Chào các bạn! Vì nhiều lý do từ nay Truyen2U chính thức đổi tên là Truyen247.Pro. Mong các bạn tiếp tục ủng hộ truy cập tên miền mới này nhé! Mãi yêu... ♥

CHAPITRE 5 : Rebondir ou mourir

Alors qu'elle allait pénétrer dans la salle des machines, Tiana Fry perçut une série de bruits tous plus inquiétants les uns que les autres. Du métal qu'on choquait, suivi de cris rageurs et de pleurs. Ceux de l'Azrienne. Lorsqu'elle franchit le seuil de la porte, la Capitaine sentit une boule d'angoisse monter dans sa poitrine. Si Fry entendait la mécanicienne, elle ne la voyait pas et se demandait comment elle allait la retrouver. Elle avança prudemment dans la pièce, en espérant ne pas surprendre sa protégée. Elle se souvenait de la douleur des griffures qui pouvaient en découler.

Lorsque Tiana arriva enfin près de l'origine des sanglots à moitié étouffés, elle découvrit la jeune Azrienne, à genoux. Au milieu d'un amas conséquent de pièces métalliques en tout genre, elle semblait exténuée, tant – Fry le devinait sans peine – par sa mission d'ingénieure que par les récents événements qu'elle venait de vivre.

— Tu n'as pas besoin de t'approcher aussi doucement, tu sais Capitaine...

Malgré la gravité de la situation, l'ancien Sergent ne put réprimer un sourire. Elle aurait dû se douter que Mei capterait autant son odeur que le bruit de ses pas et de sa respiration. Autant d'éléments qui lui permettrait de l'identifier avant même qu'elle l'ait vue. Ayant pris une grande inspiration pour calmer ses pleurs, la jeune femme se retourna vers sa supérieure. Un air rageur autant que triste parait son visage.

— Tu es au courant... C'est Tooms qui t'en a parlé ?

— Le médecin, répondit l'ancien Sergent en secouant la tête.

En réalité, Tiana ne savait que dire. Sa vie n'avait pas été simple, loin de là. Cependant, elle avait eu la chance de naître humaine. Elle n'avait donc pas eu à affronter la discrimination dont Mei ou Seilah avaient été les victimes. Et donc, que dire dans de telles situations ? Je suis désolée ? Toute la compassion de l'univers ne suffirait pas à panser de telles plaies. Pourtant, Fry ne pouvait pas faire grand chose de plus qu'affirmer son soutien à la jeune alien. Ainsi qu'admettre qu'elle n'aurait jamais dû la mettre autant en danger.

— Mei, je...-

— Ne t'avise pas de me dire que tu es désolée, Tiana Fry ! cracha la jeune femme. J'ai été traînée dans la boue, rien que parce que je...

La fin de sa phrase se perdit dans un sanglot. L'ingénieure avait encore du mal à exprimer cette dure réalité.

— Parce que tu es différente, termina la Capitaine en s'approchant.

Elle lui posa une main réconfortante sur l'épaule de Mei, avant de s'asseoir auprès d'elle. À son contact, un frisson parcourut l'échine de l'Azrienne qui fondit en larmes.

— Pourquoi ? Pourquoi on me déteste autant ? Qu'est-ce que j'ai fait de mal ? Je lui ai pourtant sauvé la vie, à ce sale type. Alors, pourquoi ?

"Pourquoi ?"

Cette question résonnait dans l'esprit de Tiana. Malheureusement, à cette interrogation, elle ne pouvait fournir aucune réponse. L'Histoire des humains, même dans leur galaxie d'origine, avait déjà montré à quel point leur désir de domination demeurait ardent et destructeur pour qui croisait leur chemin. À de rares occasions, la colonisation était restée pacifique et respectueuse des territoires occupés par les autochtones. Les nombreux cas contraires – caractérisés notamment par la domination humaine par la force et l'imposition de lois anti-aliens – avaient mené à un conflit. Une Guerre que Fry n'avait connue que trop bien.

