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15 - Your lips, my lips.


CHAPITRE QUINZE ᵎᵎ
〔 ⩇⩇ : › Your lips, my lips. ❳

30 juin 2020, 00h37
Yeongsu

Minho ne pouvait pas fermer l'œil. Peu importe à quel point il tournait et se retorunait dans ses draps, il n'arrivait pas à trouver le sommeil. Beaucoup et rien s'était passé à la fois. Rien de manière concrète mais beaucoup trop dans sa tête. Son esprit tanguait et il ne savait plus où mettre les pieds. Jisung ne cessait de tourmenter sa vie et il avait encore frappé en lui rappelant ses vieux rêves d'adolescents.

Intégrer une aussi grande école, c'était de la folie, Minho n'avait pas le niveau. Enfin même s'il l'avait à l'époque, il était sûr qu'il ne l'avait absolument plus aujourd'hui. Cela faisait tellement de temps qu'il n'avait pas dansé, qu'il n'avait pas laissé la musique chatouiller ses doigts, d'infiltrer dans sa peau, ses membres. L'odeur si particulière de la salle de danse, les bruits des baskets heurtant le sol au rythme des basses, la satisfaction après avoir enfin réussi ce mouvement qui lui donnait du fil à retordre. Ça lui manquait, terriblement. Il n'aimait pas son travail, il étouffait entre les murs gris de son appartement, Minho avait une soif d'aventure qui n'attendait que d'être étanché. Il avait besoin de renouveau, c'était certain mais les Etats-Unis ?

C'était loin, très, très loin. Géographiquement et culturellement. Minho n'était pas un homme d'attache, matériel ou émotionnel mais le peu qu'il avait à Séoul réussissait à faire peser la balance. Il ne voulait pas quitter ses chats, Jisung et même s'ils étaient en froid, Chan. Mais ce qui le tourmentait le plus, c'était sûrement sa relation avec Jisung. Il partait à l'autre bout de l'Atlantique et c'est tout ? Ça s'arrêtait là ? Il refusait de laisser leur relation avoir un goût d'amertume dans sa bouche. Minho ne voulait pas se souvenir de Jisung que comme de touchers fragiles, de regards insistants et de paroles aux goûts de menthe et de rhum. Il en avait fini avec les regrets, et Jisung n'en sera pas un, il se le promettait.

Un soupir se perdit dans le silence de la pièce et les aiguilles tournaient sans que le sommeil ne le gagne. Minho hésitait. Comme d'habitude, il ne voulait pas faire le grand saut parce qu'il avait peur des conséquences. Mais si, seulement si Minho partait pour de nouveaux horizons, quittait la Corée du Sud pour de bon, était-ce vraiment comme ça qu'il voulait vivre sa vie ? Dans l'appréhension et le doute constant ? Non, bien sûr que non. Minho s'était déjà assez senti pathétique dans sa vie, commettre les mêmes erreurs encore et encore ne ferait que confirmer qu'en plus d'être un énorme froussard, c'était un idiot fini. Alors il prit son téléphone et le ventre serré, tapa les caractères sur son téléphone :

"Tu dors ?"

"absolument pas, toi non plus j'imagine"

"Non je t'écris dans mon sommeil, je suis somnambule."

"ahaha."
"viens dans ma chambre"
"c'est celle tout au fond du couloir"

