13.
Je me suis retourné c'était un mec grand et baraqué en sah sa carrure intimidait mais azy on voyait pas son visage à cause de sa capuche.
La petite a couru vers lui, elle m'a dit au-revoir puis ils sont partis pff même pas un "merci".
Bref j'ai continué ma route il mérite pas mon attention ce vieux mec malpoli.
[...]
Il est 19h et je suis toujours dehors quand je vous dit que j'ai marché c'est pas une blague en plus je me suis même pas fatigué tellement je réfléchissait à tous mes problèmes.
Il fesait frais donc j'ai appelé à la maison pour qu'on vienne me prendre.
J'étais assise sur un banc quand quelqu'un vient se poser à côté de moi en sah j'ai pas cala mais après je me suis tourné y avait personne mais y avait une feuille je l'ai prise et y avait écrit dessus.
"VAUT MIEUX PAS M'AVOIR COMME ENNEMI."
En ça le message ne me faisait ni chaud ni froid mais ce qui m'inquiétait c'est le fait qu'il était écrit avec du sang et c'est sûrement celui d'une personne que je connais.
Les trafiquants sont pas stupides il va pas tuer un inconnu et t'envoyer une lettre écrite avec son sang pour de l'art mieux il t'envoie un texto.
Je réfléchissait au sang de qui ça pouvait bien être quand une voiture s'est garé. L'homme a baissé la fenêtre.
Moi : le code ?
Le mec : Isabelle.
Isabelle c'est le nom de ma mère.
J'ai envoyé un message à Loris et je suis monté.
Il roulait depuis à peu près 20min.
Moi : tu peux prendre à gauche stp ?
Le mec : mais.... Ok.
Moi : je dois m'occuper de quelqu'un.
Il a viré et quand on était déjà un peu éloigné je lui ai tiré une balle entre l'épaule et le coude et ensuite une à la cheville. Je veux pas qu'il meurt juste savoir qui l'a envoyé et après il peut mourir.
Loris est ensuite sorti avec quelques mecs et ils l'ont menottés puis l'ont mis à la banquette arrière et on s'est dirigé vers notre cave.
[...]
Loris : qui t'as envoyé ? C'est la dernière fois que je me répète.
Le mec : *rire* c'est ta grand mère.
Moi : *ironie* très drôle.
Le mec c'est sûr il délirait avec toutes les blessures qu'il avait sur le corps.
Un des hommes est venu avec un seau d'eau la vie j'ai touché on dirait c'était à 1° wesh il a versé sur le mec et comment il a tremblé et il n'arrêtait pas de rire.
C'est bon le petit jeu est fini, Loris a assez plaisanté avec lui et dit que je voulais même pas le toucher c'est bon il a joué avec mes nerfs.
J'ai mis des gangs et une cagoule pour pas avoir du sang sur le visage.
Moi : Loris je m'en charge ?
Loris : Kez...
Moi : je demande pas ton avis de plus c'est à moi qu'il voulait faire du sale donc je vais lui faire du sale.
J'ai compris depuis que ce mec n'allait rien dire au fond je l'admire j'aime les hommes fidèles mais bon je pense qu'il aime juste sa famille et en plus j'ai peur de personne sûrement un jour cette personne va porter ses couilles et venir me faire face.
J'ai souri à ce mec puis j'ai pris un couteau-suisse que j'ai enfoncé au niveau de sa cuisse gauche et j'ai descendu jusqu'à son genou il criait de douleurs et j'étais heureuse.
Au fond c'est facile de tuer en tout cas moi j'imagine toujours que la personne qui est en face de moi est celle qui a tué mes parents et je pourrais lui faire souffrir toute une vie.
J'ai fait pareil sur sa cuisse droite puis j'ai retiré le couteau. À ce moment Loris est sorti de cette salle noire et a bien plaqué la porte. Qué pasà ? J'ai pas trop calculé azy il a quoi lui ?
J'ai regardé le mec puis j'ai pris mon couteau et je lui ai coupé le majeur je faisais exprès de prendre tout mon temps pour entendre ses cris et j'ai fait cela sur ses deux mains.
Moi : *rire* ça fait mal ?
Il parlait pas il souffrait et je me réjouissait.
!? : les larmes d'un homme ne mentent pas.
Je me suis retourné et c'était le mec qui avait apporté l'eau.
Moi : et les larmes d'une petite fille ça ment peut-être ? Répond.
Lui : ......
Moi : RÉPONDS MOI SALE ENCULÉ DE MES MORTS. TU PENSES LES LARMES D'UNE FEMME ÇA MENT?
Je me suis levé pour lui faire face.
Moi : *rire* tu portes pas tes couilles je pensais bien.
J'ai pris l'arme qui était sur la table et je lui ai mis une balle entre les yeux . Puis je me suis retourné vers l'otage.
Moi : toi aussi tu penses que les larmes d'une femme mentent ? RÉPOND TU PENSES QUE MA PUTAIN DE MÈRE PLEURAIT POUR LE PLAISIR. TU PENSES QU'UNE MÈRE QUI SE FAIT VIOLER DEVANT SA FILLE PLEURE POUR R. TU PENSES QUE VOIR SES PARENTS SOUFFRIR ET MOURIR DEVANT SOI À 7ANS ET PLEURER C'EST ÊTRE FAIBLE.
Quand je parlais j'envoyai mon couteau dans sa jambe et je tournais le couteau à l'intérieur plusieurs fois. Ensuite je lui ai enfoncé le couteau à l'œil droit puis l'œil gauche à ce moment il a lâché son dernier cri.
J'ai retiré les gants et la cagoule puis j'ai passé ma main sur mon visage et il était mouillé. Je me suis même pas rendu compte que je pleurais.
J'ai lavé mes mains puis je me suis mise à pleurer sur une chaise. Oui je suis une grosse fragile et j'assume. Quand je penses aux circonstances dans lesquels mes parents sont morts bref.
J'étais toujours sur cette chaise en larmes quand un de mes hommes il regardait de gauche à droite quand il m'a vu. Je crois qu'il a remarqué que je pleurait.
Lui : désolé.
Et il est sorti.
J'ai essuyé mes larmes et j'ai lavé mon visage j'ai pris mon arme et je suis sorti.
Arrivé au salon j'ai vu le mec dans un coin avec d'autres je me suis rapproché et je lui ai tiré 3 balles.
Une entre les yeux je surkiff ça.
Une dans les couilles.
Et une en plein ventre.
Il m'a vu pleurer j'ai fait pleurer les siens.
Je suis sorti Loris était dans la voiture je suis rentré.
Moi : on bouge.
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