Ne pouvant pas trouver une explication satisfaisante, ni pour elle, ni pour la mécanicienne, l'ancien Sergent se contenta de lui demander pardon :

— Écoute, je sais que j'aurais jamais dû te demander ça. J'ai pas imaginé un seul instant que ça pouvait arriver...

— Ah oui ? Et comment ça pouvait se passer autrement, selon toi ? Tu le sais comme moi, les humains ne sont pas connus pour leur acceptation de ceux qui sont différents.

La Capitaine encaissa cette remarque à l'encontre de sa propre espèce avec une pointe d'aigreur. Elle rechignait à être comparée ainsi aux pires individus de sa race.

— Merci pour moi, rétorqua Fry, sarcastique.

— Tu sais très bien ce que je veux dire. Toi, ça se voit que tu n'es pas comme eux. Tu as Seilah, déjà.

— Et toi aussi. Je te lâcherai jamais. Compris ?

Mei hocha la tête. À peine ait-elle eu une réponse, l'ancienne indépendantiste reprit :

— J'ai fait une erreur, c'est vrai. Mais je ferai en sorte que ça se reproduise plus. D'accord ?

Mei acquiesça de nouveau avec un faible sourire. Sourire que lui rendit la Capitaine. Puis, notant la tenue assez particulière que l'ingénieure portait encore, Tiana ne put s'empêcher de la questionner :

— Attends, mais... Je les connais ces fringues.

— Oui, c'est Seilah et toi qui me les avez offertes.

— Je m'en souviens très bien. Tu nous les avais jamais montrées d'ailleurs...

L'ingénieure se leva et entreprit de lisser sa jupe et de remettre son ras de cou en place.

— Qu'est-ce que tu en penses ? demanda-t-elle en écartant les bras.

Pour qui connaissait Mei dans la vie de tous les jours, il s'agissait là d'une véritable transformation. Elle prenait plus souvent soin du Charon que d'elle, s'éclaboussant allègrement d'huile de moteur plutôt que de produits de beauté.

— Magnifique... Non, mieux même. Tu es splendide. Tu vas faire fureur auprès des mecs, tu peux me croire...

Mei eut beaucoup de mal à cacher sa gêne face à un tel compliment. De telles louanges étaient aussi bienvenues qu'étonnantes.

— Merci... souffla-t-elle. Mais je...-

Un sifflement se déclencha brutalement et une fumée grisâtre commença à s'échapper de l'un des mécanismes parcourant la salle des machines. Les lumières commencèrent à s'éteindre par intermittence et bientôt la voix de Tooms résonna dans tout le vaisseau :

— Mei ! Qu'est-ce qui se passe ? J'ai plus de puissance !

La Capitaine se rua sur l'intercom et répondit au timonier :

— Tooms, je vais voir ça avec Mei. Pour l'instant, coupe le moteur supraluminique et attend de voir.

Quelques instants plus tard, le vaisseau fut parcouru d'une secousse caractéristique et le ronronnement du moteur supraluminique s'évanouit peu à peu pour laisser place à un calme relatif. En fond sonore, seul le bourdonnement des autres appareils gérant les systèmes principaux – notamment de survie – continuait toujours, inlassablement.

De son côté, Mei s'était attelée à la réparation de la pièce fautive. Positionnée en hauteur, il n'avait pas fallu longtemps pour que l'ingénieure la rejoigne. Un bond suffit. Puis, commencèrent les réparations. Un coup de marteau par-ci, une soudure par-là. Active comme jamais, la jeune alien frappait, consolidait ou colmatait si besoin. Quand soudain, une exclamation :

Irazeïna !

En entendant ce juron azrien, le rythme cardiaque de Tiana s'accéléra :

— Mei ? Tout va bien ?

La jeune mécanicienne descendit d'un bond de la machine qui n'expulsait plus la moindre fumée, avant de se retourner et d'afficher un air penaud :

— Non, ça ne va pas. J'ai tâché mes vêtements...