Minho sourit et se leva sans même réflechir, faisant tout même attention à ne pas réveiller les parents dans la pièce d'à coté malgré son excitation. Chacun de ses membres étaient crispés tandis qu'il poussa timidement la porte que le plus jeune lui avait indiqué. Pendant quelques secondes, il eut peur de se tromper de pièce mais en voyant Jisung en tailleur sur son lit, toutes ses craintes s'étaient envolées, enfin presque. Minho referma la porte derrière lui et prit le temps d'observer sa chambre, curieux. Les murs étaient couleur crème, dont un au fond fait en ardoise. Celui-ci était recouvert de dessins, de petits mots, de rappels, des formes sans queue ni tête. Les autres murs eux étaient tapissés de photo de Jisung et Changbin ainsi que d'autres personnes qu'il devina être d'anciens amis. Certains polaroid étaient sous-titré, "my birthday 14.09.17", "premier bain de minuit 23.08.15", "changbin est un idiot 12.04.19", etc, etc. Minho ricana en voyant certaines, la bouille de bébé de Jisung sur celles-ci étant plus qu'attendrissantes. Il laissa ses doigts parcourir les souvenirs accrochés là, entre des post-its et des posters qui semblait faire qu'un avec le papier peint. La seule lumière disponible était celles des loupiottes en forme d'abeille accrochées au mur, bien que moindre, sa couleur chaude était plus qu'agréable. Son regard s'était porté vers le bureau et là encore, des petites figurines de grenouilles y figuraient toujours fièrement aux côtés de cahiers de cours poussiéreux, de mangas jamais terminés, d'une machine à écrire et d'un nécessaire épistolaire. Minho était impressionné par le nombre de papeterie qui s'était accumulé ici que ce soit le papier coloré, les stylos étincelants ou même le nombre excessif de trombones en forme d'animaux. Et Minho ne pût s'empêcher de remarquer l'immense collection de livres que le blond possédait. Il en avait vu quelques-uns dans sa chambre à Séoul mais là tous les livres couvraient un mur entier. Et un mur chez les Han, c'est très grand. Le tapis au sol lui chatouillait la plante des pieds et les peluches sur le lit du plus jeune le fit doucement sourire. Tout dans sa chambre était doux, mignon, à son image quoi, alors bien sûr Minho l'adorait.

« J'aime bien ta chambre, finit-il par dire alors qu'il s'installait sur le lit.

Je me doute étant donné que ca fait dix minutes que tu l'admires, rit Jisung alors que Minho essayait de ne pas se laisser défaillir par la gêne, embarrassé de s'être laissé distraire autant de temps, Mais merci. »

Un nouveau rire conclut sa phrase et Minho avait de plus en plus confiance en sa décision. Jisung avait échangé sa chemise et son pantalon droit en nylon pour un t-shirt large, le short en dessous à peine visible, ses jambes galbées totalement à découvert. Minho se força à ne pas s'attarder sur son corps et à la place, se coucha sur le lit, le regard vers la fenêtre qui se trouvait dans le renfoncement du plafond.

« Pourquoi tu pouvais pas dormir ? Jisung le suivit, non sans un soupir.

Je pensais.

— À quoi ?

Trop de choses. Mes parents surtout je suppose...Ce que tu m'as dis, ce que je vais faire de ma vie en général, enfin bref, comme d'habitude, Minho se tourna vers lui, les lèvres plissées, Et toi ?

Un peu pareil. Je pensais à ce que tu m'as dis sur l'école, Jisung vit volte-face vers le noiraud, Je...Je pense que vais tenter le coup.

C'est vrai ?! Il se redressa son visage illuminé et par son sourire et la lune qui se couchait dans ses yeux, Je suis super heureux là, vraiment, il ricana avant de se laisser retomber sur le matelas, Tu deviendras le meilleur danseur de ce pays, je le sais.

Tu as trop d'ambition, ricana Minho.

Et toi pas assez. Dans la vie, il faut voir les choses en grand. »

Minho pouffa, amusé par sa naïveté, avant de se mordre la lèvre. Il allait devoir le faire à un moment ou un autre, fuir n'était pas la solution, il le savait. Jisung était couché là, un sourire au-dessus de ses lèvres alors que ses yeux étoilés étaient posés sur le noiraud. Ses lèvres étaient légèrement brillantes, sûrement par le baume à lèvres ou de sa manie d'humidifier ses lippes quand il était concentré. Aucune trace de maquillage n'était visible sur son visage, et son grain de beauté sur sa joue droite était visible au plus grand plaisir de Minho. C'était un détail simple, insignifiant même, mais Minho l'adorait. Chaque petite parcelle de son corps, de sa personne était si précieuse à ses yeux. Tous les jours qu'il pouvait passer à le voir, lui parler, le toucher, avait une place spéciale dans son cœur. Jisung qui n'était auparavant qu'un simple nom dans une base de données, un visage un peu trop charmant, aux habitudes un peu spéciales s'était révélé être ce quelque chose indésignable qu'il avait toujours cherché sans trop s'en rendre compte. La pièce coloré qui manquait au puzzle de sa vie monotone.

« Tu..Tu te souviens de la soirée avec Félix ? Ses lèvres étaient devenues sèches tout comme sa gorge et il vit le visage de Jisung se contracter avant que celui-ci ne tourne la tête vers le ciel.

