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1) Concours d'ecriture.

Bon, alors. Ceci est ma participation au concours de Linhgranger. J'espere qu'elle va vous plaire. Le thème était: Une fanfiction du point de vue d'Amy dans Gardiens des Cités perdues, qui dois de passer entre la fin du tome 5 et le début du tome 6.

Voili voilou. J'espere que ça vous plaira.

Vous est il déjà arrivé d'avoir l'impression d'être un étranger dans votre vie ?
Cela faisait déjà cinq ans que j'avais cette impression. Sans que je sache pourquoi, j'avais l'impression qu'il me manquait une partie de moi même. C'était comme si une partie de ma vie et de ma mémoire s'était envolée. J'avais une sensation de vide intérieur qui me donnait la nausée. Je sens qu'il me manque quelque chose ; et ce quelque chose, je dois le trouver.

16h37 :  Pour m'éviter de m'endormir d'ennui sur ma table en cours de maths, je sortis le cahier que je tenais depuis 5 ans, depuis que cette étrange impression m'avait envahie. Je consignait à l'intérieur toutes les informations que j'avais pu trouver, toutes les pistes que j'avais. Il m'arrivait quelques fois d'avoir des flashs à l'évocation de certains mots, mais trop confus pour pouvoir comprendre ce qu'ils montraient.
Alors, une fois entrée à la maison, je fermais ma porte à clé et je répétais ce mot en boucle dans ma tête jusqu'à ce que j'arrive à percevoir des scènes qui m'étaient familières et étrangères à la fois. Pour l'instant, je n'avais pas trouvé grand-chose et mes investigations se Limitaient pour l'instant à une page :

30 Octobre 2016 :
Mot du jour : Ella
Notes :
-Une peluche ?
-Quelqu'un la tient : cheveux blonds mais je n'arrive pas a voir son visage
-scène joyeuse
-Il y à aussi Lapinou, que fait il là ? Est-ce un souvenir ?
-QUI EST ELLE ?

En cinq ans, voici tout ce que j'avais trouvé. Cette dernière question M'interpelai plus que les autres.  Dans chaque flash que j'avais, elle était là mais je ne voyais que de longs cheveux blonds. Jamais je ne voyais son visage, ni n'entendais sa voix. C'était tellement frustrant de la savoir si près et de ne pas savoir qui c'était. Au plus profond de moi même, j'avais la sensation que c'était elle l'élément responsable de tout ça.  C'était comme si ma vie était un château de carte, et qu'elle seule pouvait le démolir d'une seule pichenette.
Pourtant, dans tous mes flashs où elle apparaissait, j'étais envahie par un profond sentiment de bonheur, de complicité et d'amour.
Je me devais de découvrir qui elle était, pourquoi elle m'était familière, et surtout, ce qu'elle faisait dans ma mémoire.

Je fus tirée de ma torpeur par la voix aiguë de Rachel, mon amie :
-Eh Nathalie !
En entendant ce prénom, un goût amer envahit ma bouche. Ce nom sonnait étrangement à mes oreilles, pourtant c'était le mien. Pourquoi avais-je l'impression d'être deux personnes à la fois ?

Je cachais vite le cahier dans mon cartable, je n'avais pas envie de passer pour une folle, et la suivit hors de la classe.
Rachel avait pris pour habitude de me raccompagner chez moi, et, nos cartables sur le dos, nous nous mîmes en route a travers la ville. Pendant ce temps là, Rachel me faisait la gazette de sa soirée d'hier. Elle  était partie sur une tirade ayant pour sujet son incroyablement agaçante grande sœur quand elle dit : « vraiment ma sœur c'est le diable en personne ; tu en as de la chance d'être fille unique.»

A ce moment là, un déluge d'images me submergea, tellement vite que je perdis l'équilibre et me retrouva étalée de tout mon long sur les pavés.

-Nathalie, oh mon dieu ça va ?tu fais un malaise, je dois appeler les pompiers ? Se mit à paniquer Rachel.

Mais a sensation était partie comme une vague sur un rivage de sable blanc, me laissant pantelante et en sueur.

-Non, merci Rachel, je vais bien. J'ai juste… besoin de repos, et d'un bon verre d'eau.

-Si tu le dis me répondit-elle en haussant les épaules, mais je t'accompagne jusque chez toi.
Elle m’Agrippa le bras et me tira vers la maison, qui n'était heureusement plus très loin.