Fry ne put réprimer son rire devant l'embarras de l'ingénieure.

— Ha ha ! Mais c'est pas grave. J'ai bien cru que tu t'étais blessée ou je sais pas. Et toi, tu viens me parler de tes fringues. Toi, Mei, me parler de fringues. Ha ha ! Elle est vraiment trop bonne !

Prise d'un fou rire autant inespéré que bienvenu, la Capitaine eut beaucoup de mal à reprendre son sérieux. Devant elle, l'ingénieure attendait les bras croisés sur sa poitrine. Ce n'est que quand Tiana eut respiré profondément que Mei reprit :

— C'est bon ? Tu as fini de te moquer de moi ? J'étais sérieuse quand je disais que ces vêtements sont importants. C'est vous qui me les avez offerts après tout.

— C'est vrai. Désolée.

La Capitaine comprenait à quel point la jeune femme pouvait être vexée. Même si elle n'était pas très attachée à son apparence, la tenue qu'elle portait était un cadeau. Ce qui, dans la culture azrienne, consistait en un gage d'affection ô combien important. Ils étaient la preuve du lien qui les unissait. De la confiance et de l'amour qui existaient entre elles. Une connexion si forte que rien ne saurait la défaire. Nul besoin donc de dire à quel point ces présents étaient aussi rares que chéris.

La gêne commença à étreindre Tiana, qui ne savait plus où se mettre. Elle sentait qu'elle avait fauté et se confondit en excuses :

— J'avais oublié que c'était aussi important pour toi. Encore désolée.

— Ce n'est pas grave, assura la mécanicienne, une pointe de regret dans la voix.

Souhaitant par tous les moyens se sortir de cette situation, Fry changea de sujet :

— Bon et si tu m'expliquais la raison de la perte de puissance.

— Rien de bien compliqué, en fait. Un alternateur a grillé. Certainement parce qu'on fonctionne avec un moteur en moins depuis Fair Heaven.

Voyant à quel point ses explications demeuraient floues pour qui ne connaissait pas la mécanique du Charon aussi bien qu'elle, Mei tenta de démystifier la situation avec une analogie :

— Bon, admettons que le vaisseau qui nous sert de maison soit un organisme biologique. Toi, par exemple, si tu te fais mal quelque part, ton corps va compenser. Et les autres membres que tu vas utiliser davantage vont s'user d'autant plus. Le Charon, c'est exactement pareil. L'alternateur était déjà fatigué et maintenant, vu qu'il sert encore plus qu'avant, il prend feu. Logique.

Une logique imparable, en effet. Décidément, leur départ précipité de Fair Heaven les avait privés de bien des choses. L'absence de paiement et de tout ce qui en découlait : l'approvisionnement en denrées alimentaires bien sûr, mais surtout l'acheminement de pièces mécaniques nécessaires aux réparations de fortune comme celle-ci. Même si elle ne le montrait pas, Tiana Fry sentait un certain affolement la gagner. Comment allaient-ils se sortir d'un tel pétrin ?

— Et donc, tu peux réparer ?

— C'est déjà fait. Par contre, j'ai dû emprunter un autre alternateur au générateur auxiliaire. Du coup, si on ne trouve pas vite une pièce de rechange...-

— Si le générateur principal se coupe, l'auxiliaire pourra pas prendre le relais. Et nous mourrons soit congelés soit d'asphyxie. J'ai bien résumé ?

— Tout à fait.

La Capitaine soupira. Elle ne savait pas comment régler un tel problème. Et avec des passagers à bord, il n'en était que plus complexe. Ils ne pouvaient pas se permettre de les exposer à des dangers encore plus grands. Ils n'allaient payer qu'à l'issue de leur voyage, pas avant. Une mesure handicapante dans leur situation actuelle mais pas dénuée de bon sens.

— Du coup, tu comptes faire quoi, Boss ?

— J'en sais rien. Et pour ton alternateur, il te faut un modèle précis ou...-

— Non, non ! Il s'agit d'un P4X standard. On le trouve un peu partout dans des installations assez âgés ou des vaisseaux des précédentes générations.

