13 🐬
Ce n'était pas la première fois qu'il avait peur pour sa vie, c'était ironiquement la dernière. À côté de lui, ses collègues le regardaient d'un air compatissant.
À travers leurs yeux, il pouvait lire de la tristesse tandis que d'autres n'attendaient que sa mort pour être gradé.
Quand la Tsarine se leva, un silence sinistre régnait dans le palais. Et la combinaison anti-froid de Childe ne pouvait le protéger de la glaçe que le corps de la Tsarine émettait quand elle s'énervait.
- Votre Altesse, nous jurons dévotion et obéissance pour le restant de nos jours à vos côtés. Gloire à Sneyhnaya ! dirent-en cœur les exécuteurs en posant un genou au sol.
- Merci, merci... Aujourd'hui, mes très chers, puissiez-vous être victime de la punition pour les désobéissants et en prendre exemple sur ce qui vous attendrais si vous...
Elle sortit un fouet de glace, enrobé de pics et le fit claquer sur sol.
- contestez mes ordres, finit-elle.
Childe s'avança lentement profitant des dernières minutes de sa vie. Au moins, songea-t-il, Hu Tao fera une promotion sur mon cerceuil.
Il posa ses deux genoux à terre et ferma les yeux, des larmes coulaient au coin de ses yeux.
La Tsarine lui asséna un premier coup, si fort qu'il arracha un hoquet de surprise à ses collègues qui regardaient en silence.
Puis un deuxième,
Un troisième,
Un quatrième...
Plus tard, Childe était allongé sur le sol à moitié mort attendant le coup fatal. Il gémissait de douleur sans vraiment savoir pourquoi, parce qu'au fond il appréciait...
- Enchaînez-le ! Ordonna-t-elle, et déshabillez-le ! Ce soir, avant ta mort, puisse tu connaître le vrai froid de ta patrie.
Il resta ainsi 2 jours durant, enchaîné, nu et affamé. Son corps était couvert de bleus. Il n'avait plus d'honneur, plus de famille, plus de larmes pour pleurer. Il avait perdu espoir.
Mais un évènement inattendu se produisit, il vit de la lumière au loin.
Quelqu'un venait d'ouvrir les battant des portes et se dirigeait en courant vers lui.
La respiration de cette personne était lourde, comme un étranger au froid qui s'y habituait tout juste.
Tartaglia ne savait pas de qui il s'agissait mais cette personne le pris délicatement dans ses bras et lui murmura à l'oreille :
- Je suis revenu, petit paon....
~~~~~~~~~~~~~
- Attention ! Tu va te brûler...
Childe voyait encore flou, mais il s'avait que la personne qui l'avait secouru n'était personne d'autres que Zhongli.
À côté de lui, il y avait un feu de bois. Ils se situaient dans une maisonnette petite mais assez confortable juste assez pour quelques jours.
- Merci beaucoup...tu m'as entendu te prier ?
- Non...mais je t'aime Childe. Je m'en suis rendu compte trop tard. Je suis venu.
Le roux rougit à cette déclaration et baissa la tête. Zhongli lui attrapa le menton et déposa sur ses lèvres un baiser délicat et attentionné.
- Mais j'en veux plus, je me suis retenu trop longtemps...
Les deux amants se plongèrent dans un baiser plein de passion et de dévouement. Zhongli tira Childe sur lui et l'assit sur ses cuisses.
Tandis qu'ils s'embrassaient, les mains de Childe se firent baladeuse et touchaient chaque zones du corps du brun. Pendant que le brun lui- même jouait avec les fesses de celui-ci. Les deux amants poussaient des gémissements discrets, même si ceux du roux se faisaient plus entendre.
Après un moment, Zhongli décida qu'il fallait passer au chose sérieuse et jeta le roux sur le lit en lui arrachant tout ses vêtements au passage.
- Zhongli- Je-
Le brun le fit taire en l'embrassant une nouvelle fois, tout en retirant ses propres vêtements.Il recommença à caresser le corps de son amant en déposant des baisers à certains endroits provocant à Childe des spasmes de plaisir.
Puis le roux sentit quelque chose en lui. C'était les doigts de Zhongli. Il ne s'y attendait pas et gémit de satisfaction.
Le brun rajouta un deuxième puis un troisième doigt et les fit bouger au plus grand plaisir de son amant qui ne cessait de jouir encore et encore. Il s'agrippa aux draps tellement la passion l'envahissait.
Childe se redressa et embrassa passionnément Zhongli, puis il lui fit un suçon sur le cou.
- Je reviens, lui dit Zhongli brusquement.
Il revint quelques secondes plus tard, une fiole à la main. Il en versa le liquide sur sa main et remit ses doigt dans l'intimité du roux qui se remit à gémir de plus belle.
En vérité, il avait été chercher du lubrifiant car il avait un dernière idée en tête.
- Qu'est ce que-
Le roux se tut. Quelque-chose de BEAUCOUP plus gros venait de rentrer en lui. C'était mini- Zhongli.
Le brun se rapprocha jusqu'à pouvoir toucher les fesses de son amant avec son bassin. Et commença à se mouvoir doucement, puis plus rapidement en procurant un énorme plaisir à son compagnon. Il faisait de grand va et viens avec son bassin.
Le roux ne cessait de pousser des gémissements de plus en plus fort, il était hors de lui. Zhongli donna un grand coup avec son bassin et Childe poussa un énorme jouissement.
Les deux amants continuèrent ainsi longtemps.
( NdA : #Excuse de l'auteur qui sait pas comment continuer 😅 )
Ils tombèrent tout les deux plus tard, dans le lit, épuisés par leur précédent ébats.
~~~~~~~~~
Je retiens qui a lu la fin. Bande de petites oies perverses ! Je sais pas écrire VRAIMENT des lemons so this is the first time I write one.
Sur ce bonne nuit ! ⁽⁽ଘ( ˊᵕˋ )ଓ⁾⁾
Bạn đang đọc truyện trên: Truyen247.Pro