c.xk ━ ʟᴏɴᴇʟʏ
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ʟᴏɴᴇʟʏ ━━━━━━━━ ❞
ɪᴍᴀɢɪɴᴇ sur Cai Xukun, soloist. - Cpop.
Attention ! Cet imagine date de plus d'un an. La manière d'écrire est bien différente des histoires précédentes. De plus, les fautes d'orthographes sont plus présente que les autres textes. (Même si j'ai fais une réécriture du mieux que je peux avant de publier cette partie.)
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"- MAIS LAISSEZ MOI DONC TRANQUILLE ! JE N'AI PAS LE DROIT D'AVOIR ENVIE D'ÊTRE UN PEU SEULE ?
- si tu continues comme ça. On t'envoie en famille d'accueil ! Ce n'est pas ce que tu attends ?
- FAMILLE D'ACCUEIL, FAMILLE D'ACCUEIL ! TU N'AS QUE ÇA À LA BOUCHE ! VAS Y ENVOIE MOI LÀ BAS !
TU T'EN FOUTRAIS ROYALEMENT SI JE DISPARAISSAIS COMPLÈTEMENT HEIN ! "
Apres avoir crié de tout mes poumons, Je claque la porte de ma salle de bain le plus fort possible, attrape un jean et un gilet que j'enfile puis je me dirige vers la porte de la maison.
"- tu vas où comme ça ?
- Qu'es-ce que ça peux te faire. Tu t'en fous que je me barre non ?"
Puis me voilà disparu de la vision de ma mère en claquant une nouvelle fois la porte de toute mes forces, j'ai bien cru que la maison entière pourrait en trembler.
Je commence à marcher doucement dans la ville en me dirigeant vers la plage, mes écouteurs dans les oreilles et la musique à fond.
Peut m'importe de savoir qu'écouter la musique trop forte fait perdre de l'ouïe. Pour l'instant, J'ai besoin de m'évader et ne plus entendre le monde qui m'entour qui, de jour en jour, me fatigue de plus en plus.
C'est toujours la même chose, les jours se ressemblent au long de mon adolescence.
À la maison, ma mère aura toujours quelque chose à se plaindre de moi, ne fait rien, ne travaille pas assez.
Son mot préférer pour me décrire "feignante".
Et avec mon tempérament de jeune fille encore en crise d'adolescence, je lui répond sur un ton un peu trop fort.
Alors elle aussi commence à lever la voix et nous commençons à nous engueuler.
Le thème final toujours abordé, "la famille d'accueil".
Elle veut à ce point là ce débarrasser de moi ?
Simplement car je ne fais pas ce qu'elle veut ?
Car je ne ressemble pas à ce qu'elle imagine?
Car je ne suis pas les autres filles de mon âge ?
Car elle me compare à mes amies semblant "parfaite" à ses yeux ?
"Tu ne révises pas assez."
Je ne fais pas mes devoirs à la maison signifie ne rien faire pour elle. J'ai pris l'habitude de terminer mes leçons a l'école lors des heures de pauses pour ainsi être en paix chez moi.
Je ramène aussi toujours de très bonnes notes, mais ce n'est pas suffisant.
"Comment tu peux t'habiller comme ça ? !"
Simplement car j'ai mis un tshirt orange voyant au manche très longue qui cache mes mains.
Pour un simple tshirt elle me demande de me changer.
Et pourtant il y a tellement de vêtements plus inhabituels que je rêverais de mettre mais qui m'est impossible à cause d'elle.
J'espère pouvoir un jour me teindre les cheveux en violet ou bleu, mais ça n'arrivera jamais car ce n'est pas convenable pour ma mère.
Ce genre de vêtements ne rentre pas dans les codes de la parfaite fille, alors pour ma mère il doivent être bannis.
Je me suis toujours demandé si c'était pareil dans les autres familles.
Si chez eux aussi les parents les contrôlaient à chaque millimètres, les modelaient comme ils les imaginent.
Sûrement.
Je ne me plains jamais de ces engueulades répétitives à personne.
Les gens ont leurs propres problèmes bien plus important que ceux d'une gamine encore en pleine croissance qui rêve d'un peu plus de liberté, comme tous les ados de son âge.
Après un moment de marche, la tête remplit de débat intérieur, j'arrive enfin à la mer.
Je déteste la mer, je la connais depuis que je suis née ayant grandi depuis toujours sur les bords des plages, voir le même spectacle des vagues tapant le sable, des marées montantes ou descendantes a terminé par m'ennuyer.
Mais les grains de coquillages émiettés par la force de l'océan ne sont pas si mal pour rester toute seule.
Les fins d'après midi des journées un mauvais temps, accompagné de vents puissants, les bords de mers sont rapidement abandonnés à la solitude.
J'avance lentement dans le sable, laissant le sable froid se coincé entre mes doigts de pieds est m'assois à quelques mètres de l'étendu bleu.