— Hmm, donc pas de vaisseaux de l'Alliance flambant neufs.

Mei secoua la tête silencieusement, le regard confiant. Elle savait que malgré tout ce qui pouvait arriver, Tiana Fry n'était pas une femme qui abandonnait. Elle ferait son maximum pour leur permettre de perdurer.

— Ta réparation de fortune tiendra combien de temps ?

— Pas plus d'un jour ou deux, grand maximum.

Un jour ou deux. Tiana avait l'intime conviction que trouver la fameuse pièce ne lui prendrait pas plus de quelques heures.

— Je te promets qu'on trouvera quelque chose, assura-t-elle. D'ici là, bichonne-la autant que tu peux.

Le visage de l'Azrienne s'éclaira d'un franc sourire et l'ingénieure se précipita droit vers ses quartiers pour se changer, laissant sa supérieure seule dans la salle des machines.

Ayant lâché un soupir éloquent, Fry fit demi-tour et prit la direction de la passerelle. Une inquiétude la saisit quand ses pensées la ramenèrent vers les événements récents, et notamment l'affrontement au Kyben. Elle savait qu'Elim Bradock n'était pas homme à lâcher l'affaire. Surtout quand sa réputation était en jeu. Il ne les laisserait pas s'échapper ainsi sans les avoir fait souffrir. D'une manière ou d'une autre. Son sadisme irait jusqu'à faire torturer ses amis devant elle avant de l'achever. Une vision d'horreur qui la terrifiait rien que de l'imaginer.

— Ah, tu es là ! s'exclama une voix familière qui la fit presque sursauter.

D'un couloir adjacent apparut Seilah. L'alien cornue cachait mal l'inquiétude qui la rongeait.

— Tu es passée voir Mei ? Alors, comment va-t-elle ?

— Ça peut aller... Enfin bon, après ce qu'il s'est passé à Fair Heaven, je comprendrai tout à fait qu'elle ait besoin de repos et de tranquillité.

— J'imagine aisément, répondit l'alien avec un air dépité.

Tiana n'était pas surprise de la réaction de sa compagne. Bien au contraire. Étant elle-même une alien, elle avait essuyé des insultes et des réactions similaires. À défaut de pouvoir changer les mentalités, elle ne pouvait que compatir à la douleur de la mécanicienne. Une souffrance partagée par tous ceux qui étaient un tant soi peu différents. Une affliction que Tiana elle aussi avait connu par le passé de la part de certains vis-à-vis de ses préférences.

— Tu crois que si je vais lui parler, cela lui ferait du bien ? demanda Seilah.

— J'en suis pas sûre. Elle avait l'air d'aller mieux...

— Elle est devenue très douée pour cacher ses émotions. Et puis, tu la connais aussi bien que moi. Mei ne voudra jamais te décevoir. Ne serait-ce qu'un peu.

"Me décevoir ? Comment pourrait-elle me décevoir ?"

— Attends, quoi ? Mais comment est-ce qu'elle pourrait...? Sans elle, on est rien !

— Je n'en ai pas la moindre idée. Tout ce que je sais, c'est qu'il s'agit de l'une de ses plus grandes peurs.

Sa plus grande peur. Tiana Fry était effarée d'apprendre une chose pareille. Elle sentait qu'elle s'était forgée une place notable dans la vie de son ingénieure, mais jamais elle n'aurait imaginé que c'était à ce point-là. Certes, elle demeurait sa protégée et l'un des membres les plus importants – crucial aurait été un mot plus juste – de son équipage. Mais pour Tiana, cela en était resté là.

Seilah attendit quelques longs instants pendant lesquels sa compagne se tint totalement interdite. Son flux de pensées semblait incessant. Si bien qu'à un moment, elle n'en put plus :

— Bon, eh bien, je vais y aller... Je crois d'ailleurs que toi aussi, tu étais attendue quelque part.

