♥Chapitre 38♥
- Drago ?
Je ressors de mes pensées, ma tante me regarde avec un grand sourire.
- Elle est en vie. Ne t'en fais pas, il ne l'a pas tué. Mais j'ai une autre idée. Drago. Dépêche-toi de le faire. Sinon, c'est elle qui va mourir au bout de ma baguette, et crois moi je n'aurai aucun regret de le faire, j'ai tué ses parents. Tuer la fille ne serai pas mal, tu ne penses pas ?
Non... Tout mais pas ça. Je peux tout faire, mais là, je ne peux pas réagir. Je ne veux pas que Amalia meurt. Non, je ne veux pas. Elle ne doit pas mourir, là, sous mes yeux. Je serai le plus grand des lâches, ma "petite amie" est là, et je ne réagis pas.
- Laisse moi le liquider à ma façon reprend-il.
- Non ! Le seigneur des ténèbres l'a dit, le garçon doit le faire. Ce moment t'appartient, fais le ! Aller Drago... Maintenant ! s'énerve ma tante.
Je ne l'entends presque plus, rien le fait de voir Amalia comme cela m'a vidée de toute mon énergie et de mon âme en même temps.
- Non...
Cette voix me fait sortir de mes pensées, tout revit autour de moi. Je me retourne et vois Severus, la mine grave. Plus personne ne dit un mot. Tout le monde est focalisé sur Rogue qui vient d'arriver. La voix de Dumbledore, brise ce silence.
- Severus. Il marque un long temps de pause, puis reprend. Aidez-moi. Dit-il désespérément.
- Avada kedavra.
Rogue point sa baguette vers Dumbledore en prononçant le sort. Un éclair vert jailli de sa baguette, et celui-ci tombe par dessus la rambade. Personne ne réagit, jusqu'à ce que Rogue me prenne par le cou, et nous descendons tous rapidement, bien que ma tante est déjà lancé le signe des ténèbres dans le ciel. Nous marchons la mine grave. Passons couloir par couloir, pièce par pièce. Dans la salle du buffet, ma tante décide de semer encore plus la terreur, en cassant les verres et les assiettes, et pour finir, casser les vitres. Je suis terrifié. Est-ce ça, le destin d'un Malfoy, de vivre toute sa vie en tant que mangemort ? De ne jamais sourire, ou même d'être heureux ? D'être toujours traqué ?
Nous rentrons au manoir par la forêt interdite. Je jette un coup d'oeil, Amalia est toujours inconsciente. Je fais mine d'être décidé de mon but, et continues de suivre ma tante. Nous arrions à la maison d'Hagrid.
- Rogue ! Il avait confiance en vous ! s'exclame Harry
Moi-même et Rogue, nous retournons d'un coup. Qu'est-ce qu'il fous là lui ? Mais nous retournons une deuxième fois rapidement, et voyons la maison d'Hagrid incendiée. Inutile de demande qui l'a fait;
- Partez ! crie Rogue.
Je déguerpis en vitesse.
***
Les vacances on,t passés, alors que je devrait être à Poudlard, me voilà assis à cette table, chez moi. Avec tous les mangemorts. L'ambiance est grave. Je ne connait personne, à part ma famille et quelques uns. Je ne dis pas un mot, mais reste la tête haute. Alors que Burbage est en lévitation est au dessus de nous, enfin pas encore, mais je sais que le moment ne vas pas tarder. Nous attendons Rogue avant de commencer. Soudain le seigneur des ténèbres s'exclame.
- Severus. Je commençais à croire que tu t'étais perdu. approche, nous t'avons gardé un siège.
C'est si calme, que l'on entends les pas de Rogue claquaient contre le parquet.
- Tu apportes des nouvelles j'espère ?
- Ça aura lieu samedi prochain à la tombé du jour. prononce Rogue.
- J'ai des informations différentes maître. Dawlish l'Aurore a laissé entendre que Potter ne serait pas transféré avant le 30 de ce mois-ci, la veille de ses dix-sept ans.
- C'est une fausse piste. Dit clairement Rogue.
- Le bureau des Aurors ne joue plus aucun rôle dans la protection de Harry Potter. Ceux qui lui sont le plus proches pensent que nous avons infiltré le ministère.
