celle-ci c'est une fanfiction harry potter du tome 7

bon après j'ai déjà deux fanfictions sur mon compte et je n'ai encore jamais écrit d'histoire ducoup je sais pas si je partirais sur ça

résumé :

quatre maisons ;; un destin
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les forces du mal sortent peu à peu de l'ombre
le temps de la paix est révolu
celui dont on ne doit pas prononcer le nom prépare sa vengeance
plus que jamais les quatres maisons doivent rester soudées
pourtant les conflits, les trahisons et les mensonges percent l'unité de poudlard
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tous savent que seul une personne peut les sauver
harry potter
mais il n'est rien sans ses amis
leur septième et dernière année sera animée
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je sentais le métal glacé de sa chevalière sur ma peau
l'amertume de son cœur déchiré me frappa de plein fouet
je pensais le connaître
je me trompais
j'ignore tout de lui
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ils ont peur
peur qu'un simple adolescent ne puisse sauver cette école brisée
peur de sombrer une nouvelle fois
et ils ont bien raison

je me suis grave emballée mdr 

prologue :

Ses pupilles se dilatèrent et un sourire menaçant perça son visage pâle. Je baissais les yeux, sentant le regard brûlant de mon père. J'avais honte. Les mains squelettiques et glacées de mon interlocuteur attrapèrent mon poignet et remontèrent ma manche en laissant des marques rougeâtres sur ma peau blanche. Il passa le bout de ses doigts sur le relief de mes veines et ricana. Un sifflement immonde qui me terrifia encore plus. Son souffle putride me fit froncer le nez. Je le sentais si près, faisant trembler une mèche de mes cheveux blonds. Au bout d'un instant interminable il me lâcha. Il inclina légèrement la tête et mon père m'adressa un sourire hypocrite. Attendant avec impatience l'autorisation de m'en aller, j'essayais de me tenir droit sans laisser paraître mon envie de vomir. Les fenêtres s'ouvrir brutalement et je compris que je n'étais plus le bienvenu. Je me baissais en signe de respect, n'osant leur tourner le dos et fit demi-tour au dernier moment pour m'engager dans le couloir. La porte claque derrière moi. Malgré le battant qui nous séparaient, je savais que les deux sorciers étaient encore concentrés sur moi. Il y aurait des représailles. Une larme lourde de sens coula sur ma joue malgré moi. Personne ne devait me voir comme ça. Pendant un instant je songeais à une personne, une personne à qui je pourrais tout dire et qui me comprendrais. Puis la réalité me frappa de plein fouet. Personne ne serait là pour m'écouter. J'essuyais rageusement la goutte salée sur mon visage et me rendit à l'évidence. J'étais seul.

pour le coup c'est plus mystérieux mais bon,
pour l'extrait il est plus long que les autres mais en gros parfois c'est écrit suivant le pdv d'un personnage et on voit ce que pense les personnages en italique

extrait :

Cho Chang

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- Ron ! Harry

Je me retournais dans le wagon en reconnaissant la voix d'Hermione. Lorsqu'elle serra ses deux amis dans ses bras, les yeux pétillants, leur trio inséparable me donna la nausée. Lorsqu'il était là, je n'enviais personne. Mais il n'est plus là. Harry me regarda et je feignis de ne pas l'avoir vu. Je fis volte-face pour continuer mon chemin lorsqu'un uniforme noir aux bordures vert sombre me percuta de plein fouet. Je titubais sous le choque et me frottant le crâne. Je levais les yeux pour m'excuser, plongeant mon regard dans deux iris d'un gris profond qui me dévisagèrent. J'ignorais le nom de cet inconnu mais il avait de beaux yeux. Une petite voix me fit culpabiliser. Je tentais de me rassurer, Harry avait peut-être un faible pour Ginny mais ça ne m'empêchait pas de trouver quelqu'un d'autre à qui me confier.

- Regarde où tu marches idiote !

Sa voix hautaine me fit immédiatement redescendre de mon petit nuage.

- Heu, j-je..désolée.

Il s'écarta et je reconnu aussitôt ses cheveux blonds clairs, presque blancs. Certes il était beau, mais il était surtout et irrémédiablement insupportable. Il ricana.

- Une Serdaigle, ça ne m'étonne même pas.

- Laisses la tranquille Malfoy.

Je fermais les yeux, ça sentais l'embrouille à plein nez.

- C'est bon Harry c'est ma faute j'aurais du regarder où j'allais.

- Comme si quelqu'un en doutait, renchérit Draco.

J'essaye d'éviter une embrouille et il en rajoute !

- On t'as rien demandé, cracha Hermione.

Je bousculais Draco avant il ne l'insulte d'une atrocité sans nom.

- T'as pas compris la leçon l'intello ? lança le Serpentard en m'attrapant le bras.

- Je veux juste partir avant que ça dégénère. Hermione n'a rien avoir avec ça donc je te conseille de ne pas t'en prendre à elle.

- Et moi je te conseil de te mêler de tes affaires au lieu de jouer les héroïnes. Cédric n'est plus la pour te défendre.

Je me figeais.

- Ne parles pas de lui comme ça.

- Oh c'est mignon, il te manque, dommage qu'il soit mort, entre nous j'aurais aussi préféré que Potter soit tué à sa place.

Ma vue se brouilla et les larmes me montèrent aux yeux. Malfoy haussa le ton.

- Mais nan regardez moi ça, la petite copine de Cédric va pleurer !

Je levais la tête vers lui, bouillante de rage. Son visage d'ange craqua brusquement. Ron venait de lui filer un coup de poing magistral. Draco passa une main sur sa joue rougit.

- Tu vas le regretter Weasley.

Il me poussa volontairement contre la vitre et partit dans le couloir, furieux. Hermione se précipita vers moi.

