Chào các bạn! Vì nhiều lý do từ nay Truyen2U chính thức đổi tên là Truyen247.Pro. Mong các bạn tiếp tục ủng hộ truy cập tên miền mới này nhé! Mãi yêu... ♥

Cat Hunter

Cette traduction m'a un peu gonflé, alors j'espère qu'elle va vous plaire parce que moi, je suis contente de moi. Sur ce, bonne lecture !!! :)


Un filet de sueur perlait de mon front, je ne pris pas la peine de l'essuyer. Mes yeux me piquaient tandis que je regardais fixement l'écran de mon ordinateur depuis bien trop longtemps. Le bureau que j'avais loué était en désordre, des dossiers et des feuilles étaient empilés un peu partout, que ce soit sur mon bureau ou ailleurs. Mais mon esprit était concentré sur mon écran, l'observation, l'enregistrement, l'analyse de données.

Le taux de mortalité était exceptionnellement haut en ce moment dans la région, et je suis sûr que je n'étais pas le seul journaliste à m'y être intéressé. Finalement, je m'écartais de mon bureau, me penchant en arrière. Je pris la photo floue d'un homme. La photo était censée être prise par la victime.

J'ai remarqué récemment une similitude entre les photos des meurtriers. Elles étaient flous et souvent distordues, mais étonnement celle que j'avais devant moi était à peu près nette. Il y avait un homme dessus, en trench-coat brun, et on pouvait voir ses griffes sanglantes. Le marque était le plus terrifiant, mais je ne pouvais dire ce qu'il représentait clairement en raison de la forte quantité de sang dessus.

Mais si je me concentrais, je pouvais voir que le marque avait un air félin, même s'il ressemblait à un monstre. Beaucoup de tueurs sur mes photos avaient des masques. Souvent simples, mais l'un d'eux était si détaillé qu'on aurait dit le vrai visage du tueur.

Il y avait une autre similitude entre les deux tueurs, un sorte de symbole, un cercle barré d'une croix. Évidemment, je cherchais des informations sur ça, mais le peu que je trouvais était inutiles.

J'étais tellement concentré sur la photo que je ne remarquait même pas que le téléphone sonnait. Dès que je m'en rendis compte, je le pris et me mit à cafouiller, sans doutes parce que je le tenais mal :

"Bonjour, Steven Terri du Daily Herald, comment puisage vous aider ?"

Ma voix était un peu rauque, sans doutes à cause du manque de nourriture, et je me suis retenue de bailler quand j'entendis un voix féminine assez agitée à l'autre bout du fil.

"Uh, bonjour monsieur ? M. Terri ? Vous êtes bien journaliste, n'est-ce-pas ?

-Oui, que puis-je pour vous ?

-M. Terri, je pense avoir des informations pour vous, vous savez, sur tous ces meurtres--

-Les meurtres, dites-vous ?"

Un picotement d'excitation me parcouru.

"Venez me rencontrer dans mon bureau au Daily Herald, aujourd'hui, de préférence. Avez-vous besoin de l'adresse ?"

Elle marmonna et se racla la gorge.

"Non, je sais où c'est. J'arrive dans 15 minutes. J'ai juste appelé maintenant pour vois si il y avait quelqu'un, mais...

-Et bien, madame, il y a seulement moi et les rédacteurs en chef, mais merci de votre appel. Attendez, je n'ai pas votre-"

Je me suis tu en voyant qu'elle avait raccroché.

Je ne connaissais pas son nom, mais peu importait. J'espérais que ses informations me seraient utiles, et que je comprendrais pourquoi ils tuaient des gens innocents.

La femme arriva plus tôt que prévu. Maintenant qu'elle était face à moi, je trouvais qu'elle était assez jolie, cheveux roux et yeux bleus, mais je voyait une lueur d'angoisse dans ces derniers. Elle regardait souvent par dessus son épaule. Ses yeux s'élargirent quand je lui tendis ma main. Elle l'a secoué doucement, mais n'a rien dit. Aussi, je pris la parole :

"Quel es votre nom ?

-Je m'appelle Paulina."

