Moi : on bouge.
Loris : croit pas aussi que je suis ton chien parle meilleur.
Moi : sinon.
Loris : j'agirai.
Moi : garde tes menaces pour tes putes en chaleur.
Il s'est tourné pour me regarder vu que j'étais derrière et lui au volant.
Loris : je baise pas des putes.
Moi : c'est ton dos.
Il m'a souri et il s'est retourné puis a démarré.
Mine de rien il a un beau sourire le petit c'est pas un mec d'une beauté divine mais il en ferait tombé plus d'une. Il a de belles dents blanches un corps d'athlète un teint bronzé c'est ça qui fait tout son charme, il a des yeux bleus et ça rend son regard intimidant et il a un regard grave perçant c'est ouf avec sa coupe à la Drake bref le mec presque parfait quoi pour certaines.
Il roulait depuis quand il a fait détour brusque sa mère.
Moi : PUTAIN TU VEUX ME TUER OU QUOI ?
Lui : ......
Il avait augmenté de vitesse et il faisait des zig-zag je voulais le tuer sa race.
Lui : baisses toi.
Moi : me donne pas d'ordre et roule mieux putain.
Lui : TA RACE BAISSES TOI ON NOUS....
BAM! Un coup de feu. Je n'ai pas cherché à savoir qui c'était je me suis juste baissé et j'ai chargé mon arme.
Loris : il y a des gilets par balle en bas du siège passager.
Je me suis empressé de les prendre j'ai enfilé un et je voulais enfiler un à Loris.
Loris : PUTAIN BAISSES TOI ET quoi qu'il arrive ne tire pas.
Moi : tu déconne ?
Loris : écoute bien ils sont là depuis que nous sommes sortis de la maison donc s'il voulait nous tuer ils allaient le faire depuis et cela explique qu'il savait que tu démasquerait l'homme qu'ils ont envoyé et là ils veulent juste te pousser à bout et chaque fois que tu tuera un des leurs tu perdra un être cher.
Je l'écoutait et il avait totalement raison je me suis remise à penser à la lettre de talleur.
Moi : gares toi.
Loris : t'es baisé c'est sûr.
Je me suis levé et j'ai commencé à discuter le volant avec lui puis il a freiné brusquement et je suis descendu. La voiture qui nous suivait s'est garé et deux gars sont sortis, un rebeu et un renoi. Ils étaient armés.
Moi : salut.
Ils se sont regardés en mode elle se fou de notre gueule là.
Moi : bon je suis pas venu faire les présentations donc je vais aller droit au but....
Il m'a coupé.
Le renoi : tu lepar à qui là ?
Moi : nous sommes 351 peut-être ?
Le rebeu : répète.
Moi : j'ai d'abord péter ?
Non mais je suis là à taper la dispute avec des hommes armés et qui voulaient détruire ma gova y a même pas encore 30min.
Moi : vous me voulez quoi ?
Le renoi : nous rien mais notre boss il veut quelque chose et il a toujours ce qu'il veut.
Moi : *rire nerveux* il devrait d'abord être capable de porter ses couilles et venir me rencontrer votre boss.
Le rebeu : il se déplace pas pour khra.
Moi : non mais...... Bref je suppose que votre baiser de boss nous suit et j'aimerais lui dire qu'il sait pas encore à qui il a à faire.
Le renoi : *rire* plus de 243 personnes ont dit ça avant toi et aujourd'hui....
Le rebeu : toujours elles ont des grosses gueules ces putes.
!? : parle meilleur c'est pas ta pote.
C'était Loris.
Le rebeu : le mouton de service.
Loris : il te baise ta mère.
Le rebeu : att......
Le renoi l'a stoppé dans son délire et ils parlaient dans leurs barbes. Le renoi s'est approché de moi mais Loris lui a mis un stop mais moi j'étais pas du même avis donc j'ai permis au renoi de s'approcher.
Renoi : *chuchote* faut avoir peur.
Pff c'est ça je vais me pisser dans la culotte. Ils sont retournés tous les deux dans leur voiture et en partant le rebeu a tiré une balle dans la cheville de Loris.
Il gémissait de douleur mais pas ouf il a déjà vécu bien pire, il s'est accroché à mon épaule et nous sommes allés à la voiture j'ai pris la trousse de secours je lui ai mis sa chemise dans la bouche avant de retirer la balle avec un ciseau la blessure n'était pas très profonde j'ai fait un pansement vite fait et j'ai ensuite pris le volant.
[...]
Arrivé à la villa, c'était calme. Nous sommes rentrés Luna a ramené Loris dans sa chambre sans poser de questions.
J'ai organisé une petite réunion avec les garçons donc Rach, Éric et Alex. Les 4 avec Loris ce sont mes hommes de confiance.
J'étais dans mon bureau avec Rach et Alex.
Moi : il est où Eric ?
Eux : aucune idée.
Moi : bref je veux que vous fournissez le plus d'information possible sur les algériens.
Alex : mai...
Moi : aucune question demain on en reparle.
Eux : ok.
Ils sont sorti et j'ai fait pareil. J'ouvre ma porte et j'étais stupéfaite y avait une gigantesque table de salle à manger et un grand plat et un couvercle qui le recouvrait.
Je me suis rapproché doucement et sûrement, je soulève le couvercle et je vois....
Moi : AAAAAAAAHHHHHHHHHH.
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