ÉPILOGUE
Ce matin nous arrivâmes ensemble au bahut, main dans la main. Je portais mon uniforme conforme aux règles et m'étais habillé proprement. J'avais également redonné son blouson à Levi afin qu'il le porte, puisque cela faisait quelques jours qu'il me l'avait offert malgré qu'il enfreignait clairement les consignes vestimentaires. J'avais trouvé ce geste tellement mignon... Et puis son odeur en était imprégnée !
J'adore son odeur
Nous avions passé la nuit chez moi, collé l'un contre l'autre. Ne nous lâchant plus d'une semelle depuis notre ébat amoureux. Mon amant avait bien entendu prévenu son oncle de ne pas l'attendre.
Je ne cesse de me répéter que partir loin de lui fut l'erreur la plus atroce que j'ai pu commettre de toute mon existence.
Nous passâmes le portail vers 07h56. Beaucoup d'élèves étaient déjà présents et je pus croiser un nombre incalculable de regard soulagé vis-à-vis nos mains entrelacé, ce qui me surpris énormément. Levi me caressait doucement la peau de son pouce. Peut-être avait-il deviné que j'appréhendais néanmoins mes retrouvailles avec Kirschtein...
Je resserrais ma prise contre sa main inconsciemment. Il le remarqua puisqu'il stoppa sa démarche afin de se retourner vers moi. Je lui lançais un regard incertain avant qu'il ne pose sa main libre contre ma joue. Elle était chaude... C'était plaisant.
« Tout va bien aller. » Il me dit seulement de sa voix grave que j'adorais tant. Je fermais les yeux puis appuyais davantage ma joue contre sa paume, menant mes doigts inoccupés à sa caresse afin d'en profiter au maximum. Je sentis ses lèvres atterrir sur mon autre joue dans un chaste baiser avant qu'il ne se recule, m'étirant ainsi un large sourire, sentant mes joues rougir doucement.
Nous étions en publique et bien que tout le lycée n'allait pas tarder à savoir que nous étions ensemble, il me savait mal à l'aise et n'avait pas cherché à m'embrasser devant tout le monde.
Mon dieu que je l'aimais.
Nous restâmes comme cela durant un petit moment, sur notre petit nuage avant que Petra ne nous rejoigne, folle de joie.
« Eren ! Levi ! Oh mon dieu, je suis tellement contente ! » Elle nous dit les yeux pétillant. Ce qui nous arracha malgré nous un tendre sourire.
Elle avait un de ses écouteurs qui pendait dans le vide, nous apprenant qu'il était tombé de son oreille dans sa course.
Nous partîmes tous les trois vers l'établissement, parlant de tout et de rien avec la petite rousse que je n'avais pu aborder depuis pas mal de temps. Je pouvais être moi-même... Parler à qui je le voulais quand je le voulais et faire ce qui me plaisait. Je ne voyais vraiment pas comment j'ai pu survivre sans ça. Sans Levi.
Mon amant me lança un regard rassurant avant d'ouvrir les portes du bahut. Je lui adressais un sourire tendre et nous rentrions. Il ne nous fallut que quelques secondes tout ou plus avant de dénicher Jean qui se trouvait attablé en compagnie d'Ymir, Annie et Reiner. Berthold et Historia n'étant pas encore arrivé. Il cessa tout bonnement de rire — riant probablement vis-à-vis d'une blague de mauvais goût de la part du grand blond — lorsque ses yeux se posèrent sur nous. Je l'aperçu serrer les dents, une expression énervé sur le visage. Peut-être s'entendait-il à ce que Levi me rejette et que je revienne vers lui par la suite...
Comme je m'y attendais, Il délaissa ses potes pour venir nous voir d'un pas rageur. Je me mis à reculer inconsciemment en le voyant s'approcher, de peur qu'il ne m'attrape ou ne m'inflige je ne sais encore quelle autre blessure, mais Levi se mit devant moi, me protégeant par conséquent.
« Dégage. » Dit simplement mon amant d'un timbre de voix glaciale à m'en donner la chair de pouls.
