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Cap Ou Pas Cap? - Chapitre 27

Bonjour à tous!! Voici un chapitre particulier de cette chronique. En effet, il raconte en bref la rencontre entre Pharell et Abygaël. Pour changer, ici, c'est le point de vue de Pharell qui est adopté! :D 

Attendez-vous à du changement et à redécouvrir ces deux personnages d'une façon très différente... rahhhh l'adolescence... c'est toujours une période de décadence. 


Ce passage est nécessaire pour la suite de l'histoire, et peut-être que... je creuserai un peu plus le sujet de leurs début... disons... dans un autre projet ;) Oups, je ne vous en dis pas plus ;) Love. Atlance 

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CHAPITRE 27

La soirée battait son plein alors que la musique électro et l'alcool rythmait les jeunes adolescents qui dansaient et s'amusaient. Mais je n'en avais rien à foutre. On m'avait traîné ici presque de force avec des potes pour draguer et s'amuser. Ce genre de chose ne m'intéressait pas. Si je voulais une fille, avec ma teinture brune et mes yeux noisette, je n'avais qu'à claquer des doigts et la chopper sans vergogne.

Je m'ennuyais à cette soirée. Il était presque 2h du matin, la ramener chez mes parents pour me la faire et la dégager avant d'aller en cours à 8h ne me donnait pas envie. Et nous étions vendredi, peut-être le ferais-je demain soir.

Passant mon regard sur plusieurs minettes pour la plupart se déhanchant sur de la musique, je ne remarquais pas grand-chose d'intéressant. Certaines étaient mon type, mais sans plus, j'avais encore assez de lucidité pour m'apercevoir que ce n'était qu'une coque, et qu'au vue de leur comportement, ce ne serait pas vraiment baiser mais plus du viol que de coucher avec elle alors qu'elles étaient défoncées. Il n'y a qu'une brune qui attira mon regard, et elle semblait s'ennuyer encore plus que moi, affalée sur une des banquettes, à un endroit où l'alcool n'avait pas encore rendu le tissu poisseux, elle avait dégainé un bouquin pour faire abstraction de son environnement. Depuis quand venait-on en boîte pour lire ? A 2h du matin surtout ! Ce serait elle, ma proie de ce soir.

- Alors ? Tu te fais chier ? L'interpellais-je alors que je rebondissais sans pitié à côté d'elle.

Brune, les cheveux coupés en un carré long avec des joues rosies par la chaleur de la salle et une petite bouche pulpeuse mais pas trop. En fait, elle était jolie, dans ce petit style intello mais pas trop. Son regard sévère sembla me scruter un long moment tandis que je la fixais avec un sourire d'imbécile.

- Qu'est-ce que tu me veux ? Dit-elle avant de se replonger dans sa lecture passionnante.

Je me penchais pour voir ce qui pouvait l'intéresser plus qu'un bel homme tel que moi, « Le parfum », hn, ce livre où le tueur finit bouffé par ces futures potentielles victimes... Sans blague.

Je rectifiais, intello endurcie. Il ne lui manquait que les petites lunettes et ce petit tic de les remonter d'un doigt sans arrêt.

Je soupirais et m'installait un peu plus confortablement avant de passer un bras par-dessus son épaule, en gros beauf.

- Et toi, qu'est-ce que tu veux de moi ?

- La paix.

Ok, plus directe tu meurs.

- Nan sérieux. Tu ne voudrais pas qu'on aille s'amuser un peu, tu me sembles coincée...

- Coincée ici tu veux dire ?

Elle humecta son index et changea de page dans sa lecture. Au même moment un gars s'approcha de nous et posa sa main sur mon épaule pour me dégager. L'instant suivant j'étais par terre, ne comprenant pas trop et surplombé par une brute bien carré.

La fille s'était levé, délaissant soudain son livre nul à chier et tenait le bras du type avec fermeté, à deux mains.

- Laisse-le, il n'a rien fait.

- Il t'embêtait.

Ils se connaissaient, ok.

