₀₁₂
Un calme paradoxalement chargé règne dans le hall vide, la porte encore ouverte face à Katsuki, dont les mains tremblent toujours, hors de contrôle, la poussée d'adrénaline trop soudaine bouillonnant dans son sang.
Le cœur prêt à rompre, ne sachant plus quel tempo adopter, cognant parfois trop vite, d'autres fois trop fort, sa poitrine se contracte d'une douleur sourde et insidieuse, la sensation d'une brique posée sur les côtes et le diaphragme perforé par le martellement douloureux de ses émotions en fusion.
Son estomac tambourine, remonte et redescend dans son abdomen comme on déplacerait ses organes pour laisser passer le stress et l'euphorie partout entre ses entrailles.
Un peu plus, et la transpiration ruissellerait à son front, trahissant l'effort mental qu'il vient de faire, cet élan soudain d'honnêteté et de vérité qui, en plus de secouer son corps, vide son cœur et assèche ses réserves d'énergie.
Le coup de barre le saisit juste derrière, cette sensation toute soudaine de recevoir un parpaing sur le front, qui écrase ses tempes et comprime sa cervelle.
La tête lui tourne un peu quand il réalise qu'il vient littéralement de larguer un obus sur sa vie et celle de son entourage.
Devant le fauteuil, Izuku n'a pas changé de posture, les genoux repliés pour se positionner plus bas que lui, et son regard se promène sur les traits de son visage, cherchant son attention en silence sans se montrer envahissant.
Il ne le touche pas, n'interfère d'aucune manière dans son espace vital, mais sa présence et l'écho apaisé de son souffle près de lui le maintiennent conscient et connecté à ce qui l'entoure, lui rappelant progressivement qu'Eijiro est parti, que la tornade est passée, et qu'il peut désormais se ressaisir.
Alors, en avalant sa salive, espérant adoucir les pulsations désagréables qui chargent ses côtes et son sternum, il lève le menton vers le plafond pour inspirer plus profondément, ouvrant sa gorge à l'oxygène offert pour reprendre pied.
Viens t-il de balayer la moitié de sa vie, si moisie soit-elle, en un claquement de langue ?
Lentement, sans faire de bruit ni insister davantage, Izuku se redresse complètement, dépliant ses genoux pour marcher vers l'entrée encore ouverte.
En silence, presque en évitant de faire tinter le trousseau de clés pendu à la serrure, il referme la porte sans brusquerie, ramenant l'intimité dans l'appartement en faisant disparaitre le couloir.
Puis, ses pas discrets contournant Katsuki sur son fauteuil, il se penche partiellement à son épaule, murmurant sans ordonner quoi que ce soit.
_ Tu viens ? Reste pas là, ça ne sert plus à rien, il est parti maintenant.
Malgré le bourdonnement sous ses tympans, sa voix l'atteint suffisamment clairement et, même s'il marque quelques secondes de réflexion immobile, il cède à sa proposition, gonflant son torse pour réveiller son corps sidéré.
Ses bras agissent lentement, mais ses doigts parviennent à s'agripper aux mains courantes de ses roues, alors qu'il remercie intérieurement Izuku de ne pas l'avoir traîné de force en tirant sur les poignées de l'engin pour le déplacer sans son consentement.
Pressant les barres métalliques, il fait tourner les larges roues en marche arrière, gagnant l'accès vers le salon sans avoir ouvert la bouche, et il se déplace quelque peu mécaniquement vers le canapé.
Puis, en s'arrêtant près de l'accoudoir, observant Izuku qui le rejoint en prenant place sur l'assise confortable, un déclic le frappe soudain, et il inspire brutalement comme s'il ouvrait ses poumons pour la première fois de sa vie.
L'air chauffe un peu le long de sa trachée, la brûlure légère lui rappelle le souffle piquant que l'on reprend après avoir bu la tasse, les bronches imbibées d'eau et la toux menaçant au bord du larynx.
A croire qu'il buvait la tasse depuis des années, et qu'il vient seulement maintenant de retrouver le bord de la piscine, la petite dalle à laquelle il s'accroche pour sortir son visage de l'eau.