Je ne lui demandais pas son nom de famille.

Elle m'a suivi dans mon bureau et s'est assise sur la chaise la plus proche de moi.

"M.Terri, je... je pense savoir où est l'un des tueur."

J'ai incliné la tête.

"Savez autre chose sur n'importe quel tueur ?

-Non, je crois juste savoir où est l'un d'eux. Est-ce-que... ça peut vous être utile ?"

Je soupirais les haussais les épaules. Je ne savais rien sur les autres, mais je pouvais me contenter d'un, au moins.

"Bien, où sont-ils ? À quoi ressemblent-ils ?"

"Ils...bien, il-il est dans cette zone. Je pense qu'il me suit, c'est pourquoi je vous ai contacté tout suite, après que vous avez mit cette annonce dans le journal.."

Je savais parfaitement de quoi elle parlait. Il y a une semaine, j'ai demandais à mon patron la permission de poster une annonce pour obtenir plus d'informations sur les tueurs.

"...et, et bien il porte un trench-coat et il...il "

Elle s'est arrêtée, elle semblait se rappeler de quelque chose.

"Il portait une sorte de... de marque de chat, mais je ne peux pas vous dire à quoi il ressemblait exactement, il faisait noir et;"

Je me suis levé et ai posé une main sur son épaule, ce qui aurait pu paraître déplacé dans des circonstances ordinaires.

Elle tremblait. Mais le pire de tout, c'est qu'elle semblait sur le point de crier, et elle regardait le couloir comme si elle s'attendait à voir quelqu'un en surgir.

"Paulina, s'il vous plaît, calmez-vous, tout va bien."

Et évidement, ce n'était pas le cas, car toutes les lumières des bureaux se sont brutalement éteintes. Paulina et moi étions proches de la porte d'entrée, donc on pouvait voir une petite lueur se refléter sur le verre de la porte, mais rien de plus. Le noir total.

J'entendais des cris perçants, aussi, pensant que c'était Paulina, je mis ma main devant sa bouche. Mais chose étrange, ce n'était pas elle.

Pau après, les cris perçants recommencèrent. Et je compris, trop tard, que c'était mes collègues, qui venaient du bout du couloir. Rapidement, je contournais le bureau et saisis mon téléphone que je donnais à Paulina pour qu'elle appelle la police et saisis une lampe torche.

J'espérais qu'elle n'ait pas l'idée de me suivre et me ruait dans le bâtiment principal.

Ce qui m'a frappé quand j'arrivais était d'abord l'odeur. Celle du sang. Franchement, je pensais que c'est la vue des cadavres qui me frapperait d'horreur, et non l'odeur. Qui devint plus insupportable lorsque je trébuchais sur le premier corps.

Son visage était en lambeaux, déchiré, et la plupart de ses organes avaient été retirés. Je laissais accidentellement tomber ma torche. Elle a roulé un peu avant de s'arrêter, et pendant une seconde, j'ai cru qu'elle avait heurté quelqu'un, mais personne. Je me sentais nauséeux, et après avoir vu le premier cadavre je ne voulais plus continuer, de peur de voir d'autres cadavres plus horribles. Et malheureusement, il y en avait.

Je n'ai même pas pris la peine de prendre la torche électrique à côté de l'organe mutilé et essayait de revenir d'où je venais.

C'était dur de voir tout ça, mes collègues, abattus comme des animaux. Bien sûr, je me sentais un peu parano, mais je ne savais qui pouvait avoir commit tout ça. J'avais lu articles après articles, sur des morts affreuses, mais je n'avais rien imaginé de tel.

Heureusement, j'entendis des sirènes de police, et je me ruais en trébuchant à l'extérieur, parce que je ne pouvais plus trop marcher normalement. Je fus escorté par 2 policiers qui me soutenaient.

Ils m'interrogèrent assez rapidement, tandis que d'autres fouillaient les bureaux.

Cependant, ils me laissèrent assez vite pour retourner aux bureaux. J'étais assis sur le trottoir, à côté de Paulina, qui semblait très différente de la première où je l'ai vue. Elle souriait un peu.