- Nan, enfin pas encore... T'inquiète ça va aller.

- Dégage, Dit le grand type qui semblait avoir bu, mais qui ne semblait pas très euphorique.

Je me levais sans demander mon reste, il ne manquait plus que je me fasse sortir de la boîte à cause d'un type qui ne veut pas que l'on s'approche d'une nana.

Je sortais dehors et m'accroupissais dans un endroit tranquille et éclairé et sortais presque aussitôt mon petit sachet de poudre. Ouais... j'étais un petit toxico accros, sans grande ambition et encore au lycée, en première pour être exact. Les os bien solides et entourés de muscles dont je me servais volontiers à mon avantage pour draguer. La cocaïne était pour moi un moyen de devenir – l'espace d'un moment – quelqu'un d'autre. Pas glorieux, mais c'était mieux que de s'inventer une vie. Et puis, je ne dérangeais personne. Mon argent, ma cocaïne, mes emmerdes.

J'en déposais une petit dose sur le dos de la main et m'apprêtait à la sniffer quand la même fille, celle qui m'avait presque value des emmerdes se posa en faisant claquer son livre à côté de moi. Et comme un con je sursautais. Ma précieuse poudre s'étala au sol dans une pluie fine et sous mon regard médusé.

- Ohhh ! Sombre cruche, qu'est-ce que tu fous !

- Abygaël. Je préfère un vrai nom à un « cruche » ou « coincée ».

Elle me tendait la main, avec un sourire que je n'avais pas encore vu jusque-là mais qui lui changeait la face radicalement. Je bloquais dessus et sur elle, elle me faisait quoi là au juste ?!

- T'as vraiment cru que j'allais faire connaissance alors que tu es coincée du cul, surprotégée par un chien brutal et que tu as fait voler mon sucre ?

- hnn... ouais ! Répondit-elle avec enthousisme.

Elle hocha la tête et souris encore plus.

- Et je ne suis pas coincée, juste dans mon monde, comme toi.

- Quoi ?

- Bah ouais ? Tu te shootes, mais tu es bien lucide, enfin... très lucide pour quelqu'un qui est en boîte et pour l'heure qu'il est. Un peu comme...

- Comme toi ? Sûrement pas ! Rétorquais-je.

Elle haussa les épaules et prit quelques secondes pour reprendre sa page tranquillement. Quoi ? Continuer à lire, maintenant ?

- Putain ! Quand je te dis que tu es coincée !

- C'est faux. La preuve, je t'ai rejoint. Dit-elle, les yeux baissés et s'agitant avec rythme en dévalant les lignes.

- Ce n'est pas ce genre de preuves que j'attendais...

Elle leva les yeux vers moi, fit claquer avec force son livre et soupira. Alors que je regardais son livre qui cette fois ne m'avait pas fait peur, elle s'était rapprochée et d'une main souple avait soulevé mon menton furtivement en venant m'embrasser. J'en restais pantois. A quoi jouait-elle ? Et alors que le baiser s'arrêtait, elle revint à la charge, une main campée sur ma joue et sa langue caressant mes lèvres. Dire qu'elle était coincée après ça n'était plus vraiment permis. Mais j'étais curieux de savoir jusqu'où elle pouvait aller. Je posais mon précieux sachet dans mon dos et venais ensuite passer moi aussi une main sur sa joue puis derrière sa nuque. Elle mit fin à tout, et son regard narquois me scruta tandis que je me m'écartais comme elle. Son pouce caressa encore un petit peu ma joue et elle fit tout d'un coup une mine désolée.

- Je suis désolée, j'ai perdu un pari et j'ai dû embrasser un garçon. Mais pour me faire pardonner, je t'accorde un gage.

Je me bloquais encore une fois. Décidément ! Que venait-elle de dire ? J'avais été piégé ? Par une nana qui venait de me rouler un patin sans le moindre scrupule. Cette fille me plaisait, son tempérament immédiat m'attirait. Et même si j'étais furieux intérieurement qu'elle m'ait roulé ainsi, j'avais envie de jouer.

