Chào các bạn! Vì nhiều lý do từ nay Truyen2U chính thức đổi tên là Truyen247.Pro. Mong các bạn tiếp tục ủng hộ truy cập tên miền mới này nhé! Mãi yêu... ♥

Chapitre 11

« Dans la vie on ne regrette que ce qu'on n'a pas fait », Jean Cocteau.

La journée semblait sans fin à Sirius. Il était rentré à pas lourds chez lui, s'accablant de reproche, anxieux. Cassiopée recevrait la lettre et en quelques secondes seulement, elle apprendrait la mort de Valentin et la supercherie dont elle avait été la victime et lui le malfaiteur. Il se sentait étouffer sous sa mauvaise conscience et une fois chez lui, il s'était affalé sur son lit minable, la tête entre les mains. Il devait la vérité à la jeune femme, toute la vérité et bien plus encore. Mais s'il lui révélait qu'il était l'auteur de cette lettre, qu'elle apprenait qu'il était non seulement l'auteur des prétendus lettres de Valentin et qu'en plus il fantasmait sur son corps comme un adolescent en rut, elle le haïrait.

La bête poussa un gémissement guttural.

Sirius serra les dents.

Peut-être était-ce mieux qu'elle le haïsse. Qu'elle l'envoie au diable. Il était dangereux, après tout. A moitié bête sauvage, à moitié survivant de guerre. Un monstre, en somme, mais un monstre qui semblait incapable de la laisser tranquille. Cassiopée était son obsession : il rêvait d'elle, la voyait derrière ses yeux fermés, avait le désir constant de la voir, de la toucher, de la sentir. Sirius se sentait ridicule et stupide et gagnait peu à peu l'impression d'aimer la jeune femme.

Mais l'amour était un sentiment dangereux. Ridiculement dangereux. Et inutile dans un monde dominé par la violence. Sirius ferma les yeux, un sentiment de nausée lui retournant l'estomac. Il les avait vus, les gars qui aimaient, il les avaient vus sur le champ de bataille avec leurs petites lettres aux odeurs de parfums, aux photos de femmes, aux bagues dorés aux doigts. Il les avaient vus dans leurs uniformes sales comme celle des autres, avec la peur aux ventres et du sang dans les cheveux et collé pour toujours à leurs doigts comme les autres. Il les avait vus crevés, mourir avec un air de surprise sur le visage, comme s'ils avaient cru que l'amour les protègerait. Qu'ils ne feraient pas partie de la ribambelle de cadavres qui s'entassaient un peu plus chaque jour. L'amour les avait rendus aveugles et naïfs mais ne les avaient pas sauvé. Il les avaient vus coucher avec d'autres hommes lorsque la solitude les étouffait, tandis que des larmes de honte et de désespoir avaient roulé de leurs yeux lorsqu'ils se rendaient compte que ce n'était pas leur femme qu'ils avaient sous leurs mains sales. Et puis avant, avant tout ça, Sirius avait vu les hommes du château, les duels, les bagarres. Les femmes qui trahissaient leurs maris, les maris qui trahissaient leurs femmes.

L'amour n'était pas quelque chose de beau.

L'Innocent n'en était que la meilleure preuve : un lieu où l'amour pouvait même s'acheter pour une nuit. Sirius se frotta le visage et finit par se relever à pas lourds de son lit. En rentrant, il avait acheté une bouteille de vin. D'une main instable, il ouvrit la bouteille et avala une large gorgée. L'alcool lui brûla la gorge, de la plus agréable des façons. Le jeune homme continua à boire, jusqu'à perdre le contrôle de ses pensées : jusqu'à sombrer dans un brouillard cotonneux d'ivresse. Il tituba un peu et mis s'approcha de la boîte à bijoux de sa mère. Il l'avait presque vidé. Il ne restait plus que deux colliers, quelques bagues, une broche et un médaillon. Ce fut le médaillon qui attira l'attention de Sirius : c'était celui que sa mère portait constamment, posé contre sa poitrine. Il le prit entre ses doigts tremblants, et brusquement, il sentit une petite encoche sur le côté droit qu'il n'avait jamais remarqué. Il déglutit, et lentement, appuya. Le médaillon s'ouvrit.