Aujourd'hui encore, tout est calme, on n'entend qu'en fond le bruit répétitif des vagues et les cris lointains des goélands et mouettes à la recherche de quelques poissons abandonnés par les pêcheurs.
Mon regard reste accrocher sur un point invisible dans la ligne d'horizon qui divise le ciel et l'eau entre un bleu presque turquoise si profond et si mystérieux et le bleu se transformant doucement en un mélange orange et rose que créer la disparition du soleil.
Sans que je ne puisse les retenir, des larmes commencent à couler sur mes joues, se glaçant directement au contact du souffle glacial du vent.
Moi qui d'habitude ne pleure jamais, me voilà entrain de laisser sortir l'eau étant rester si longtemps bloquer dans mes yeux.
Ça tombe sans s'arrêter jusqu'à ce que ma vue soit complément brouillé par le liquide salé Qui m'échappe.
Des gémissements de tristesse commence à passer entre les barrières de mes lèvres et deviennent de plus en plus fort.
Je le sais bien.
Je sais que je pleure pour une raison débile.
Mais laisser tout ça sortir me libére, m'apaise, me rend plus légère.
Pendant que je laissais sortir toute la tristesse qui me restait coincer depuis si longtemps en moi, un morceau de papier blanc apparaît dans ma vision toujours flou.
Un mouchoir m'est tendu par une main inconnu.
Je tourne la tête vers le côté d'où vient le bras et découvre la présence d'une personne c'étant assise à mes côtés entre temps.
Je frotte mes yeux pour sécher les larmes encore coincé aux coins de mes yeux et voir un peu mieux qui vient d'apparaître près de moi.
Je découvre alors un jeune garçon asiatique aux cheveux colorés en blond, sur son visage est collé un doux sourire apaisant, sa main toujours tendu vers moi avec le mouchoir entre les doigts.
Je prend finalement la papier et sèche mes joues devenu rouges à la longue ainsi que mon nez qui a commencé à couler entre temps avant de lui souffler un "merci" craquelé a cause de ma voix fatigué après les cris avec ma mère et les pleures.
"- pourquoi une fille se retrouve seule sur la plage à pleurer comme ca ? "
Je ne répond pas.
Je ne vois pas pourquoi je lui raconterai mes problèmes.
Ils ne sont pas importants.
"- tu as perdu ta langue ?"
Je ne répond toujours pas.
Je ne veux pas parler.
Je suis fatigué d'utiliser ma voix pour rien.
Mais je décide tout de même de répondre quelque chose par politesse.
"- je ne vois pourquoi je te raconterai.
- ça fait toujours du bien de parler de ses problèmes à quelqu'un. Après ça on se sent plus léger. Et c'est même mieux quand c'est avec un inconnu. Après tout, il ne peut pas te juger, il ne te connaît pas."
Il n'a pas tort, moi aussi j'ai envie de raconter mes histoires à quelqu'un mais j'ai toujours pensées qu'écouter les plaintes inutiles dérangerait alors je ne dis rien et garde tout pour moi.
"- tu as vraiment l'intention d'écouter toutes mes plaintes ?
- oui ! Puis j'ai tout mon temps, tu peux tout me dire. De plus je ne me moquerai pas et je suis comme un journal intime, je ne dirai rien à personne. Laisse toi juste aller, si tu as besoin d'une épaule pour te reposer, prend la mienne."
Après quelques instants de réflexion, Je décide finalement de lui raconter mes problèmes.
"- par où commencer. ..."
**
Nous avons parlé pendant au moins deux heures, toujours assis dans le sable, le ciel est devenu presque complètement sombre, la mer s'est encore éloigner de nous et les lumières de la digue se sont allumées.
Pendant toute mon histoire, il n'a rien dit, il a juste écouté attentivement en ne faisant aucun commentaire et je lui en remercie.
Il avait bien raison. Parler avec quelqu'un fait vraiment du bien, j'ai maintenant l'impression que mon coeur est apaisé, plus léger. C'est presque comme si tout mes problèmes étaient résolus juste en en parlant.
"- passes moi ton téléphone.
- hein ? Pourquoi ?"
Je lui tend finalement sans broncher mon cellulaire qu'il attrape avant de tapoter pendant un moment sur l'écran.
Il me rend finalement mon portable tout souriant.
Puis il se lève finalement et s'étire un instant.
"- la prochaine fois que tu ne vas pas bien. Appelle moi ! Je t'ecouterai.
- attend. Mais comment tu t'appelles ?
- Cai Xukun."
Après avoir dit son nom, il repart vers la digue en me faisant signe de la main de loin pour me saluer.
Je regarde finalement mon portable et remarque qu'il m'a laissé son numéro de téléphone en ayant mis comme nom de contact "kunkun ♡".
Je l'appellerai sûrement souvent. Ça fait du bien de parler avec quelqu'un de confiance.
Merci kunkun.
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Imagine réécrit grâce à faded par Alan walker feat. Rocket girls 101.
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