« Le bonheur n'est pas d'avoir ce que l'on désire, mais d'apprécier ce que l'on a».

Cette phrase nous l'avons entendu et ré entendu.

Je suis totalement d'accord avec cette phrase.

Le bonheur si je le veux, est la, Au creux de ma main.

Si seulement elle n'était pas toujours renfermer dans poings.

Je n'ai pas beaucoup, je possède même très peu de choses, mais je m'en contente.

Je fais parti de ces gens qui créerai presque une communauté avec ses idéals.

Bien que j'y crois dur comme fer, je me sens presque comme une personne anticonstitutionnellement contre cette idée.
Comme si je sortais du lot.

Le bonheur est il un synonyme de "apprécié"?

Le bonheur, ce mot, semble être a des années lumières de "apprécié".

Suis-je une personne qui mesure mal ses mots ?

J'ai l'impression que le bonheur c'est bien plus que simplement apprécié.

Suis-je si difficile ?

C'est encore plus dur de s'en rendre compte.

C'est plus lourd encore a porté.

Et puis ce sentiment d'être si différent, presque entièrement absent du monde et de moi-même.

J'ai l'impression de salir cette idéal.
De détruire même l'intrinsèque de cette puissante phrase.

Alors j'y ai renoncer.

J'ai renoncé au bonheur et a tout ce qui peut être appréciable.

J'ai renoncé à tout pour éviter de souiller ce qui m'entoure.

Éviter de souiller le bonheur, les choses à apprécié, l'image, la langue, les rêve, l'estime, les mots, l'espoir, l'esprit.

Les liens précédemment formé sont désormais rouillé.

Je me contente désormais de simplement exister.

Même si la santé se dégrade plus vite que celle d'une personne âgée.

Même si aucun statut, aucun nom ne m'est dédié.

Même si personne ne eut ouïe de mon existence.

Même si mon expérience n'est que risible.

Même si mon esprit m'a quitté et mon âme s'est accroché.

J'ai encore des questions et je trouve les réponses seul.

Je vie aujourd'hui en attendant la mort voilà mon but dans la vie.

Je n'ai plus de buts si ce n'est celui-ci.

J'ai perdu tout les codes.

Tout les moyens.

Pourquoi vouloir me testé ainsi ?

C'est si cruel de me torturer toute la durée de mon expérience en la vie.

La vie et la mort sont aussi cruelle l'une que l'autre.

Si seulement je n'avais jamais existé.

C'est douloureux.

Je veux me cacher.
Je ne veux plus rien souiller.

Je vous en supplie laisser moi vivre en paix.

Je ne veux ni bonheur ni malheur.

Je veux juste la paix.

Je ne veux ni vivre ni mourir.

Je veux juste la paix.

Un jour peut-être je vivrai sans avoir mal au dos lorsque je me pencherai.

Un jour peut-être je mourrai l'estomac plus vide que jamais.

J'aurais pour le moin vécu, l'esprit plain, et en aillent laisser une signature delebile dans ce monde.

J'ai l'impression d'être tellement contradictoire avec moi même.

C'est frustrant.

De ne pas savoir ce que je veux.

~*~*~*

Bon!

Derrière ligne droite!✧⁠◝⁠(⁠⁰⁠▿⁠⁰⁠)⁠◜⁠✧

Après je vous parlerai de quelques anecdotes par rapport à cette exercice.(⁠｡⁠•̀⁠ᴗ⁠-⁠)⁠✧

Ensuite petite pause, parce que j'ai beau la recalé, la déprime reviens toujours à la charge pour me mettre au tapis :')

Les mots et phrases étaient :

- Le bonheur n'est pas d'avoir ce que l'on désire, mais d'apprécier ce que l'on a

- Et puis ce sentiment d'être si différent, presque entièrement absent du monde et de moi-même

- la vie et la mort sont aussi cruel l'une que l'autre

- Anticonstitutionnellement

- Intrinsèque

Et se sont bien 5 chose a caler ici!

J'ai l'impression que "anticonstitutionnellement" je l'ai mal utiliser TvT.

Ce texte pas très bien mais je l'ai fais en même pas vingt minutes.

Donc je suppose que c'est normal qu'il n'ai presque aucun sens.
(Ça a l'air dépriment de fou (⁠+⁠_⁠+⁠))

Bon je vous souhaite quand même une bonne journée, en espérant vraiment pouvoir m'améliorer :')

Plain de love et de biscuits
(ﾉ´ з ')ノ♥️🍪🍪