Livre 4 : Le vide onirique
Cela fait maintenant 500 ans que le monde est en paix. Les guerres entre les différentes civilisations n'ont plus court, les différents peuples ont rétablie un conseil pour régler pacifiquement les querelles. Mais le plus important et que le souhait formuler par Yugo le dieu créateur il y a plus de douze mille ans à enfin été réalisé. Tout cela avait été la conséquence du "Grand vide" ayant justement eut lieux il y a 500 ans de cela. Et en autant de temps et sans qu'aucune grande catastrophe ne puisse l'empêcher, le monde a bien évolué. Les villes ont grandi, les technologies ont évolué et les coutume aussi.
Nous nous trouvons aux abord de la ville d'Amakna. Cette dernière avait énormément changé depuis tout ce temps. Elle était plus vaste qu'elle ne l'avait jamais été. Faisait maintenant une taille équivalente celle de la ville de Bonta il y a 500 ans. Elle s'étendait alors aux forêts avoisinante avec plusieurs grand quartiers aux mileu des arbres qui n'avait pas été tous coupé. La ville portait également toujours les traces du lointain passage des Empereur. Elle c'était d'ailleurs inspiré de leur ancienne résidence. Les quartiers centraux présentait donc de nombreux bâtiment de taille très imposante dominant la ville.
Tellement qu'à côté le palais royal paraissait petit. Une révolution avait d'ailleurs eut lieu il y a peu. Cela était dû aux ingénieurs du monde entier qui avait mit leur connaissance en commun pour crée un grand réseaux de batterie de wakfu et de câble permettant de pulsé dans toute les rue une lueur bleu quand il faisait sombre. De plus grâce à l'alendoris tout ceci s'éxécutait très rapidement. Tout était donc un peu plus mécanisé permettant aux gens un meilleur confort de vie, tout en restant proche de la nature car ces énergies étaient un don donné par les dieux anciens.
Mais le monde regorgeait encore de nombreux mystères, des créatures mystique comme les dragons, ou des endroits bien atypique comme l'île de Pandala portant encore aujourd'hui les cicatrices du passage des démons. Mais la chose qui ressortait le plus du lot était "le vide". Une chose dont la nature rester encore un mystère et qui était étudier par de nombreuse personnes.
C'est alors que le soleil se levait sur la ville d'Amakna, et plus précisément sur l'un de ces quartier au milieu des arbres. Les maisons étaient assez grandes et très stylisé, bien plus qu'il y a 500 ans. Elles présentaient une structure faite de pierre avec aussi beaucoup de bois, entouré par un grand jardin contenant pas mal d'arbre. Dans l'une de ses maisons vivait la famille Smoth, dont les deux parents prenait tranquillement le thé dans le jardin.
La femme était une sram d'une quarantaine d'année se nommant Colia. Elle avait des cheveux long et noir loin de l'habituelle blanc des autres sram. Elle portait un cache œil, témoignant de sa vie avant de fondé une famille, pleine d'aventure, pas toute très moral. Elle était habillé d'une sorte de longue robe bleu foncé à tendance noir. Cette dernière était ouvert par endroit dans le style assez léger des srams. Comme par exemple au niveau du ventre où le dos reliait le haut et le bas de la tenue, ou encore une ouverture au niveau du haut de sa poitrine, donnant un effet de décolté.
Elle était alors tranquillement assise sur une chaise suspendue au toit que possédait la terrasse.
À côté d'elle sur le même type de siège, se trouvait son mari. Il s'agissait d'un roublard du nom de Nodéo. Il était vétu d'une tenue très chic noir et blanche avec un manteau lui aussi noir lui servant de cape. Contrairement à la grande majorité des roublards il ne portait rien qui lui cachait le visage. Laissant donc apparaître ses cheveux maron accompagné d'un léger bouc.
Les deux parents profitait alors de la sérénité du matin accompagné par le bruit des animaux environnent qui avait l'habitude de se balader dans le quartier.
Colia : Dis moi mon beau pirate, est ce que tu pense parfois que tu aurais mieux fait de continuer ta vie d'avant ? Sans s'encombrer de tout ce cadre familial.
Nodéo (intrigué) : Pourquoi donc je le regretterais. Ces matinées passé à apprécier le calme du moment son la plus belle chose que je pouvais espérer pour un ancien criminel telle que moi. Et toi ? Tu me demandais cela parce que tu étais nostalgique de l'ancienne époque ?
Colia (amusé) : Non je suis comme toi je ne pouvais pas espérer mieux finir.
Soudain ils entendirent le bruit de la porte d'entrée s'ouvrir. Ils se retournèrent donc et furent heureux de voir arriver leurs deux enfants.
La première se nommait Sins. C'était une sram comme sa mère. Elle n'était pas très grande car âgé de seulement 12 ans. Elle avait le cheveux blanc pas très long dissimuler sous une capuche rose foncé. La couleur était la même que le reste de sa tenue qui était une petite robe descendant jusqu'à ses pieds. Elle était très élégante car sa mère l'avait fait faire par un grand tailleur de la ville. Elle avait dans sa main une poupée représentant un dieux anciens, la déesse azur.
Le deuxième était son grand frère Nalur agé de seulement un an de plus. C'était un Roublard comme son père. Il était habillé de la même manière que ce dernier, tout de noir et assez élégamment. Il arborait plusieurs cicatrice sur son visage, témoin de petite mésaventure ayant mal tourner. Il tenait lui aussi un joué dans la main. Représentant cette fois l'ancien grand héros et conquérant : Dante.
Les deux s'adressèrent alors à leurs parents d'une voix très enfantine relevant leur bon comportement.
Sins et Nalur : Bonjour maman, bonjour papa.
Leurs parents regardèrent alors leurs enfants d'un sourir fier.
Colia : Vous allez bien ce matin ?
Sins : Non, grand frère à pas arrêté de me réveiller cette nuit.
Nodéo (d'un ton sévère) : Je t'avais pourtant dit de ne plus embêter ta soeur.
Nalur (doucement) : Désoler mais j'arrivais pas a dormir. Je voulais donc joué pour passer le temps mais je pensais pas que j'allais la réveiller.
Sins (un peu énervé) : Ouais bas en attendant tu m'as empêcher de dormir.
Colia (d'un ton sévère) : Ce n'est pas à toi de lui faire la remarque. Alors allez plutôt petit déjeuner.