Vaguement..., sa voix s'était faite plus petite, presque soupirée.

Je m'en souviens moi. Enfin, une grande majorité. J'ai fait comme si c'était l'inverse parce que je suis... lâche, clairement. »

Il sentit le plus jeune se tendre à ses côtés, le regard toujours droit devant lui. L'ambiance auparavant douce et légère s'était épaissie, les étouffait tous les deux. Chacun appréhendait le tournant de cette conversation qui pourrait aussi bien se finir sur l'autoroute de l'amour que dans le ravin de la déception. Ils savaient qu'après, rien ne serait plus jamais pareil, mais il devait en parler de cette soirée, cette fameuse soirée qu'ils avaient tenté tant bien que mal de l'enfouir dans les tréfonds de leurs pensées, de n'en faire qu'un vague songe, une sorte d'hallucination collective, en vain bien sûr.

« J'ai dis...Pleins de choses. Même trop de choses. Des choses que je n'aurais pas voulu que tu saches dans les toilettes d'une boîte de nuit c'est sûr, il rit, pour essayer de camoufler les tambourinement de son cœur, les pensées qui se bousculaient dans sa tête.

... C'est quoi ces choses exactement Minho ? Parce que t'en as dit plein des "choses".»

À l'entente de son prénom, il frissonna. Ses battements cardiaques tapaient contre ses tympans, et le regard de Jisung croisa le sien. Son souffle se coupa presque, sa bouche était sèche mais il ne pouvait pas s'arrêter en cours de route.

« Tout pour être honnête...

— Je veux que tu me le répète, insista Jisung, Sobre cette fois. Je veux être sûr que j'ai pas halluciné, Minho pris une petite pause et son souffle par la même occasion.

Ok alors..., il mit une main sur son cœur, comme pour vérifier qu'il était encore en vie, Je...J'aurais aimé être un des mecs, qui viennent avec toi à l'hôtel. Te...Te voir sous tous tes aspects, il se rendit compte du sous entendu de ses propos et chauffa à vue d'oeil, E-enfin, pas dans un sens...Enfin si un peu mais.., Jisung ricana, lui aussi prenant des couleurs.

J'ai compris. Continue. »

Il s'éclaircit la voix et poursuivit.

« Je...Je l'avais pas dit clairement mais du coup-c'est le moment aha, il passa une main tremblante dans ses cheveux, J'ai...J'ai toujours eu du mal avec les relation. Je me suis beaucoup senti seul, même quand j'avais des "amis", j'ai jamais réussi à créer de réelles connexions. Parce que je mettais toujours une distance par peur d'être jugé sûrement. Et puis y a eu toi. Et tout est tellement facile, naturel, je me sens tellement à l'aise et bien avec toi. J'ai découvert des parties de moi, fait des choses que je pensais jamais pouvoir faire. Tu peux dire tout ce que tu veux sur toi-même mais ça ne change pas ce que je ressens ; je t'aime. Beaucoup, peut-être même trop parce qu'on se connait depuis quoi ? Trois, quatre mois grand max et j'arrive pas à croire que j'ai dis ça parce que waw c'est un grand mot aimer mais en même temps je peux pas juste dire que tu me plais, ce serait faux. Je ne m'y connais pas vraiment en amour mais pour moi si ça devait avoir un visage je pense que ce serait le tien. Et je suis désolé si ça te met mal à l'aise, si c'est trop, trop rapide, trop fort, trop tout simplement, mais je voulais te le dire, parce que je veux pas...Je veux que tu le saches. J'ai- »

La main de Jisung sur sa joue le stoppa dans sa tirade et lorsqu'il sortit enfin de sa transe il fut accueilli par le sourire en cœur du blond. Un sourire attendri, doux et des yeux brillants d'émotions et d'étoiles de minuit. Ses joues étaient roses et sa main légèrement tremblantes, un peu moite mais il avait soutenu le regard de Minho qui lui faisait tout pour le fuir. Après tout, c'était la première fois de toute sa vie qu'il parlait de ses sentiments aussi ouvertement. Il ne savait pas si c'était bien, qu'il s'était totalement planté, si au moins les paroles qu'il avait débitées à toute allure avait un minimum de sens.

