Chào các bạn! Vì nhiều lý do từ nay Truyen2U chính thức đổi tên là Truyen247.Pro. Mong các bạn tiếp tục ủng hộ truy cập tên miền mới này nhé! Mãi yêu... ♥

L'affaire de la disparition du Roi des Joyaux (part 2)




Chapitre 2 : Le jeu de l'attente


Le trajet du retour avait paru interminable aux yeux de Dazai qui vibrait sur le siège passager. Hirotsu, quant à lui, gardait un œil sur l'adolescent qui avait plus d'énergie qu'une pile électrique. Le vétéran reconnut immédiatement que le démon prodige était sur le sentier de guerre, tripotant furieusement ses bandages et les yeux cachés par le bord en feutre du chapeau de son partenaire. Dazai avait donné plusieurs ordres au vieil homme une fois qu'ils s'étaient mis à l'abri de la pluie. Il avait d'abord contacté Akutagawa, l'ordonnant de les rejoindre dans le sous-sol avec l'ordinateur portable du cadre. Il avait ensuite prévenu les administrateurs en charge de l'hôpital privé de la mafia, les prévenant qu'il fallait garder une salle d'opération prête et que les meilleurs médecins et chirurgiens soient à disposition du prochain patient. Enfin, une escouade complète devait être prête et les attendre au sous-sol du quartier général, ce qui équivalait à trois fourgons blindés.

Un chronomètre s'était lancé dans l'esprit du jeune homme : les secondes ne cessaient de défiler et chaque minute qui passait était un échec. Dazai savait être patient, mais pour ce genre de cas, il avait besoin de réponses immédiates afin d'alléger le poids du fardeau installé sur ses épaules.

Un silence lourd planait dans l'habitacle. Le démon prodige fredonna soudainement et claqua des doigts, faisant visiblement sursauter le conducteur. Il retira le chapeau de sa tête et le fit tournoyer sur ses doigts. Il finit par sortir son téléphone portable et composa rapidement un numéro.

« Oui, ici Dazai~. Pourriez-vous nous prêter une de vos ambulances avec quelques professionnels ? Hum, je comprends que vous êtes débordés, mais je ne vous demandais pas vraiment. Vous êtes nouveau, non ? Bien, maintenant que nous sommes sur la même page, demande à Sato de les rejoindre. Merci~. »

Une fois l'appel passé, l'étrange énergie qui s'était emparée du jeune cadre disparut tout aussi soudainement. Le chapeau prit place sur les genoux et des doigts grêles caressaient doucement le ruban rouge. La luminosité baissa brusquement : la voiture était entrée dans le parking souterrain du quartier général.

La voiture se gara lentement, devant une rangée d'hommes armés jusqu'aux dents. Devant eux, Akutagawa Ryunosuke attendait patiemment l'arrivée de son mentor, l'ordinateur portable demandé calé sous son aisselle.

Ils avaient mis 2 220 secondes pour revenir au quartier général. Ce qui avait été bien trop long au goût du démon prodige, mais ils n'avaient pas le choix. Courir partout comme des poulets sans tête et rompre les règles du Code de la route n'allaient que peindre une cible sur leurs dos. Ils devaient agir normalement, comme s'ils n'avaient pas remarqué la disparition du Roi des Joyaux, un mal nécessaire pour atteindre leur objectif.

Dazai ouvrit simplement la portière en grand et claqua des doigts. Un homme de main arriva rapidement à son niveau. Le brun lui tendit le fedora en feutre noir et chuchota quelque chose à l'homme mûr. Ce dernier pâlit et s'inclina rapidement, tenant le chapeau comme si c'était une bombe qui pouvait exploser à tout moment. Il s'écarta rapidement de la voiture et se dirigea vers une autre voiture. Dazai se moqua devant la lâcheté de l'adulte : il avait uniquement ordonné à l'homme de ramener le fedora moche dans l'appartement de Chuuya, en ajoutant une simple menace si l'homme était plus curieux que nécessaire.

Son œil brun se porta ensuite sur son apprenti qui attendait les ordres comme un bon chien. Avec une simple inclinaison de la tête, le garçon comprit l'ordre implicite et se rapprocha rapidement de son maître. Il lui tendit l'ordinateur portable encore fermé. Dazai le récupéra sans un second regard et l'ouvrit rapidement. Il l'alluma et entra rapidement son mot de passe beaucoup trop long. L'horloge au fin fond de son esprit ne cessait de tourner.

Il finit par ouvrir une application qui dévoila un fond grisâtre avec une barre de recherche au centre. Il sortit le traceur qu'il avait récupéré du fedora de sa poche de pantalon. Au dos du traceur, gravé sur le métal, se trouvait une série de chiffres et de lettres qu'il n'avait pas pris la peine d'apprendre. Consciencieusement, il recopia le code dans la barre et lança la recherche une fois fait. La page devint totalement blanche et un cercle bleu se remplit lentement.

5%...

Il attendit en silence, déterminé à comprendre à quelle vitesse avancerait la recherche. Il grinça des dents en voyant la lenteur du chargement, mais se résolut. Hirotsu et Akutagawa, à ses côtés, n'osèrent bouger d'un pouce.

16%...

La barre progressa légèrement, c'était à 11 % en cinq minutes. Il claqua de la langue, visiblement frustré par l'attente et il sentit plus qu'il ne vit les hommes de main du Lézard Noir se tendre en entendant son impatience.

