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₀₁₅

Dans le calme de la salle de bain fermée mais non verrouillée, l'eau tiède frappant doucement les parois du bac à douche et la peau collante de transpiration d'Izuku, un silence anormalement apaisé règne dans l'espace clos. 
Sous le jet à la température raisonnable, il inspire profondément avant de passer sa tête sous les gouttes, mouillant ses cheveux et son visage tout en passant ses mains entre ses mèches. 
Soufflant par le nez, il laisse le confort s'inviter le long de son dos, chatouillant un peu ses abdominaux et la peau chaude de ses bras. 

Les yeux fermés pour éviter que le calcaire ne lui brûle les paupières, il s'applique à respirer tranquillement quand l'eau s'aplatit sur les rougeurs de ses cuisses, réveillant la sensation d'inconfort et une douleur légère le long de ses jambes. 
Le contact le fait toujours grimacer quand, hors de ses crises, il reste suffisamment conscient pour ressentir les blessures et les cicatrices plantées dans sa chair. 
Certaines d'entre elles ne disparaitront pas, il les reconnait à la profondeur des lignes imprimées entre les rougeurs persistantes, mais il s'efforce de ne pas leur accorder trop d'importance. 
Il sait à quel point le moindre détail pourrait le faire basculer dans un de ces éclats de folie passagère, et il se doit de rester concentré. 

Alors, relevant le menton, il secoue son visage pour chasser un peu d'eau et ouvrir ses yeux, cherchant sur l'étagère un flacon de gel douche. 
Mesuré, il serre les dents en appliquant juste la quantité nécessaire dans la paume de sa main et, même si son cœur s'emballe un peu, il s'emploie férocement à ne pas dépasser les bornes. 
Ses pensées s'auto rassurent, répétant en boucle des appels à l'apaisement, et un murmure glisse entre ses lèvres quand il fait mousser sa peau sous ses doigts. 

_ Il n'y a rien, tout va bien. 

Se parler à lui même, si ça ne fonctionne pas à tout le coup, a malgré tout déjà fait ses preuves quelques fois, et les chuchotements qu'il se prononce parviennent à lui faire garder les pieds sur terre la plupart du temps. 
Un soulèvement dans sa poitrine fait vibrer ses côtes quand il contourne les plaies de ses cuisses, évitant de presser les blessures pour ne pas les raviver, et un tremblement incertain lui tord le ventre. 

Une angoisse qu'il connait souffle une menace près de ses tympans, ses épaules se contractent aussitôt, et son front s'abaisse un peu plus comme s'il cherchait à enfoncer son menton au dessus de son sternum. 
Il sait qu'il doit rester calme, il faut juste qu'il respire, et qu'il contrôle le geste de ses ongles qui cherchent à se planter dans sa peau. 
Sa gorge siffle à sa respiration instable, ses poumons vacillent et il les sent peiner à transporter l'oxygène à travers son corps, la panique barrant le passage à toutes ses bonnes intentions. 

Les mains pleines de mousses, il vient s'accrocher au mitigeur de la cabine, serrant le métal en luttant contre lui même. 
Près de sa nuque, les chimères menaçantes lui susurrent de faire grimper la température, juste un peu.
Un tour de poignet, quelques degrés ne le tueront pas, et il peut bien faire ça. 
Katsuki ne s'en rendra pas compte s'il fait un peu attention, et s'il se dépêche, il pourra même griffer son corps une fois ou deux sans éveiller de soupçons. 
Entre ses deux mâchoires crispées, ses dents grincent les unes contre les autres, et son souffle se bloque en même temps qu'il relève subitement la tête, cognant légèrement son crâne contre la paroi derrière lui. 

_ Aller ! s'encourage t-il lui même avant de lâcher le mitigeur pour rincer sa peau sans perdre le contrôle. 

L'eau restée tiède emporte la mousse de son corps sur son passage, la douleur insidieuse de ses jambes pulse toujours, mais la crispation de ses muscles semble parvenir à tenir le cap pour les quelques secondes qu'il reste, supportant de toutes ses forces les tentations mauvaises qui sifflent à son esprit. 
Puis, voyant qu'il ne lui reste plus aucun résidus de gel douche sur le corps, et une fois ses cheveux parfaitement propres à leur tour, il s'empresse de quitter ce lieu de torture en attrapant une serviette à la volée. 