Je lui souris largement.

- Très bien. Viens chez moi.

Elle sembla un peu plus gênée et ouvrit la bouche de surprise avant de la refermer et de se pincer la lèvre.

- C'est ton seul souhait ?

Je hochais la tête.

- Sûr ? Demanda-t-elle.

- Oui, tant que l'autre brute ne me fais une tête au carré.

- Oh ? Mike, il est juste un peu jaloux, l'embrasser lui, que je connais, ce n'est pas toi... enfin...

- Pharell.

Elle continuait à sourire. Et elle reprit, me baisant un peu plus, la garce.

- D'accord, comme tu n'as pas dit ce que tu voulais faire, je viens chez toi pour finir ma nuit et papoter sans alcool... ni drogue.

Je la regardais avec surprise, elle m'avait bien eut, comment pouvait-elle dire oui à mon invitation ? Bon, je hochais la tête, il y aurait peut-être moyen de faire un peu plus que dormir...

- Ok, viens.

Je n'aurais pas su dire pourquoi je m'étais embarqué la-dedans, elle était différente et alors que nous arrivions chez mes parents, je doutais qu'il puisse se passer quoi que ce soit entre nous. Elle parlait beaucoup et était enthousiaste, même pour l'heure qu'il était. Je pense qu'il m'aurait fallu une dose pour pouvoir tenir encore toute une journée ensuite.

Je la guidais vers ma chambre, pas trop en bordel, mais en même temps, aux alentours de 3h du matin, qui prêtait attention à quelques fringues par terre ?

- Tu comptais sniffer ce soir ? Me dit-elle en entrant et en enlevant ces converses.

- Ouais...

Je balançais ma veste sur mon bureau et m'affalais sur mon lit. Elle s'assit poliment et je retrouvais un brin de blocage dans ces gestes.

- Et toi, tu comptais gagner un pari ?

J'étais quelque peu renfrogné, elle m'avait bien eu.

- Entre autre, mais je m'ennuyais vraiment... Tu sais que ce n'est pas bien ?

Nous y voilà, à cette éternelle question que le médecin m'avait dit, que mes potes m'avaient dit, que mes parents m'avaient dit... Qu'est-ce que ça pouvait leur foutre sérieux !?

- Je ne t'autorise pas à me faire la morale, je fais ce que je veux.

Elle hocha les épaules et je vis passer dans son regard une once de malice.

- D'accord, mais tu as vu la tête que tu as ? Que dirais-tu que l'on devienne ami ?

J'arquais un sourcil sans trop comprendre. Elle était vraiment simple et spontanée. Et quoi ma tête ? Juste la tête d'un type qui est fatigué. Elle enchaîna :

- Et tu sais que nous sommes dans le même lycée ? Que je t'ai déjà vu fumer devant l'établissement ?

J'étais à nouveau surpris. Comment savait-elle tout cela ? Bon, si nous étions dans le même lycée, c'était assez cohérent. Mais pourquoi ne l'avais-je encore jamais vue ? Elle se pencha vers moi avec le même petit sourire que plus tôt et posa une nouvelle fois sa main sur ma joue. Son pouce caressa ma peau et elle me détailla du regard.

- Tes yeux sont cernés, tu ne dors pas bien, le stress ? Ta mâchoire osseuse montre une perte de poids importante bien que tu sois pas mal en muscles... Tu consommes depuis longtemps non ?

Jamais personne ne s'était permis de me faire une inspection pareille. Ma mère n'avait jamais pris le soin de faire ce qu'elle venait de faire, et sa main était chaude, bon sang, qu'est-ce qu'elle me faisait ?! Je restais muet et hochais simplement la tête pour lui confirmer que oui, mes deux années en tant que consommateurs de cocaïne pouvaient être considérées comme longues. Son regard s'adoucit. Pourquoi ne pouvais-je pas me pencher aussi sur elle et l'embrasser pour me la faire ? Elle n'était pas comme les autres. Juste une amie ?

