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Chapitre 1

Bonsoir, bonjour!

Je reviens donc avec une nouvelle fiction sur Miraculous Ladybug. Contrairement à l'autre, il n'y aura pas un rythme de parution aussi rapide. D'ailleurs, considérer ce chapitre comme étant un apéritif sur ce que je réserve pour la suite, histoire d'avoir vos retours sur cette nouvelle idée.  Bonne lecture!

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Je m'appelle Marinette, une jeune fille comme les autres. Mais quand le destin me choisit pour lutter contre les forces du mal, je deviens miraculous Ladybug!

Ok on s'arrête deux minutes! Tout le monde connait cette histoire. Bon, reprenons!

Je m'appelle Marinette, une fille pas vraiment comme les autres car quand on m'appelle pour défendre Paris contre les forces du mal, je deviens Ladybug!

- « Bien joué! » Je m'exclame en cœur avec Chat Noir.

Nous joignons nos poings en signe de victoire. Et un vilain en moins dans la ville! C'est le quatrième en deux semaines. En quatre ans d'activités de super héros, le Papillon n'a pas lâché l'affaire une minute. Tout à coup, alors que le temps reprend son cours, mon miraculous clignote, signe que je dois rapidement m'éloigner de Chat Noir, secret oblige.

- « Je file, au revoir Chat Noir! »

Celui-ci agite sa griffe dans ma direction avant de s'enfuir de son côté sans demander son reste. D'immeubles en immeubles, je fends les airs, pressée par le temps, il ne me reste que deux minutes avant de redevenir Marinette.

Quatre ans...Quatre longues années durant lesquelles Chat Noir et moi n'avons pas chômé, à tel point que nous avons désormais un contact direct avec tous les postes de police de la capitale en cas de problème ou signalisation d'un comportement suspect. Jusqu'ici, cette aide ne nous a servi que quelques fois

Une minute. Mon objectif à porté de vue, j'atterris sur le toit d'un building, scrute des yeux le moindre recoin avant de me détransformer. Une bourrasque de vent balaie mes cheveux, m'aveuglant temporairement. Je m'engouffre de l'autre côté de la porte dure et glacée du à l'altitude. Une fois à l'abri, je tâche de me recoiffer, nouant mes cheveux en queue de cheval - j'ai abandonné les couettes à mon entrée au lycée. Je plisse ma jupe bleue ajustée au dessus de ma taille et cachant la partie basse de mon chemisier blanc jusqu'à retrouver une tenue correcte. Un coup d'œil à mes jambes m'assure que mes bas noirs ne se sont pas déchirés et que mes chaussures de même couleur ne sont pas abîmées.

- « Marinette, regarde ta montre! » S'écrie Tikki, paniquée.

Oh non! Elle a raison, il est déjà dix-neuf heures et je dois être à la résidence Agreste dans une heure! Mais avant, je dois absolument repasser chez moi pour récupérer mes croquis. Je m'élance en direction des escaliers, refusant de tenter l'ascenseur.
Cela fait un an depuis peu que je travaille pour les Agreste. Contrairement à ce qu'on peut penser, je ne travaille pas directement avec Adrien - oui vous savez, ce beau blond au visage d'ange et ses yeux d'un vert à faire pâlir Mickael Jackson? Eh bien, je ne le croise qu'à de brèves occasions, au détour de shooting photo quand j'en ai l'occasion ou bien lors de dîners comme ce soir si seulement j'y parviens!

Les marches défilent, je n'en vois pas le bout et mon cœur agonise dans ma poitrine. C'est le souffle saccadé et la respiration bruyante de que j'atteins finalement le rez-de-chaussée, devant les regards étonnés et intrigués des employés de l'accueil. Je m'arrête trois secondes, histoire de ne pas mourir dans les minutes qui suivent puis sors enfin de l'immeuble, direction celui d'en face.

