Fuka était repartis depuis maintenant six mois et comment vous dire que je suis en manque ! J'en avais parlé avec mes amis, qui après s'être tapés un fou rire, m'avait conseillé de me trouvé un subterfuge à la bite de mon copain. Après avoir cherché ce fameux moyen, je le trouvai en faisant la cuisine... Un concombre ! Je me souviens avoir rougie à mort quand l'idée m'avait traversé l'esprit. Mais me voilà avec un concombre que j'ai lavé et épluché entre les mains. Mais je posai à coté de moi et m'allongeai sur notre lit. Je soufflai et repensai à notre dernier rapport qui avait été... Bestial... Je sentais mon membre grossir, mes tétons pointaient et mon excitation grimpa en flèches. Je soupirai et me détendit.

Mes mains partirent de mon torse et descendit jusqu'à mes cuisses. Elles remontèrent et se placèrent sur mes tétons. Je les fis rouler entre mon index et mon majeur, augmentant la taille de mon pénis. Je descendis rapidement à ma bite et me mis à me masturbait imaginant la bouche de mon petit ami, creusant ses joues et donnant des gorges profondes de temps à autres. J'haletai, ne retenant aucun de mes gémissements. Sans me rendre compte de mes gestes, un de mes doigts s'enfonçai dans mon anus. J'ouvris les yeux en grands, ressentant cette intrusion. Perdant le contrôle de mon corps, mon doigts commença à bouger et fut rapidement rejoint par un de ses frères. Je gémissais le nom de mon copain et sentit ma bite prête à exploser. Je soupirai, retirai mes doigts de ma partie anal et lui présentai mon concombre. Je l'enfonçai, passant outre la douleur. Le logeant au plus profond de moi, je repris ma respiration. Mon érections frôla mes draps, me donnant envie de me faire défoncer. Me retournant, je commençai à faire de petits va-et-vient. Allant de plus en plus vite, je commençai à bouger mon bassin, le faisant taper contre mon matelas, me donnant l'impression de voir les étoiles. Voulant me torturé un peu, je ralentis et sortit lentement le concombre de mon cul. Me replaçant sur le dos et me laissai tomber, provoquant mon orgasme et l'explosion du concombre.

- Eh bah, Zera, si je savais que tu me réserverais une surprise pareil pour mon retour je serai rentré plutôt, me fit sursauter Fuka.

Je me tournai vers lui et le fixai les yeux écarquillés. Il était là, devant moi, une bosse déformant son jeans. Se yeux brillait de luxure. Il se jeta sur mes lèvres avant que je ne puisse répondre. Je le déshabillai rapidement. Il me plaqua contre le lit et m'embrassa sauvagement. Ses mains redécouvraient mon cœur avec envie et il saisit ma nouvelle bosse avec férocité, démarrant tout de suite avec de puissant va-et-vient. Je me mis en miroir de ses propres mouvements. Nous crions le prénom de l'autre. Accélérant mes mouvement je me déversai entre ses mains, me faisant chavirer du coté du non-retour. J'étais pris de spasmes et j'hurlai le prénom de Fuka. Il m'indiqua entre deux gémissements que lui n'avait toujours pas jouis. Je descendis donc vers son membre et le prit en bouche. Je fis tourner ma langue autour de sa bite et faisait des mouvements de bascules, massant son fessier par-dessus. Au bout d'un moment, il prit ma tête entre ses mains et se mit à bouger son bassin de plus en plus vite, me baisant carrément la bouche et buta au fond de celle-ci en se déversant. Je me reculai et lui sortit d'une voix suave : Fuka... Baises-moi !

Son membre repris sa forme initiale directement. Il remonta et me mordis le cou, il descendit jusqu'à mon téton droit et le mordis violement, me cambrant un maximum. Il répéta son geste une dizaine de fois avant de le répétai sur son jumeaux. Il me rendait fou mais j'aimais ça. Il se dirigea vers mon pénis et le croqua légèrement, faisant vibrait ma verge. Je ne criai plus, j'hurlai à m'en brisait la voix. Il fit de rapidement gorges profondes. Il n'eut pas à faire ça longtemps. Mon troisième orgasme arriva rapidement, révulsant mes yeux. Je m'étais juste transformé en machine à cris et à orgasmes. Fuka, lui, s'était transformés en bête sauvage. Il me retourna sur le ventre et rentra sans me préparé, me coupant la voix. Il me bourrina de coups buttoirs, hurlant à son tour. Sa bite était sur le point d'exploser et quand il sortit entièrement pour rentrai d'un coup, je sentis mon homme se détendre et son spermes se déversa en moi, provoquant mon quatrième et derniers orgasmes. Mes jambes tremblés à ne pas s'arrêté et mes yeux se révulsèrent. Y a pas a dire... Baiser avec Fuka m'avait manqué.