- Cho, ça va ?

Je l'ignorais et partis en courant dans le sens inverse. Est ce que j'ai l'air de bien aller ? Je savais que tout mes amis m'attendaient dans un wagon et j'avais tout sauf envie de les rejoindre. Pourtant j'affichais mon sourire habituel qui avait charmé tant de personne et inspirait un bon coup avant de faire glisser le panneau coulissant qui me séparait d'eux. Des exclamations de joie m'accueillir et j'oubliais vite l'incident. Avec un peu de chance personne n'en parlerait plus.

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Le sifflement strident du Poudlard Express fit sursauter Ron, déclenchant un sourire moqueur chez Hermione. Elle le taquina en prenant ses affaires et s'engagea dans le couloir pour sortir du train. Il la suivit avec un air complice, remarquant à peine le regard absent d'Harry. Celui-ci semblait anxieux depuis le début du voyage. Les cris de surprises et de joies des premières années le sortirent de sa transe sur le quai. Il regarda autour de lui sans trouver le rouquin et la sorcière aux cheveux bouclés.

- Tu cherches quelqu'un ? l'interpella une voix familière.

Il se retourna vers une jeune fille blonde à l'allure excentrique.

- Oh Luna, comment ça va ? répondit il, tu n'aurais pas vu Ron et Hermione par hasard, ils étaient juste devant moi.

- Non désolée, tu les retrouveras sûrement au château.

Il acquiesça, préférant faire le chemin avec sa camarade silencieuse plutôt qu'avec ses deux amis excités. Dans le mouvement général, il aperçu Cho avec son groupe d'amis au loin. La jeune asiatique très populaire riait aux éclats comme si elle avait déjà oublié sa rencontre avec Malfoy.

- Tu viens ? lui demande Luna en le voyant fixer le vide.

Au moins elle ne pose pas de questions sur mon silence.

Il la suivit au milieu des septièmes années, cherchant Draco du regard sans le trouver. Il resta avec Luna jusqu'à ce que leurs maisons soient séparées, accueillit par son trio.

- On t'a cherché partout ! T'étais où ? s'enquit son amie.

- Avec Luna.

Elle m'a attendu au moins elle. Ron baissa la tête, coupable.

- Désolé on est peut-être partis un peu vite.

Harry haussa les épaules.

- C'est pas grave, vous n'auriez pas vu Malfoy ?

- Non, pourquoi il a encore fait des siennes ?

Il secoua la tête négativement.

- Je me demandais juste où il était.

La voix chaleureuse du professeur McGonagall les interrompit et la cérémonie du choixpeau commença.

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Cho Chang

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Le grondement de la grande porte attira mon attention alors que la dernière élève de première année s'asseyait chez les Poufsouffles. Quelqu'un était visiblement en retard. La silhouette de Rusard se dessina, accompagné d'un jeune homme plus grand que lui, Draco. Tous les regards se braquèrent sur lui, et l'espace d'un instant, je cru percevoir de la peur, de l'insécurité dans ses yeux. Son attitude confiante et arrogante repris cependant le dessus et je me demandais si je n'avais pas rêvé.

- Je l'ai chopé à rôder dans les couloirs, expliqua le concierge.

- Je voulais m'assurer que mes bagages étaient arrivé à destination, se justifia Malfoy calmement, la dernière fois un objet de valeur offert par mon père avait été volé. On ne peut plus faire confiance à personne ici.

Il sourit d'un air provocateur.

- Certains sorciers devraient rester à leur place, ajouta-t-il en fixant quelqu'un dans la foule, surtout quand on a une famille pareil.

- Ron n'a jamais volé personne, s'offusqua une personne au milieu des murmures.

- Il se sent concerné ? Je n'ai pas dis son prénom pourtant, fit Draco d'une voix nonchalante, si vous permettez professeur, je vais m'asseoir à ma table. Veuillez m'excusez pour mon retard.

Il rejoignit les Serpentards tandis que les discussions reprenaient. J'eu à peine le temps de croiser son regard incertain pour me rendre compte d'une chose. Il ment. Sa haine contre Ron l'avait juste aidé à lui inventer une excuse. Il faisait autre chose dans les couloirs.

- J'aurais jamais osé, me souffla Lila à ma gauche, qu'est-ce qu'il est charismatique quand même !

Je levais les yeux au ciel bien que je sois d'accord avec elle.

- N'exagère pas, ricana ma voisine de droite, c'est quand même la personne la plus insupportable que je connaisse.

Je partageais son opinion aussi. Je levais la tête vers Peter pour lui demander ce qu'il en pensait lorsque je surpris son regard perdu dans ma direction. Il se détourna, gêné, et je préférai me concentrer sur mon assiette.

- D'ailleurs, s'exclama Stella, j'ai entendu dire que Ronald Weasley lui avait mis une de ces patates dans le train, mais je ne pense pas que ça soit vrai.

- Si c'est vrai !

Mes amis me dévisagèrent devant mon air offusqué.

- Ne te fâches pas...comment tu le sais ?

- Heu...bah je, j'ai entendu Hermione en parler dans le couloir.

- Oh c'est incroyable, tu sais pourquoi il a fait ça ?

- Non, elle ne l'a pas dit.

- Moi je sais, intervint le petit frère de Lila, il paraît que Malfoy criait sur une fille qui lui avait foncé dedans et que Ron l'a défendu.

- C'est normal la pauvre, soupira sa sœur, comment elle s'appelle ?

Il haussa les épaules.

- Aucune idée, je ne sais même pas de quelle maison elle venait.

Je cessais de fixer mon assiette et relevais la tête.

- Dommage, j'aurai bien aimé savoir, dis-je.

- Moi aussi, répondit Peter en plantant ses yeux dans les miens.

Il sait que c'est moi.

aesthetic :