Les lèvres de Sirius se mirent à trembler.

Ses jambes cédèrent sous son poids et il glissa au sol, à genoux, entre ses mains le seul portrait de sa mère qu'il possédait et n'avait jamais vu.

Elle semblait jeune : plus jeune qu'elle ne l'avait été lorsqu'elle avait été forcée d'épouser le duc. Elle avait les mêmes yeux que lui : grands et bleus, encadrés par des longs cils. Pleins de vie. Elle souriait, sur l'image, une fossette ornait sa joue : ses boucles blondes étaient joliment coiffées. Elle se tenait devant un champ de fleur, une robe délicate, blanche et pure ornant son corps adolescent. Un chien était allongé à ses pieds. Doucement, Sirius caressa le petit portrait. Brusquement, ce dernier glissa un peu et deux petits papiers tombèrent au sol. Jetant un dernier regard à sa mère, Sirius fronça les sourcils et reposa le médaillon. Il se pencha et ramassa les deux petits bouts. A nouveau, son cœur manqua un mouvement.

Le premier portrait le représentait lui, enfant. Habillé de blanc lui aussi, dans les bras de sa mère, ses grands yeux clairs aveugles quant à son futur, encore innocents. Sirius poussa un bruit étranglé et se passa une main moite dans ses cheveux châtains. Lentement, il posa ses yeux sur le deuxième papier.

Le portrait était différent des deux autres. Ce n'était qu'un dessin, une esquisse maladroite qui semblait avoir ondulé. Des tâches qui ressemblaient à des gouttes de pluies ou des larmes avaient un peu défaits les traits. C'était à nouveau un enfant : une petite fille. Elle n'avait pas les yeux ouverts, elle n'était pas dans les bras de sa mère, pas habillée normalement. Elle était posée sur une surface plate, les petites mains encore trop jeune repliées sur son petit corps comme sur celui d'un mort. Une petite marguerite était dessinée entre ses doigts : aucune ombre ne marrait ses joues joufflus, aucune joie ne teintait l'image. Seule une sorte de tristesse solennelle, de mélancolie profonde, hantait les traits du bébé. Lentement, Sirius retourna la photo. Des mots avaient été tracés au crayon : c'était l'écriture de sa mère, plus maladroite que d'habitude. C'étaient des toutes petites lettres, comme si elle avait essayé d'écrire le plus possible sans en avoir ni la place, ni les mots.

Malgré l'alcool lui faisant tourner la tête, Sirius approcha le portrait de son visage.

A mon enfant sans vie, à mon enfant sans tombe : à ma petite fille trop vite perdue, trop vite partie. Ton père n'a pas voulu t'enterrer, on n'a pas voulu te bénir. Mais sache que tu es gravée dans mon cœur et que celui-là, personne ne peut me le prendre. J'ai dessiné ton portrait pour ne pas qu'on t'oublie et je t'ai donné un nom pour te garder, malgré tout en vie. Tu étais un ange que la terre n'était seulement pas encore prête d'accueillir. Reste en paix, ma jolie Colombe.

Colombe.

L'enfant qui était mort à sa naissance, que sa mère avait perdu. L'enfant qui avait brisé le cœur de sa mère à jamais et avait été la cause pour son mariage avec le duc. Sirius déglutit et lentement, pressa le portrait de sa sœur contre ses lèvres. Une larme roula lentement de son œil et après avoir embrassé les traits délicats du bébé, il pressa le portrait contre son cœur battant la chamade.

Une deuxième larme roula.

Il reprit le médaillon entre ses doigts et regarda à nouveau le portrait de sa mère. Puis de Colombe. Sirius bascula à nouveau à genoux. Il serra les deux petits objets précieux contre lui, tandis qu'il se recroquevilla en avant, comme s'il se prosternait. Son front heurta douloureusement le sol tandis qu'un bruit rauque quitta ses lèvres et qu'il pressa un peu plus sa mère et sa sœur contre son cœur. L'amour qu'il avait tourné en dérision quelques minutes auparavant l'étouffait maintenant et se moquait de lui, tandis qu'il était au sol et seul, un homme déchiré et perdu. Des larmes roulaient continuellement le long de son visage, silencieusement.

Un homme, ça ne pleure pas.