- Tu as fait des études de médecine ou quoi ?

- L'un de mes cousins s'est retrouvé dépendant à cette merde, il ne s'en est pas sorti, pas assez d'argent, une envie trop dévorante et un règlement de compte poussé trop loin... Sois gentil, ne finit pas pareil.

Il était mort à cause de ça ? J'en étais pas à son stade c'est sûr ! Et je ne finirais pas comme ça. Je lui tendais soudain la main.

- Ok, soyons amis.

Elle me la tendit aussi et je la serrais avec franchise, pas le même genre de franchise qu'entre mec, mais tout de même. Elle me fit un nouveau sourire radieux et se recula. Je n'avais pas fait attention au fait qu'elle avait été aussi prêt pendant autant de temps.

Nous avons ensuite parlés pendant tellement de temps que c'est son portable – et plus particulièrement son alarme – qui sonna les 7h. Ce devait être l'heure à laquelle elle se levait, elle ronchonna, allongée sur mon lit à regarder le plafond et l'éteignit machinalement avant de se relever.

- Bon, vendredi matin, 7h... dernière journée de cours avant le week-end, aller on se motive ! Et peut-être nous verrons-nous au lycée maintenant que tu sais que j'y suis.

Elle se pencha sur moi – dormant presque – respirant très tranquillement et me flanqua une bise sur la joue si forte que je m'en retrouvais très bien réveillé. L'instant d'après, elle était au-dessus de mon bureau à farfouiller pour un papier et un crayon et y noter son numéro de téléphone avant de disparaitre comme elle était apparue.

* * *

Le problème dans les lycées, c'est que tu penses connaître tout le monde, et en même temps personne, tellement il y a du monde. Quand tu cherches quelqu'un, tu ne le trouves pas (à noter que cela fonctionne aussi pour les objets) et quand tu n'y prêtes pas attention, tu les retrouves ou tu les vois partout.

C'est ce qu'il s'est passé avec Abygaël. Le lundi suivant, trop fatigué de vendredi d'avant, je l'avais cherché pendant un moment, scrutant la foule des étudiants. Mais rien. Alors qu'une semaine plus tard, quand je m'étais mis dans la tête que je ne la verrais plus, elle était apparue devant moi avec ce même grand sourire, dans un style que je reconnaissais bien comme celui de la filière littéraire ; bottes dans le style gothique, slim noir mat avec une grande chemise style bucheron rouge, ces cheveux teintés aux pointes à la craie chalk lui donnait un petit tempérament de feu dans les tons rouges et oranges. Et son t-shirt, sous sa chemise affichait un panneau d'interdiction avec le dicton « Tu veux t'y brûler ? ». J'adorais.

- Hey ! Fit-elle avec cet entrain légendaire.

- Hey ! J'ai bien cru ne jamais te revoir !

Elle fit la moue et tira la langue.

- Je t'ai manqué, parlé et non pas baiser est-il plus addictif ?

- Premièrement, tu sais ce à quoi je suis accro, et secondement je pense que... je vais me brûler à trop t'approcher, hein.

Elle rit et alors que mes potes arrivaient et je lui fis signe avec ma main en mimant un téléphone. Elle hocha la tête et mima de serres avec ces doigts tandis que j'éclatais de rire et repartais. Elle était folle !

* * *

J'étais en état de choc, du sang plein les mains et le rythme cardiaque faisant un boucan pas possible dans mes tympans. Deux de mes potes étaient inconscients à terre, tabassés allègrement par une autre bande en sortie de boîte. Je m'étais battu, comme un dingue et avait fini par m'en sortir mais voilà... j'y avais laissé des plumes.

Pour une histoire de tunes !

Un mec était arrivé à notre table, alors qu'on était tranquille avec les copains et avait demandé avec insistance si nous n'avions rien à lui vendre. Il savait de quoi il parlait et il savait que nous en avions. Mais comment ? Jim, notre meneur, l'avait remballé en lui disant que nous n'avions rien sur nous. Ce qui était vrai. Le mec avait insisté un peu plus, mais que voulez-vous, on avait rien, point barre !