« Tu parles trop Minho, Jisung rit et il se délecta de ce son qui faisait vibrer ses cordes vocales avec tant de musicalité, Tu t'inquiètes trop. C'est la seule chose qui est de trop en fait. »

Jisung prit une grande respiration, comme pour rassembler le peu de courage qui coulait dans ses veines, guidait ses mouvements.

« C'est marrant parce que moi c'est presque l'inverse. Je ressens trop, je m'attache trop vite, trop fort. Je me sens constamment...étouffé, par toutes ces émotions, et quand je ressens, quand je tombe amoureux, c'est jamais en douceur et la chute n'est jamais indolore. J'imagine que ça attire les pires personnes car on a toujours pris avantage de moi d'une manière ou d'une autre et je pensais que c'était simplement ma destinée, que c'était ma vie de souffrir, je pouvais rien y faire. J'avais jamais l'impression d'avoir le contrôle sur quoique ce soit, tout était chaotique dans ma tête. Tout ça pour dire que tu as remis de l'ordre dans ma vie, tu m'as donné de l'espoir et putain c'est quelque chose que j'aurais jamais cru trouvé un jour, il souffla, Tu es tellement...Tellement...Tellement parfait pour moi que j'ai dû mal à croire que tu es dans ma chambre sur mon lit en train de te confesser à moi.

— Et pourtant je suis là.

— Et pourtant t'es là, il l'avait murmuré, plus pour lui-même qu'autre chose. »

Le silence repris place, leurs mots flottants dans l'espace, sous les lueurs du clair de lune, dans la lumière orangée de la lampe du bureau. Leurs cœurs battaient à l'unisson, se mêlaient alors que personne ne pouvait les entendre ou les voir à part la voie lactée
suspendue au-dessus de leur tête. L'univers, l'immensité de l'infini se tenait juste au-dessus de leur tête et pourtant ils ne s'étaient jamais senti aussi grands, aussi beaux. Jisung caressa la joue de Minho de son pouce, pour s'assurer que oui, il était là. Minho ferma les yeux, se laissa fondre dans ce contact, dans la douceur de sa peau contre la sienne, un sentiment entre joie et plénitude reposant dans le creux de son ventre. Lorsqu'il rouvrit les yeux, Jisung le regardait toujours, les yeux doux, admiratifs et Minho avait toujours son but en tête.

« Il reste une chose, Minho se rapprocha un peu, le rythme de sa nervosité se defoulant dans sa poitrine.

Hm ? Les yeux de Jisung s'étaient illuminés, il savait très bien de quoi il parlait.

Je t'avais promis quelque chose, l'écart entre eux se creusait, Et c'est pas vraiment mon genre de ne pas tenir mes promesses.

Tiens la alors. »

Le regard de Jisung soutenait le sien avec ferveur, la langue passant sur ses lèvres dans un reflexe. Minho déglutit, maintenant face aux conséquences de ses paroles. Il avait déjà embrassé des personnes mais déjà, c'était toutes des filles et de deux, il n'avait jamais été vraiment bon. Ce genre de choses ne venait pas avec un mode d'emploi à son plus grand désarroi.

Mais le désir pris le dessus et il posa sa main sur sa nuque pour combler les derniers centimètres qui les séparaient et avant même qu'il ne puisse réfléchir davantage, ses lèvres et celles de Jisung étaient maintenant liées. Le goût industriel de miel et de noix de coco du baume à lèvres fondait sur lèvres, la main de Jisung s'était logée dans ses cheveux, se perdait dans ses mèches sombres et un orchestre symphonique se déchaînait dans son cœur. Minho se détacha, sans trop savoir quoi faire d'autre mais Jisung le ramena bien vite contre lui, sa main sur hanche et le hoquet de surprise de Minho fût bien vite étouffé par la bouche de Jisung. Ses lèvres, les siennes, liées et pas prêtes à se détacher. À ce moment-là, Minho ne se souciait pas de l'apocalypse que pourrait causer la collision de leurs lippes, de ce qui pourrait se passer si leurs deux mondes se heurtaient. Parce que si l'apocalypse était aussi douce que leur baiser, alors il voudrait que la fin du monde soit tous les jours.