Comme toujours, il s'interdit de remplacer la griffure de ses ongles par le frottement excessif du tissu sur ses jambes, s'appliquant à éponger l'eau sans s'écarter de ses motivations, et un soupir d'infinie satisfaction résonne dans le bâtiment entier quand il peut enfin se féliciter d'avoir tenu bon pour le troisième jour consécutif. 
Les cheveux dégoulinant encore un peu, il enfile un simple jogging préparé à l'avance, choisi spécialement pour la douceur de ses coutures qui ne blessent pas ses vieilles cicatrices, puis se couvre d'un tee shirt noir que les gouttes d'eau résiduelles investissent déjà. 

La peau fraîche, et le front tout débarrassé de sa sueur, il abandonne la pièce sans l'avoir rempli de vapeur, et ouvre la porte sans aucune honte, traversant le couloir d'un pas plus calme jusqu'au salon. 

_ Dix minutes. chante Katsuki en hochant la tête, un sourire infiniment fier parlant à la place de ses mots. 

Il en sautillerait presque sur ses pieds, rougissant vaguement devant l'approbation de Katsuki, un léger picotement de bonheur oublié traverse soudainement sa gorge. 
Avalant sa salive, perturbé par ses propres émotions et le sentiment qu'il nourri sans le vouloir, il calme un peu ses ardeurs en s'avançant plus tranquillement vers le canapé, prenant place sur l'assise en frottant nerveusement ses mains l'une contre l'autre. 

_ Comment était ta journée ? enchaine t-il en s'éclaircissant la voix. 

_ Eijiro m'a appelé, souffle Katsuki en grattant les accoudoirs de son fauteuil, j'ai pas répondu. 

_ Encore ..? 

Dans un soupir, Izuku n'insiste pas outre mesure, attendant simplement plus d'explications de la part de son ami, bien qu'il n'y ait pas grand chose à dire en soi. 
Depuis leur altercation de la dernière fois, Kirishima n'a cessé de le harceler d'appel, parfois pendant plusieurs heures consécutives, forçant même Katsuki à éteindre son téléphone au beau milieu de la nuit pour dormir tranquillement. 
Il sait qu'il pourrait bloquer son numéro, mais il semble que de vieux espoirs aussi inutiles que fatigués le retiennent dans certaines de ses intentions, et Izuku tente de le manier avec des pincettes à chaque fois que le sujet refait surface. 

Katsuki ne répond jamais à ses appels, mais il prend toujours le temps d'écouter les messages vocaux qu'il laisse sur sa messagerie et, même si Izuku n'en connait pas le contenu exact, il devine d'ici qu'il y a, dans ses enregistrements, de quoi blesser un homme. 
En dehors de ça, il sait par Mina qu'Eijiro et Ochaco continuent de vivre leur parfait amour factice, et semble t-il même que ce dernier n'ait strictement rien dit à sa copine, pas plus qu'à son père du reste. 
Sans doute que la vérité risquerait d'en entraîner bien d'autres, plus dangereuses encore. 

_ Il a appelé deux fois, il a laissé un message. 

_ T'as envie de discuter avec lui ? essaie prudemment Izuku en s'enfonçant un peu plus dans le dossier. 

_ Non. coupe immédiatement Katsuki sans réfléchir. 

_ Alors pourquoi tu le laisses faire ? 

Le ton de sa voix, un peu plus ferme que ce qu'il voulait, claque dans l'air comme une confrontation, et Katsuki avale sa salive en détournant le regard. 
Ses doigts triturent machinalement ses mains courantes, faisant vaciller les roues d'avant en arrière sans déplacer le fauteuil pour autant, et Izuku se mord l'intérieur de la bouche avant de reprendre plus calmement. 

_ Est-ce qu'il pourrait te faire changer d'avis d'une manière ou d'une autre ? Ce qu'il pourrait dire ... pourrait te forcer à revenir sur tes décisions ? 

