Cap ou pas Cap? - chapitre 15.5 Extra
CHAPITRE 15.5 Extra
ATTENTION !!
Ce chapitre contient des propos et des actions pouvant choquer les plus jeunes. Il contient – comme on dit dans le jargon des chroniques et fictions – un LEMON, une scène de rating M .
Ce chapitre n'est pas obligatoire pour suivre l'histoire, vous pouvez donc – si vous le souhaitez – passer directement au CHAPITRE 16 !
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Allongée sur le lit par ces soins, je sentais déjà la fièvre s'emparer de mon corps. Il me surplombait, sa chemise déboutonnée et laissant à ma vue son torse musclé. Avec un peu d'hésitation, je me décidais à venir caresser sa peau, passant de ces pectoraux à ces abdominaux, fins et drôlement bien dessinés. Jamais je ne me serais douté qu'une telle musculature ce serait caché sous ces vêtements. Il était... plein de surprise. Mes mains, et surtout le bout de ces doigts, continuaient leur voyage jusque dans son dos, prenant bien soin de passer sur ces côtes, le faisant gigoter. Il se pencha de sorte à rapprocher nos corps, sans m'oppresser. En réalité, à ce moment, je n'aurais pas dit non à ce qu'il m'oppresse. Il était bouillant. Le genre de chaleur que l'on se plaît à toucher, celle qui nous brûlerait presque mais qui nous attire.
La sensation de chatouille exquise que produisait sa main sur mes côtes alors que l'autre me tenait presque le menton pour m'embrasser me fit penser que je ne pourrais en effet rien faire de plus que succomber. Ces lèvres arrivèrent aux abords des miennes et je m'apprêtais à en saisir une d'une douce morsure lorsqu'il bifurqua vers mon cou, me le faisant arquer avec sa main. Je gémis presque quand il mordit la peau tendre sous mon oreille et descendit tout le long de mon cou avec sa langue.
Son autre main avait rejoint mon sein, mit à l'air libre, et faisait rouler mon téton entre son index et son pouce. Supporter une pareille torture ne me dérangeait pas. Bien au contraire.
- Excuses-moi si je suis si entreprenant, Souffla-t-il tout près de mon cou.
Je me figeais presque et le ramenais d'une main vers le haut pour qu'il me regarde.
- Où est le problème ? Il n'y en a pas. Ce n'est pas ... important... Pardon je me perds dans mes propres mots.
Puis je reprenais ces lèvres pour l'embrasser. Il ne fallait pas se poser trop de question. Il hésitait peut-être vis-à-vis aussi de cette histoire.
Je pris le relais, et me redressais en même temps que lui, surprit, avant de faire glisser sa chemise sur ces épaules et ces bras, eux aussi musclés. Le repoussant ensuite en arrière, il eut la surprise de me retrouver à venir m'asseoir à califourchon sur lui. Il tangua à droite et à gauche pour étendre ces jambes et se mettre assit alors que je le repoussais encore vers l'arrière.
Mon dos était arqué au-dessus de lui et ces mains venant jouer dans le creux de mes reins m'empêchaient presque de me concentrer pour l'embrasser. Je luttais aussi au passage pour ne lâcher aucune plainte. Ma main droite vint trouver la sienne et entrelaça mes doigts au siens. Je la lui relevais au-dessus de la tête pour qu'il me laisse un minimum de répit. Ces doigts serrèrent ensuite les miens tandis que je descendais sans vergogne lui mordre à mon tour le cou. Ma langue s'acharna aussi sur son lobe droit et chacun de mes mouvements humides le faisait tressaillir. Avais-je trouvé un point sensible ?
J'en souriais mesquinement et triomphante je continuais mon œuvre. Il me vaincu en attrapant la lisière de mon pantalon, au bas de mes reins et en tirant dessus avec force, me forçant à basculer sur le côté. Puis, reprenant le dessus, il plongea sur mes seins, ces lèvres taquinant l'un et l'autre attaqué de milles douceurs par sa main. Je me tendais et lui offrait volontiers ma poitrine et ma peau frêle et trépignante en bombant ma cage thoracique. Je ne vis pas son autre main s'affairer sur le bouton de mon jean et glisser entre celui-ci et ma culotte. La décharge qu'il me procura sous la surprise me fit lâcher un gémissement opportun, dont j'arrêtais de suite le bruit en me pinçant les lèvres et en couvrant ma bouche d'une main.
Son regard remonta vers mon visage, lui aussi avait le feu aux joues et il fit en sorte que je découvre ma bouche. Il me lança le regard qui allait avec et je sentais soudain mes joues s'empourprer d'avantages.
Ensuite, comme si de rien n'était, il fila en direction de mes seins, sensiblement, excités et pointant avec fermeté pour en gober l'un des tétons. Je ne voyais rien, mais je sentais sa langue s'activer avec ferveur dessus. Son autre main, plus bas, s'activait elle aussi plus doucement sur ma culotte. Je me sentais chavirer et m'impatienter.