Les deux enfants s'éxécutèrent et la matinée passa dans le calme habituel du quartier.
Et alors que Colia était entrain de commencer à préparer à manger pour le midi ses enfants entrèrent dans la pièce.
Colia : Vous tombez bien les enfants.
Nalur : Qu'est ce qu'il y a maman ?
Colia : J'aurais besoin de vous. Votre père est partit dans sa boutique au centre ville avant que je ne puisse lui demander quelque chose. Vous pourriez donc aller me chercher les vêtements que j'ai commandé au tailleur qui se trouve dans la rue des commerces. Vous n'aurez pas besoin de le payer je l'ai déjà fait.
Sins : D'accord maman !
Colia : Ne trainez pas trop pour rentrer à l'heure du déjeuner.
Les deux enfants enfillèrents leurs chaussures et sortirent de la maison. Ils purent alors observer que le temps était encore plus beau que celui de ce matin. Ils se dirigèrent vers le portail de leur maison et se retrouvèrent dans la rue. L'endroit était charmant, avec de nombreux arbres faisant un peu d'ombre sur le chemin. De nombreuse maison toute très belle et bien organisé de manière symétrique. Ils se dirigeait vers la sortit de ce quartier boisé.
Sins : Tu crois qu'on aura le temps de faire un petit détour ?
Nalur : T'as pas écouté maman ne veut pas qu'on traîne trop longtemps.
Sins : Mais j'ai entendu qu'il y avait une confiserie qui avait ouvert pas loin du quartier des commerçant. On pourrait y faire un petit détour.
Nalur : Je t'ai dit non. Moi aussi j'aurais bien envie d'y aller mais ça sera pour une autre fois.
Sins : T'es vraiment pas drôle. On dirait entendre papa.
Les deux enfants finirent par sortirent de leurs quartiers et ils se dirigèrent vers une sorte de petit quai d'embarquement. Une fois dessus ils s'asseyèrent sur un banc et commençèrent a attendre.
Nalur : Sinon t'as entendu il paraît qu'ils vont fermer des classes à l'école.
Sins : Sérieux ?! J'espère pas, j'ai pas envie de voir arrivé dans ma classe des gens que je ne connais pas.
Nalur (dépité) : T'as toujours des problèmes pour sociabiliser c'est pas possible.
Sins (un peu énervé) : Oh ça va monsieur balèze qui attire tout le monde autour de lui.
Soudain ils entendirent un bruit. Ils se retournèrent donc et virent ce qu'ils attendaient arriver. Il s'agissait d'un wagon relier à un câble maintenue par un réseau de poteau. Le véhicule flottait au dessus du sol non pas grâce au câble mais grâce à son dessous qui était une sorte de plaque générant un champ d'énergie à base de wakfu. Cela lui permettait de se déplacer très vite. Les deux enfants montèrent dedans en direction du centre ville.
Le véhicule arpentait alors la ville d'abord au ras du sol puis commença à monter pour se retrouver à une centaine de mètres du sol. Les enfants eurent grâce à cela une magnifique vue sur toute la ville. Ils pouvaient voir tout les nouveau bâtiments faisant des tailles impressionnante, les gens en contre bas qui vacait à leur occupation en cette belle journée. Ou encore ils pouvaient aperçevoir le port. C'est alors que la petite sram pointa un bâtiment du doigt.
Sins : Regarde grand frère c'est de ça que je te parlais l'autre fois.
Le jeune roublard se pencha pour regarder et vit un bâtiments pas très haut mais assez large, dont la devanture était décoré d'une grande pancarte brillante. On pouvait y lire "Delos le colosse".
Sins : C'est le "cinéma" dont tout le monde parle à l'école.
Nalur : C'est quoi déjà ?
Sins : C'est une grande salle sombre dans laquelle on projette des images en mouvement pour raconter une histoire.
Nalur : C'est pas de la magie t'es sûr ?
Sins : Non je crois que c'est un huppermage du nom de Lite qui la inventé.
Nalur : Ça me paraît quand même bizarre.
Sins : Tu crois qu'on aura le temps d'y aller avant la fin de nos vacances ?
Nalur : Voilà, t'es fier de toi ?
Sins (étonné) : Bas quoi ?
Nalur (désespéré) : Tu viens de me rappeler qu'on est déjà à la moitié des vacances.
Sins : Oh ça va dédramatise un peu. Maman m'a toujours dit que les gens avant n'allait pas dutout à l'école et que à l'époque les iop ne savait même pas faire une addition. Et que ducoup nous on avait beaucoup de chance de pouvoir être aussi instruit.
Nalur : Ouais ouais si tu veux.
Le wagon arriva à destination, un grand quai en hauteur au niveau des bâtiments en plein milieu du quartier des commerçants. Les enfants descendirent alors et prirent les escaliers pour se retrouver dans la rue. Il y avait beaucoup de gens qui semblait tous se réjouir de cette belle journée. Au milieu de la foule circulait aussi quelque véhicule monoplace monter sur deux roues, avec un design entre celui des énutrofs et des steamers.
Le petit roublard semblait être émerveillé en les voyant passer.
Nalur : Tu crois que papa et maman me laisserons en avoir une quand je serait plus grand ?
Sins : Sûrement mais je ne vois pas pourquoi tu t'intéresse autant à ce genre de chose.
Ils se mirent alors à marcher en direction de la boutique de tailleur. Ils y entrèrent en y faisant sonné une petite cloche et ils virent la patronne au comptoir. Il s'agissait d'une féca âgé portant une petite paire de lunette ronde.
Viutton (en souriant) : Bonjour les enfants. Ça fait longtemps que je ne vous ais pas vue, comment aller vous ?
Sins (gentiment) : Bonjour mami Vuitton. On est là par ce que maman a commandé des vêtements.
Viutton : Oh oui je m'en rappelle. Je les ai terminer il y a quelque jour.
Elle se retourna vers une ouverture donnant sur l'arrière boutique.
Viutton : Louice, apporte moi la commande au nom de Smoth.
Quelques instants après un autre féca cette fois ci bien plus jeune, devant avoir la trentaine sortit de l'arrière boutique avec plusieurs vêtements à la main.
Louice : Tenez les enfants.
Il leur confia les vêtements.
Nalur : Merci mami Vuitton, maman ne va sans aucun doute ne pas regretter son achat.