D'abord silencieux, Katsuki plisse le front en pinçant ses lèvres, plus occupé à chercher ses mots qu'à véritablement réfléchir à sa réponse, et la contracture de ses épaules trahit son inconfort dans la discussion. 
Izuku sait qu'il marche toujours sur des œufs avec ça, parce que peu importe à quel point Katsuki gagne en liberté, il garde toujours quelque part à l'intérieur de lui cette crainte insidieuse à l'idée de se détacher complètement. 
Comme s'il risquait d'avoir besoin d'eux un jour ou l'autre, ne serait-ce que pour leur retomber dans les bras s'il devait à nouveau perdre ses points d'ancrage. 

_ Tu sais, continue Izuku en l'interrompant dans sa réflexion, si tu les gardes un peu près de toi pour de mauvaises raisons, ça ne te fera pas avancer non plus. Et tu sais comme moi que leur présence ne te sera plus jamais bénéfique. Ils sont plus nombreux, alors peut-être que leurs paroles réunies pèsent plus lourd que la mienne, mais j'aimerais que tu puisses m'entendre aussi. 

_ Quand t'auras plus besoin de moi-

_ J'aurai toujours besoin de toi. 

Izuku voudrait rire et pleurer en même temps que les mots le dépassent, trahissant plus de sentiments qu'il ne voulait en révéler, et ses mains se couvrent de sueurs froides quand il cherche le regard de Katsuki dans la panique. 
Comme tout à l'heure dans la douche, son cœur s'emballe encore, mais la raison en est toute autre cette fois ci, et c'est sans doute pour ça qu'il ne le perçoit pas avec la même intensité douloureuse. 
Le martellement, si violent soit-il, secoue ses côtes plus qu'il ne les frappe, et un sourire aussi crispé qu'incontrôlé se dessine de force sur ses lèvres. 

_ J'ai pas besoin d'aller mal pour avoir besoin de toi. ajoute t-il en rassemblant son courage au creux de son ventre. Et j'ai pas besoin d'avoir quelque chose à y gagner non plus pour rester avec toi. Je sais pas si tu as besoin de moi, mais je suis sûr que tu n'as pas besoin d'eux pour être quelqu'un. 

_ Tu vas te coltiner un handicapé toute ta vie ? rit faussement Katsuki, la gêne au front et les bras tendus sur ses roues. 

_ C'est pas le mot qui me vient quand je pense à toi. Mais si je met de côté le fait que tu te qualifies n'importe comment, oui. J'ai bien envie de me coltiner un mec bien et plutôt pas dégueu à regarder jusqu'à la fin de mes jours. 

Reprenant le dessus, le silence envahit de nouveau la pièce, brisant l'atmosphère comme on jette une enclume sur le sol, et Izuku manque de s'étouffer dans sa respiration en secouant la tête. 
La gêne le tracasse, et le manque de réponse de Katsuki amplifie le stress qui s'accumule en pyramide sur son diaphragme tendu comme le fil d'un arc. 
Il connait suffisamment son ami pour savoir que le mutisme demeure son arme de défense quand il ne parvient plus à trouver les mots, mais il n'en reste pas moins qu'il apprécierait au moins un signe, quelque chose qui ne lui donne pas l'impression d'être en train de se prendre le plus grand râteau de l'histoire de l'univers. 

Son cœur résonne même à travers l'espace et, avec un peu de concentration, il jure que les voisins de l'étage du dessus doivent pouvoir l'entendre depuis leur canapé. 
Bientôt, à ce rythme, il jaillira d'entre ses côtes pour gagner un peu de place, s'en allant se déverser sur le sol et sous les roues du fauteuil de Katsuki comme un ultime refuge. 

Près de lui, ce dernier finit d'ailleurs par bouger un minimum en tirant sur ses mains courantes, se décalant tout juste de quelques centimètres sans direction précise. 
Vaguement reculé, un rayon de soleil vient se perdre dans les mèches de ses cheveux, soulignant les nuances cendrées qui se promènent aux abords de son front, et l'éclat ambré de son regard se gorge d'un peu plus de lumière. 
L'éclairage droit sur le visage, il mâchouille sa langue sans rien dire, l'attention vissée sur un point invisible au milieu de rien, et sa voix déraille quand il tente une première intervention. 