« Comment tu peux accepter un tel conna- »
« Écoutes-moi bien p'tit merdeux. Il coupa en empoignant fermement la chemise du châtain, de sorte à rapprocher son visage du sien. Le connard dans cette histoire c'est bien toi et personne d'autre, alors tu fermes ta gueule avant que je ne te fasse envaler cette merde qui te serre de langue et tu ne t'approches plus d'Eren sous peine que jm'énerve. » Il termine sur le même ton avant de brutalement relâcher ledit connard.
Je détendais la prise sur la main de mon amoureux que j'avais inconsciemment resserré sous son geste, de peur qu'il ne tabasse Jean. Pas que ça me dérangeais qu'il se fasse démonter. Au contraire, mais je ne voulais pas revoir Levi dans le même état qu'il y a deux ans et quelques, ou encore comme la semaine dernière quand il avait perdu le contrôle sous la colère, dans les vestiaires.
J'avais conscience qu'il l'avait fait pour moi, pour me protéger et qu'il était en colère de ce qu'il avait vu... Mais le voir comme ça, submerger par tant de frustration et aveuglé sous les coups qu'il infligeait à sa victime, ça me faisait mal autant que ça me faisait peur.
Jean claqua de la langue, frustré et retourna vers sa bande que je ne comptais plus côtoyer. Je repris ma respiration que j'avais inconsciemment retenue sous l'échange. Puis me collait à mon amant dans une étreinte, joignant mes mains sur son ventre, le visage niché dans son cou. Je soupirais d'aise.
« Merci... » Je dis dans un souffle.
Il se retourna puis m'adressa un tendre sourire, toute trace de colère ayant disparu de son visage.
« C'est rien, mon amour. »
Je ne lui laissais pas le temps de dire quoique ce soit d'autre que je lui sautant dans les bras, entourant sa nuque de mes membres avant de brusquement plaquer mes lèvres contre les siennes. Le surprenant au passage sans pour autant qu'il n'interrompe notre baiser, attirant les regards attendrit de certains et la lentille coriace de l'appareil photo appartenant au cellulaire de Petra.
Mais je ne m'en accommodais pas, me contentant de poursuivre notre échange amoureux sous le sourire satisfait d'Annie un peu plus loin.
∞∞∞∞∞∞∞∞
La journée se passa sans encombre et ce, à mon plus grand soulagement. J'ai pu rencontrer les amis de Levi. Erd est à mourir de rire tandis que Gunther est très sympathique ! Auruo... Il est spécial. Je le soupçonne d'avoir un faible pour Petra. Cette constatation me fit sourire.
J'ai passé un très bon diner en compagnie de mon amant, passant à la bibliothèque en sa compagnie vers le milieu de l'après-midi.
∞∞∞∞∞∞∞∞
Ce ne fut qu'une fois rentré chez moi que Levi me tendit son cellulaire.
« Appel ta sœur. » Il me dit seulement, illuminant mon regard de bonheur.
« Merci ! » Je dis en lui sautant de nouveau au cou avant de m'emparer de l'appareil et de me diriger vers le salon, d'où je m'installais confortablement, mon amant à la suite.
Je passais en revue ses contacts et y dénichais rapidement le numéro de Mikasa, mais arrêtais mon index à quelque millimètre de distance de l'icône vert téléphonique.
« Qu'est-ce qu'il y a ? Tu ne veux pas lui parler ? » M'interroge Levi, fronçant les sourcils.
Je tournais alors mon regard dans sa direction, arborant une expression que je devinais incertaine.
« Oui... Oui, mais si c'est elle qui ne veut pas me parler ? Si elle est furieuse contre moi, je fais quoi... ? » Je réponds avec hésitation.
Il sembla réprimer un soupire.
« Il faut bien que tu l'as contact un jour ou l'autre. Il commence. Elle sera peut-être fâcher, mais elle sera d'abord rassurée et heureuse d'avoir de tes nouvelles. »
J'hochais la tête puis, soupirant en signe de résignation, j'appuyais sur l'icône.
Il ne suffit que de deux tonalités avant qu'elle ne réponde, d'un geste que je devinais précipité.
« Levi ?! Tu as des nouvelles ?! » Résonna une voix familière à mon oreille. Je sentis mes yeux me piquer. Je ne répondis pas.
« Levi... ? » Elle répéta, désormais douteuse d'une quelconque présence. C'était le moment ou jamais, je me dis.