C'est fort, un homme.

Vingt ans de sa vie, il avait été comme son père le lui avait inculqué : vingt ans, il avait vécu une vie de prince. Il avait ridiculisé sa mère, avait été impoli, mesquin, hautain, vulgaire. Il avait bu, fumé, couché et avait porté son arrogance sur son visage, humiliant ouvertement sa mère en lui demandant en publique quelle espèce de femme elle était, si elle n'était même pas capable de convenablement mettre un enfant au monde.

Son père avait ri.

Sa mère avait pleuré silencieusement, sans se plaindre.

Elle avait toujours tout subi en silence, comme si elle avait déjà été trop faible pour se défendre. Sirius ne l'avait qu'entendu crier de temps en temps, quand son père revenait du bordel, avait trop bu et était trop agressif. Les lendemains, sa mère portait toujours des robes au col haut et ses cheveux cachaient plus son visage et ses lèvres tremblantes. Mais à nouveau, elle était silencieuse.

Le corps de Sirius était secoué de remords. Il pleurait pour la femme qu'avait été sa mère : sa mère qu'il avait tant blessé mais qui avait, jusqu'au moment de sa mère, porté un portrait de lui contre son cœur. Il pleurait pour les mots qu'il ne lui avait pas dits, pour les excuses qu'il ne lui avait pas faites. En vingt ans d'existence, il ne lui avait jamais dit qu'il l'aimait : et il était maintenant trop tard pour ressentir cet amour qui ne faisait plus que lui briser le cœur. Finalement, Sirius eut le sentiment de n'avoir que le sort qu'il méritait : aussi seul et détruit que sa mère dont il avait contribué à briser le cœur.

Mais Sirius pleurait aussi pour sa sœur. Il se souvenait d'un après-midi, où sa mère avait essayé de lui parler, de lui raconter. Il avait été invité chez un comte quelconque et avait été pressé : mais forcé de montrer un semblant de politesse, il avait décidé d'accorder quelques minutes à sa mère – peut-être les seules minutes qu'il ne lui ait jamais accordé. Il avait alors détesté entendre sa mère parlé. Il l'avait trouvé si faible, si pathétique, avec son dos un peu recroquevillé, sa voix trop douce, ses cheveux trop longs et son visage un peu gris avec ses yeux bleus fantomatiques. Sa voix tremblait un peu, elle regardait constamment de droite à gauche et avait des tics – des bégaiements, ses doigts nerveux tambourinant contre sa cuisse, des pardons de déranger répétés et répétés. Ils s'étaient assis sur un sofa, sa mère avait tenté une conversation banale avant de brusquement demander s'il voulait qu'elle lui parle de sa sœur. Il avait seulement hoché les épaules et brusquement, une sorte de lumière avait éclairé le visage de sa mère et ses yeux s'étaient teintés de rouge.

Ses doigts avaient caressé son médaillon.

« Elle s'appelle Colombe, Sirius. Elle n'a-n'a pas eu la même chance que t-toi. A peine venu au mon-monde que son petit cœur a déjà cessé de battre. Mais tu-tu aurais dû la voir, mon ange. Elle était – est - si belle. Elle-elle était toute petite. Minuscule, avec des-des yeux bleus comme le fond de l'océan. Tu l'aurais ai-aimé je pense. Ta jolie sœur. »

Il n'avait pas voulu l'admettre mais une pointe de tristesse lui avait alors serré la gorge. Pour un court instant, il s'était alors imaginé cette petite fille dont le monde ne voulait pas. Tandis que sa mère continuait à raconter, il se l'était imaginé grandir, avec des boucles blondes et une fossette, avec un rire libéré et des rubans dans les cheveux. Mais rapidement, Sirius avait ignoré ses pensées, avait rapidement enterré Colombe comme son père l'avait fait – deux jours après sa naissance, il était parti dans la forêt et avait enterré le petit corps sans en dire l'emplacement à sa femme, un de ses premiers actes de cruauté. Et Sirius n'avait pas été mieux. Sans laisser sa mère finir, il s'était levé et était simplement parti, sans se retourner. C'était finalement comme ça qu'il était parti à la guerre, aussi : sans dire au revoir à sa mère, sans chercher à en savoir plus de sa sœur, sur laquelle il ne serait maintenant jamais plus rien. Il ne saurait pas si elle était née avec des cheveux, si elle avait au moins eu le temps de pousser un cri avant que la mort ne l'emporte. Si elle avait eu l'odeur qu'ont les enfants, si sa peau avait été douce.