J'habite dans un petit appartement non loin du Trocadéro - logement que je partage avec deux maquilleuses souvent absentes en raison de la popularité internationale de leurs mannequins respectifs. Au diable les feux rouges, nous sommes à Paris après tout. Qui a le temps d'attendre que ce foutu feu passe au vert? Personne. Malgré les furieux klaxons qui fusent, je trottine jusqu'aux escaliers de mon immeuble. Ils semblent infranchissables dans mon état.

- « Tikkiiiii », je geins en posant un pied sur la première marche.

Celle-ci glisse sa petite tête en dehors de ma bourse bleue, calquée sur l'ancien modèle.

- « Désolée Marinette, je suis trop épuisée. »

Bon, il va falloir se résoudre à gravir l'équivalent de l'Everest. Agrippée à la rampe, je me traîne jusqu'au troisième étage et titube vers la deuxième porte. Mes pieds souffrent, bien loin de la sensation de vie lorsque je me balade, hissée sur mon yo-yo. Second retournement de situation, mes clés se cachent quelque part dans mon sac. Mes mains deviennent moites et buttent sur tout ce qu'elles croisent: crayons, portefeuille, maquillage, bloc-notes. Ah, enfin, les voilà! Je rentre précipitamment dans l'appartement, totalement dérangé.

- « J'ai encore oublié de faire le ménage... »

Et pour cause, au pied des meubles gisent des canettes et des paquets de chips à moitié vide. Tant pis, ils demeureront ainsi encore quelques heures. Je fouille mes affaires à la va-vite à la recherche de mon cahier de croquis et de mes documents. Je n'ai pas non plus le temps de me changer pour une tenue plus raffinée, j'ajoute un bracelet à mon poignet et me recoiffe une dernière fois avant de repartir aussi vite, sans oublier de refermer la porte à clés.

- « Dix-neuf heures trente. Si je ne me dépêche pas, je vais encore me faire sermonner! »

Paniquée, je pique un sprint dans les escaliers. Pas besoin de sport quand on s'appelle Marinette Dupain-Cheng. Je suis supposée prendre deux lignes de métro puis marcher une dizaine de minutes jusqu'au portail. Tikki étant trop faible pour me transformer, je me résous à appeler un Uber dans l'espoir d'être prise en charge assez rapidement. Je suis chanceuse car un chauffeur peut venir me chercher dans les dix prochaines minutes à trois rues d'ici. Mes pieds brûlent, mes poumons souffrent, mes mains sont moites et mes cheveux bleutés fouettent mon visage à cause du vent violent. Bref, tant d'éléments qui indiquent je vais bien dormir cette nuit. Je lève les yeux au ciel, l'orage est imminent. Je presse donc le pas en direction de la rue indiquée par l'application, esquivant les passants eux aussi envoûtés par leur téléphone.

- « Pourquoi j'ai toujours ce pressentiment d'avoir oublié quelque chose? »

Ah la voiture est là, une Peugeot, un vieux modèle reconnaissable par ses couleurs criardes. C'est une chance, vous n'imaginez pas la galère de devoir identifier une voiture noire passé vingt-deux heures. Le chauffeur me fait des appels de phares, je lui adresse un signe de la main et me dépêche de m'engouffrer à l'arrière du véhicule.

- « Bonjour! »

Il me répond vaguement et s'engage sur la route. Accoudée côté fenêtre, ceinture attachée, je consulte minutieusement mes dernières créations. Mon travail consiste à proposer des croquis qui pourront peut-être confectionnés pour des mannequins d'une certaine popularité. Cela va de la confection de la forme, au choix des matières et si j'ai de la chance, il m'arrive de participer activement à la fabrication de la pièce.