Il ne dira pas qu'il se sent plus lourd ou plus léger, Katsuki ne ressent pas ce soudain sentiment de devenir tout à coup une nouvelle personne, ou encore d'avoir changé de peau en même temps que de trajectoire.
Il ne s'agit pas tellement de se sentir une quelconque renaissance, en fait, il perçoit juste ce soulagement interne qu'un enfant peut expérimenter en retrouvant son chemin dans les rayons immenses d'un grand magasin après s'y être perdu.
La charge d'appréhension et d'adrénaline ne disparait pas non plus en un clin d'oeil, il la sent encore pulser sous son estomac, comme un écho persistant.
Les murmures qui subsistent après les grands bruits.
Ses doigts tremblotent encore un peu d'ailleurs, sur les mains courantes de son fauteuil, et sa bouche se contracte ici et là de quelques rictus nerveux et incontrôlables, soulignant de temps à autres une petite grimace ou une courbe retournée.
_ Eh ben .. finit tout de même par intervenir Izuku, brisant le silence lourd après quelques minutes. Tu l'as pas loupé. Tu avais visiblement beaucoup de choses sur le cœur.
_ Qu'ils aillent se faire foutre.
Ca n'était peut être pas la réponse attendue, ni la plus appropriée, mais c'est la seule qui lui vient dans l'immédiat, alors qu'il revoit presque malgré lui la tronche déconfite de Kirishima, ses yeux d'anchois grillé le fixant dans un mélange de surprise et d'effroi.
Pour sûr qu'il ne s'y attendait pas à celle ci, et il ne fait aucun doute que, à un moment ou un autre, "l'incident" arrivera aux oreilles du reste du groupe.
Katsuki imagine déjà le scandale, tout en sachant pourtant qu'ils se contenteront d'enfermer l'événement sous silence.
C'est ce qu'ils font, toujours, quand une situation soulève trop de problèmes, ils l'enterrent jusqu'à ne plus la voir, et avec un peu de chance, elle ne sortira pas de son trou.
Du reste, Katsuki n'a pas l'intention de le faire, insister et revenir à la charge ne représente strictement aucun intérêt pour lui, il n'a pas besoin d'aller leur cracher dessus un par un.
Chercher les conflits ne l'attire pas, ne l'attire plus.
Il voudrait simplement avoir la paix, maintenant.
_ C'est sans doute mieux en effet, ricane son ami en reluquant les bières vides sur la table basse, on devrait peut-être en boire une autre ? Ca doit donner soif de dire tant de choses en si peu de temps.
La petite ironie dans sa voix, si peu dissimulée soit-elle, semble réussir à lui tirer un vague sourire en même temps qu'il hoche la tête, soupirant lentement pour réduire la bulle de tension qui crispe son corps.
Sa voix le tiraille encore un peu, sans doute parce qu'il ne l'a plus autant utilisée depuis des années, et les pensées dans sa tête se bousculent les unes contre les autres, trahissant, malgré son désir d'indifférence, une forme d'inquiétude.
Katsuki suppose néanmoins que, peu importe combien cette décision demeurait la bonne, les changements opèrent toujours ce genre d'effet, cette tempête d'idées et de questionnements bordélique et déconcertante.
Alors, sans trop répondre verbalement au delà de ce que l'on pourrait qualifier d'un grognement incertain, il détend ses doigts, autant que faire se peut tout du moins, pour manipuler à nouveau ses roues, s'éloignant une seconde fois vers la cuisine, puis le frigo.
En ouvrant la porte, zieutant les compartiments, il se fait au passage la réflexion qu'il aurait peut-être dû acheter plus de bières en prévision de la visite d'Izuku, alors que son stock actuel ne tiendra vraisemblablement pas longtemps.
Enfin, en regagnant le salon, les jambes chargées de deux bouteilles en verre, il ne peut pas vraiment s'empêcher de marquer un temps d'arrêt en reprenant place près du canapé.
Le regard fixe, droit et les paupières à peine battantes, il se terre dans un cocon silencieux en dévisageant le mur en face de lui.
Les sourcils froncés, il fait encore le point sur les événements de cette soirée, songeant à ses propres mots à l'égard de Kirishima, celui là même dont il fût le plus proche par le passé, celui qu'il pensait être son meilleur compagnon, un genre de bras droit en quelques sortes.