"Pourquoi souriez-vous ainsi Paulina ?"

Demandais-je, malgré l'augmentation de ma paranoïa. Elle m'a regardé en cessant de sourire.

"Il ne m'a pas eut..."

Elle a baissé les yeux sur le trottoir.

"Qui ne vous a pas eut ? Qui est-il ? Le connaissait-vous ?"

Elle n'a pas répondu. Paulina n'est pas normale, et elle devait sans doutes avoir quelques problèmes mentaux. Soupirant, je me suis levée.

"Paulina, voulez-vous que je vous raccompagne au motel ? Je pense savoir dans lequel vous vivez, c'est bien le seul à quelques kilomètres à la ronde."

Elle s'est levée et a incliné la tête. Nous marchâmes jusqu'au motel.

"Vous ne devriez pas voyager seule, Paulina, surtout en ce moment... celui qui a tué mes collègues ne devrait pas être loin."

C'est seulement 2 jours après ça que les meurtres ont commencé à pleuvoir à doigte, à gauche. Un homme a été retrouvé décapité à un bloc de mon bureau, une famille de 4 personne a été massacrée à 2 rues de chez moi. Je n'osais plus retourner à mon bureau depuis cet affreux incident. Je vis actuellement au motel, avec Paulina. Elle me rendait souvent visite, et je lui demandais souvent des choses sur les premiers meurtres.

Paulina était un témoin difficile. J'ai pensé qu'elle avait des informations utiles, mais la plupart n'étaient que du charabia. Elle ne faisait que rappeler ce que je savais déjà sur ce tueur ou ses compagnons. Si ce tueur a des compagnons- bien sûr, je n'ai aucune information là dessus, parce que Paulina ne se souvient pas. À coup sur, je sais qu'il y a de meilleurs témoins qu'elle, mais elle est la seule avec laquelle je travaillais.

Cependant, plus le temps passait, plus il y avait de morts, et j'ai commencé à mettre en doute la validité des informations de Paulina. Elle répétait des choses qu'elle avait déjà dites. En fait, dès qu'elle est apparue, le taux de mortalité a augmenté.

Paulina ne parlait qu'à moi, elle se montre peu coopérative avec la police, et bien sûr, je refuse de bosser avec la police moi-même. Ils sont idiots. Malgré cette similitude, Paulina ne me fait pas confiance. Et je ne peux m'empêcher de me demander : Pourquoi Paulina ne me dit rien ?

Je dois exposer les faits ; cette ville est connue, certes, mais pas particulièrement célèbre, avec très peu d'accès. Les citoyens ne sont ni vraiment riches, ni très pauvres, et le tueur vise des gens aléatoirement. Le meurtrier semble fou et avait une sorte d'obsession pour les chats, ce que l'on peut expliquer par son masque et sa manière de jouer avec ses victimes. Victimes qui finissaient horriblement déchiquetées.

Mais il y a une sorte de rapport entre Paulina et le tueur, dont elle refuse de me parler.

Quelle genre de rapport ? Eh bien, elle pourrait une ancienne victime ayant survécu. Membre de la famille ?

C'est un possibilité, quoique le meurtrier aurait pas mal de raison de la chasser. Mais il n'y a aucune preuve que le tueur chasse Paulina.

Et si elle... l'aidait ?

J'ai presque ri, car c'était une idée stupide. Mais tout de même un peu crédible. Je brossais mes dents quand j'y pensais, et je m'en suis presque moquée, mais je n'ai pas cherché plus loin. Peut-être était-ce à cause de ma paranoïa intense.

Je me suis mis dos à mon miroir en y réfléchissant.

Depuis que Paulina a répondu à mon annonce, le nombre de morts a augmenté en banlieue. Elle refuse de partager ses informations avec moi et il est évident qu'elle connaissait ce tueur. Et je dois admettre l'avoir suivi.

La première fois, c'était tard dans la nuit. Elle sortait d'un bar. J'étais caché dans l'ombre. Quand elle rentrait chez elle, elle croisa un cadavre. Je n'appelais pas la police : ça aurait ruiné ma couverture.