Je suis sortie du lycée un peu perdue, la mode est certes ma passion mais travailler pour demande énormément d'investissement et de rigueur - deux éléments compliqués à combiner étant donné mon deuxième travail. Heureusement que je possède une meilleure amie d'enfers et un..."Adrien Agreste" très parfait? Enfin bref, Alya en a touché deux mots à Adrien, elle avait déjà trouvé son école de journalisme, le Ladyblog a été élu le site le plus populaire de Paris quatre années d'affilées. C'est donc ainsi que j'ai reçu, un jour d'été à noyer mon chagrin entre deux pots de pâte à tartiner, un appel provenant de Nathalie, la gouvernante du manoir Agreste en l'absence du créateur. J'ai commencé par un entretien - où je me suis découverte un talent de claquette tant mes jambes tremblaient - et ça s'est fini par une offre d'emploi après un long stage auprès d'autres inconnus du métier.

Un jour, alors que j'entamais ma seconde semaine de test, Adrien est passé dans l'atelier où je travaillais sur des commandes pour une sitcom. Ni mon cœur, ni mes jambes n'ont tenu devant tant de pression. J'ai bégayé à un tel point qu'Adrien a failli appeler un médecin pour m'ausculter. C'est à ce moment-là que j'ai appris pour l'intervention d'Alya, elle qui avait toujours nié pour ne pas me démoraliser. Le beau blond a finalement poursuivi ses études en sciences mais étant donné son importance dans l'entreprise de son père, ils ont convenu qu'Adrien suivrait ses cours en alternance du mannequinat - ce qui a réduit mes chances de le croiser.

Dix-neuf heures cinquante, j'aperçois le manoir derrière une imposante grille entourée de murs en briques. Le chauffeur ralentit en voyant l'arrivée sur l'écran de son smartphone, faisant office de GPS.

- « Merci, bonne soirée! »

Dix minutes pour sonner, indiquer mon nom à la caméra de sécurité, me taper un sprint dans la cour immense jusqu'à la gigantesque porte et trouver une excuse justifiant mon retard autre que "Je viens de vous sauvez la vie." Le fameux garde du corps d'Adrien est accompagné de trois autres hommes, méconnaissables sous leur costume blanc et noir agrémenté d'une paire de lunettes de soleil en fin de journée. Ils me laissent monter à la salle de réunion après avoir vérifié une énième fois mon identité. C'est fou, on se croirait presque à l'Elysée. Mon cœur soupire de bien être quand je parviens enfin à la réception. Mes patrons et collègues sont là, certains mannequins aussi vu leur look excentrique. Deux gars à l'écart et armés de toutes sortes de gadgets sont sûrement des journalistes - en nombre restreint à la demande de monsieur Agreste.

Gabriel Agreste est devenu bien plus qu'un créateur célèbre dans le monde entier, il possède désormais des ateliers dans tous les pays pour assurer la "circulation" des mannequins, si je puis dire. C'est à peine si dernièrement on a eu l'occasion de le voir sur Paris.

Dix heures, les portes de la salle se referment, un écran géant fixé au mur s'allume sous les traits du grand créateur. La première fois que j'ai assisté à une réunion de ce genre, j'ai cru rêver en nous voyant tous être envoûtés par cet écran comme s'il nous contrôlait.

- « Bonsoir. »

Certains répondent "Bonsoir" dans le vide, ça fait partie des moments drôles de la cérémonie.

- « J'ai le plaisir de vous accueillir une nouvelle fois dans ma demeure en mon absence. »

Alors qu'il répète inlassablement la même introduction depuis des mois, je rejoins mon équipe composée d'un photographe - celui d'Adrien quand il était plus jeune - une maquilleuse et une secrétaire qui m'aide à passer des commandes pour mes croquis.

- « Toujours en retard toi. » souffle cette dernière d'un air moqueur.

Je hausse les épaules et me tourne à nouveau vers l'écran.

- « Comme vous savez, Paris est un point essentiel à la marque. C'est ici que sont passés les plus grandes stars du monde et que mes plus belles pièces ont été présentées. »

J'aimerais dire qu'il a attrapé la grosse tête mais après avoir vu Lady Gaga porter une de ses créations à un concert, je pense que je ne serais jamais capable de le critiquer négativement.