— Ouais, ouais. Si tu le dis... répondit simplement l'ancien Sergent, toujours en pleine réflexion.

Ce n'est que lorsque l'alien cornue eut totalement disparu au détour d'un couloir que Tiana se rendit compte de ce qu'il venait de se passer.

"Bon, tant pis, j'irai me faire pardonner plus tard. Pour l'instant, il y a plus urgent à faire."

Fry reprit d'un pas décidé le chemin de la passerelle, où elle trouva Tooms, de nouveau à son poste. Toujours aussi impatient, il passait le temps comme il le pouvait, ici, en tapotant en rythme sur le rebord métallique de sa console.

— Tu veux de l'aide, Ash ?

— Non, mais un cap, oui ça me dirait bien, répliqua-t-il du tac-au-tac.

— Justement, en parlant de ça...

— Je t'en supplie, me dis pas qu'on doit faire un détour...

— Malheureusement, si.

Tiana résuma alors les principales informations qu'elle avait comprises des explications de Mei. Un exercice fort peu aisé, compte tenu de tout ce qui trottait dans l'esprit de la Capitaine.

— Et où on va trouver un truc pareil ? Une épave ?

— Aucune idée. Y a peut-être une station dans les parages pour réparer ?

La réaction de Tooms fut sans appel : un cri terrorisé déchira le silence qui régnait dans le cockpit.

— T'es givrée ou quoi !? Tu as la moindre idée d'où on est ou pas !?

La réponse silencieuse de Fry fut aussi éloquente que si elle l'avait exprimée. Un soupir plus tard et Tooms poursuivit :

— Attends, tu vas voir, annonça-t-il avant de faire apparaître la carte stellaire de la région.

Un cercle rouge clignotait au milieu de points bleu clair. Le timonier dézooma, permettant une meilleure appréciation des différents territoires qui autour d'eux. L'un d'eux, dont la bordure – rouge sur l'hologramme – était très proche de leur position, n'augurait rien de bon.

— Ah d'accord. Je comprends mieux. Les Charognards.

— Tu sais très bien ce que je pense des histoires qu'on raconte sur ces monstres. Et j'ai vraiment pas envie de vérifier par moi-même si elles sont vraies.

— Je comprends. Du coup, on a une solution de repli ?

— Peut-être ? Après tout, c'est un modèle d'alternateur standard selon Mei...

— Un P4X ? demanda une voix familière, celle de Sarina Rem.

La Capitaine se retourna, incrédule. Qu'est-ce qu'elle faisait sur la passerelle ? Et surtout, qui lui avait permis de s'imposer ainsi dans la conversation ?

— C'est une discussion privée, asséna Tiana.

— Veuillez me pardonner, répondit la jeune femme. Je venais simplement prévenir Ash que nous nous étions installés et j'ai entendu la fin de votre conversation.

Fry comprenait la proximité soudaine de la soeur avec son frère nouvellement retrouvé. Toutefois, cette intrusion la dérangeait. Mais plus encore, la jeune femme semblait avoir une idée. Idée qu'elle n'avait toujours pas exprimée.

— Du coup, vous vouliez nous dire quelque chose ? la pressa l'ancien Sergent.

— Oui, oui... Hmm. C'est juste que lorsque j'étais à l'Académie, je me suis intéressé à beaucoup de domaines. Et...-

— On peut abréger, s'il vous plaît ?

— Oui, pardon... Bref, ce que je voulais dire c'est qu'on peut également trouver les P4X dans de vieilles stations. Comme celles utilisées pendant la Guerre.

Fry n'en revenait pas. Elle, qui avait pourtant transité par de telles stations entre deux champs de bataille, n'avait même pas songé un seul instant à ces vestiges d'un ancien temps.

— Tooms, tu as entendu la dame ? Je veux que tu me trouves la station abandonnée la plus proche.

Puis, elle s'affala dans son fauteuil et lança :

— On part en chasse !

Bạn đang đọc truyện trên: Truyen247.Pro