Chapitre 62
Hey! J'ai vraiment beaucoup travaillé sur ce chapitre, alors pourriez vous réagir et dire vos impressions par commentaires? Merci!
Quand j'étais enfant, vers l'âge de 6 ans, Liam et moi adorions jouer aux espions dans la maison. Je me rappelle de nos après-midi de vacances à jouer et à se cacher dans toutes les recoins que l'on pouvait trouver. Ce jour là, Liam et moi avions enfilé des vêtements sombres de papa et maman. Nous marchions doucement comme si des ennemis étaient sur le point de nous trouver. Liam avait pensé qu'on devait se cacher et se retrouver à l'arrière de la maison dix minutes plus tard. Je rangeais mon talkie-walkie -qui était l'ancien téléphone de maman- dans ma poche et rampait jusqu'à la cuisine. Nos parents y étaient. Ils étaient en pleine conversation.
-J'aurais dû avorter.
Ma mère était debout, les mains cachant ses yeux. Elle pleurait. J'étais contre la porte, accroupie.
-Non, non. Ne dis pas ça.
Mon père avait ses bras posés sur ceux de ma mère. Il portait son beau costard gris et une cravate avec un flamant rose. C'était ma préférée.
-Je regrette tellement. C'était un accident Jack, comment veux-tu que je fasse?
-Ce n'est pas pour ça qu'on ne l'aime pas, hein?
Elle avait fait un signe de la tête vers moi. Il m'avaient repéré. Mon père s'est tourné vers moi et m'a porté sur ses épaules. Il m'avait dit que nous étions des espions complices.
-Abby!
Je tourne la tête mais je ne vois personne.
-Abby ouvre moi!
Ouvrir? Ouvrir quoi?
J'entends des coups, un martèlement assez puissant et répétitif.
-Abby, répond moi s'il te plaît.
C'est alors que je sors de mes rêveries et ouvre les yeux. Harry m'appelle à travers la porte de la salle de bain. Je me suis endormie par terre en pleurant après mes résultats de mes analyses de sang.
Je me relève du sol, où je m'étais endormie et jette un coup d'œil à mon reflet dans le miroir. Rien que ça, j'ai envie de re-pleurer. Mon mascara de la journée a coulé tout le long de mes joues, mon nez et mes joues sont rougies tandis que mes cheveux sont emmêlés dans tous les sens.
Je déverrouille la porte et quand les yeux d'Harry se posent enfin sur moi, toute trace d'anxiété et de colère disparaît. Il détaille mon visage et me prend dans ses bras rapidement, comme si c'était la première chose à laquelle il a pensé lorsqu'il ma vu. Il presse sa main contre l'arrière de mon crâne et l'autre dans le bas de mon dos. Il le serre tellement fort que j'en pleure. Oui, je pleure sur l'épaule de mon copain. Je ne l'enlace pas en retour, mes bras sont toujours le long de mon corps pendant que les larmes roulent sur mes joues. Je pleure parce que le garçon qui me tient dans ses bras est papa. Je pleure car je ne le mérite pas. Je pleure car je suis pas capable d'assumer. Je pleure car je suis juste trop jeune.
-Shh bébé, ne pleure pas.
Il caresse mon dos de haut en bas en embrassant ma tempe.
-Qu'est-ce qu'il se passe?
-Je.. Je,
Les sanglots ne cessent de continuer et cela devient impossible de prononcer une phrase cohérente. J'ai peur de lui annoncer, j'hésite à attendre encore quelques jours avant de lui dire. Mais ce n'est pas bien, c'est autant son bébé que le miens, je n'ai pas le droit de lui cacher plus longtemps que possible puisqu'il l'apprendra tôt ou tard.
-Harry, je-
Ma voix se bloque. C'est dur à dire. Nous n'avons jamais parlé d'enfants et je ne connais pas son ressenti à propos.
