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37) Percer le mystère des pages

C'est idiot non ? Que la divinité créatrice, protectrice et moralisatrice de ce monde soit la Déesse de la Lune, alors qu'elle n'existe pas ici. Edmund m'a expliqué la légende à propos du retour d'Yrmooniane la Grande. On dit que lorsqu'elle sera prête à revenir, alors la Lune remplacera l'Astre dans le ciel. J'avais presque oublié qu'il était fan d'astronomie. Si seulement cela m'aidait avec les pages.

Voilà plusieurs jours que je suis dans une impasse. À chaque fois que je fais des recherches, la même réponse me revient tel un boomerang : « Si tu es perdue dans les ténèbres, les saintes lumières du Lunisme t'apporteront les réponses ». J'ai grandi sur Terre, un monde pas moins religieux que celui-ci, mais à Arcadia, ce n'était pas répandu. J'en ai rien à foutre de ce culte, il m'interdit d'être une Sorcière. Et pourtant, Daræn Edamonde semble être croyante, alors que magie et religion ne sont pas compatibles en Yrmoonia.

Je l'ai croisé hier, sortant d'un bâtiment que je n'avais jamais remarqué, c'était un autel pour prier. En y pénétrant, je me suis demandé si ce n'était pas effectivement ça, la réponse que je cherchais. Après tout, le Lunisme est la chose la plus importante en dehors d'Ylisse, mais rien ne me dirige vers lui, au contraire.

Et si tout ce complot ne servait en réalité qu'à me diriger vers la religion ? Que c'était le détail qu'il me manquait pour embrasser ma destinée ? Non, je suis juste en train de devenir folle. Abrahame cherche bel et bien à se servir de l'Autel de pierre pour un objectif à la couleur encore peu claire. Tout ce que j'espère, c'est que ce n'est pas le grand méchant de cette histoire.

Plus j'avance vers l'Autel de pierre, plus je m'éloigne de mes amis et de mon pacte avec Velcane. C'est si dur de savoir que le monde est en danger, mais de ne rien pouvoir faire pour l'empêcher. La jeune moi avait raison, être une héroïne, c'est vraiment à chier.


Absorbée par son journal, Lucina manqua de passer la nuit sur le toit de son dortoir, heureusement, Edmund lui rappela d'aller dormir dans sa chambre. Le lendemain matin, les premiers cycles avaient de nouveaux cours avec Ellius et Gwanmyre. Le trio d'Arcadia était tellement obnubilé par l'Autel de pierre qu'ils avaient chacun oublié leurs problèmes de Dji.

Lorsqu'elle sortit de sa chambre, la jeune fille aperçut Royé, ne désirant pas le croisé, elle fut la première de la classe à rejoindre le deuxième étage du manoir. Ici, se trouvait une petite pièce qui faisait office de vestiaire. Lucina y récupéra un cristal portant son nom qu'elle plaqua contre elle. Magiquement, ses vêtements civils disparurent au profit de sa tenue de combat.

En retrouvant son amie devant le gymnase, Edmund bouscula par inadvertance Yanon, un garçon a l'air très désagréable.

– Tiens, monsieur catastrophe. J'espère que tu as acquis du talent, ce serait dommage de faire encore honte à l'académie, toisa le jeune garçon d'un ton très acerbe.

– Si j'ai bonne mémoire, tu n'as pas de Dji et tu n'es pas très bien classé parmi nos camarades, répliqua vivement Lucina.

– Peut-être, mais moi au moins, je contrôle mes pouvoirs qui ne blessent ni ma personne, ni les autres.

Blessé, Edmund s'apprêta à répliquer physiquement, mais Lucina le retint, ce malotru n'en valait pas la peine. Emiliana n'était pas là, Yanon profita pour faire équipe avec celui dont il venait de se moquer. Ellius n'y vit aucun inconvénient, au grand damne du timide.