- « Cependant, j'ai remarqué quelques déficiences dans nos ateliers: disparitions de matériel, retard de commande ou bien même certaines qui n'ont jamais été prises en compte. C'est inacceptable. »

Mes yeux scrutent tous les employés, certains semblent mal à l'aise tout à coup.

- « J'ai donc décidé de procéder à une restructuration. »

Ce mot sonne à nos oreilles comme le tranchant d'une guillotine sur nos fins cous. Cela insinue des renvois en masse dans les prochaines semaines - suivis de procès pour licenciement abusif. De mon côté, je ne sais trop quoi en penser. Je me contente d'écouter la suite.

- « Ainsi j'ai convié la personne en qui j'ai le plus confiance de s'occuper de cette tâche. »

Encore un vieux mania des affaires qui va...

- « Et cette personne n'est autre que mon fils, Adrien. » Conclut-il avant d'interrompre la transmission.

A-Adrien? Tout le monde dans la salle est sous le choc. Adrien est un mannequin, pas un homme costume cravate capable de licencier des gens!

- « On n'a rien à craindre », pouffe la maquilleuse avant de vider sa flûte de champagne d'une traite. « Ce garçon est un chaton sans griffe. »

Mon pauvre cœur, il subit énormément aujourd'hui. Je peux le sentir s'agiter dans ma cage thoracique à l'idée qu'Adrien revienne dans mon atelier pour vérifier tous mes faits et gestes. Des éclats de cri provenant de la foule annonce l'arrivée du dit fils Agreste. Protégé par deux gardes, le beau blond apparaît comme mal à l'aise malgré un sourire un peu forcé plaqué sur son visage. Je ne le quitte pas des yeux, serrant ma bourse de mes doigts à devenir blancs. Il est magnifique. En quatre ans, ses épaules se sont élargies, sa mâchoire est un peu plus carrée mais il garde cet air d'ange par ses beaux yeux et son sourire à tomber.

Eh oui, Marinette Dupain-Cheng, même après quatre ans de vide à le regarder dans des magazines, n'a toujours pas conclu avec l'homme de sa vie.

- « Monsieur Agreste! » S'exclament plusieurs employés quand il s'approche.

Il n'y a aucune chance que j'échange plus de deux mots avec lui ce soir. C'est l'heure de profiter du buffet avant de rentrer se coucher dans ma porcherie!

- « Tu as entendu parler du dernier sauvetage de Ladybug et Chat Noir? » Me demande la maquilleuse répondant du doux nom de Sophia.

Brune, mat de peau, elle ressemble légèrement à Alya sur certains points, ce qui explique la facilité avec laquelle j'ai noué une amitié avec - sans oublier qu'elle aussi est une fan invétérée de Ladybug. Une fois au niveau de l'énorme buffet, je daigne lui répondre.

- « C'est la raison pour laquelle je suis en retard. » Je mens en glissant ma main dans mes cheveux, « Je suivais les informations à la télévision et puis j'ai vu l'heure. »

J'enchaîne avec un petit rire qui sonne faux à mes oreilles. Il est plus simple pour moi de me faire passer pour une fan de Ladybug, au cas où je divulguerai des informations que je ne suis pas supposée détenir.

Ma soirée s'est donc déroulée entre potins entre collègues et une avalanche de petits fours. Comme prévu, je n'ai pas eu l'occasion de discuter avec Adrien, je doute même qu'il m'ait remarquée. J'ouïs dire par son ancien photographe italien qu'il devait prononcer un discours mais que, finalement, il avait préféré se retirer dans sa chambre. Son ancienne chambre. Car oui, le Manoir Agreste n'en comporte que le nom. Seuls éternels meubles de l'habitation demeurent le "Gorille" et Nathalie.