Je pleure encore, de plus en plus sur son épaule. Je ne sais pas si c'est à cause des hormones où parce que je me sens vraiment mal. J'attrape ma feuille où les test de l'analyse sont inscrits dans ma poche arrière de jean, la déplie, et la donna à Harry. Quand ses yeux se posent sur le papier, il me lâche. Ses bras puissants ne sont plus enroulés fermement autour de mon corps, il recule de quelques pas et relève la tête.
-Tu.. Tu déconnes?
C'est la première chose qu'il dit lorsqu'il apprend que j'attend un enfant. Son enfant. Comment dois-je me sentir? Est-ce qu'il pense que je serais capable de rigoler à propos d'un sujet si sérieux? Ou alors dit-il ça car il ne veut pas y croire? Je n'arrive pas à répondre. Je n'y arrive pas.
-J'ai mis un préservatif quand on l'a fait, alors explique moi cette merde.
Cette merde. Ces deux mots ne cessent de se répéter dans mon esprit. Je devrais lui expliquer?! Mais expliquer quoi?
-Je, je suis enceinte Harry.
Je lève ma main à mon ventre encore plat. Et dire qu'il y a un petit être en moi qui grandit en ce moment même.
-J'ai bien compris ça! Et depuis combien de temps? De moi?
-Bien sûre que oui, comment peux-tu croire ça?!
-Comment je peux croire que tu sois enceinte si j'ai mis une putain de capote alors?! Dit-moi! Aller, explique toi!
Il crie. C'est horrible d'entendre sa voix si forte raisonner dans mes oreilles. Il est énervé mais je ne lui en veut pas, il est sous le choque, il ne s'attendait pas à apprendre une nouvelle comme celle ci.
-Elle a dû craquée, je pense qu'elle s'est déchirée.
-Putain. Et on fait quoi? Tu veux le garder?
Est ce que je veux le garder? Je ne sais pas, c'est une décision qui doit être prise par nous deux. Je ressens ça comme si il se fichait ou n'assumer pas son rôle. Ce n'est pas mon enfant, c'est le notre. Le fait qu'il parle de ça comme "merde" ou qu'il me demande si je veux le garder donne l'impression qu'il ne s'en soucie clairement pas. Il ne parait même pas touché, ému.
-Ce n'est pas à moi de décider pour nous deux, je veux dire, on-
-Non, non. Laisse moi du temps. Tu sais quoi? Je vais rentrer chez moi, il me faut du temps, ok? On s'appelle d'accord?!
Il recule de plus en plus. Il ouvre la porte de la salle de bain, qu'il avait repoussé en entrant, et commence à partir. Je fais quoi? Il fuit, encore une fois. On parle d'un bébé, il ne peut pas fuir. Il fait assez sombre dans l'appartement, quelle heure est-il? Combien de temps suis-je restée par terre? Je le suis. Il marche vite, très vite. Louis n'est pas dans le salon et je n'ai pas le temps d'aller dans sa chambre pour savoir si il est là. Il est presque en train de courir dans le couloir jusqu'à l'ascenseur. Pendant qu'il entre dedans, je prends les escaliers. Je dévale les 6 étages à toute vitesse mais j'arrive après qu'il soit sorti de l'ascenseur. Foutu épuisement qui me ralenti.
Alors qu'il monte dans sa voiture, je ne peux m'empêcher de courir jusqu'à lui.
-Harry! Harry!
Il me remarque et ferme sa portière. J'entend son moteur ronronner et quand j'arrive enfin au niveau de sa voiture, il démarre et s'éloigne loin de moi.
*
J'ai envie de vomir. Je viens seulement de sortir de mon lit et je me précipite vers la salle de bain. Je rejette tout ce que j'ai dans l'estomac dans les toilettes. Une de mes mains regroupe mes cheveux à l'arrière de mon crâne pendant que l'autres est contre ma bouche pour essayé de ne pas en mettre partout. Je me relève et inspecte mon visage dans le miroir. Impression de déjà vu. J'ai le même reflet qui s'affiche qu'hier. Des cernes, plus grosse encore, un teint blême, les lèvres gercées et les yeux bouffis. Sans parler de mes cheveux.