Et au lieu de fuir comme toute personne normale, elle a tourné la tête vers une figure dans l'obscurité, qui l'a effrayé. Je ne l'ai pas vu, malheureusement.

Paulina et l'étranger se sont regardés un moment, puis elle a passé son chemin.

La seconde fois, elle ne faisait que se promener? Nous n'avons rencontré aucun cadavre, mais je jure devant Dieu que quand elle est passée sous un réverbère, elle a croisé le tueur au masque de chat. J'ai examiné le masque attentivement. Et quand je me suis rendu compte qu'il me regardait directement, je me suis planqué là où j'ai pu.

C'était la dernière fois que j'ai voulu traquer Paulina, mais je devais l'affronter pour avoir la preuve qu'elle est du côté du tueur.

Je ne pouvais au motel, à cause des caméras de surveillance. Mon bureau... je ne veux pas y retourner de toutes manières. Le seul endroit où je pouvais, c'était à la forêt.

Après tout, en cas de problèmes, on ne l'entendrait pas crier, si elle ne se montrait pas assez coopérative. Je ne serais pas agressif avec elle, mais en cas de problèmes... eh bien je ne ferais que mon travail.

Je ne suis pas stupide, donc je lui demanderais de venir en plein jour. Elle était dans sa chambre quand je suis allée la voir. J'ai essayé d'inventer une bonne excuse

"Écoutez Paulina, j'ai reçu un appel anonyme... qui dit qu'il y a une preuve... dans les bois et je vous ai demandé de venir parce que.... ça pourrait peut-être nous aider à... coincé les tueurs...

-Et pourquoi je devrez venir avec vous ?"

Merde !!! J'avais oublié qu'elle ne me faisait pas confiance.

"Eh bien, Paulina, vous voyez, la preuve est..."

J'ai cherché quelques secondes avant de sortir.

"Vous savez, ce symbole, ce cercle avec cette croix au milieu ? Il a dit qu'il y en avait sur un arbre au centre de la forêt... peut-être que vous pourriez essayer de vous rappeler de quelque chose ?"

Paulina a pâli et est sortie dans le couloir en claquant la porte derrière elle. Je l'ai suivi, étonné.

"Attendez Paulina, savez-vous de quoi je parle ?"

Elle n'a pas répondu. Et je cessais de la harceler de questions durant le taxi. Quand nous sommes entrés dans la forêt, la lumière filtrait à travers les feuillages. Les feuilles mortes craquaient sous nos pieds.

Paulina et moi marchions au plus profond du calme de la forêt. Honnêtement, j'étais impatient de parler avec Paulina du nombre de cadavres que j'ai vu cette semaine. Et si quoique ce soit arrive à Paulina, ce ne sera pas de ma faute. Et de toutes façons, personne ne regrettera Paulina, n'est-ce-pas ?

Je me suis arrêté au milieu de la forêt. J'ai vu le visage de Paulina remplit de questions, et le choc quand elle a vu l'arme à feu que je tenais dans mes mains. Je sortis mon portefeuille de mon autre main, révélant mon insigne de police.

"Mlle Paulina, n'essayez pas de courir, cette arme est chargée et je n'hésiterais pas à tirer."

elle recula, de surprise, et trébucha dans ses pieds.

"Mademoiselle, je sues l'agent Neilson, agent secret ayant pour couverture l'identité d'un journaliste du Daily Herald. Vous refusez de me donner des infos. Je vous le répète, j'ai le droit de tirer et je le ferais, à moins que vous ne me répondiez, Mlle Paulina."

Elle me fixait, craintive. J'ai levé mon arme vers mon visage.

"Bien ?"

Ai-je exigé avant de me rendre compte que quelqu'un était derrière moi; je ne me suis pas retourné assez vite pour l'empêcher de cogner ma tête contre un arbre voisin.

Quand mes sens me sont revenus, j'avais un mal de tête perçant, et un douleur aigu au niveau du bras gauche. En ouvrant les yeux, malgré les points noirs qui me brouillaient la vue. Je savais qu'il ne faisait plus jour, en raison de la luminosité. À côté de moi, il y avait une torche électrique. J'ai fait un mouvement avec ma main gauche pour la saisir mais... je n'avais plus de main gauche.