« M-Mikasa... Je débutais avec difficulté dû à l'émotion. C'est moi, c'es-»
« Eren !? » Elle me coupa.
« Ouais... »
« Oh putain, Eren ! Je suis tellement contente de t'entendre, tu ne sais pas à quel point je me suis inquiété depuis que Levi m'a appeler la première fois ! » Me dit ma sœur, ce qui me fit culpabiliser davantage.
« Qu'est-ce qui t'as pris de retourner en France bordel !? T'imagines ? Si Levi n'avait pas déménagé là-bas, on n'aurait jamais su où tu te trouvais ! » Elle me dit désormais furieuse.
« Je... » Je dis hésitant en tournant un regard de détresse vers mon amour, qu'il comprit instantanément puisqu'il s'empara du combiné.
« C'est une très longue histoire. Il continu le fil de ma conversation. Mais je voulais qu'il t'appel pour te rassurer. »
« Merci Levi... Je perçu faiblement. Merci d'être là. »
« C'est rien. » Il répond avant de raccrocher, m'informant par la suite qu'elle était en cours et qu'elle était sortie pour répondre.
Puis il délaissa son cellulaire sur la table basse. M'entrainant vers lui afin de mieux capturer mes lèvres, plaçant une main sur ma nuque pour y approfondir le baiser. Infiltrant sa langue dans ma cavité buccale, d'où je lui donnais rapidement l'accès, explorant ma bouche de fond en comble.
Nous déclenchâmes un ballet avec avidité, nous séparant cependant quelques temps plus tard de sorte à reprendre notre souffle. Nous fixant l'un l'autre d'un regard amoureux. Je voulais l'entendre gémir. Gagner un combat. Je lui souris donc malicieusement, provoquant de cette façon l'intrigue dans l'esprit de mon bienaimé.
« Et si on allait prendre une douche ? » Je dis innocemment, allumant une lueur joueuse dans son regard.
« Pourquoi pas. » Il me répond, entrant dans mon jeu.
Je me redressais donc, l'attirant à l'étage à pas de courses après m'avoir emparé de sa main puis le laissais dans la salle de bain avant de partir chercher un nouveau préservatif dans ma chambre.
Je revins rapidement, fermant la porte de la toilette derrière moi, le scrutant de mes yeux rieurs, décuplant sa curiosité. Je m'approchais doucement de lui, délaissant la protection sur le comptoir et l'embrassais passionnément dans le cou, lui faisant incliner la tête sur le côté. Je sentis une envolé de papillon dans mon ventre. Je continuais, sa main gauche prit position sur ma hanche pendant que je le débarrassais de ce blouson, le laissant tomber sur la céramique du planché.
Je descendis mes baisers vers ses clavicules, déboutonnant doucement sa chemise que je retirais, étant devenue encombrante. Je dessinais le contour de ses muscles à l'aide de ma langue humide, lui procurant une panoplie de frisson, ce qui étira malgré moi un grand sourire sur mon visage.
« T'es entreprenant aujourd'hui... » Il me dit dans un souffle. Je remontais mes iris vers ses magnifiques prunelles grises acier puis fit remuer mes lèvres.
« Tu n'as encore rien vu... » Je me mordis la lèvre face au festin qui se trouvait devant moi.
Je retirais mon uniforme qui finit sa chute aux côtés de son veston ainsi que de sa chemise, ne le quittant pas des yeux. Je repartis envahir son croissant de chair qui me faisait tant envie, contournant ses lèvres de ma langue humide avant d'insérer mon muscle dans sa cavité buccale, partant à la recherche de sa langue que je trouvais avec facilité tout en débouclant sa ceinture qui fit tomber son pantalon. Il termina de le retirer d'un coup de jambe et m'attira à lui précipitamment, reprenant possession de mes lèvres avec avidité, plaquant nos érections l'une contre l'autre à travers le dernier fin morceau de tissu qui recouvrait nos corps. Les frottant ensembles dans une activité plaisante.