Pour son père, Colombe n'avait jamais existé : et pour sa mère, c'était sa propre existence qui avait été emporté. Un bruit guttural échappa au jeune homme tandis que son corps ivre convulsa. Le médaillon et le portrait finirent par glisser sur le sol miteux mais Sirius fut incapable de se relever.

Il se sentait misérable.

La bête gémit, torturée.

« Pardonnez-moi. », murmura-t-il dans le vide de sa baraque délabrée, « Je vous en prie. Maman, Colombe... Où que vous soyez. Pardonnez-moi, je vous en supplie-» Sa voix se brisa violemment tandis qu'il trembla un peu plus fort. Il se força à se redresser un peu et s'adossa contre ce qui lui servait de lit.

Il ferma les yeux.

Il resta ainsi un long moment. Jusqu'à ce que le soleil se couche et que la lune se lève doucement dans le ciel. Sirius avait alors mis son manteau. Il avait remis les portraits dans le médaillon et l'avait en silence mis autour de son cou. Il était sorti à l'extérieur : un vent froid lui avait giflé le visage, mais il l'avait ignoré. Son visage était encore rougi de tristesse, ses lèvres enflées, son cœur en morceaux.

Il finit par arriver à l'Innocent. Il entra à l'intérieur, attendant Madame Christophe en fermant les yeux. Il avait besoin de Cassiopée. Il avait besoin de ses bras, de son odeur poudrée, de son silence. Malgré ce qu'il lui avait fait, il avait besoin de ne plus être seul. Il finit par entendre le pas lourd de Madame Christophe descendre les escaliers.

« Ah ! », s'exclama-t-elle, « Le prince charmant. » Un sourire cruel éclaira ses traits et Sirius eut brusquement la certitude qu'elle avait tramé quelque chose. Son masque arrogant glissa sur son visage et il se redressa imperceptiblement.

« Je viens pour voir Raiponce. »

Le sourire de Madame Christophe s'agrandit.

« Raiponce ? Très bien. Mais ce ne sera pas la chambre 26, ce soir. Vous devez savoir, Monsieur, que Raiponce a été très, très récalcitrante et que c'est ici impardonnable. »

Sirius serra les dents.

« Que vous lui avez-vous fait ? », grogna-t-il, le bête en lui poussant un rugissement sonore qui le déséquilibra un instant. Le jeune homme enfonça violemment ses ongles dans la paume de ses mains pour empêcher l'animal de sortir.

« Mais rien, très cher, rien du tout ! », susurra gaiement la propriétaire de l'Innocent. Elle hocha un peu la tête. « Suivez-moi. »

Madame Christophe remonta les escaliers et le jeune homme pâlit imperceptiblement. Il savait qu'en haut n'était normalement que les chambres où habitaient les prostitués et ce n'était pas un bon signe que la femme âgée y monte. Ils traversèrent un long couloir avant de brusquement s'arrêter devant une vieille porte, fermée à clé. Madame Christophe se retourna vers lui et sortit un trousseau de sa poche. Elle enfonça une clé dans la serrure, la tourna.

« Raiponce est finalement dans sa tour et vous, mon cher, avez deux heures et pas une minute de plus. J'espère que vous vous souvenez de notre marché. »

Sirius était incapable de croire ce qu'il voyait là. La propriétaire de l'Innocent avait enfermé Raiponce – il poussa un bruit enragé.

« Vous aviez dit que vous l'enfermerez si je ne respectais pas mon parti de ce marché – vous avez brisé votre parole. »

Un sourire mesquin éclaira le visage délicatement ridé de Madame Christophe. Elle haussa les épaules.

« Eh bien, le monde change – j'ai seulement cru bon d'un peu modifier les conditions. Tous les soirs, je vous accorde deux heures avec cette minable petite putain – si vous ne respectez pas cela, je ne la ferais pas seulement enfermer, mais je la ferais disparaître pour de bon. Même chose si vous allez à la police. Un mot de trop et c'est la princesse qui y passe. »

Elle ricana lugubrement et un frisson parcourut le dos de Sirius.