C'est ainsi qu'Edmund se retrouva à travailler avec le camarade le plus désagréable qui soit. C'était une manie de certains d'avoir un sale caractère et de s'en servir pour faire mauvais coups. Yanon, était-il comme Iñigo ? Capable d'agir pour un plan plus grand ? C'est lors de la deuxième partie du cours qu'Edmund confirma cette impression. Ellius venait de proposer des duels.

– Je veux bien affronter Edmund, lança précipitamment Yanon, à la surprise générale. Je suis sûr que c'est un adversaire intéressant, où alors ce sera l'occasion de prouver qu'il est ridicule, dit-il en jetant un regard en biais à Robin Edamonde.

Edmund se retrouva donc contraint d'affronter un adversaire dont il ne connaissait rien du Dji. Lucina et Velcane remarquèrent instantanément la confiance que leur ami avait dans les yeux, une attitude inhabituelle chez lui. Celui-ci se mit en position d'attaque et afficha la ferme intention d'effacer l'horrible sourire narquois de Yanon.


Leur salut ne masqua pas leurs intentions. L'un était sournois, l'autre plein de rage. Le bras droit d'Edmund s'enveloppa instantanément d'aura. D'un mouvement vif et précis, son corps fendit sur la gauche pour porter un puissant coup à Yanon, qui l'esquiva avec une élégante facilité. Celui lui permit de répliquer avec un simple coup de pied qui fit voler son adversaire sur deux mètres.

– C'est donc tout ce dont tu es capable ? Tu es vraiment pathétique, une honte pour Ylisse, cracha le garçon en jetant un regard méprisant.

Edmund passa deux doigts sous son nez humide et remit sa tignasse en place. À peine relevé, il se mit à mitrailler Yanon d'Astilix avec sa main droite. Même sans magie, le garçonnet arrivait à les esquiver en roulant et sautant tel un serpent. Le toucher relevait presque de l'impossible. Pour le battre, Edmund dut penser comme Lucina.

– Je m'attendais à ce que tu sois un piètre adversaire, mais tu dépasses mes attentes. Tu mérites effectivement d'être en bas du classement, cracha à nouveau le méprisant.

Le visage d'Edmund s'enragea, tandis que celui de Yanon affichait une méprisante satisfaction. Le premier se changea en une fumée quasiment indétectable sans plisser les yeux. Cela lui permit de réapparaître sur le flanc gauche de son camarade et de le frapper si fort qu'il décolla sur plusieurs mètres.

– La voilà, ma véritable puissance, assura fermement Edmund en toisant sévèrement le corps inanimé de son désagréable camarade.

Lucina et Velcane furent presque choqués du ton que leur ami employa. C'est à peine s'ils reconnaissaient Edmund. Toujours face contre terre, Yanon se mit à ricaner.

– Tu avais mis plus de cœur face à Edamonde, ne suis-je donc pas digne de la catastrophique puissance d'Edmund le dangereux ? rugit l'étudiant en se mettant à genoux

La colère d'Edmund envahit subitement toute la pièce, déclenchant une puissante bourrasque d'aura néfaste. Le corps de ce dernier s'enveloppa entièrement de Dji et se mit à flotter dans les airs. Rageusement, il se crispa avant d'exploser, générant un titanesque rayon d'énergie qui frappa Yanon de plein fouet. L'élève traversa carrément l'un des murs de la salle, n'attirant aucune réaction des stoïques enseignants.

À peine blessé, Yanon se releva, traînant derrière lui des morceaux plus ou moins gros du mur qu'il venait de briser. Dans sa main gauche, un débris assez volumineux pour faire office de bouclier, dans sa droite, une chaîne de petits fragments qui flottaient tout juste au-dessus du sol. L'étudiant s'en servit comme d'un fouet pour attaquer subitement Edmund, tout juste sortit de sa transe.

– Comment est-ce qu'il fait ça ? S'étonna Séphyra, qui constata les similitudes entre son Dji et celui de son camarade.

Edmund peina à esquiver les attaques et à répliquer. Yanon maîtrisait ses débris comme s'ils faisaient partie de son corps. Tels des yo-yos, Yanon jetait et faisait revenir sa chaîne de pierre pour handicaper son adversaire qui se prit quelques coups, malgré ses sorts d'esquive et de protection. Après s'être bien amusé, il détacha ses pierres pour ne garder qu'un morceau dans sa main droite. Il se mit à le faire tourner comme fronde.