En fait, je n'avais plus de bras, seulement un tronçon grossièrement bandé. J'ai retenu un cri perçant et saisis la torche avec la main qui me restait.

J'ai essaya de me lever, mais à cause de ma nausée et de mes jambes tremblantes. Mon bras coupé était appuyé contre un tronc d'arbre. Je me suis servi de cet appuie et essayais de marcher. Pendant mon long voyage dans cette forêt sombre et dense, je me suis rendu compte que je n'avais plus mon arme. Je suis étonné de ne pas avoir saigné, la personne qui a bandé mon bras n'est pas aussi maladroite que je le pensais. Il m'a frappé quand je marchais, Paulina et partie et je me maudissais de ne pas avoir pu arrivé aussi loin que je le voulais.

Cependant, mes malédictions disparurent pour laisser place à la paranoïa quand j'ai vu quelque chose se d"placer dans la nuit. J'ai appelé plusieurs fois, mais seul le silence m'a répondu. De plus ma priorité était de retrouver mon chemin dans cette forêt.

La lumière de ma torche commença à vaciller et quelque chose apparu un temps dans mon champs de vision. Je savais que quelque chose me suivait, mais aussi que c'était ce meurtrier qui faisait peigner la terreur en ville.

Ma paranoïa m'a contraint à courir, malgré ma faiblesse. Je savais que l'homme me poursuivait. D'une façon ou d'une autre, je savais qu'il pouvait me rattraper et me tuer facilement, mais au lieu de ça, il voulait jouer avec moi. J'étais tellement plongé dans mes pensées que j'avais oublié que j'avais perdu un bras, et que par conséquent, je trébuchait facilement. Et je finis par glisser sur quelque chose de doux et spongieux, me faisant atterrir durement sur mon torse. Je ne pouvais pas me relever à cause de mon bras. J'étais à bout de souffle.

J'étais couché, haletant sur le sol, et je sentais une sorte de malaise dans l'air quand une main a soudainement saisit ma jambe. Immédiatement, je sentais une première douleur semblable à un tir dans ma jambe. Je savais que c'était les "griffes" du tueur. Je ne pouvais pas respirer correctement et la sueur perlait sur mon visage. Le tueur devait vouloir m'entendre crier, car il commença à tailler ma jambe comme un bout de bois, pour la détacher.

Pendant une seconde, ma vision se brouilla et un cri perçant traversa la forêt. Le mien, mais je souffrais trop pour y penser.

Je ne sais pas quand ça s'est arrêté, mais je fus réveillé par la lumière d'une lampe torche. J'étais couché sur le ventre et j'ai saisi la torche pour en détourner la lumière. Je me suis péniblement retourné, tremblant de crainte. Je savais qu'il m'avait retiré la jambe, mais je refusais de voir mon membre coupé.

Et cette fois, je ne vis que la souche de ma jambe saignant abondamment. Et je vis quelque chose d'autre dans cette mare de sang. Je ne pouvais dire ce que c'était, mais ça ressemblait à une langue rose. La mienne

Je sentais une place vide à la place de ma langue, et cette douleur que je ressentais me fit oublier celle de mes autres membres coupés. Je m'affaissais, laissant la torche glisser de ma main. Je savais que j'allais mourir. J'ai entendu un son face à moi et j'ai faiblement penché la tête. C'était le tueur. Son masque félin montrant ses dents sanglantes semblait rire de moi. Il était assis loin de moi, mais commença à ramper vers moi. J'étais la souris, et il était le chat qui me chassait.

Paulina n'a pas su comment elle a fait pour sortir de cette forêt sanglante . Elle regardait derrière elle, entrevoyant le masque de chat sanglant avant qu'il ne disparaisse. Paulina cligna plusieurs fois des yeux mais ne voulait pas le voir de nouveau. Elle est tombée à genoux et s'est mise à pleurer, incapable de parler, le masque de chat gravé dans sa mémoire.

Bạn đang đọc truyện trên: Truyen247.Pro

Tags: #creepypasta