Les deux enfants se dirigèrent vers la sortit mais une voix les interrompurent.
Vuitton : Attendez vous n'avez pas payé.
Les deux enfants furent étonné.
Sins : Maman nous a pourtant dit qu'elle avait déjà payé.
Louice regarda le registre des ventes.
Louice : Non je suis désoler mais son achat n'y figure pas.
Nalur (géné) : Comment on va faire alors, on a pas penser à prendre de l'argent.
Louice : Désoler les enfants mais il va falloir repartir sans les vêtements.
Sins (déçu) : Maman ne vas pas être contente.
Nalur (déçu) : C'est clair.
En voyant cela la vielle féca eut un peu de peine.
Vuitton : Vous savez quoi, vous pouvez les emmener. Mais n'oubliez pas de dire à votre mère de repasser à un autre moment pour payer.
Sins : Vous êtes sûr ?
Vuitton (en souriant) : Mais oui allez y. Mais n'oubliez pas de prévenir votre mère.
Les deux enfants partirent alors de la boutique le sourire aux lèvres.
Louice (étonné) : Non mais vous avez vraiment laissé ces gamins partirent sans payer.
Vuitton : Mais oui ne t'en fait pas.
Louice : Je vous rappelle quand même que leurs parents sont d'anciens criminel. Je pense pas qu'ils soient du genre à rembourser leurs dettes.
Vuitton : Ça fait longtemps que les Smoth ne sont plus dans tout ça. Ils ont fait de la prison et ont décidé de changer après ça. Ils ont même donné la quasi totalité des biens et de l'argent qu'ils avaient obtenu à la ville pour tenter de se faire pardonner. Moi je leur confiance et ici c'est moi la patronne.
Louice : Si vous le souhaitez, mais je ne suis vraiment pas d'accord avec vous.
De retour du côté des enfants, ils marchaient dans la rue en direction du quai d'où ils étaient venus.
Sins : T'es vraiment sûr qu'on a pas le temps d'aller à la nouvelle confiserie ?
Nalur : Je t'ai déjà dit non. On a même pas d'argent en plus grosse maline.
Les deux enfants continuèrent tranquillement de marcher. Il y avait moins de gens sûrement que un bon nombre d'entre eux était rentré chez eux pour le déjeuner. Quand soudain sans qu'ils ne puissent comprendre pourquoi, et dans un silence total, tout s'obscussiça en un instant. Le ciel avait changé de couleur devenant complètement noir et les nuages prirent une teinte violette très foncé. Tout les habitants étaient complètement perdu ne comprenant pas ce qu'il se passait. Automatiquement les éclairages publique s'allumèrent pulsant une lumière bleu dans les rues.
Sins (éffrayé) : Grand frère j'ai peur.
Nalur (éffrayé) : Je ne sais pas.
Tout ceux présent ne bougèrent pas observant attentivement autour d'eux. Mais rien ne semblait se passer.
Sins : On ferait mieux d'aller voir papa qui est au centre ville.
Nalur : Tu as raison ce n'est qu'à deux quartier d'ici. En plus je connais un raccourci.
Ils se mirent alors en route tout doucement vers la boutique de Nodéo. Autour d'eux tout les habitants firent de même en se dirigeant vers leurs maisons ou en allant se réfugier vers certains magasins. Mais soudain un très étrange bruit se mit entendre. On aurait dit une sorte de voix extrêmement grave perçant dans le lointain. Et à ce moment là alors que certaines personnes regardèrent à nouveau le ciel, ils virent apparaître une sorte d'immense pupille jaune foncé sans le reste de l'œil. Elle se mit à observer la ville et en voyant ça tout le monde se mit à courir pour se réfugier quelque part.
Sins : Il se passe quoi ?!
Nalur : J'en sais rien mais court.
Ils se dirigèrent à toute vitesse vers le centre ville en passant par de petite ruel.
Sins (paniqué) : Pourquoi on passe part là ?!
Nalur : Je te l'ai dit c'est un raccourci !
Et alors qu'il courait tout les deux à toute vitesse, au détour d'une ruelle, ils percutèrent quelqu'un. Il tombèrent alors au sol devant cette personne.
??? : Oh ça va les enfants. Je suis désoler je ne voulais pas vous faire mal.
La personne les aida à se relever et les enfants levèrent les yeux pour voir à qui ils avaient à faire.
??? : Vous allez bien, vous semblait terroriser ?
Il s'agissait d'une sadida devant avoir la quarantaine. Elle avait de long cheveux bien coiffé, portait une grande robe très chique, mais passé de mode depuis très longtemps, ainsi que des gants la rendant encore plus chique. Mais un détail interpella les enfants. Elle possédait des yeux vitreux mais pas comme d'habitude. Comme si ils étaient le reflet de quelque chose.
Sins : Oui ça va madame. On est désoler mais on a peur. Vous ne savez pas ce qui se passe ?
Nalur : Pourquoi tout l'atmosphère autour de nous a changé d'une seconde à l'autre ?
Sadida : Comment ça ?
Sins : Bas le ciel !
Sadida : Je ne vois pas de changement. Vous avez du faire un mauvais rêve.
Sins : Mais enfin on le voit, le ciel est noir et les nuage violet ! Sans parler de cette chose bizarre dans le ciel.
Sadida : Non désoler je ne vois vraiment pas de quoi vous voulez parler.
Nalur : Ce n'est pas grave sœurette. On doit retrouver papa au plus vite.
Sins : Oui tu as raison !
Les deux enfants se dirigèrent de nouveau à toute vitesse vers le centre ville en ignorant les étranges déclarations de la sadida. Mais juste après qu'ils soient partit une autre personne sortit d'une ruelle et se dirigea vers la sadida. Il s'agissait d'une cra ayant plus que la quarantaine. Elle était vétue d'une tenue beige en haut et noir en bas, semblant sortir d'un autre temps.
Cra : Amalia, tu devrais venir, Élély à encore voulu défier Yugo en duel.
Amalia : Ce n'est pas vrai. Elle n'a vraiment pas compris la dernière fois. Elle n'a absolument aucune chance contre lui même avec ses pouvoirs divin.
Les deux femmes marchèrent alors côte à côte et soudain disparaissèrent sous forme d'énergie verte et jaune pâle.
