je le plaque au sol avec ma jambe . Mon escarpin perce sa chair . Il commence à crier mais je lui place mon revolvers dans la bouche et tire une balle .

- Moi : Un mot pas deux ! ( Je rigole)

- Luciano : Eh ben ! T'es plus sadique que moi ? ( Il sourit).

- Moi : Tu as encore beaucoup de chose à apprendre de moi en dirais ! ( Je lui fais un clin d'oeil .)

- Luciano : Tu lui as fait exploser la tête mais tu n'as aucune tâche de sang. Comment tu fais ?

- Moi : C'est mon petit secret !

( Je m'approche de lui et l'enlace . Il se rapproche de mes lèvres pour m'embrasser mais la porte s'ouvre )

- Oh ... excusez nous monsieur....

- Luciano : Dépêchez-vous ! Dégagez le de là !

- Moi : Et nettoyez bien !

- Biensûr !

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Une fois les nettoyeurs partis :

- Luciano : J'ai tellement envie de te dévorer ! ( Dit-il en me serrant contre lui ) .

* Il me baise le cou

- Moi : Luciano ...

* On toque à la porte. On se replace dans nos rôles et essayons de reprendre notre sérieux.

- Luciano : Avancez ! Bien ! Qu'est ce qui vous ammène ?

C'était une femme mariée . Riche . Elle venait pour une affaire de meurtre alléchante .

- Femme : Je voudrais que vous assassiniez le vio*eur de ma fille .

- Luciano : Intéressant... je vous laisse en parler avec ma femme . Elle est spécialisée dans ce domaine.

- Moi : Bien ! Appelez moi Lilith ! Je voudrais une photo de la victime , sa position actuellement et la façon dont il doit mourir ! Je vous laisse libre choix de sa sentence madame .

- Femme : Démembrez le .... je ne sais pas moi mais qu'il crêve et pourrisse de la pire des manières ! Il a arraché la vie de ma fille je lui enlèverais la sienne . Je vous fais entièrement confiance. Tenez ...

- Moi : Ce sera fait , donnez moi toute cette matinée et à midi pile, je vous ramènerai sa tête .

- Femme : D'accord.

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La victime n'était qu'un vulgaire ado de 17 ans. Je saute alors de ma cachette et attérie pile devant lui .

- Moi : Surprise !

( Il cri et recule en voyant que je sortait mon poignard)

* Je le plaque au mur et le soulève comme une vulgaire poupée .

- Moi : T'as vi*ler une petite hein ?! Ça y est ? Tu te sens les couilles qui poussent ?! ( Je lui crache au visage ) Tu vas le payer !

- Lui : T'es qui putain !!!

- Moi : Ta putain de mort que tu vois devant tes yeux !

* Je lui poignarde en plein coeur et lui tranche la gorge . Les nettoyeurs de Luciano interviennent .

- Moi : Gardez moi la tête . La cliente la veux !

- Très bien madame.

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À midi :

J'entre dans le bureau , la cliente m'attend accompagnée de Luciano .

- Moi : Eh madame , attrapez !

* Je lui lance la tête , elle l'attrape , la regarde puis sourit d'un air satisfait.

- Femme : Merci .... Merci infiniment. Ma fille reposera en paix .

Elle quitte le bureau après avoir remis une valise de billets .

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- Luciano : Ça va ? T'es pâle je trouve. Ce gamin t'as donné du fil à retordre ?

- Moi : Non non ... il a rien fait .... J'sais pas ce que j'ai ... je .. je me sens affaiblie tout à coup .

* Je recule légèrement et commence à perdre l'équilibre. Luciano ce précipite vers moi et me rattrape.

- Luciano : Eh ! Eh ! Reste avec moi ! Ferme pas les yeux ! Eh !

- Moi : ... ça ... ça va ...

- Luciano : Non tu vas pas bien ! Allez allonge toi au sol .

* Il m'aide à m'assoir par terre , il s'assoir lui aussi et place ma tête sur ses genoux.

Il ordonne à ses hommes de main de fermer l'agence . Puis me soulève et me porte à notre voiture .

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Dans la voiture , il me place sur lui et pose ma tête sur son épaule. Je reste consciente mais lutte pour garder mes yeux ouverts.

Il enlève mes escarpins et me couvre avec son manteau .

- Luciano : Conduisez nous le plus rapidement possible à notre domicile. ( Ordonna-t-il au conducteur ) .

- Bien monsieur.