Une fois rentrées, Rachel raconta toute l'histoire à mes parents, qui m'ordonnèrent d'aller me coucher, ce que je fis sans rechigner. Je fermais la porte à clé et m'installais confortablement sur mon lit. Puis je fis le vide dans mon esprit. Et je répétais les mots qui m'avaient fait flashé :

« Fille unique » Rien !
« chance » Rien !
« Soeur » A ce mot, le tourbillon d'image revint, mais elles étaient encore moins distinctes que dans la rue. Je répétais encore ce mot, toujours plus fort, mais chaque fois, les images étaient complètement distordues, comme si quelque chose brouillait la transmission.
Je continuais pourtant à crier ce mot des heures durant, jusqu'à m'en donner une migraine. J'ouvris finalement les yeux, avec dans l'idée d'aller demander une aspirine à maman, quand je me rendis compte que la maison était étrangement silencieuse.
On n'entendait plus le bruit de l'huile qui frit dans la poêle de maman, ni la télévision devant laquelle j'avais trouvée papa en rentrant chez moi. Je descendit les escaliers et là je les vis : ils étaient quatre, ils portaient de longs manteaux et, à la manche, un œuil blanc.
Dans leurs bras se tenaient papa et mamans, visiblement évanouis. Je mis ma main devant ma bouche pour étouffer un cri. L'un d'entre eux se retourna vers l'armoire où j'étais cachée et je retins ma respiration. Il dit :
"Gethen, guette toute pensées intruses, vérifie qu'il n'y a plus personne dans la maison »
Quels étaient ces noms étranges ? Je m'en préoccuperais plus tard, ma priorité était pour l'instant de ne pas me faire repérer.
Il avait parlé de pensées, alors j'essayais de faire le vide dans mon esprit, de ne plus penser à rien. Au bout de quelques minutes qui semblèrent durer des heures, la voix du dénommé Gethen répondit :
« C'est bon, il n'y à personne Fintan »

-Bien! Alvar, va vérifier qu'il n'y a personne dehors pour que nous puissions sauter sans difficultés.

De plus en plus abasourdie et perdue par leur conversation, je vis l'une des silhouettes se mettre à bouger. Soudain, elle disparut et je retins un hoquet de surprise puis elle réapparut. Comme c'était étrange, cela ressemblait à certains films que j'avais vu où les gens pouvaient devenir invisibles, mais ce n’est pas censé exister pour de vrai. Je n’eus pas le temps de continuer à penser car Fintan continua :
« Emmenez les à Nocturna » puis ils sortirent ensemble de la maison, il  eu un rai de lumière bleue, puis plus rien.
Au moment ou j'allais sortir de ma cachette, la porte s'ouvrit de nouveau. Terrifiée à l'idée que ces hommes soient revenus pour moi, je me tapis encore plus dans l'armoire. Mais ce ne furent pas des hommes encapuchonnée qui entrèrent mais trois adolescents, deux garçons et une fille.
Ils étaient habillés bizarrement et portaient des capes! Mais la figure centrale, la fille m'intriguait le plus Elle me faisait dos et je ne pouvais pas voir son visage mais ses longs cheveux blonds m’étaient familiers. Soudain je compris: c'était elle que je voyais dans mes flash.
Je devais lui parler, savoir qui elle était, poussée par un élan de courage, je sortis de mon armoire et dis :
« Vous connaissez Nocturna ? Ils ont dit emmenez les à Nocturna »
Le trio se figea et la fille tressaillit avant de se retourner. Et son regard marron croisa le mien et je fus prise dans un tourbillon de souvenirs.

Flash Back:

Elle se trouvait dans une chambre,elle jouait avec ses poupées, la fille s'approcha et s'assit à côté d'elle « coucou Amy »… Elles se trouvaient dans un parc d’attraction et elle lui agrippa la main « je peux avoir ça, oh s'il te plaît ?! » La blonde lui sourit »bien sur »… Ella… Un journal, la couverture montrait sa photo, le gros titre disait « Une enfant surdouée est en terminale à douze ans »… Elles étaient dans la chambre de nouveau et la blonde tenait Lapinou devant elle « Bonjour Mademoiselle Amy, comment allez vous aujourd'hui ? » Et la petite brune riait aux éclats

Chaque souvenir prenait place dans ma tête et comblait des vides que je n’avais jamais remarquée. J'avais enfin l'impression d'être complète et des vagues de bonheur, d'amour, de joie mais aussi de douleur,de tristesse, de colère affluaient dans tout mon être. Comme si la pièce d'un puzzle sur laquelle tout le reste dépendait venait d'être placé dans ma tête, et un frisson parcouru mon corps tout entier. Au milieu du déluge de souvenirs et de sensations, un mot semblait briller d'un éclat irréel. Un seul petit mot, mais c’était la dernière pièce qui me manquait, celle qui pouvait tout changer. Et je murmurais :
"Sophie ?"

Et voilà. C'est la fin. Je suis désolée cette histoire m'a paru très longue Mais j'avais besoin de toute cette place pour mettre tous ces sentiments. J'espere que vous avez aimé. N'hésitez pas à me donner votre avis en commentaire, ou à me proposer d'autres sujets d'écriture.


Bisous tous les wattpadiens qui ont été assez courageux pour lire cette histoire que je trouve, pour ma part assez nulle, je vous aime très fort.
😘😘😘😘😘

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