ACROSTICHE XV : SYMPHONIE
Suave mélodie qui vient caresser mes oreilles
Y aurait-il en toi des notes de soleil ?
Mon esprit me souffle de me laisser bercer
Par ce bonheur dont tu sembles être la clé
Haydn, Mozart ou Beethoven
Orchestre qui résonne en mon âme si jeune
Neuvième pourtant qui semble être fatale
Inhumaine malédiction qui subsiste sans mal
Entend au diapason ces instruments sans égal
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