Je me lave les dents rapidement, passe un gant d'eau fraîche sur mon visage et jette un coup d'œil à la montre posée sur le rebord de l'évier. 7h18. Il fait encore un peu nuit dehors. J'ai moyennement dormi pendant les quelques heures passés après que Harry soit parti. J'étais tellement épuisée que j'ai réussi à fermer les yeux environ deux heures. Mais j'étais réveillée par des bruits, des pensées trop persistantes.
Je sors de la salle de bain. J'enfile un jean slim bleue marine, un débardeur et un énorme pull en laine violet. Je ne sais même plus d'où vient ce pull. Je ne sais plus rien. J'attache mes cheveux en une queue de cheval et enfile mes baskets. Je prend la première écharpe que je trouve dans l'entre, à Louis je crois, et je sors.
Pourquoi je fais ça? Vous vous dîtes que je pourrais très bien aller voir Harry, qu'il y a plus grave, que j'en fais trop. C'est peut-être vrai. J'en fais de trop, je suis en trop. En fait, ma vie et celles des autres serait beaucoup plus tranquille si je n'étais pas là. Ne pas être là, ne pas exister. Personne n'a demandé à ce que je vienne au monde. Pas même mes parents. Je ne suis désirée de personne et c'est ça qui fait mal. Ce dire que si vous n'aviez jamais existé, tout irait mieux. Est-ce que ce sera ce que l'enfant que je porte va ressentir si je le garde? Non, je n'ai pas le droit. C'est trop égoïste de vouloir garder un enfant sachant la souffrance qu'il éprouvera plus tard.
Un être humain a besoin d'être aimé. Je dois être un extra-terrestre alors.
Il neige dehors. J'ai froid, je vais courir me mettre à l'abris quelque part. Dans un endroit qui me permettrai de me sentir entourée. Contrairement à ma vie.
-Bonjour, que souhaitez-vous commander?
Je me suis décidée pour me réfugier dans un petit café. La décoration est un peu rustique mais j'aime bien. Il y a une ambiance confortable, familiale.
-Je vais prendre un chocolat chaud s'il vous plaît.
La serveuse, qui doit être âgée de la soixantaine, m'adresse un sourire réconfortant et se dirige vers son bar. Il n'y a personne dans ce café. Je suis assise sur un petit canapé en cuir rouge attendant ma commande. Par reflex, je passe ma main dans la poche arrière de mon jean, dans l'objectif de prendre mon téléphone. Sauf que je n'ai rien pris. Je n'ai même pas d'argent.
-S'il vous plait?!
J'interpelle la dame qui est en train de finir le chocolat que j'ai demandé. Elle lève la tête vers moi avec un petit sourire.
-Je, je n'ai pas d'argent sur moi. C'est possible d'annuler la commande? Je, je suis désolée, je suis partie de chez moi en précipitation et j'ai tout oublié.
-Navrée ma petite demoiselle, mais j'ai fait le chocolat chaud. Je ne peux pas me permettre de le jeter. Vous devez le payer.
-Je.. Puis-je retourner chez moi pour prendre de l'argent et vous le donner?
-Qui me dit que vous reviendrez?
Comment vais-je faire? C'est la veille du jour de l'an, personne n'est disponible. Sauf Louis. Et Harry. Et peut-être Liam. Le problème, c'est que je n'ai pas mon téléphone. Je ne connais pas le numéro de Louis par cœur. Je suis officiellement dans le pétrin.
-Est ce que je peux vous emprunter votre téléphone? Je vais appeler quelqu'un qui pourrait me dépanner.
Elle me tend son portable et je compose mon numéro. Peut-être que Louis entendra ma sonnerie et décrochera. Un appel. Deux appels. Trois appels. Personne ne décroche. J'imagine que mon téléphone doit être en mode silencieux. Soudain, quelqu'un entre dans le bar. Une femme. Anne.
C'est un coup pour ma fierté, mais je vais être obligée de lui demander.
-Anne, bonjour.
Elle me toise du regard avant de reporter son intention à la serveuse.
-Un chocolat chaud s'il vous plaît.