Sa boucle de ceinture y passa et s'écrasa sur le parquet de ma chambre avec un cliquetis de fer. Son bouton de pantalon vola aussi et je glissais ma main sans réfléchir entre le tissu de jean et celui de son boxer. Je comprenais aussi soudain son désir, bosselé sous mes doigts. Il en frémit une nouvelle fois. Son membre palpita contre mes doigts, trop à l'étroit maintenant qu'il était réveillé.
J'arrêtais soudain sa main et le regardais avec un regard brillant, brûlant. L'instant d'après je faisais glisser son jean par-dessus ces fesses et il se releva pour s'en débarrasser en même temps que je me tortillais pour envoyer le mien aux oubliettes ! Moi assise sur le lit, en sous-vêtements et lui debout en caleçon devant moi, nous nous trouvions gênés. C'était si soudain !
Il me sourit et ne chercha plus à cacher ces joues rouges. C'était impressionnant à quel point il pouvait passer de Bastian-le-séducteur à Bastian-le-timide. Revenant auprès de moi, il me fit m'allonger sur le lit en venant se coller contre moi et m'embrassa à nouveau. Il était redevenu doux, presque penaud et inexpérimenté. Peut-être l'avais-je troublé dans son élan ?
Pas du tout à priori car la bosse proéminente de son boxer était plaquée contre ma cuisse et sa main glissait cette fois sous ma culotte. Ils étaient froid – ces doigts habitués aux claviers d'ordinateurs, agile et fins – et me procuraient une plus qu'agréable sensation. Je gémis contre ces lèvres et décidais de me laisser aller à ces attentions. L'un de ces bras me tenait près de lui en m'enserrant dans le dos et j'aimais tout particulièrement cette idée de ne plus me défaire de sa peau devenue brûlante.
Ma culotte glissa de mes jambes un court instant plus tard, alors que j'avais encore gémit à cause de lui et le claquement de son élastique de boxer m'indiqua que lui aussi, avait libéré son intimité. J'entrais en action et glissais ma main jusqu'à sa verge. Mes doigts ricochèrent dessus en la trouvant et se refermèrent autours. Brûlante et tendue, voilà ce qu'elle était. Il en grogna presque, serrant tout d'un coup ces lèvres contre les miennes. J'en frémis et bougeais lentement ma main sur ce membre quémandeur. Il bougea à son tour, pour venir me mordre dans le cou, un peu plus férocement que plus tôt, me tirant un léger cri de surprise et sans me lâcher il introduisit un doigts en mon sein. Je me tendais et arquais le dos.
Je fus tout à coup gênée. Il glissait en moi avec une telle facilité que je m'apercevais enfin de l'effet qu'il avait produit sur mon corps. Je me pinçais les lèvres pour me taire un maximum. Comment dire... ? C'était exquis. Il me fit tout oublier.
Son corps entre mes jambes et le deuxième doigt qui avait rejoint le premier avaient eus raison de mon plaisir. Je gémissais maintenant à chacun de ces mouvements. J'haletais alors qu'il prenait la peine de s'arrêter et de me permettre de reprendre mon souffle. Il se pencha sur moi et le contraste entre ces lèvres chaudes sur les miennes et son gland pressant mon entrée me fit frissonner. Je l'attirais à moi en passant un bras par-dessus son épaule et en posant une main sur sa joue. L'une de ces mains, à lui, empoigna ma hanche et l'autre lui servant à se maintenir au-dessus de moi pour m'observer, Bastian poussa sur son bassin pour me pénétrer. J'en lâchais ces lèvres et rejetais la tête en arrière tandis qu'il me remplissait allègrement jusqu'à la garde. Facilement et avec une facilité déconcertante. Il gronda aussi et s'attaqua à ma mâchoire pour occuper ces lèvres. Elles menaçaient aussi de libérer un son dû au plaisir.
Bastian actionna ensuite ces hanches pour qu'elles me fendent lentement les entrailles de façon divinement agréable. Je ne fus plus que soupirs, gémissements et spasmes. Il passait son temps à caresser mes cuisses, mes côtes et mes seins d'une main alors que son regard me détaillait. Parfois il enfouissait son visage dans mon cou où je pouvais sentir sa respiration saccadée et défaite. Il ne tarda pas à siffler, sentant la fin approcher à cause du trop-plein de plaisir. Pour ma part, je vacillais déjà. Il accéléra ces mouvements en me demandant de venir avec lui au creux de mon oreille. Aucun problème ! D'une dernière forte poussée, qui fit s'agiter mes seins et gémir de plaisir, je le suivis dans ce tumulte de plaisir intense et sauvagement libéré. Il émit un son rauque en planquant ces lèvres dans mon cou et je laissais ma voix se casser en exprimant mon plaisir.
Quelques instants plus tard, il roula sur le côté et m'attira contre lui, pour que je ne le quitte pas. Je posais ma tête sur son torse et le laissais me caresser amoureusement le dos.
- Je te l'ai dit, je t'aime. Murmura-t-il après un moment, une fois que son souffle redevint calme.
- Je t'aime aussi Bastian...
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Holà!!
Alors qu'en pensez-vous? :D
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