- Ils ont raison pas vrai ? Dit l'homme à côté de moi.
- Qu'en penses-tu Pius ?
- On raconte beaucoup de choses maître. Il est difficile de démêler le vrai du faux.
- Un vrai langage de politicien, ricana Le seigneur des ténèbres. Dans cela tu te montreras très utile, Pius.
Il fixe Pius puis reprend.
- Le garçon où vont-ils l'emmener ?
- Dans une maison sûre. Certainement, chez l'un des membres de l'Ordre. On m'a dit que la maison bénéficie de toutes les protections. Une fois qu'il y sera, il ne faut plus espérer nous emparer de lui. Prononce calmement Rogue.
- Maître, murmure ma tante. Je me porte volontaire pour cette tâche. Je veux tuer le garçon....
- Queudever ! Ne t'ais-je pas demander de faire taire notre invitée ?! Crie Voldemort dans la salle.
- Si... Mon maître, répond-il affolé. Tout de suite mon maître.
- Bien que je sois très sensible à ta soif de sang, Bellatrix. C'est moi seul qui doit tuer Harry Potter. Mais il y a une regrettable complication.
Bon sang, ça se finit quand ce référendum interminable. Je ne veux qu'une chose, pouvoir partir, et retrouver Amalia, qui est dans une des chambres du manoir.
- Ma baguette et celle de Potter sont identiques à l'intérieur. Elles sont en quelques sortes, jumelles. Nous pouvons nous blesser l'un l'autre, mais pas mortellement. Si je dois le tuer, je devrai le faire avec la baguette d'un autre. Allons, un de vous aimerait avoir cet honneur ?
Personne ne réagit. Qui voudrait voir sa baguette, dans les mains d'un autre. Personne.
- Pourquoi pas, toi. Lucius. Demande sarcastiquement le seigneur des ténèbres.
- Maître ? Répond mon père.
- Maître. Répond-il avec une petite voix. Donne moi ta baguette. Dit le seigneur en tendant sa main.
Mon père est prit au piège. Ou il la donne, comme un gros oumis, ou il ne la donne pas mais meurt. Finalement, mon père la sort délicatement de sa canne, et la tends au "futur" propriétaire.
- Elle est en bois d'orme. Et à l'intérieur du ventricule de dragons
Il la manipule, puis la tends vers Burbage qui avance tout en lévitant.
- Pour ceux d'entre vous qui ne le sauraient pas, nous recevons ce soir Miss Charity Burbage, qui encore très récemment était professeur à l'école de sorcellerie de Poudlard. Sa spécialité était l'étude des Moldus. Miss Burbage pense que les moldus ne sont pas très différent de nous. Elle voudrait à l'en croire, que l'on s'accouple avec eux.
Des éclats de rires volent dans la salle.
- A ses yeux le mélange de sang de sorcier et de sang moldu n'est pas une abomination, mais quelque chose qu'il faut encourager.
- Severus, Severus, je vous en supplie. Gémit-elle. Nous sommes amis...
- Avada kedavra ! Prononce à pleine dents le seigneur.
L'éclair verdâtre jaillit de la baguette, et frappe en plein fouet Burbage. Je me recule instinctivement, et regarde avec peur ce qui se tient devant moi. Je me retiens de laisser mes larmes, et respire vivement.
- Nagini. Ton dîner.
***
Je rentre dans ma chambre bouleversée. Je m'assois sur mon lit, et ne bouge pas. Comment mes parents ont ils pus supporter de voir plus d'une scène comme celle-là. Rien que de la voir morte m'étais insupportable. Alors que j'étais plongé dans mes pensées. Un cri aigu me fait sortir de celles-ci. Je me lève instantanément. Et marche rapidement vers le bruit qui continue sans cesse, en étant petit à petit étouffé. Les cris mènent à une des chambres du manoir. La porte à été ouverte par erreur je pense. Je jette un coup d'oeil dans la pièce. Chose que je n'aurais pas du.
Je vous Amalia par terre, avec ma tante qui lui jette des sorts de douleurs et autres en prenant un grand plaisir. Je ne bouge plus. Comment ma tante peut supporter de faire ça... Alors que je regarde, je remarque Greyback sur le côté qui observe également le spectacle. Je vous jure si ce sale loup approche d'une dent Amalia je le tue.