Les deux élèves se jugèrent sévèrement du regard. Edmund était prêt à toutes les répliques possibles, tandis que Yanon souriant avec dédain tout en jouant avec son caillou.

– Tu... Tu as vraiment besoin d'une arme pour me battre ? demanda timidement le jeune garçon.

– Disons que je voulais dévoiler mon Dji avec panache. C'est ce que tu as fait avec Robin, non ? répondit sournoisement Yanon avant de tourner la tête vers la classe. Tu vois Séphyra, n'importe qui peut acquérir de la puissance, s'il le désire pas besoin de privilège. De toute façon, certaines n'en font rien ! Acheva-t-il en projetant violemment sa pierre dans le visage d'Edmund.

Ellius mit alors fin au combat, ordonna sèchement aux garçons de réparer le bordel qu'ils venaient de causer. Edmund avait le visage en sang et était sonné au sol, ce qui n'inquiéta personne en dehors de Lucina. Quant à Séphyra, elle resta médusée par les propos de son camarade de classe. Devait-elle s'entraîner davantage pour atteindre son niveau ? Était-ce seulement possible ?


Après le cours, Iñigo s'empressa de retrouver Yanon près du gymnase et de l'attraper fermement par le bras.

– Tu peux m'expliquer ton sale petit cirque avec Edmund !

– Iñigo, tu n'es pas le seul à vouloir aider les autres à développer leur Dji. C'est bien pour ça que tu as envoyé Robin affronter la catastrophe ambulante.

Excédé, le Prince balaya son camarade et lui chopa le coup avant de se pencher pour lui hurler à l'oreille. Davnick tenta de l'arrêter, mais fut stoppé par un simple geste d'Iñigo.

– Je t'interdis d'employer ce genre de méthode ! Je te conseille vivement de rester à ta place d'insecte insignifiant ! Gueula Iñigo à s'en décrocher la mâchoire. Maintenant, disparais ! hurla le Prince en lâchant vigoureusement l'élève.

– Tu veux quoi ? Que je saute par la fenêtre ?

– S'il n'y a que ça pour me faire plaisir, acheva fortement le Prince.

Iñigo se releva et tourna le dos à son camarade. Davnick lui emboîta le pas avant de se figer lorsqu'il entendit une fenêtre se briser.

– Tu penses qu'il va bien ? demanda-t-il avec inquiétude.

– Malheureusement pour nous, oui, grogna Iñigo réalisant qu'ils n'étaient qu'au rez-de-chaussée.

Pour Iñigo, il y avait encore beaucoup de travail pour sauver cette classe de la dérive. Cela serait plus simple si des enquiquineurs comme ce Yanon ne venaient pas lui mettre des bâtons dans les roues. Il était le seul à s'octroyer le droit d'utiliser des méthodes peu orthodoxes.


Tandis qu'Iñigo remettait Yanon à sa place, Lucina retrouva Twilight au cours de vol. La jeune fille n'avait pas le moral, ce qui sauta aux yeux de la douce créature qui lui exprima son affection.

– Vous avez vraiment des préoccupations étranges, vous les humains, lança la créature avec inquiétude.

– La chute du monde, ou découvrir que mes potentiels mentors sont des méchants, ça me semble pas futile, répliqua Lucina.

– Parfois, il faut savoir prendre les choses dans leur ensemble, la réponse est bien souvent évidente et sous tes yeux.

Si c'était le cas, Lucina l'aurait déjà trouvé depuis belle lurette et ne serait pas dans une énervante impasse. Dans son dos, Edmund tira très fermement la bride de Mazimo, qui n'appréciait pas vraiment. Comme bien souvent, Billius n'était pas totalement là pour faire la leçon. Il leur avait donné de vague consigne, sous prétexte d'apprendre à construire une relation Griffon/cavalier.

