
poeme random
D'un son qui se mêle à la vague prisonnière
Sous les paupières prennent formes, dansent et caressent les images
Encore entre lèvres l'espoir et la haine
Qui déforment et contournent la fenêtre nuitée
D'un mouvement glissent les couleurs, une voix, un regard
À travers le temps la présence s'efface dans l'obscur
Les pas s'enchaînent, frôlent, émerveillent,
Accompagnent la douceur et coulent étouffés
Le baiser de ton soleil, l'étreinte de ta rosée
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