De retour du côté des enfants, ils arrivèrent au centre ville. Là bas aussi tout le monde était partit se cacher. Sins et Nalur aperçurent la boutique de leur père et firent un dernier sprint pour l'atteindre. Mais ils ne réussirent pas à ouvrir la porte.
Sins : C'est fermé !
Le jeune roublard se positionna aux niveaux de la fenêtre de la boutique et tapa du poing dessus. Ce geste attira l'attention des personnes présente à l'intérieur qui se dirigèrent alors vers la porte. Cette dernière s'ouvrit laissant apparaître Nodéo.
Nodéo : Rentrer vite les enfants !
Ils s'éxécutèrent et se réfugièrent à leur tour dans la boutique, tandis que leur père ferma la porte derrière eux. Ils se retrouvèrent alors dans la magasin qui était une boutique de jouet en tout genre, nommé "Jouhéros". Dont la plus fameuse collection était des poupée et autre figurine à l'éfigie de grande figure historique. On pouvait y voir des jouet de Dante, Zéphyr Shéram sharm, le seigneur draconique, ou encore des moins connu comme Honsha Mancelot.
Nodéo : Les enfants, je suis si heureux de voir que vous allez bien !
Ils se jetèrent dans les bras de leur père qui les serra contre lui pour les rassurer.
Nodéo : Mais qu'est ce que vous faites en ville ? Vous ne deviez pas rester à la maison avec votre mère.
Sins : Elle nous avait demandé d'aller lui chercher quelque chose mais en rentrant ce truc bizarre c'est passé.
Nalur : Tu sais ce que ça peut être papa ?
Nodéo : Non je n'en ai aucune idée. C'est la première fois que je vois une chose pareil.
À ce moment là les autres personnes qui étaient venue se réfugier dans la boutique se rapprochèrent des fenêtres, attirer par une étrange lumière. Ce fut également le cas pour d'autres habitants réfugier dans les autres boutiques présentes sur la place.
Habitant : Venez voir, il se passe quelque chose dehors.
Les Smoth se rapprochèrent à leur tour et eurent une vue sur toute la place.
Nodéo (choqué) : Mais... qu'est ce que tout ça signifie ?
Ils virent sur la place comme des plantes étranges similaires à des algues mais avec des feuilles semblant attirer vers le ciel. Elles avaient poussé un peu partout, que ce soit au sol sur les murs ou même à certains endroits en plein milieu de l'air. Parfois droite parfois à l'envers. Elles étaient toute petites pour certaine, de quelque millimètres, et pour d'autres dépassant le mètres. Elles étaient fluorescente pulsant une lumière grise ou verte pâle. En voyant cela les habitants présents avec eux commençèrent a discuté entre eux d'un aire paniqué.
Habitant : Vous croyez que c'est l'œuvre des dieux ?
Habitant : Ne dis pas de bêtises tu sais bien qu'ils ne sont plus là depuis longtemps.
Habitant : Mais alors qu'est ce que ça peut bien être ?
C'est alors que quelque chose d'autre apparue. Les gens n'en croyait pas leur yeux. Il s'agissait de sorte d'êtres phantomatiques qui apparaissaient et disparaissaient de nul part. Mais c'est être n'était pas tous pareils. Il pouvait s'agir d'animaux, de gens, ou même d'étrange créatures que personnes n'avaient jamais vue.
Sins : Papa c'est qui toute ces personnes ?
Nodéo (expectatif) : Je n'en sais rien ma chérie. Tout ce quoi est entrain de se passer me dépasse complètement.
Soudain ils aperçurent une personne cette fois ci tout ce qu'il y a de plus normal, entrain de courir, térrifié. Quelque seconde après une créature arriva du même endroit que lui. Elle était très grande mesurant dans les 4 mètres. Elle était recouverte de cristaux violet mais aussi partiellement phantomatique. Elle se déplaçait à quatres patte avec de très grande patte avant. Sa tête était très allongé vers l'avant avec une mâchoire elle aussi très longue. La personne entrain de se faire poursuivre par la créature se mit à crier.
Habitant : Aider moi !
Il courait aussi vite que possible mais n'arrivait pas à la semer. C'est alors que Nodéo ce précipita dehors.
Nodéo : Rester ici les enfants je reviens tout de suite !
Il fonça vers la grande créature et tira un projectile de stasis. Il fut étonné car au moment où le projectile atteigna sa cible, elle disparaîssa instantanément comme si elle c'était dissoute. Il s'arrêta alors momentanément, essayant de comprendre ce qui venait de se passer. Mais en voyant la personne qu'il était venue sauvé il se précipita vers lui.
Nodéo : Vous allez bien ?!
Habitant (paniqué) : Oui ça va. Je ne sais pas comment vous remercier vous m'avez sauvé la vie.
Nodéo : Ne rester pas là et venez vous mettre à l'abri.
Il lui pointa la porte de son magasin et la personne y fonça se réfugier. Mais le roublard n'y retourna pas tout de suite, profitant de l'instant de calme pour observer autour de lui. Il remarqua que le ciel avait encore changé et que l'œil avait disparu. Il était maintenant une sorte de mélange de couleur pâle et les nuages prenait d'étrange disposition, en créant des motifs des formes ou mêmes des silhouette de personne en mouvement. Combiner au calme total qui régnait sur la ville, les voix des phantoms apparaissant de temps à autre et les lumières des plantes combiné à celle de la ville, il crut se retrouver dans un tout autre monde. Un monde calme et rempli d'harmonie. Il ferma les yeux pour profiter du moment.
Nodéo (dans sa tête) : C'est comme si toute ma vie n'avait jamais existé. Je n'avais jamais sentit une telle sensation. Tout cela est si hypnotique.
Ces enfants qui le regardait depuis la boutique commençèrent a paniqué en voyant leur père ainsi.
Sins : Qu'est ce qu'il lui arrive ? Pourquoi il ne revient pas ?
Et c'est alors que l'esprit de Nodéo fut ensuite emplie d'une profonde terreur de manière inexplicable. Il rouvra alors les yeux et vit en même temps que tout le monde une personne apparaître devant lui. Elle était différente de toutes les autres sortent de phantôme qu'ils avaient apperçut jusque là. Son corps était étrange, étant à la fois humain, mais ne ressemblant à rien de ce qu'il connaissait. Il possédait une sorte de halo vert pâle au dessus de la tête et des yeux de la même couleur. Au moment où Nodéo tendit la mains pour savoir si il s'agissait d'une illusion ou non, il s'évanouissa soudainement.