Edmund ne semblait pas s'être remis de son combat contre Yanon. Physiquement, il allait bien, grâce à Frenglin le Savant ; mais sur le plan psychologique, il était toujours en colère et déterminé à franchir ses limites. Le garçon alla jusqu'à forcer Mazimo à décoller sans vraiment s'attarder sur les précautions de base, ni sur la volonté de sa monture.

Rapidement, Mazimo se mit à glapir et dangereusement tanguer sur le côté, ce qui le fit chavirer avec son cavalier. Edmund se mit alors à chuter sans que Lucina ne puisse rien faire pour l'aider. Sauf que son ami s'arrêta miraculeusement dans sa chute. Derrière elle se trouvait Billius, le bras tendu.

– Bordel, tu ne peux pas faire attention ! gronda Edmund.

– Tu ne peux pas demander à ta monture de suivre la même évolution que toi. Tu dois avoir confiance en elle et lui apprendre à avoir confiance en toi, enseigna le drôle de Professeur.

– Tu n'as respecté aucune règle ! intervint une Lucina courroucée. Que tu ais gagné en confiance, c'est bien, mais ne devient un téméraire décérébré, ordonna-t-elle en lui frappant le bras.

Edmund s'excusa timidement, redevenant en une seconde le garçon empoté et pleurnichard qu'il était. Billius ne lui en tint as rigueur, son élève avait compris la leçon. Il leur rappela néanmoins que, même s'il était là pour assurer la sécurité, il n'y aurait pas toujours une personne de l'ombre pour veiller sur eux.

Lucina entendit cette affirmation et se fit frapper par une interrogation. Une personne de l'ombre, n'était-ce pas ce dont elle avait besoin pour se débloquer ? Billius venait de leur enseigner que parfois, il arrivait que quelqu'un qu'on ne soupçonne pas se révèle être l'aide dont on a le plus besoin sur le moment. La jeune Maïtraçe comprit alors ce qu'elle devait faire pour sortir de son impasse.


Tout en rentrant Twilight, Lucina trifouillait son pendentif en forme de croissant de Lune. Jusque-là, elle croyait que c'était vers la religion qu'il fallait qu'elle se dirige, mais en fait non. C'était vers son opposé : la Sorcellerie. Qui était la plus grande experte dans ce domaine ?

C'est à la bibliothèque que la jeune fille trouva la réponse à cette question. Daræn Edamonde était tranquillement en train de réviser lorsque sa camarade vint la déranger pour parler chiffon.

– Quoi que tu veuilles, je n'ai rien à te dire, assura très sèchement la Sorcière sans même lever le nez de son livre.

– Je voulais juste quelques conseils en Sorcellerie, tenta nerveusement Lucina.

– Par Moonia, tu es vraiment naïve ! tonna Daræn en se levant d'un bond. Les autres et les Professeurs sont peut-être assez bêtes pour tomer dans le piège de la douce jeune fille innocente, mais moi, je vois clair dans ton jeu. Sache, Lucina, que dès que j'en aurai l'occasion, je t'écraserai comme une punaise et je prendrai la tête de cette classe de demeurés pour que je sois la Sorcière la plus puissante d'Ylisse.

Sincèrement effrayée, Lucina déglutit en reculant jusqu'à être acculée contre une étagère. Daræn se montra si menaçante, si froide, si maléfique que la jeune fille eut la peur de sa vie. C'est alors qu'une main se posa sur son épaule, la faisant sursauter. Nalina Kosolov jeta un froid regard à Daræn, qui retourna sagement s'asseoir. Nous devons discuter, annonça péremptoirement la jeune fille.

Nalina tenait dans un premier temps à s'excuser de son comportement lors de leur rencontre. Honnêtement, elle avoua que c'était la faute de son père. En apprenant que Lucina le connaissait, elle n'eut pas vraiment envie de la fréquenter. Mais cette histoire était derrière elles désormais. Nalina se montra disposée à aider sa camarade, contre une aide de sa part.