Mon ventre me hurle d'arrêter de m'empiffrer et de partir avant d'exploser devant tout le monde. Je souhaite une bonne soirée à mon équipe et me retire - non sans avoir glissé quelques victuaille dans ma bourse, ensevelissant Tikki au passage. Oh mince, je ne remarque qu'une fois dehors les cordes tomber. Les portes se sont déjà refermées dans mon dos quand les premières goûtes s'abattent sur mon chemisier. Je ferais mieux de déguerpir sinon je vais participer malgré moi à un concours de t-shirt mouillé. Il n'y a qu'une seule façon de me sortir de ce pétrin sans finir trempée.

- « Tikki, transforme-moi! »

Le kwami disparaît dans ma boucle d'oreille et me recouvre d'un halo de lumière rouge. Ladybug non plus n'a pas très envie de prendre une douche. Ma main droite se munit de mon légendaire yo-yo. Il tournoie quelques secondes avant d'être projeté vers un arbre pour m'aider à prendre de la hauteur. L'amas de feuilles me protège partiellement de l'orage. Je me tourne une dernière fois vers la demeure Agreste. Tiens, une lumière à l'étage est allumée. Il s'agit sûrement d'Adrien. Personne n'est autorisé à mettre les pieds au delà du premier étage et seulement pour se rendre dans la salle de réception.

Ce n'est pas raisonnable, je dois rentrer...En même temps, ça ne prendra que quelques minutes, histoire de regarder Adrien de plus près. Le feuillage se secoue violemment, malmené par le vent. Je tâche donc de prendre appui avec précaution avant de m'élancer en direction de la série de fenêtres. Tel Spiderman, je descends lentement, pendue au fil et tête en bas, les mains fermement accrochées à mon yo-yo, jusqu'à apercevoir la silhouette du jeune homme. Même renversée et bercée par l'intempérie, je perçois ses mouvements distinctement. Son visage disparaît temporairement derrière un T-shirt noir qu'il enfile, je peste à l'idée d'avoir manqué la vision de ses abdominaux tracés - si j'en crois un des derniers La Mode.

- « Ouah! » Je m'écrie quand, pour une raison inconnue, le fil glisse d'une dizaine de centimètres d'un coup.

Je me rattrape tant que possible pour ne pas chuter. Malheureusement, mon cri a attiré l'attention d'Adrien. Ahuri, il ne tarde pas à courir vers la fenêtre plus proche de moi et l'ouvre.

- « Ladybug? »

Sa voix est couverte par la pluie mais sa main tendue vers moi m'invite à rentrer. D'abord hésitante, je m'engouffre à l'intérieur de sa chambre.

- « Tu es trempée! » Remarque-t-il en refermant la fenêtre. « Je vais te chercher de quoi te sécher! »

Immobile afin de ne pas foutre en l'air tout son parquet, je me contente de sourire en le voyant courir en direction de son ancienne salle de bain. Le beau blond revient rapidement avec une série de serviette et me couvre les épaules d'une. J'accepte la seconde pour sécher mes cheveux. Les radiateurs de la chambre me réchauffent, il va me falloir une force herculéenne pour repartir par ce temps.

- « Tu te sens mieux? » Murmure-t-il en essorant délicatement mes couettes.

-« O-Oui, merci Adrien. »

Ce n'est pas Marinette qui pourrait se retrouver dans ce genre de situation. Il m'a toujours été plus simple de l'approcher sous ma seconde identité.

- « Je pensais qu'on avait convenu d'arrêter ces rendez-vous à l'improviste. »

Son air moqueur me tire de mes pensées, je grimace. C'est moi-même qui ai instauré cette règle entre nous deux, il y a de ça trois mois. Mais Adrien ne me laisse pas le temps de protester que ces mains se glissent dans le creux de mon cou pour m'attirer vers lui. Nos lèvres se touchent, se caressent, se mordent dans une douceur dont il a le secret.

Car oui, je sors secrètement avec Adrien Agreste.

Enfin, pas Marinette, juste Ladybug.

Vous voyez le problème maintenant?

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