Sins : Papa !
Nalur : Il fait aller l'aider !
Habitant : Non vous ne devez pas y aller les enfants c'est trop dangereux !
Les deux enfants fonçèrent vers la porte et l'ouvrir pour ensuite courir rejoindre leur père. Ils l'atteignèrent sans problème et vérifièrent si il allait bien.
Sins (paniqué) : Il respire !
Nalur (paniqué) : Et son cœur bat !
C'est alors qu'il se retournèrent vers l'étrange être arborant un halo. Elle était simplement entrain de marcher en direction de la sortit de la place. Mais en sentant les deux enfants la regarder elle se retourna vers eux. Elle avait des yeux eux aussi vert pâle et les fixa de manière neutre, ne retranscrivant aucune animosité. Elle se retourna ensuite de nouveau et continua son chemin.
Sins (énervé) : Vous qu'avait vous fait à notre père !
Nalur : Arrête petite sœur, il ne faut pas la provoquer !
Sins : Vous êtes qui d'abord !? Vous débarquer comme ça et vous nous attaquer.
Nalur : Je te dis d'arrêter !
Malgré toute la haine qu'avait Sins à son égard, la personne ne s'arrêta pas pour lui répondre. Continuant tranquillement son chemin, répondant autour d'elle une aura qui commença à affecté tout ceux présent dans les bâtiments de la place, y compris les deux enfants. Ils commençaient tous à s'évanouir à leur tour comme si leur cerveau était saturé. Mais du côté de L'étrange être les créatures phantomatiques peuplant la place, s'écartaient, comme si elles la redoutaient, elles aussi.
C'est alors que tout le monde finit par s'évanouir.
Les trois Smoth se réveillèrent plusieurs heures plus tard dans leur maison, dans leurs lits respectifs. Les deux enfants qui partageaient la même chambre semblait tout les deux complètement perdu.
Sins (difficilement) : Ooooh, j'ai mal à la tête. Je crois que j'ai fait un mauvais rêve.
En entendant sa sœur parler le jeune roublard se leva de son lit.
Nalur : C'est bizarre, moi aussi. Tu crois qu'on peut faire un même rêve ?
Sins : Sûrement, on dit que tout les êtres vivant on des connections entre eux.
Les deux sortirent alors de leurs chambres mais se redirent compte de quelque chose d'étrange. Ils ne portaient tout les deux pas leurs habits pour dormir.
Sins (étonné) : Depuis quand je dors avec ma robe ?
Nalur : C'est pareil, je crois que c'est la première fois que ça m'arrive.
Sins : Tu crois que maman nous a dit d'aller nous coucher en étant tellement en colère qu'on l'aurait fait sans même prendre le temps de se changer ?
Nalur : Ça me paraît peu probable.
Ils avançèrent tout les deux à travers le couloir de l'étage pour rejoindre l'escalier donnant sur le rez-de-chaussée. Mais ils s'arrêtèrent brusquement en passant devant une fenêtre. Ils fixèrent l'extérieur d'un regard d'effroi. Le ciel arborait une teinte rouge vive tandis que les nuage d'un noir profond former des spiral chaotique.
Sins (choqué) : Euh, toi aussi dans ton rêve y avait plein de truc bizarre qui se passait dans le ciel.
Nalur : Oui...
Ils se précipitèrent alors au rez-de-chaussée de chaussée où ils retrouvèrent leurs parents dans le salon. Ils s'emballent tout les deux paniqué par la situation.
Sins : Papa tu vas bien !
Ils se dirigèrent tout les deux vers leur père pour le prendre dans leurs bras.
Nodéo : Je suis si content de voir que vous allez bien.
Nalur : Mais qu'est ce qui c'est passé ? On était en ville.
Nodéo : Si on va tous bien c'est grâce à votre mère. En voyant le ciel changé, elle a eut un mauvais pressentiment et est partit vous chercher.
Colia : Je vous est retrouvé tout les trois évanouie sur la place mais heureusement il y a eut plus de peur que de mal. Ensuite grâce à l'aide d'autres habitants j'ai put vous ramener à la maison.
Sins : Mais le ciel il est encore tout bizarre !
Nodéo : Oui il semblerait que ça ne veut pas s'arrêter.
Colia : Même avec toute les aventures que j'ai vécue je n'ai jamais entendu parler d'un telle phénomène.
Nodéo : Mais ne vous inquiétez pas les enfants, on va rester ici jusqu'à ce que tout ce calme.
Les deux parents se levèrent et se dirigèrent vers une autre pièce.
Colia : Restez bien sagement ici, on a besoin de discuter tout les deux.
Ils se retrouvèrent alors dans la cuisine et prirent un aire plus sérieux.
Nodéo : Qu'est ce qu'on fait ? On ne sait pas combien de temps tout cela va bien pouvoir durer. On ne va quand même pas rester ici sans rien faire.
Colia : Tu veux qu'on fasse quoi ? Tu me l'as dit toi même, des monstres étrange apparaissent sans qu'on sache comment et pourquoi.
Nodéo (désespéré) : Je... je ne sais pas quoi faire. Qu'est ce qui peut bien se passer ?
Il s'effondra au sol.
Nodéo : On n'a plus qu'à nous en remettre au cieux pour qu'ils veuillent sur nous.
En voyant cela la sram se mit en colère.
Colia : Je ne savais pas que j'avais épousé un telle dégonfler.
En entendant ses mots Nodéo releva la tête vers sa femme.
Colia : Tu veux que je te rappelle pourquoi nous sommes ici aujourd'hui. Nous, deux ex criminel ayant fait du mal à d'innombrables gens.
Il y a 18 ans Colia et Nodéo étaient deux criminels qui sévissaient dans la région d'Amakna. Mais un jour ils furent tout les deux arrêter à peu près au même moment par la garde et furent jeté en prison. Ils essayèrent de s'échapper par tout les moyens et pendant une de leurs tentatives d'évasion se rencontrèrent. Se fut le coup de foudre. Après avoir été rattraper par la garde et remis en prison, ils n'essayèrent plus de s'échapper mais de seulement se voir. Les rares moments où se fut le cas les comblaient de bohneur l'un comme l'autre. Mais un jour alors que leur relation continuait, Colia tomba enceinte.