Ce connard et ces potes ont finis par nous chopper à la sortie de la boîte, un peu plus loin dans le parking, le genre d'endroit où l'on ne voit pas grand-chose... et où les vigiles se fichent pas mal de ce qu'il s'y passe. Ils nous avaient tabassés pour nous fouiller. Marc, un autre de mes potes nous avait menti, allez savoir pourquoi, il avait plusieurs doses sur lui, à écouler pour de la tune et s'amusait à les écouler dans les soirées en toute discrétion. L'autre bande nous avait captés...

J'avais mal partout, je me demandais ce qu'il m'avait pris, je m'étais lancé dans la bagarre sans faire gaffe. Je baissais à présent les yeux sur mes mains rougies par le sang de certains mecs à terre eux aussi. Je ne leur avais pas fait autant mal qu'eux à mes potes mais je n'y avais pas été de main morte. Je tâchais mon portable pour appeler Abygaël. Elle décrocha aussitôt malgré l'heure. Espèce de somnambule !

- Qu'est-ce que tu me veux l'enclume ? Fit-elle avec une petite voix.

- Aby'... vient me chercher...

- Ah non ! Rétorqua-t-elle. Tu as voulu aller en boîte, tu assumes ! Je ne serais pas ton chauffeur.

- Je pense que je vais devoir aller à l'hôpital, Marc à fait...

- Quoi ? Hurla-t-elle presque dans mes tympans au point que je reculais mon portable. Qu'est-ce qu'il y a ? Il t'est arrivé quoi ?!

- Viens...

J'entendis un branle-bas de combat de sons indescriptibles et de froissements avant qu'elle ne raccroche. Je laissais tomber mon bras et mon portable, vraiment à bout de force.

Elle arriva dans le quart d'heure qui suivit, ou peut-être plus, je ne sais pas trop dans quel état de conscience j'étais et je ne sais pas non plus comment elle a fait pour me trouver mais elle me giflait régulièrement alors que je le voyais par intermittence en ouvrant les yeux. Quelle idiote, je lui rendrais ces baffes au centuples quand ça ira mieux... oui, pas avant.

Je m'étais réveillé à l'hôpital, comme je le pensais bien, dans une chambre simple aux tons mornes et froids. Elle n'était pas là, et oui, elle me manquait déjà. Plusieurs côtes partagées entre cassées et fêlées se battaient en duel sous un bandage autours de mon torse, beaucoup d'ecchymoses me donnait des reflets marbrés et ma lèvre fendue me faisait souffrir dès que j'osais sourire.

Il y eut un nouveau sourire sur mon visage quand elle passa la porte et me cogna l'épaule. Ah ? Trois jours déjà que j'étais là ? Bon ok, je l'avais mérité...

- Tête de nœud, t'es fier de toi ? Bougonna-t-elle en venant toucher mes cheveux ébouriffés.

Je ronchonnais à mon tour.

- Faisons un pari, tous les deux, une sorte de fil rouge dans notre amitié.

Je levais un sourcil, intrigué. Qu'allait-elle encore me sortir ?

- Pharell, cap ou pas cap d'arrêter de consommer, définitivement ?

Je ris un peu comme je pus, vite rappelé à l'ordre par mes côtes et ma fichue lèvre. Elle était folle, mais elle aimait jouer.

- T'es dingue !

- Et toi presque mort...

Je me souvenais avec violence qu'elle avait déjà vécue ce genre de situation, je détournais le regard et baissais la tête. Bien, j'avais compris. Je pouvais toujours essayer, de toute façon, je n'avais plus vraiment envie d'y toucher pour le moment. C'était l'occasion de tenter.

- Ok, faisons ça.

- Tu dois dire « Cap ! ».

Je ronchonnais encore. Et elle eut un demi-sourire.

- Ok. Cap ! 


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Alors? *big smile*

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