Chevalier Larouille n'est pas juste un livre, c'est une Philosophie de la Vie.

Plus sérieusement. Je voulais avec Larouille créer non seulement des histoires, mais un type d'ambiance, un genre d'univers visuel. Une franchise, si vous voulez.

Mais pour faire du visuel, il faut savoir dessiner. Je dessine à peu près aussi bien qu'un nouveau-né ivre avec deux pieds gauches à la place des mains. Mais tel un Vito Corleone, un Donald Trump, ou un Vladimir Harkonnen (cherchez l'intrus... Ah non y en a pas) je peux toujours compter sur la Famille.

En l'occurrence mon reuf, concept artist de son état, dont vous avez sans doute croisé les créations sans le savoir dans une tripotée de jeux vidéo.

Il m'avait déjà prêté ses pinceaux pour confectionner les couvertures des différents épisodes, au délicieux look retro/western/médiéval/provençal. Il s'est remis à la tâche récemment, pour m'aider à cerner à quoi ressemble le monde de Larouille quand on le met en peinture (en Photoshop, pour être plus précis).

Donc plus que des illustrations officielles, ce sont plutôt des études, de palettes, de traits, d'atmosphère.

Et si vous aimez ce que vous voyez, n'hésitez pas à passer voir les sites personnels de l'artiste  (lien en commentaire).