- Moi : Lu... Lucia...no

- Luciano : Oui je suis là avec toi . Je te laisserais pas tomber ! Mais reste consciente s'il te plaît ! Je t'en supplie!
On arrivera bientôt à la maison .

Mes larmes perlent sur mes joues malgré moi . Voyant cela il m'enlace et me raconte tout nos souvenirs ensemble pour me garder consciente tout en me disant à quel point il m'aime . J'aggripe le col de sa chemise et blottis mon visage contre son cou .

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Arrivés à la maison , Luciano me pose sur le lit , je m'assois mais commence à avoir des nausées et la tête qui tourne.

- Luciano : Allonge toi !

- Moi : j'ai ... j'ai envie de vomir !

Je vomis sur le sol , Luciano me tiens les cheuveux tout en me rassurant.

Les femmes de chambre arrivent pour nettoyer mon vomis . Luciano m'allonge sur le lit et s'assoit près de moi .

- Luciano : Amenez moi la trousse de secours ! Dépêchez vous ! Elle perd connaissance !

- Je vais la chercher de suite monsieur.

* Il me place un dispositif d'oxygène . Puis me prend la main .

- Luciano : Restes... s'il te plaît ! ISABELLA ! NON !

* il me secoue mais je ferme les yeux et perd connaissance.

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Je me réveille le lendemain après midi.

J'ouvre à peine les yeux et essaye de me relever .

- Luciano : Isabella ! Oh mon amour ! Tu t'es enfin réveillée ! Restes allongée!

- Moi : Lucia..no ( dis-je avec une voix fluette)

- Luciano : Oui regarde je suis près de toi ! Dit comment te sent tu ?

- Moi : J'vais ... mourir...

- Luciano : Non tu ne mourra pas ! Le médecin arivera très bientôt !

- Moi : J'ai .... j'ai mal ! .. ça fait ... mal !

- Luciano : Je sais mon cœur ! Le médecin arrive bientôt ! Courage !

* La douleur au ventre que je ressentait s'intensifiait de plus en plus.

( Je cris et serre la main de Luciano très fort ) .

- Luciano : Regarde ! Le médecin est là !

- Écartez vous monsieur s'il vous plaît .

( Je ne lâche pas la main de Luciano. )

- Luciano : Isabella regarde je vais me mettre sur l'autre côté du lit ! Je suis prêt de toi ne t'inquiète pas !

* Le médecin me donne un calmant puis m'examine .
À la fin de son examin , il esquisse un sourire ce qui irrite fortement Luciano.

- Luciano : Pourquoi !?...

( Je lui serre la main brusquement pour lui signifier d'arrêter) .

- Médecin : C'est bien ce que je pensais !

- Moi : Quoi... donc ?

- Madame, Monsieur , j'ai le plaisir de vous annoncer que vous allez devenir parents !

*J'écarquille les yeux puis tourne la tête vers Luciano avec un sourire illuminant mon visage.

Il me fait un sourire en retour et m'enlace . Je sentait ses larmes ruisseler sur mon cou . Pour la première fois , je le voyais pleurer .... la pureté même de son être m'étais révélé à cet instant . Ce souvenir , je le chérissait tant.

- Médecin : Madame , vous avez fait ce qu'on appelle un déni de grossesse. Mais léger ! C'est pour cela que vous n'aviez aucun symptômes de grossesse jusqu'à présent.

- Moi : Hein ? Mais comment ?

- Médecin : Cela peut arriver à tout le monde ! Le ventre de certaines femmes après avoir reçu l'heureuse nouvelle s'arrondit presque aussitôt après la prise de conscience. Vous êtes enceinte de trois mois. Vous voulez savoir le sexe du bébé ?

* Je regarde Luciano et nous nous faisons un sourire complice.

- Moi : Est -ce que vous pouvez l'écrire et le mettre dans une enveloppe ? On voudrais faire une gender reveal .

- Médecin : Tout de suite ! Mais madame , ... je voudrais porter votre attention sur autre chose .
Votre douleur à l'abdomen et votre affaiblissement soudain aujourd'hui n'est pas dû qu'à l'enfant mais aussi à une surcharge de stress . Vous devez vous ménager .

- Moi : Bien ...

- Médecin : Sur ce madame , monsieur , je dois vous quitter . J'ai fait préscrir des médicaments à madame. La posologie est inscrite directement sur l'ordonnance. Tenez l'enveloppe et n'hésitez pas à me rappeler en cas de besoin .

- Luciano : Très bien.

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