Dieu merci, la serveuse va pouvoir lui donner celui qu'elle m'a préparé il y a quelques minutes.
-J'en ai préparé un pour cette jeune femme mais elle ne peut pas le payer. Le voulez-vous ou préfériez vous un nouveau?
Anne retourne sa tête vers moi et m'inspecte de haut en bas. C'est vrai que je ne dois pas avoir fière allure avec mes vêtements et la tête que j'ai. Ses lèvres sont pincées, de la même manière qu'Harry le fait lorsqu'il est énervé. J'ai encore envie de pleurer. Devant moi, se trouve la mère de l'homme que j'aime. Et elle me déteste, comme son fils, probablement. Elle est habillée d'un jean, et d'une sorte de doudoune beige. Assise sur la chaise haute en face du bar, pendant que je suis debout, ce qu'elle va dire après va me choquer.
-Je vais le prendre.
La serveuse lui donne la tasse et je décide que c'est le bon moment pour partir. Je me suis déjà assez ridiculisée.
-J'aimerais un deuxième chocolat chaud s'il vous plait, pour la jeune femme. Je vais payer.
Je me retourne, le manteau prêt à être enfilé sur moi, dévisageant la femme qui me détestait il y a quelques jours. Alors que je m'apprête à refuser, elle m'indique de son doigt le siège à côté d'elle, signifiant que je dois m'asseoir à côté d'elle.
-Merci, mais pourquoi vous faîtes ça?
-Je crois qu'il est temps qu'on ai une discussion. Toutes les deux.
Je hoche la tête. Elle a raison. Ce n'est peut-être pas le bon moment, vu dans la situation où je suis mais je crois que c'est nécessaire, sauf si Harry décide d'en finir.
-Où est Harry?
Je hausse les épaules.
-Je ne sais pas. Je lui ai... Annoncé quelque chose, et il est... Comment dire.. Parti?!
-Parti? Où ça?
-Je ne sais pas. Sûrement chez lui.
Depuis que je suis assise ici, à sa gauche, elle me regarde en me détaillant. C'est extrêmement stressant que quelqu'un vous fixe. J'ai l'impression qu'elle me juge. Et je crois bien que c'est ce qu'elle fait. Un silence pesant s'installe et je me dis que finalement, c'est une mauvaise idée. Au vu de ma relation actuelle avec Harry, je me retrouverai coincée si elle me parle du mariage, de notre couple ou autre. Puis, j'ai encore envie de pleurer. Ca peut paraître exagéré, mais quand la personne qu'on aime vous quitte comme ça, c'est la pire sensation au monde.
-Anne, je vais devoir y aller. J'ai quelque chose d'important de prévu. Merci beaucoup pour le chocolat chaud, j'apprécie le geste.
J'enfile mon manteau et quitte ce café dans lequel je ne remettrai jamais les pieds. Je n'ai même pas eu le temps de laisser Anne répondre que je sortais déjà. Tant pis si elle me prend pour une folle. Au point où j'en suis, je n'ai plus rien à perdre.
*
-Abby! Où étais-tu? Je me suis tellement inquiétée! et ton téléphone! Oh mon dieu, ne part plus jamais sans ton téléphone s'il te plait! Et où étais-
-Louis, je vas bien. Désolée, j'avais besoin de prendre l'air.
J'accroche mon manteau et l'écharpe de Louis sur les porte manteau de l'entrée et Louis me prend dans ses bras de façon réconfortante. Il me serte tellement fort que j'ai peur de ne plus pouvoir respirer.
-Je suis désolée Abby. J'aurai pas du appeler Harry hier soir. Mais t'étais dans la salle de bain, tu voulais pas sortir et je savais pas quoi faire.
-Non, c'est bon Louis, tu n'as pas à t'excuser, il fallait bien qu'il apprenne un jour. C'est moi qui suit désolée d'avoir gâché ta journée avec Hugo.
-Oh ta gueule Abby, tu sais bien que tu n'as rien changé!
-D'accord Lou'.