C'est vrai que les choses ne sont plus ce qu'elles étaient, qu'il n'a plus jamais eu l'occasion, après son accident, de rire en se murgeant la gueule comme des ivrognes avec Eijiro.
Leur amitié s'est cassée, sans aucune forme de doute, mais il n'empêche que, en cherchant bien au fond de sa mémoire, il sait qu'il existe de bons souvenirs de leur passé ensemble.
La nostalgie, la mélancolie peut-être aussi, s'invitent ensemble sous son regard, venant faire danser leurs ectoplasmes dans l'ambre de ses iris, et ses yeux se couvrent sans doute d'une petite pellicule de regrets.
Un passé qu'il regrette, une relation qui lui manque, et ces soirées qu'ils passaient ensemble, à croire naïvement que rien ne serait jamais plus fort que le lien tressé entre eux.
Finalement, il y a eu un paquet de choses plus fortes.
Un accident, une trahison, de l'argent, des mensonges, une culpabilité enfouie, et beaucoup de silences.
_ Eh, ça va aller ? T'es toujours avec moi ? le réveille Izuku en balançant une main devant ses yeux, cherchant son attention en haussant légèrement sa voix pour se faire entendre à travers ses songes.
_ Ouais ! se reprend-il alors en tressautant des épaules, les paupières papillonnantes et le regard vaguement perdu l'espace d'une seconde. Je suis là.
_ Oui ça je vois bien que t'es là. Mais t'es sûr que ça va ?
Hochant la tête en se raclant la gorge, Katsuki se libère de ses pensées perturbantes en attrapant les bières sur ses cuisses, évitant de les secouer de trop pour en tendre une à son invité, le laissant se charger tout seul de décapsuler sa boisson.
_ Tu sais je comprends si t'es un peu ... hésite Izuku en cherchant le mot juste, sonné ? Je ne connais pas toute l'histoire derrière toi et le groupe, mais du peu que j'en ai vu ce soir, ça a l'air plutôt chargé. J'ai le sentiment que tu sais beaucoup de choses que tu préfèrerais ne pas savoir finalement, et puis j'imagine que c'est jamais agréable de foutre quelqu'un dont on a été proche à la porte.
_ Ca va, c'est rien de grave en soi. se défend Katsuki en récupérant à son tour le décapsuleur, fixant son attention sur sa capsule pour éviter les pupilles inquisitrices de l'autre.
_ Tu penses ? Il me semble quand même que tu as été suffisamment proche d'eux pour que certaines choses, beaucoup de choses, t'atteignent et te blessent. Je ne pense pas que ces personnes te méritaient de toute manière, mais si tu as passé du temps auprès d'eux, ça avait forcément une importance d'une certaine manière. C'est pas parce qu'une décision est bonne qu'elle nous fait entièrement plaisir. Tu as fait ce qu'il fallait, mais ça veut pas dire que tu n'as pas le droit de te sentir un peu triste.
Un sourcil soudain relevé, Katsuki se demande si Izuku vient d'inventer cette tirade ou s'il avait préparé son texte avant de venir.
Ou alors est ce parce qu'il n'a pas l'habitude de tomber sur des personnes ainsi capables d'une telle compréhension et d'empathie, mais toujours est-il que cette conversation le laisse doucement pantois.
_ Je suis pas .. triste. Je m'étais juste fait une raison ou un truc du genre. J'ai des bons souvenirs, ça me suffisait peut être ? De toute façon je voyais pas vraiment ce que je pouvais faire d'autre dans ma situation.
_ Quelle situation ? interroge sincèrement Izuku en inclinant la tête sur le côté.
_ Bah. dit-il comme une évidence en pointant du menton vers ses jambes inutilisables.
Le front d'Izuku se plisse alors dans ce qui ressemble à un effort de réflexion, juste avant qu'un éclat ne traverse ses yeux comme une révélation, et il bat momentanément des cils en ouvrant la bouche.
_ Tu penses que tu ne peux pas avoir .. d'autres fréquentations ? D'autres amis ? Te faire aimer ? Pourquoi ? Pour ton fauteuil ? Tu sais, ça change rien à ta personne.
