Symphonie en tristement
La vie se passe rapidement,
Les heures s'écoulent cruellement,
Les gens fuient avec le temps,
Et je les regarde longuement.
Des talons marchent lentement,
Les arbres se balancent au gré du vent,
Une femme passe en chantant,
D'autres repassent régulièrement.
J'aimerai tellement courir librement,
Rire comme ces enfants.
Mais c'est trop tard maintenant,
Je les observe, prisonnière de ces murs blancs.
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