L'étreinte dure encore quelques minutes et j'y mets fin en essuyant quelques larmes qui ont coulées.
*
-Tu veux pas que je reste avec toi?
-Non Louis, vas-y! Je t'assure que ça ne me dérange pas.
-Mais tu vas passer ton jour de l'an toute seule...
-C'est pas grave, de toute façon, je ne suis pas de bonne compagnie en ce moment, et je crois que je ne devrais pas y aller vu que je suis... Enceinte...
-Je te promet de t'envoyer des petits sms! Mais si tu changes d'avis, Ian n'y verra aucun inconvénient!
D'après ce que Louis m'a expliqué, Ian est celui qui organise cette énorme soirée. C'est un mec de son université et c'est un bon ami de Louis. Il est super populaire et il a défendu Louis quand un mec lui a lancé des remarques homophobes.
*
Je suis dans le canapé, en train de regarder un film de science fiction. Je ne sais pas vraiment de quoi il parle car je suis à la limite de m'endormir. Je prends mon téléphone pour regarder l'heure qu'il est. Presque minuit. J'ai un message.
✉️De Louis, à 23h44:
Harrry eest a la feeeete. Tu veuuxjs l'ardesse?
✉️De Moi, à 23h56:
Envoie l'adresse, sans fautes d'orthographes stp. Merci
Tant pis si je suis en jean et que j'ai toujours mes vêtements d'aujourd'hui. J'attache mes cheveux en un chignon fait à la va-vite.
La réponse se fait instantanée. Je prend mes clefs de voiture et conduit jusqu'à l'adresse que Louis m'a envoyé. Le trajet est rapide. Je gare ma voiture sur le trottoir d'en face, puisque tout est bondé.
Je regarde dans le jardin, aucune trace de Louis ou Harry. Je rentre dans la maison. Ça empeste la fumée de cigarette et d'autres substances. Alors que je continue de marcher vers un endroit où quelqu'un que je connais serait susceptible d'être, je croise le regard de Zayn. Il marche vers moi, un ver à la main.
-Hey, comment tu vas?
-Je.. Euhm bien. Aurais-tu vu Louis? Un gars qui fait presque ma taille châtain, yeux bleu. Gay.
-Oui! Il est tordant ce mec. Il est dans la piscine, derrière la maison... Et, tu.. Tu n'es pas avec Harry? Je l'ai vu tout à l'heure, et comme t'étais pas avec.. Enfin..
-Tu sais où il est?
-Non..
-Excuse moi Zayn d'être si brusque.. C'est juste qu'en ce moment... Je suis sur, sur les nerfs.
-Tu veux un verre? Je ne bois pas. Je peux garder un œil sur toi.
-Non, non Zayn. Non merci.
Il me sourit et m'indique comment je peux me rendre à la piscine. Je passe entre les corps pleins de transpiration et atteint enfin mon but.
Louis est là. Et oh mon Dieu, il n'a pas bu qu'un verre. Il est dans l'eau, en train de se faire un... Shampoing avec son verre d'alcool? Je m'approche de lui et je distingue deux silhouettes pas loin. L'homme est torse nu dans l'eau, a une main placée contre le rebord de la piscine et l'autre tiens son verre. Une femme est prêt de lui, en sous-vêtements. Je plisse les yeux pour confirmer si ce que je pense est bien réel, et oui. Je pense que vous l'auriez deviné aussi. Le garçon en question, c'est Harry.
-
J'attend vos impressions! C'est la première fois que je travaille autant sur un chapitre! Ce serait vraiment gentil de voter et commenter!
Les prochains chapitres seront du même genre, puisque la fin arrive bientôt. (Oui, j'ai dit ça beaucoup de fois, mais cette fois ci, il ne reste plus beaucoup d'étapes avant la fin.)
Qu'attendez vous pour la suite?
N'hésitez pas à vous abonner à mon compte pour avoir des infos sur l'avancée des chapitres et si vous voulez qu'on parle par message :)
A bientôt!
Bạn đang đọc truyện trên: Truyen247.Pro