Cependant, je coupais court ce moment de jouissance, ayant ma petite idée derrière la tête. Il fronça les sourcils, ce qui me fit sourire avec amusement. Je m'emparais du préservatif et le poussais lentement dans la douche, plaquant son dos contre le carrelage, après avoir placé le condom près du shampoing et reportait mon attention sur mon amant. Baladant mes mains sur son corps, passant de ses pectoraux, par ses abdominaux. Glissant mes doigts au bas de son échine avant de traverser le faible élastique de son boxer et d'empoigner son postérieur. Tout cela en ne le lâchant pas des yeux.
L'expression surprise qu'il m'adressa fut un délice.
Je continuais mon manège, élargissant son caleçon afin de le lui abaisser. Faisant surgir son membre déjà dur à la pointe raide. Je retournais ensuite à son cou, le suçotant du mieux que je le pouvais, aspirant sa peau avec gourmandise. Ce qui lui fit échapper une plainte. J'ouvris les yeux que j'avais préalablement fermés et scrutais le bout de chair rougie d'un air satisfait. Faisant néanmoins mon possible pour ne pas l'admirer trop longtemps, ne désirant nullement qu'il le remarque de suite, pensant que cela gâcherais le plaisir. Mon plaisir.
Je repris d'assaut sa bouche pendant que ma main droite s'emparait délicatement de son membre, effectuant une série de vas-et-viens me permettant de le faire languir. Nous nous séparâmes afin de laisser passer l'air dans nos poumons, se regardant avec luxure, puis je m'abaissais à la hauteur de son membre tout en continuant mes caresses, les yeux toujours encré dans les siens que j'allais baisser sur ma convoitise lorsqu'il m'arrêta.
« T'es pas obliger de faire ça... » Il me dit, désirant probablement s'assurer de mon consentement. Je lui souris avec amour, puis amenais ma langue à ses testicules. Les caressant de mon muscle humide avant de les suçoter avec envie. Il respira plus bruyamment, arquant son dos sous le ressentie. M'encourageant sur ma lancé. Je continuais les allers-retours sur son membre avec lenteur avant de délaisser la partie inférieur de son intimité et de lécher sa virilité de toute sa splendeur, humidifiant ma langue à son maximum. Un faible gémissement lui échappa. Mais ce n'était toujours pas suffisant pour me satisfaire, je menais son gland à mon muscle rose d'où j'y exerçais quelques coups de langue avant d'englober son sexe dans ma bouche. Le suçant avec appétit.
Il appuya sa main sur mon épaule, serrant faiblement sa prise sous la sensation que je lui procurais. Il m'était évidant qu'il se retenait. Ce qui me fit plisser les yeux de défit. J'avais moi aussi envie d'entendre sa voix. J'accélérais alors la cadence. Ne l'épargnant en aucun temps. Je sentais son intimité durcir de plus en plus au fil de mes vas et viens. Puis il se résigna finalement.
« E-Eren..A-An~ R-retire-toi~ » Il me dit, me faisant comprendre qu'il allait éjaculer.
Je fus soulager qu'il m'avertisse, puisque ce connard de Kirschtein ne le faisait jamais. Il me forçait et me laissait m'étouffer par la suite... Je chassais ses douloureux souvenirs de ma mémoire et me concentrais sur mon amant. C'était Levi. Levi qui se tenait en face de moi et personne d'autre.
Je retirais alors son membre de ma bouche, mais me fit tout de même asperger par le fluide de mon amoureux, qui m'atterri nonchalamment sur le visage. Je regardais mon amour de mes yeux innocents, léchant le coin de ma bouche avec amusement, savourant ainsi une partie de sa semence.
Je l'observais, il me regardait avec désir, haletant. Puis il ouvrit la douche, me faisant sursauter. Il en profita néanmoins pour me relever, positionnant mes jambes autour de sa taille d'un geste habile avant de me plaquer à mon tour sur la paroi, mangeant mes lèvres avec envie. Mélangeant de nouveau nos langues ensemble. Je passais mes avant-bras sur ses épaules et profitait du moment. De chaque parcelle d'eau qui s'écoulaient le long de nos corps enflammés. Nos sexes se frottèrent l'un contre l'autre, m'arrachant quelques gémissements dans l'action.
Il infiltra un premier doigt en moi, humidifié par le liquide s'échappant du pommeau de douche. Ce qui me fit gémir un instant. Cela ne fut cependant guère douloureux puisque nous l'avions fait la veille.