_ Je- titube t-il dans sa voix, trébuchant dans ses propres mots avant de se reprendre en claquant sa langue à son palais. Rien n'a changé depuis ce que lui ai dit l'autre soir. Ils .. Ils continuent leurs conneries. 

_ Tant pis si rien n'a changé pour eux. Tu as fait ça pour eux ou pour toi ? C'est pour toi que les choses doivent changer. 

Dans sa tête, Izuku s'ajoute à lui même que, de là où il est, Shoto se fiche pas mal aussi des progrès qu'il fait, mais ce n'est pas pour lui qu'il se bat. 
Un autre chemin s'est ouvert au hasard d'une rencontre en haut d'un escalier et, là où il ne pensait trouver que plus d'ennui et de désarroi, Izuku a cueilli un nouveau bonheur. 
Il suffit de savoir le faire grandir, et les paroles de Neito résonnent encore une fois à son esprit. 

Non, Katsuki n'a rien a voir avec Shoto, mais Izuku n'est pas là pour Shoto aujourd'hui.
Et même si son image ne disparait jamais, même si sa voix court toujours ici et là, un autre sourire se fraie un passage jusqu'au fond de son cœur, là où il peut venir côtoyer les plus sincères de ses sentiments. 
Nul besoin de remplacer l'histoire, ni le passé, et la vie ne s'efface pas au fil du temps, mais elle peut changer de trajectoire, quitte à créer ses propres sentiers inconnus. 
Avec un peu de courage, et en se laissant prendre la main. 

_ Tu sais que je marcherai plus jamais ? insiste Katsuki en passant une main nerveuse sur son front. 

_ Je le sais. 

Pourtant, aussi réel et flagrant soit cet état de fait, Izuku assure, et clamera aussi fort qu'il le faudra, qu'il n'a jamais figuré dans une quelconque liste d'inconvénients ou de défauts. 
Il jure qu'il ressentirait les mêmes pulsations dans son ventre si Katsuki se tenait debout, et il ne s'est jamais inquiété du regard de qui que ce soit sur eux pour cette raison. 

_ Pourquoi ça te fait rien ? 

_ Ca devrait me faire quelque chose ? interroge Izuku en se déplaçant sur l'assise du canapé, se rapprochant du bord et de Katsuki en même temps avant de conclure. Viens vers moi.

Jamais, pas une seule fois depuis leur rencontre, Izuku ne s'est permis de faire rouler le fauteuil de Katsuki à sa place et, même s'il se tient suffisamment près pour attraper ses accoudoirs et le rapprocher de force, il n'en fera rien du tout. 
Tout comme il ne lui agripperait pas les mains pour l'entrainer sans son consentement s'il se tenait debout, il ne se donne pas le droit d'intervenir contre son gré dans ses déplacements. 
Au delà d'un simple objet, le fauteuil fait, d'une certaine manière, partie de lui, et le toucher sans permission revient à s'immiscer sur sa peau sans autorisation. 

Il sait que la petite meute qui lui tenait compagnie jusque là ne se posait pas ce genre de question, et prenait le contrôle des poignées de poussée aussi souvent que ça les arrangeait, baladant Katsuki là où ils le voulaient sans se soucier de son avis. 
Pourtant, il pari tout ce qu'il veut qu'aucun d'entre eux n'accepterait de se faire porter comme un boite en plastique, puis déplacé au gré des envies d'un quelconque connard. 

Quelques secondes de flottement ajoutent une pointe de pression à l'instant déjà chargé d'autant de certitude que d'incertitude, et seul le crissement inaudible des pneus du fauteuil perturbent le silence plombé quand Katsuki accepte sa requête, s'avançant jusqu'à pouvoir plaquer sa roue droite contre l'assise du canapé. 
Devant lui, Izuku cherche son regard pour s'y introduire plus franchement, navigant dans les nuances et les reflets que ses iris renvoient, et son souffle ralentit quand il se penche davantage vers lui. 

_ J'aimerais que tu puisses te voir comme je te vois. souffle t-il en décollant ses épaules du dossier, rapprochant son front jusqu'à effleurer le sien sans le cogner pour autant. 