Jisung mouvait ses lèvres avec ardeur, comme s'il s'était imaginé ce moment depuis que son regard avait croisé celui de Minho – ce qui était sûrement le cas. Minho suivait son rythme, avec plus d'aisance qu'il ne l'aurait pensé. L'orage était passé et Minho se laissait guider par ses flots, l'esprit libre de tous soucis. Il se laissait seulement porter par les chants de joie de son cœur et les papillons qui virvelotaient de son ventre jusqu'au bout de ses ongles. Jisung tenait fermement le noiraud, sa main toujours sur sa hanche effectuant de temps à autre de subtiles caresses sur son flanc, ce qui causait d'ailleurs des frissons dans l'échine de Minho qui tentait de ne pas trop faire paraître les effets d'un geste aussi moindre avaient sur lui. Mais Jisung l'avait remarqué s'il en jugeait le sourire qu'il sentait sur ses lèvres.

Bien vite, les baisers ne se limitèrent plus à la partie inférieure de leur visage mais ils ne s'étaient pas lâchés pour autant. Jisung posa de doux baisers dans le creux du cou de Minho, s'amusant des rires que le plus vieux tentait tant bien que mal de retenir, embrassait ses joues, son nez, ses mains, son front, tout ça mêlé à de légers ricanements, des sourires qui semblaient éternels et des mains qui ne voulaient pas lâcher l'un l'autre. Minho ne pouvait pas non plus s'empêcher de couvrir le plus jeune de baisers, d'étreintes et de mots doux qu'il se languissait de dire depuis des semaines, des mois. Jisung n'y répondait jamais, se réfugiant dans son torse, les joues rouges et les commissures étirées. Jisung n'avait pas l'habitude, il pouvait le voir dans ses réactions, dans la façon dont il sursautait presque à chacun de ses touchers. Mais ça ne faisait que motiver Minho à le dorloter d'autant plus. Jisung devait s'habituer à être aimé, cajoler, envahi de bisous et tendresse, il le méritait amplement.

« Tu dors ici ? Finit par demander le blond.

C'est vraiment une question ?

Maintenant que j'y pense, non. Tu dors ici, c'est un ordre, Minho ricana et entoura le blond de ses bras.

— T'as pas besoin de me l'ordonner j'allais le faire de toute façon.

J'espère bien, j'espère bien...»

Après avoir pris vingt minutes de plus à se couvrir d'amour, ils avaient enfin réussi à se détacher l'un de l'autre, non sans mal et s'étaient préparés à dormir. Jisung avait éteint la lumière, allumant une veilleuse et les motifs ondulées de l'eau ainsi qu'une légère lumière bleue remplaça celle de la lampe et Jisung vint s'installer à côté de Minho, à moitié endormi. Le noiraud fût assez surpris lorsqu'il sentit le blond enroulé ses mains autour de sa taille, logeant sa tête dans le creux de son cou, aucun espace entre son torse et son dos. Et il fut encore plus surpris de sentir des muscles contre lui. Après, maintenant qu'il y pense, il est vrai que Jisung avait mentionné le fait que Changbin l'obligeait à venir à la salle de sport avec lui au moins une à deux fois par semaine mais il ne pensait pas que ces séances avaient autant porter leurs fruits. Il essaya de mettre de côté l'idée d'un Jisung torse nu aux muscles saillants et profita de leur étreinte les yeux fermés, prêt à s'endormir.

« Bonne nuit Minho.

Bonne nuit Jisung...»

Jisung posa un dernier baiser dans le dos de nuque avant de s'endormir quelques minutes après, Minho le suivant de près, chacun un sourire sur leurs lèvres qui portait toujours le goût de leur amant. Et pas une seule fois dans la nuit ils ne s'étaient lâchés, chacun attachés à l'autre comme collés à la super glue. Cette fois c'était définitif :

Ils s'aimaient bien plus que la raison ne leur autorisait.










bonjouuur

très niais ce chapitre j'en ai la nausée carrément MAIS BON hekeke

j'ai pas fini le chapitre 17 mais je voulais pas encore disparaître pendant 20 ans donc voilà, enfin le bisou 💪🏽‼️

ctdc touche bientôt à la fin et c'est juste...irréel mdrr.
finir cette ff sera une vraie victoire ça c'est sûr

mais du coup je vous annonce que je vais bientôt commencer à poster deux toutes nouvelles fanfics à commencer par Play Pretend


et À la Dérive de nos Sentiments !!

j'ai très hâte que vous découvriez tout ça et je vous promets pas de revenir bientôt mais je vous promets de revenir et c'est déjà ça 😃👍🏽

bisousss je vous aime fort 🩷

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