Marquant une pause, Izuku lève un instant les yeux vers le plafond, à la recherche de la bonne formulation dans les éclats de peinture blanche, en même temps que sa bouche s'ouvre et se ferme en signe d'hésitations multiples.
Sa langue se claque à son palais, puis il humecte ses lèvres, et ses épaules retombent d'un coup quand il se lance enfin, ramenant son regard sur son interlocuteur perplexe et attentif.
_ On est plus au lycée tu sais. Ce genre de mentalité à la con, à penser qu'une personne ne vaut plus ce qu'elle est parce qu'elle est différente, ça ne devrait plus exister. Et si c'est le cas, alors ces gens valent pas grand chose à mon sens. Mais ça ne sert à rien de rester bloqué sur des idées comme celle ci. Quand je t'ai vu à la soirée, j'ai vu un mec hein, pas un fauteuil. Et quand je te parle, comme maintenant, je m'adresserais à toi de la même manière que tu sois assis ou debout. Tu as cru que tu ne pouvais aller nul part ailleurs ? Que personne ne voudrait de toi pour ça ? Tu sais, c'est pas parce que toi tu portes un mauvais regard sur toi-même, que tout le monde porte ce même regard sur toi.
La tirade terminée, Katsuki ne peut que le dévisager en clignant des yeux, bien infoutu de trouver une réponse à donner.
Que pourrait-il même répondre à ça du reste ?
Chacun des mots qui lui traversent l'esprit lui paraissent bien fades à côté d'un tel discours, et finalement, la meilleure chose à faire reste sans doute de ne rien dire du tout.
Il suffit qu'il incline un peu le menton, signifier qu'il l'a entendu sans pour autant affirmer qu'il y croit déjà, et avec un peu de chance, Izuku lui sourira en guise de conclusion.
_ Alors. reprend néanmoins son ami. Laisse les loin derrière toi, suffisamment loin pour que tu n'aies plus à croire des trucs à la con, et .. et je sais pas, va de l'avant ? C'est comme ça qu'on dit non ?
_ J'ai déjà entendu ça quelque part oui je crois. ironise Katsuki pour adoucir la pression de cette conversation. A la télé ou un truc du genre.
L'ambiance suit sa réplique, et l'atmosphère se détend d'un premier cran, calmant les tremblements dans ses mains et les vibrations dans l'air autour de lui.
Izuku étire un large sourire à sa mâchoire, et ses iris brillent différemment.
Comme une nuance nouvelle surgissant d'entre les autres, un peu plus claire et plus douce, sa lumière résonne moins artificiellement l'espace d'une seconde, Katsuki en aurait presque l'impression d'avoir assisté au passage furtif d'une étoile filante, d'avoir entraperçu une lueur secrète et profonde, le temps d'un clignement de cils avant sa disparition.
_ T'as faim ? renchérit-il en éclaircissant sa voix, sentant son ventre chuchoter un appel.
_ Hum, t'es pas obligé, je peux rentrer manger.
Secouant la tête en levant les yeux au ciel, Katsuki fait rouler son fauteuil sans lui laisser le temps d'argumenter davantage, l'invitant -lui ordonnant- au passage à le suivre jusque dans sa cuisine.
Derrière lui, il perçoit l'hésitation silencieuse de son invité, pourtant, celui ci finit par céder, quittant l'assise du canapé pour l'accompagner dans la seconde pièce.
Sans tergiverser outre mesure, il s'avance vers le frigo, analysant ce qu'il y trouve en réfléchissant à ce qu'il pourrait composer avec et, prit dans son occupation, il ne remarque pas tout de suite le grondement dans l'air qui s'élève en secret.
Pourtant, dans son dos, Izuku s'agite déjà, tournant près de la table, aux abords des deux chaises jamais utilisées, et ses épaules se contractent à mesure qu'il cherche sa respiration entre deux quintes de toux nerveuses.
Ses gestes lui échappent sans doute, puisqu'il bute accidentellement dans un meuble en reculant d'un pas, avalant sa salive en détournant le regard, et Katsuki ne réagit qu'à cet instant, pivotant ses roues dans sa direction pour lui lancer un regard.
_ Euh, ça va ?