Voyant que tout allait bien, il y incéra un second. Débutant l'écartement de mon antre. Je fis une faible grimace. Il faut dire, l'eau et le lubrifiant étaient deux choses bien distinctes. Il m'appuya davantage contre le mur de la douche, ayant remarqué la faible souffrance que laissait déterminer mes trais et me repositionna avant de partir parsemer mon cou de baiser, les plus chatouillant les uns que les autres, mais tellement plaisant que cela m'en fit oublier la douleur.
Il me mordit tendrement l'oreille dans son éternel habitude, me faisant caler la tête sur le côté. Mon amour retira tout d'un coup ses doigts de mon intérieur, m'arrachant une plainte d'insatisfaction. Je compris où il voulait en venir et m'emparais du préservatif, déchirant l'emballage afin d'en extirper la fine couche de protection à saveur de fraise que je m'empressais de glisser sur sa virilité, redéposant l'emballage aux côtés du shampoing.
Il écarta davantage mes cuisses ainsi que mes fesses et y incéra son membre. Doucement mais surement, ses mains sur mon bassin de façon à me tenir contre lui. Il patienta un moment, comme toujours, le temps que je m'habitue à sa présence et je lui donnais le signale. Replaçant mes bras autour de sa nuque que j'attirais jusqu'à moi afin de reporter son attention sur mon visage. Je mordais sa lèvre inférieure, l'incitant à m'embrasser, ce qu'il fit sans problème. Je gémissais à ne plus finir, la voix entrecoupée par les coups de reins et les lèvres de l'amour de ma vie. Les joues rouges de plaisirs.
Ce ne fut qu'après un énième coup de bassin à toucher fermement ma prostate qu'il éjacula à l'intérieur de moi dans un gémissement roque alors que je me déversais entre nous.
Nous cessâmes simultanément de bouger, le souffle court par notre activité. Nos respirations se mélangeant, sans pour autant qu'il ne s'extirpe de moi.
Je resserrais mes bras autour de sa nuque, collant ainsi nos torses l'un contre l'autre dans élan précipité. Ce qui dû le surprendre.
« Je t'aime... Je t'aime, Je t'aime, Je t'aime ! » Je soufflais à son oreille, nichant par la suite mon nez dans son cou.
Il monta l'une de ses mains dans mon cuir chevelu trempé par l'eau de la douche, les ébouriffant doucement avant de me répondre d'un suave timbre de voix.
« Moi aussi je t'aime, mon cœur. »
∞∞∞∞∞∞∞∞
Les jours passaient et tout allait pour le mieux. Jean ne me portait plus aucune attention et ce, à mon plus grand bonheur. Il faut dire que Levi ne me lâchait pas d'une semelle et c'était parfait comme ça.
Nous avions par la suite contacté Hanji et Erwin afin de les rassurer, leur expliquant sobrement ce qui c'était passé sans pour autant entrer dans les détails. Hanji avait envie de trucider Jean et de le torturer durant un minimum de 24 heures alors qu'Erwin tentais tant bien que mal de la calmer, folle comme elle l'était.
Moins de deux mois plus tard, nous avions prévu de revenir au Québec pour y étudier. Décidant de revenir habiter chez mon oncle Hannes pendant que mon amoureux de son côté, reprenait son appartement qui n'avait pas encore été reloué, connaissant bien le propriétaire, Levi n'avait pas eu de difficulté à le convaincre de lui laisser.
Ainsi nous pûmes reprendre notre vie, vivant ensemble paisiblement sans jamais nous quitter.
Fin.
∞∞∞∞∞∞∞∞
Et voilà! C'est déjà la fin! Merci à tous d'avoir lu cette histoire! Je suis vraiment triste qu'elle soit terminée, mais ils ont grandement mérité leur happy end! Je suis désolé pour les fautes d'orthographes que vous aillez pu trouver XD c'est pas trop mon fort la correction :P
On se retrouve rapidement avec une autre fiction ne vous en faites pas! J'espère qu'elle saura aussi bien réussi que cette dernière!
À toute mes chéri(e)s ! ;)
Bạn đang đọc truyện trên: Truyen247.Pro