Sa main tremble quand il cherche la sienne près de l'arrondi de la roue, frôlant ses doigts contre les siens à la conquête d'une étreinte discrète, mais ses yeux restent parfaitement fixés à ses pupilles comme on jette une ancre dans le fond d'un océan. 
Déjà, sa respiration croise la sienne, et le mélange de leurs souffles fabrique une nouvelle barricade tout autour de cet instant léger. 
Plus silencieux, Katsuki pince ses lèvres avant de les humecter contre sa langue, avalant aussi la salive entassée dans sa bouche comme ci cette dernière l'empêcher de parler. 

D'ailleurs, aucun mot ne parvient à se frayer un chemin entre ses dents, et aucun son ne traverse l'atmosphère quand il se laisse emporter par l'invitation aussi sérieuse que silencieuse. 
Contre son front, une mèche humide d'Izuku chatouille sa peau comme une ultime tentation, l'appelant à se rapprocher des quelques centimètres qui lui manque pour atteindre les lignes plus fines du contours de ses lèvres. 

Dehors, le soleil ne brille plus que pour le reste du monde, cet appartement là n'a plus besoin de lui pour rayonner de l'intérieur. 

Sa poitrine tremble plus fort que si le sol s'écroulait en dessous de lui, mais Izuku tient bon.
Malgré les secousses qui agitent directement ses os, ses épaules s'affaissent progressivement quand il s'aventure enfin à toucher la bouche de Katsuki contre ses lèvres, pressant un baiser aussi lentement que s'il craignait de trancher l'air à la moindre maladresse. 
Un gout tout nouveau s'invite sur sa peau, si différent de celui qu'il a connu par le passé dans d'autres bras, mais surtout parfaitement unique et propre aux sentiments qu'il ressent pour ce nouvel amour. 

Un ruissellement doux glisse le long de ses bras, investissant les espaces vides entre ses côtes, puis comblant les creux du fond de sa poitrine comme on verserait de l'eau dans un vase pour faire vivre les fleurs qu'il abrite. 
Sa main enferme plus franchement la sienne, croisant ses phalanges entre ses doigts pour le retenir près de lui, et le contact frêle se fait un tout petit peu plus ferme, collant leurs lèvres plus fortement pour s'embrasser enfin à hauteur de l'envie qui les relie l'un à l'autre. 

Les secondes défilent toutes seules sans que plus personne ne leur prête la moindre attention, et le soleil pourrait bien se décrocher du ciel sans perturber quoi que ce soit à l'intérieur de l'appartement. 
Sans faire de bruit, l'air s'échappe tout droit vers le plafond pour libérer l'espace, et Izuku se penche davantage pour appuyer sa main libre contre l'accoudoir du fauteuil, s'écrasant plus sincèrement encore sur les lèvres de celui qui a sauvé sa vie en même temps qu'il est entré dans son existence. 

Puis, en s'écartant un peu, reprenant un semblant de souffle dans sa poitrine gonflée d'émotions, il mord l'intérieur de sa joue en captant l'éclat inhabituellement timide dans les yeux de Katsuki. 

_ J'aime beaucoup ton canapé, mais je suis sûr qu'il y a de meilleurs endroits pour être à l'aise. 

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Hey ! 

C'est l'avant dernier ! Et je suis contente de le poster 

Je sais qu'une certaine partie d'entre vous attendent assez impatiemment que j'aborde le sujet de la sexualité dans la paraplégie. 
Ce sera le cas dans le prochain chapitre, ceci dit, ne vous attendez pas à un lemon bien gras, parce que ça ne serait pas très crédible dans le développement plutôt doux que je tenais à instaurer dans cette histoire. 
Ca n'empêche pas que j'ai hâte d'avoir vos retours sur l'histoire complète une fois qu'elle sera entièrement publiée ( demain donc ) 🎉

Encore une fois, je m'excuse pour le temps que je met parfois à répondre à vos commentaires. 
Je suis souvent à la bourre, mais je ne vous oublie pas, je lis chacun de vos commentaires et je prend le temps d'y répondre dès que je peux me poser tranquillement dessus 🥰

Je vous embrasse en attendant le dernier chapitre demain 😘

Prenez soin de vous ❤

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