C'est à ce moment là que qu'ils eurent une révélation. En devenant parents ils allaient tout les deux devoir endosser un rôle remplie de responsabilités. Ils commençèrent alors un long chemin vers la repentance. Ils réussirent a négocier avec la milice leur libération en échange de l'emplacement tout quasiment tout leurs butins amasser durant des années. Tout en réussissant à négocier une petite partit leur permettant de s'occuper de leur futur enfant. Ils furent alors relâché tout les deux et quelques temps après leur première enfant naissa.
C'est en le voyant pour la première fois qu'ils furent emplie d'une telle joie qu'ils se jurèrent de ne plus jamais faire de mal à qui que ce soit. Pour que leur enfant grandissent dans un monde sûr.
Colia (fort) : La personne que j'aime n'est pas un faible qui désespère à la moindre situation. Alors relève toi tout de suite !
Le roublard la regarda d'un air mal à l'aise en regrettant son geste, puis se releva.
Nodéo : Tu as raison on va trouver une solution à tout ça. Il y en à forcément une.
Sa femme sauta alors dans ses bras en affichant un sourire.
Colia : Voilà je préfère ça.
À ce moment les deux enfants entrèrent dans la pièce, car alerté par le fait que leur mère avait haussé le ton.
Sins (doucement) : Vous allez bien ?
Colia (en souriant) : Oui ma chérie ne t'en fait pas.
Les deux enfants se rapprochèrent alors de leurs parents en souriant.
Nodéo : Allez, on va trouvé une solution ensemble.
Nalur (joyeusement) : Oui Papa !
Colia : Venez dans mes bras mes petits !
Mais avant que les deux enfants purent assez s'approcher de leurs parents la jambe d'une immense créature perça le plafond et écrasa Colia qui n'eut pas le temps de réagir. Les trois autres s'arrêtèrent de bouger, paralysé d'effroi.
Sins et Nalur : Ma...
La jambe se releva et Colia avait été tué sur le coup. Nodéo fixa le corps de sa femme en commençant à pleurer.
Nodéo : Non... n... ce... ça n'est... pas réelle.
Ils levèrent alors la tête vers la grande créature qu'ils pouvaient voir à cause du large trou qu'elle avait percée. Il s'agissait d'une sorte de grand shushu arborant comme toute les autres créatures une apparence phantomatiques.
Nodéo (en hurlant) : ENFOIRÉ !!!
Il sauta en se propulsant à l'aide de stasis sur le toit de la maison pour faire face à la créature. Tandis que ses enfants se dirigèrent en pleure vers le corps de leur mère.
Nalur : Maman...
Sins : Relève toi je t'en prie.
Mais c'était bien trop tard et ils ne purent bien sûr obtenir aucune réponse. À ce moment là ils entendirent des bruits venant de derrière eux. Ils se retournèrent et virent une petite créature. Elle ne ressemblait à rien ayant déjà foulé le monde, que ce soit celui des douze et l'actuelle, pas même un êtres de tout le krosmoz. Elle était comme une sorte de phantôme avec deux très longue griffe semblant fit d'une sorte de fumée tangible. Elle se déplaçait à la manière d'une sorte de mollusque et n'avait de visage. Sa tête était une sorte de sphère de fumée ouverte par endroit, avec au centre un petit noyau jaune brillant.
Sins : C'est quoi ce truc ?
Nalur : Recule petite sœur !
La créature s'avança vers eux tout doucement en levant ses deux griffes. Et d'un coup elle bougea à grande vitesse et fit une grande entaille sur tout le ventre de Sins qui s'effondra au sol.
Nalur : Sœurette !
Le jeune roublard prit son courage à deux main et fonça sur la créature. Cette dernière se défendit en assénant un autre coup de griffes. Mais Nalur réussit à l'esquiver partiellement en se faisant que entailler superficiellement le bras. Il en profita donc pour asséner un coup de point dans ce qui semblait être la tête de la créature. Mais au moment de l'impact son poing passa à travers.
Nalur (choqué) : Quoi ?!
La créature en profita pour contre attaquer et lui creva les deux yeux avec une entaille bien placé. Le garçon s'effondra au sol en hurlant de douleur. Et au moment où la créature allait l'achever Sins fonça à son tour en sautant sur la créature. Mais encore une fois elle passa à travers sans rien pouvoir faire. La créature fonça alors vers elle et lui trancha son bras gauche qui tomba par terre. Elle hurla alors à son tour à cause de la douleur.
Nalur (en souffrant) : Non Sins, qu'est ce qui ce passe ?!
La créature se tourna alors à nouveau vers le jeune roublard et s'apprêta à l'achever. Mais ce dernier releva la tête et la créature vit quelque chose qui la fit s'arrêter. Les yeux de Nalur qui avait été percée, étaient intact mais avait changé. Ils étaient maintenant vitreux avec une couleur gris clair. Et apercevait rien hormis l'érngie étrange qui se trouvait un peu partout autour de lui.
Nalur : Qu'est ce qui se passe. Je vois de l'énergie, tout les flux.
Il arrivait à voir la silhouette de la créature qui émanait une énergie particulière. Mais ce n'est pas tout il apercevait aussi une autre source d'énergie, là où se trouvait sa sœur.
C'est alors que la créature sentit elle aussi cette énergie et dirigea son regard vers la jeune sram.
Cette dernière se releva et elle remarqua que quelque chose avait changé. Un deuxième bras droit était apparue. Il passait en dessous du premier et dans la même manche. Mais surtout il n'était pas ordinaire. Il était phantomatiques à la manière des créatures, et de couleur bleu pâle. Sur toute la longueur il était parsemé d'excroissance similaire à des morceaux de tissu de la même couleur que le reste, qui flottaient dans toute les directions.
Nalur : Petite sœur tu vas bien ?!
Elle se tourna son regard vers l'étrange créature. On pouvait voir la haine dans ses yeux.
Sins : Je vais t'exterminer !!!
Elle fonça sur la créature qui tenta de riposter en assénant un coups de griffes. Mais le mouvement du nouveau bras de Sins créèrent un étrange flux d'énergie qui commença à tirer la créature dans toute les directions.
Sins : Meurs !
En continuant son mouvement la créature fut déchiqueté et disparaissa comme les autres êtres phantomatiques.
Nalur : Sœurette, qu'est ce qui ce passe, la source d'énergie à disparue.