« Pourquoi faites-vous ça ? Elle ne vous a pourtant rien fait ! Rien ! Vous êtes folle à lier-»

« Plus qu'une heure cinquante, mon cher, vous feriez mieux d'y aller ! »

Sans un mot de plus, Madame Christophe se retourna et repartit. Sirius ravala les insultes sur sa langue et lentement, poussa la vieille porte en bois. Elle s'ouvrit dans un grincement et il pénétra à l'intérieur. La porte se referma dans un claquement derrière lui et le jeune homme resta figé un instant.

Dans la chambre, il faisait noir. Il n'y avait pas l'odeur de parfum luxueux et de corps qui régnait dans le reste de l'Innocent : seulement une odeur de bois moisi et de vent froid. Sirius déglutit tandis que ses mains se mirent à trembler de rage. Dans l'obscurité, il chercha Cassiopée. Il n'arrivait pas à croire que Madame Christophe puisse froidement l'enfermer ici, n'arrivait pas à croire que Cassiopée doive souffrir encore plus. Il chancela un peu, déséquilibré par le noir, et fit un pas en avant. Un bruit métallique attira brusquement son attention et il tourna la tête. Dans le mur, tout en haut, une toute petite ouverture dans le mur laissait passer un rayon de lune : juste en dessous, une petite forme tremblante était recroquevillée sur elle-même et inerte, mis à part ses membres grelottants.

Le cœur de Sirius manqua un battement et il se rapprocha à grands pas, avant de s'agenouiller au sol. Il tendit une main maladroite et lentement, tendrement, tourna la jeune femme vers lui. Cassiopée était enroulée dans une petite couverture. La sueur brillait sur son front, son visage était pâle comme celui d'un mort et son corps glacial chevrotait de froid.

« Cassiopée ? », murmura Sirius. Elle ne répondit pas, semblait absente. « Cassiopée ? »,

Sans réfléchir, il enleva son manteau et l'enroula délicatement autour d'elle comme s'il avait peur qu'un geste trop brusque puisse la briser. Ensuite, il la leva doucement du sol et l'attira contre lui pour la presser contre son propre corps, silencieusement. Il aperçut brusquement les chaînes autour de ses chevilles – des chaînes métalliques et cruelles, contrastant avec la peau alabastre de la jeune femme éclairée par la lune. Elle ne dit rien et se laissa faire. Sirius s'adossa contre le mur et pressa Cassiopée contre lui, ses bras impuissant encerclant ses membres fins. Doucement, il posa la tête de la jeune femme dans le creux de sa nuque et posa sa joue contre ses cheveux, fermant les yeux. Il ne pouvait pas bien la voir, mais il sentait le battement irrégulier de son cœur, sa respiration saccadée.

Il l'entendit renifler et sentit son corps se calmer un peu.

« J'ai reçu une lettre. » La voix de Cassiopée interrompit brusquement leur silence. « Valentin est mort. »

Sirius pâlit.

Bonjour, bonsoir les cocos!

J'étais inspirée ce soir, quatre heures du mat et j'ai enfin terminé mon chapitre. Bon sang, c'est plus ce que c'était, comme dirait certain. Bref, j'ai enfin réussi à me motiver pour vraiment me remettre à écrire, ça m'avait manqué - notamment parce que j'ai deux projets que j'ai rajouté à tous mon bordel, un qui ne finira pas sur wattpad, l'autre si, mais seulement une fois que j'aurais fini le reste. Ce sera un roman historique, à nouveau, mais cette fois autour des années 1800. J'ai déjà préparé mon histoire, j'ai mon prologue et déjà quelques chapitres et honnêtement, je dois me retenir de ne rien publier - après, si vous voulez un aperçu, dites-moi.

Bon, je m'emballe, je m'emballe!

J'espère que ce chapitre vous a plu - et en passant: bonne année! C'est fou de se dire qu'on est déjà en 2018. Je vous souhaite pleins de bonheur, en tout cas.

Des bisous ♥

Blondie

Bạn đang đọc truyện trên: Truyen247.Pro