- T'es plus résistante que je ne le pensais. Tu dois tenir de ton père. Chris. Comment a-t-il pu choisir ta mère ? Katrin. Cette garce avait déjà tout les garçons et elle a prit qui ? Le seul qui m'intéressait !
- J'y... J'y... Peut rien. Murmure Amalia.
Ma tante lui lance un autre sort.
- Tu n'as pas ton mot à dire ! Comment Drago a-t-il put tomber sur une fille comme toi ! Il y en a tellement des mieux et non c'est sur toi ! Sale garce t'es comme ta mère. Une pétasse.
C'en est trop. Je ne peux plus en entendre plus. Je m'apprête à m'avancer quand Amalia relève difficilement la tête.
- Vous ne décidez pas qui votre neveu aime. Vous n'y pouvez rien. Vous êtes rongés par la jalousie, et les regrets d'avoir tué mon père. Vous vouliez vivre votre vie avec mon père. Je le sais...
Elle lui rejette un autre sort plus puissant que le précédent. Amalia cria dans la pièce, et tomba cette fois-ci à plat ventre par terre.
- Je n'ai jamais voulu tuer ton père. C'est lui qui s'est interposé alors que je lançais un sort. Cet imbécile s'est interposé !
Je rentre dans la pièce mine de rien. Ma tante me regarde sans bouger comme si elle était pétrifiée de me voir. Je m'approche lentement d'Amalia qui est au sol. Je demande tout bas à ma tante et Greyback de sortir de la pièce. Ils sortent silencieusement et ferme la porte. Je me met à genoux devant Amalia et lui frotte la tête.
- Amalia...
Elle bouge difficilement, s'appuie sur ses bras, mais manque de s'effondrer de nouveau, je la rattrape juste à temps. Elle lève la tête vers moi. Je ne l'avais pas vu de loin mais maintenant que son visage est assez près, je remarque qu'elle a des blessures au niveau du visage. Mais même avec ses blessures elle reste pour moi la plus belle fille qui ne puisse exister.
- Amalia... Ça va ? Dis-je avec peine.
Elle me regarde en souriant puis articule difficilement.
- Oui, ça va... Mais bon, c'est vrai que je crois que je passe les pires moments de ma vie.
Je la prends dans mes bras et la serre. Cela faisait si longtemps que je n'avais pas tenue Amalia comme ça. Elle répond à mon geste par le même, je la sens sourire. Elle me serre un peu plus fort, par conséquent moi aussi.
- Aïe ! Crie Amalia.
Je m'écarte d'un coup et la regarde droit dans les yeux. Son regard noir comme l'ombre me transperce. Je ne bouge pas et attends une réponse.
- Tu m'as serrée trop fort, j'ai cru que mon dos allait se casser en deux ! Dit-elle en riant.
Je me sentis d'un coup idiot de mettre autant inquiéter alors que tout est de ma faute. J'éclate de rire avec elle.
- Enfin trêve de plaisanterie, soupire-t-elle. Je suis bien contente de enfin revoir mon Drago que j'aime.
Je détourna le regard. La manière dont elle l'a dit était si mignonne.
- Drago ? Regarde moi.
- Non...
- Drago si tu ne le fais pas je vais le faire moi-même.
- Et beh vas-y.
Je lui tournais toujours la tête. Je sentis deux mains me prendre mon visage, et le le tourner vers la droite. Amalia me fixait avec ses grands yeux noirs et quelques mèches rousses qui passaient devant sa vue. Elle me regarda tendrement puis elle m'embrassa.
Je ressentis la sensation qui m'avait tant manqué...
***
Lisez toujours les notes des auteurs si il y en a c'est très important 😉
Niark ~
Je suis trop cruelle 😉
Bref on entame plus rapidement que je ne l'avais pense la septième année.😐 Ça m'attriste un peu je pensais que la sixième allait être plus longue enfin bref ^^.
Qui dit septième année, dis "bientôt la fin". Oui je sais 😐 ça fait bizarre rien que d'y penser.
***
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