Elle se précipita alors vers son frère.
Sins (en pleure) : Je suis désoler, j'aurais dû mieux te défendre.
Nalur : Tu n'y ais pour rien ne t'en fais pas. Mais maintenant il faut rejoindre papa.
Au moment où il prononça ses mots Nodéo débarqua par le trou du toit en se faisant projeter contre le sol.
Sins : Papa !
Il était très mal en poing, blessé de toute part.
Nodéo (difficilement) : Reculez les enfants...
À ce moment là il vit le monstre préparant un coup de poing. Il tenta alors une riposte avec un tire de stasis mais le projectile passa à travers la créature.
Nodéo (dans sa tête) : Je suppose que c'est finit. Désolé Colia, j'ai échoué dans mon rôle de père. Je ne pourrais plus protéger les enfants. Mais je suis heureux d'avoir put profiter de vous trois le plus de temps possible. Après tout, c'est peut être le ciel qui vient nous punir pour avoir été des criminels. On ne méritait peut être pas tout ça.
Il se tourna alors vers ses enfants.
Nodéo (en souriant) : Je suis si fier de vous deux. Sachez que votre mère et moi nous vous aimons de tout notre cœur.
Sins fonça à lors pour aider son père. Mais avant qu'elle ne puisse faire quoi que ce soit le monstre lui asséna un coup de poing qui l'enfonça dans le sol. Et Nodéo ne s'en releva pas. Sa fille fut prit d'effroi tandis que son fils ne put heureusement pas voir cette scène.
Sins (au bord des larmes) : Papa...
Nalur (paniqué) : Qu'est ce qui se passe ?!
Mais ils n'eurent pas le temps de réfléchir que le monstre les attaqua avec en essayant de les écraser avec sa jambe. La jeune Sram fut se mit alors dans un état de colère telle qu'elle se fit mal à la voix en hurlant.
Sins : JE VAIS TE MASSACRER !!!
Elle avança sa main phantomatique vers le démon. Au moment où les deux coups s'entrechoquèrent le monstre fut comme souffler sans qu'aucune onde de choque ne se forme. Et disparue laissant Sins frustré de ne pas avoir put plus faire souffrir son adversaire.
Sins (en hurlant) : HAAAAAAAA !!!
Nalur (en pleure) : Calme toi sœurette.
Elle fonça alors sur lui et l'attrapa par le col avec ses deux bras droit.
Sins (enragé et en pleure) : Me calmé !? Tout ça, à débarquer de nul part. On a rien put faire et juste au moment où j'aurais put faire quelque chose je n'en ais pas eut le réflexe !!! On a tout perdu !
Nalur (en pleure) : Non nous sommes encore vivant tout les deux.
En entendant ces mots Sins se stoppa.
Sins (en pleure) : Non... je ne peux pas accepter ça. Il faut qu'on trouve la source de tout ça... et qu'on l'élimine.
Nalur regarda autour de lui et ne put voir que l'étrange énergie qui flottait en faible quantité dans l'air. Il pouvait savoir où était sa sœur car son bras émanait plus d'énergie que le reste. Mais en observant un peu mieux il remarqua que dans une direction, il y avait une plus grande source d'énergie.
Nalur : Vers le centre ville.
Sins (confus) : De quoi tu parle ?
Nalur : Une grande énergie émane de l'intérieur de la ville, à peu près en direction du centre.
Sins : Tu es sûr ?
Nalur : Oui, si on veut avoir une piste, c'est là bas qu'il faut aller chercher.
Sins (déterminer) : Alors allons y !
Les deux enfants décidèrent donc de se diriger vers la source d'énergie. Mais avant ça Sins se charge d'enterrer le corps de ses parents. Sans son frère qui ne pouvait pas l'aider. Elle finit de les enterrer dans leur jardin et resta figer devant les tas de terre.
Sins (dans sa tête) : Papa, maman, je jure de trouver le responsable de tour ça et de le faire payer de sa vie.
Elle se retourna ensuite vers son frère et lui attrapa la main.
Sins : Je vais te guider à travers la ville. Toi essaye de me guider jusqu'à ce qu'on cherche.
Ils partirent donc vers la ville à pied ne pouvant plus prendre le wagon qui avait cessé de fonctionner. Ils marchèrent un petit moment sans que rien ne se passe. Ils virent évidemment pleins de phénomènes étranges mais rien leur étant hostile. Puis ils finirent par tomber sur un véhicule à deux roue, sans doute abandonné là par quelqu'un.
Sins : On va l'empreinter pour nous déplacer plus vite.
Nalur : De quoi un véhicule ? Tu es sûr de pouvoir en piloter un.
Sins : Il y a une première fois à tout.
La jeune sram monta alors sur le véhicule et aida son frère à faire de même. Elle réussit après quelque minute à démarrer le véhicule malgré sa trop petite taille et fonça en direction du cœur de la ville. Ils fonçèrent à toute vitesse à travers les villes quasiment déserte. Ne croisant seulement que quelques habitants qui fuyaient les lieux, ou encore quelque créature phantomatiques qui ne purent pas les rattraper. Mais en arrivant dans une large rue ils virent la garde entrain d'essayer de combattre une immense créature. Elle était similaire à un grand être abyssal munit de plein de bras sur un corps tout en longueur et dépourvue de tête. À la place ses yeux se trouvait le long de son dos. Sins fonça alors à toute vitesse sur la créature.
Sins : Bouger de là !
Les gardes sautèrent sur le côté pour éviter d'être balayé par le véhicule.
Garde : Qu'est ce qu'ils font ses gamins ?!
Garde : Partez d'ici les enfants vous allez vous blesser !
Mais elle ne les écouta pas et sauta du véhicule en attrapant son frère. Et la machine partit d'écraser dans un mur
Nalur : Qu'est ce que tu fais ? Tu n'aurais pas put l'arrêté tour simplement ?
Sins (géné) : Désoler j'étais trop petite pour bien le conduire, et je ne savais pas comment l'arrêter.
Pendant leur conversation le monstre tenta de les attraper dans le dos. Mais avant qu'il ne puisse le faire Sins se retourna et comme avec l'autre créature, elle le tua d'un simple mouvement de main en le broyant sur lui même. Les gardes furent choqué par cela.
Sins : Grand frère, elle est où la source d'énergie ?
Nalur : Plus très loin je la vois de mieux en mieux.