– Tu as remarqué la double personnalité de Daræn ? Et tu penses que c'est lié à son livre ? Énonça la jeune fille en zyeutant leur camarade par-dessus son épaule. Moi aussi, je cherche à l'aider, mais sans toi, je ne peux rien. C'est toi qu'elle veut détruire.

Lucina n'était absolument pas ici pour parler de Daræn. Même si son cas était intéressant, que sa menace était un problème, il lui fallait d'abord percer le mystère des pages et trouver l'Autel de pierre. À peine Nalina les avait-elle touchées, qu'elle sentit qu'elles étaient magiques.

– Tu peux le sentir ? s'étonna la jeune Maïtraçe.

– J'ai le pouvoir de détecter le Dji et de l'annuler, dite elle en frottant sa main sur les feuilles. Tu as de la chance, je ne suis pas douée en décryptage, dit-elle d'un ton ironique.

Magiquement, les écritures superflues des pages disparurent, laissant apparaître une sorte de carte des étoiles. Lucina savait exactement à qui elle allait confier la tâche de la lire. Avant de la laisser partir, Nalina lui rappela bien que sa camarade avait désormais une dette envers elle et que Daræn restait un danger.

Nalina commença par demander à Lucina si elle pouvait l'aider davantage dans ce mystère, mais celle-ci ne préféra pas. Comment dire aux autres que le Directeur et des suppléants étaient peut-être de grands méchants ? Lucina promit néanmoins à sa nouvelle amie de venir l'aider avec Daræn dès que ce serait possible, une promesse que la fille aux cheveux verts n'allait pas oublier.


En sortant de la bibliothèque, Lucina tomba sur Shana et Royé. Cette foi, elle ne pourrait pas échapper à une discussion avec son ami. Celui-ci voulait savoir si ça la tentait de manger avec lui, afin de passer du temps entre amis. Gênée, Lucina dut décliner l'offre, il fallait en priorité qu'elle partage sa découverte avec ses amis. Royé baissa la tête, et se contenta de cette réponse, remettant son plan à une prochaine fois. Avant de partir, Shana prit à part sa camarade.

– Tu comptes sincèrement pour Royé, à part nous, il n'a pas d'amis. J'ignore ce que tu trafiques avec les autres, mais ne le néglige pas, si tes sentiments sont réciproques, parle-lui, conseilla la douce fille.

Lucina ne savait que répondre, elle sentait mal de faire souffrir Royé, qu'elle appréciait beaucoup. Mais elle ne pouvait pas le mettre en danger avec cette affaire. Fuir le problème était nettement plus simple. Elle promit d'être honnête avec lui, mais d'abord, elle devait retrouver Edmund pour lui confier la carte.

– C'est une carte des étoiles, je sais que tu es le seul à pouvoir la lire, assura Lucina en confiant la feuille à son meilleur ami. Comme je l'ai rêvé, elle devrait nous conduire au couteau de Néphioxe.

– Parce que tu peux prédire l'avenir maintenant ? se plaignit durement Velcane.

Lucina répondit par un isolant roulement d'yeux et se pencha sur la carte. Edmund leur apprit que c'était des constellations qu'on ne voyait qu'en Yrisia. Il allait les étudier cette nuit et prier pour trouver l'emplacement du fameux couteau de Néphioxe.

– En espérant qu'Abrahame et sa clique n'aient pas déjà mis la main dessus. Je ne peux pas croire qu'il ignorait ce détail, enchaîna Emiliana. Je vais voir ce que je peux trouver sur cette arme, je suis certaine que j'en ai entendu parler quelque part.

Encore une fois, Velcane n'avait aucune tâche et n'avait apporté aucune contribution concrète au mystère de Lucina. Il se contenta de croiser les bras, d'écouter et de mépriser en silence. Il remarqua que Royé les observait de loin, mais ne dit rien à Lucina. Cette dernière était trop heureuse d'enfin retrouver sa vie et de lâcher ses maudites pages. Enfin, ils se rapprochaient de l'Autel de pierre. Mais étaient-ils prêts à découvrir ce que cachait véritablement cette affaire ?

Yanon, l'élève insupportable :

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