Il s'en inquiète un peu à vrai dire, à le voir tout à coup plaqué contre le plan de travail, les yeux fuyants et les mains dans les poches comme pour s'empêcher de les bouger.
Même en dessous de son tee shirt, il peut voir la contracture de ses abdominaux, son ventre serré d'une angoisse ravalée ou difficile à dissimuler, et il semble même qu'il en perde sa capacité à inspirer et expirer dans le bon ordre.
_ Oh, euh. fait-il mine de se reprendre en tordant sa bouche d'un grimace. Dis, je peux .. c'est pas très poli mais j'ai besoin de prendre une douche et je ..
_ T'en as pris une avant de venir, non ?
En témoignent même ses cheveux encore légèrement humides sur son front, et les boucles tout juste reconstituées près de ses tempes.
Mais sa réponse semble stresser davantage Izuku, qui ferme ses poings dans les poches de son jean, Katsuki en perçoit les reliefs à travers le tissu.
Puis il le voit se tortiller du dos, grignoter frénétiquement l'intérieur de ses joues et, malgré son regard détourné, il parvient à le deviner complètement absent, déconnecté de son environnement et de toute forme de raisonnement.
_ Oui tu peux, corrige t-il alors dans l'incompréhension la plus totale, vas-y c'est .. la première porte dans le couloir.
Et Izuku hoche la tête sans rien dire, avant de s'esquiver rapidement, la nuque tendue au possible et la démarche chaotique.
Depuis le frigo, Katsuki le regarde partir, puis écoute ses pas traverser le couloir, la porte de la salle de bain grincer doucement avant de claquer, et l'eau se mettre en route immédiatement.
C'est vrai, ça l'inquiète un peu, parce qu'Izuku a quand même l'air de ne pas aller bien du tout subitement.
Mais il reconnait aussi une curiosité certaine, alors qu'il espère obtenir des informations quant à cette réaction soudaine dès que son ami reviendra.
Il n'a pourtant pas souvenir d'avoir dit ou fait quelque chose de mal ou de bizarre, et cette crise subite le laisse absolument pantois, encore plus quand il se rend compte qu'elle semble s'étirer, et s'étirer encore.
Parce qu'Izuku ne revient pas, et les minutes s'entassent au delà du quart d'heure, puis de la demi heure alors que l'eau continue visiblement de couler dans la pièce, et Katsuki commence doucement à se demander s'il ne s'est pas tiré par la fenêtre ou quelque chose du genre.
Alors, poussé par ses questions, il gagne à son tour la salle de bain, s'approchant autant que possible de la porte pour capter quelques sons, et les échos d'agitation qu'il perçoit, mêlés au ruissellement du jet contre la paroi, lui font froncer les sourcils en même temps qu'il décide de cogner contre le bois pour interpeller l'occupant de la pièce.
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Hey !
On avance encore, et d'ailleurs l'histoire sera bientôt terminé 😬
Pour une fois, je vais répéter ici ce que j'ai expliqué sur mon profil parce que ça me parait important.
J'ai terminé d'écrire Breathe me, et elle comporte au total 16 chapitres, il en reste donc 4.
Puisqu'elle est terminé, je publierai un chapitre par jour jusqu'au dernier, donc mercredi.
Ensuite, je prendrai quelques jours de préparation, et le premier chapitre de Smile Hunter débarquera samedi ! ( Oui ! Enfin ! )
Je suis autant stressée que pressée de commencer cette aventure de malade avec vous !
Ensuite, j'ai ajouté deux nouvelles publications à mon catalogue d'histoires à venir, que vous pouvez donc aller consulter, mais j'y ai également ajouté toutes les couvertures avec cette fois ci.
Vous pourrez donc, si vous le voulez, retourner sur les résumés de Numéro 9, Double U, et Smile Hunter, pour en découvrir les couvertures en avant première, en plus de celles des deux nouveaux arrivants sur le catalogue 🎉
D'autres projets continueront d'arriver sur ce répertoire, mais je les ajouterai au fur et à mesure, afin de ne pas me retrouver avec un recueil d'histoires à venir encore plus long que ma liste d'histoires publiées.
Là dessus, je vous embrasse ! 😘
A demain, et prenez soin de vous ❤
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