Elle lui attrapa la main pour qu'il se guide mutuellement et continuèrent leur chemin.
Puis quelques que minutes après ils arrivèrent enfin à destination. Le jeune roublard pointa du doigt la source d'énergie qui pour lui était juste en face.
Nalur : C'est ici juste devant, tu vois quelque chose de ton côté.
Sins (perplexe) : Ouais mais c'est plutôt étonnant.
Ils avaient devant eux le cinéma qu'ils avaient aperçut plus tôt dans la journée. La rue était désert et aucune créature non plus ne semblait s'y balader. Ils décidèrent donc d'entrée, non sans une certaine appréhension. Ils se retrouvèrent dans l'entrée et Nalur pointa l'une des salles. Ils y entrèrent. La salle était assez grande, remplie de siège rouge vide disposer de manière descendante, avec au fond le projecteur qui était encore allumé et même entrain de projeter le film à l'affiche, "Delos le colosse". On pouvait y voir un immense colosse blanc se battre au milieu du désert, contre un autre monstre tout aussi gros.
Sins fut impressionné de cette technologie mais détourna vite le regard. Car la pièce n'avait rien de normal elle semblait flottait au milieu d'un vide infini formé de motif et de couleur aléatoir dans des tons ternes. Au milieu de la pièce se trouvait la source de toute cette énergie. Ce n'était nul autre que l'être arborant un halo qu'ils avaient put aperçevoir un peu plus tôt. Nalur aussi était capable de le voir, dans son exact forme physique, et non comme une simple masse informe d'énergie. Il était tranquillement assis sur un siège et regardait le film.
Il était très grand mesurant 2m80. Il paraissait avoir une vingtaine d'année, même si les enfants se doutaient que ce n'était que d'apparence. Il arborait donc un halo vert pâle au dessus de sa tête. Sa peau était partiellement transparente et plutôt sans dominence de couleur. Même si par endroit la couleur vert pâle pouvait apparaître puis disparaître, de la même manière que dans un liquide. Il avait des cheveux court et de la même couleur que son halo, ce qui était aussi le cas de ses yeux. Il ne portait pas de vêtements mais certain endroit de son corps étaient surplombé de sorte de filaments d'énergie s'organisant à la manière de fils agloméré.
Ils masquaient sa poitrine, son entre jambe et lui constituaient des sortes d'ailes à moitié formé qui n'était pas directement relier a son corps et qui flottaient à une dizaine de centimètre derrière lui. Et enfin ses bras possédaient les même type de filaments que sa cape mais disposé à la manière des excroissance du bras de Sins. Sa simple présence baigner la pièce dans une étrange atmosphère de paix mais aussi de détermination.
??? (d'une voix apaisante) : Cela fait longtemps que je n'ai pas rencontré des mortels.
En entendant cela Sins se mit de nouveau en colère et lui fonça dessus.
Sins : Je vais te buter espèce de monstre !!!
Mais avant de pouvoir le toucher elle s'arrêta toute seul en ce calmant. Elle essaya à nouveau de concentrer toute sa haine pour repartir mais elle n'y arriva pas.
Sins (choqué) : Qu'est ce qui m'arrive je n'arrive...
??? : Tu n'arrive plus à te battre ? Et bien pourquoi souhaite tu continuer dans ce cas ?
Sins (calmement) : Tu as tué mes parents je vais les venger.
??? : Moi j'ai tué tes parents ?
Nalur : C'est vous la cause de tout ce qui ce passe à Amakna n'est ce pas ?
??? : Moi ? Pourquoi voulez vous que cela soit de mon faits ? Je ne vous comprend pas.
Sins : Arrête de raconter des mensonge c'est toi qui dégage toute cette énergie !
Il se leva de son siège et se dressa devant les deux enfants, les intimidant de part sa taille.
??? : Si vous voulez savoir toute la vérité, je me retrouve ici de manière complètement fortuite. Je ne l'ai pas voulu. J'ai simplement été aspirer dans le flot du "vide".
Sins : Et comment on pourrait te croire ? Parce que t'es quoi en faite ?
??? : Oh excusez moi, je n'interagit pas avec grand monde d'habitude. Je n'ai donc pas le réflexe de me présenter.
Il s'agenouilla pour être plus à la hauteur de ses interlocuteurs.
??? : Je me nomme Lamu, je suis un Teihos, un être du "vide".
Les deux enfants furent perdu par ces mots.
Lamu : La manifestation soudaine du "vide" semble vous avoir causé du tord. Mais encore une fois je ne suis pas le responsable.
Nalur : Alors qui ?
Lamu : Personne... personne n'en est là cause, c'est juste le flot le plus profond du krosmoz qui c'est abbatue sur votre ville dans tout ses aspects. Que ce soit les plus beaux ou les plus terrifiant. Et moi je m'occupe en attendant que tout cela se termine et que je puisse retrouver mon ami.
Les deux enfants se mirent à pleurer.
Sins : Alors tu veux dire que papa et maman sont morts pour rien...
Nalur : On a c'est tourné vers l'idée de vengeance sans même savoir si il y avait vraiment un responsable...
L'étrange être les regardait d'un air intriguer. Ne comprenant pas pourquoi les enfants pleuraient.
Lamu : Mais pourquoi cela vous affecte t'il autant ?
Sins (les larmes aux yeux) : Tu dois bien avoir des parents toi aussi ? Toi aussi tu dois être triste si il venait à disparaître.
Lamu : Oui j'ai eut des parents mais je ne l'ai jamais connu. Et le savoir ne m'a pas affecté.
Les deux enfants s'écroulent au sol de désespoir ne pouvant même plus se raccrocher à l'idée de vengeance. Mais en voyant cela leur interlocuteur pensa à la manière dont son ami aurait réagit. Puis il repensa à ce qu'aurait fait sa mère dans ce genre de situation. Il prit alors les deux enfants dans ses bras et à son contact ils se calmèrent.
Lamu : Je ne peux pas comprendre votre tristesse mais je sais néanmoins comment l'apaiser.
Les deux enfants furent comme endormi dans une espèce de rêves qui les fit repenser à toute leur vie, de leur naissance à la mort de leurs parents. Ils se mirent alors à pleurer dans une sereinetté qui contrastait énormément. Et il finir par fermer les yeux pendant que tout autour disparurent dans le flot infini de du krosmoz.
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