24%...

Excellent, se dit-il. Il fallait les mettre sur les nerfs. La mission demandait une réaction instantanée et il ne s'arrêtait pas pour les retardataires. Surtout avec la vie de la bombe nucléaire de la mafia portuaire en jeu. Mais si seulement ce chargement pouvait être plus rapide.

39%...

Il entendit une voix déformée par une radio demander l'autorisation de rentrer dans le parking. L'autorisation a été immédiate et une ambulance blanche entra dans l'antre des loups sans hésiter. Elle se gara non loin de la voiture de Dazai. Le démon prodige garda l'œil rivé sur l'écran, triturant ses neurones pour déterminer si la connexion était mauvaise du côté du récepteur ou de l'émetteur. Logiquement, il pencha pour l'émetteur, car la mafia portuaire était à la pointe de la technologie et les choses telles que la connexion internet était une chose précieuse et devait continuellement être au maximum de leurs capacités.

51%...

Un homme dans la cinquantaine sortit de la porte passager de l'ambulance. Il avait un début de calvitie et portait une blouse blanche. Il remarqua rapidement Dazai toujours concentré sur la barre de recherche. Il se dirigea vers lui avec un pas déterminé, enfilant des gants en latex blanc et prêt à se mettre au travail. C'était Sato Kenzo, le meilleur médecin urgentiste employé par la mafia portuaire. Il travaillait rarement sur le terrain, préférant la sécurité des salles d'urgences. Sauf dans certains moments, où il fallait la crème de la crème pour soigner les personnes les plus importantes.

« Vous m'appelez rarement de votre propre chef, monsieur. Pourriez-vous me dire où vous avez été blessé, que je puisse appliquer les premiers soins maintenant ? »

67%...

Dazai leva son œil rouge vers le médecin urgentiste qui avait eu la charge de ses premiers soins quand il ressortait d'une torture après avoir joué à l'appât. Toutes les séances de tortures avaient été mises en place par le démon prodige afin d'être déplacé chez les ennemis et trouver des informations, mais il ressortait parfois avec un corps complètement brisé. Présent à chaque fois, attendant à l'extérieur de la zone dangereuse, Sato était l'homme qui le stabilisait avant qu'il ne soit conduit à l'hôpital. Il était excellent dans son travail. Et Dazai ne doutait pas qu'il allait effectuer un excellent travail plus tard. Il lui adressa un sourire penaud.

« Je suis désolé de vous l'apprendre, docteur, mais je ne suis pas votre patient aujourd'hui. »

79%...

Les sourcils fins de l'homme se froncèrent et il se pencha en avant. Le médecin salua Hirotsu d'un hochement de tête et laissa son regard virevolter dans la voiture. Faisant chou blanc, il se releva et dévoila sa grande taille, bien différente de la hauteur du Japonais moyen. Il cherchait visiblement quelqu'un.

« Je ne vois pas votre partenaire. Dois-je supposer que je suis ici en tant que mesure préventive pour votre prochaine mission ?

- Si seulement, docteur Sato. C'est votre nouveau patient. Soyez gentil avec lui, c'est un chien plutôt craintif. Vous savez comment ils sont quand ils sont blessés. »

91%...

Le regard perçant se reporta une fois de plus sur l'adolescent et les lèvres fines se pincèrent. Sato avait une étrange relation avec Chuuya : le rouquin était souvent aux côtés d'Osamu quand le médecin arrivait sur les lieux. Son chien était continuellement sur ses gardes quand le démon prodige sortait d'une torture et aboyait sur toutes les personnes qui s'approchaient trop près de son maitre. Le brun était dans son état le plus vulnérable et, pour son cerveau un chouïa petit, c'était une raison suffisante pour que tout le monde fut un potentiel ennemi.

La première fois que Sato avait eu la charge de soigner Dazai accompagné de son chien de garde, il a failli se faire casser le nez par un rouquin sur les nerfs. Il avait simplement entendu son partenaire gémir à cause d'une manipulation obligatoire, mais douloureuse. Il n'avait cessé de crier sur le médecin, cherchant à protéger Dazai sans pour autant pouvoir faire quelque chose. Sato, patient, avait laissé l'affaire couler. La deuxième fois, le ballet avait recommencé. Au bout de la troisième fois, l'homme avait craqué sur le rouquin. S'ensuivit un match hurlant entre les deux hommes, un Dazai allongé et épuisé entre eux. Le démon prodige s'était évanoui et il n'avait jamais eu vent du fin mot de l'histoire, à son grand regret.

Depuis, le rouquin se taisait quand le médecin arrivait. Mais son regard était mortel, promettant une souffrance interminable si un mauvais choix était effectué. Il en était de même pour Sato qui était sur ses gardes dès qu'il voyait le poméranien en colère.

Mais il restait un professionnel. Et Dazai ne priverait pas son partenaire des meilleurs soins possibles juste à cause d'une étrange rivalité entre les deux hommes.

100%...

Une sonnette retentit depuis l'ordinateur portable et l'œil brun se reporta immédiatement sur l'écran. Après 1 286 secondes, il avait enfin le résultat.

Une carte en deux dimensions s'étala sur l'écran, dévoilant la cote de Yokohama. Un point rouge s'affichait non loin du port et du territoire de la mafia portuaire. Étonnamment, ce n'était pas très loin du lieu où Chuuya avait été enlevé. Cela montrait juste que c'était un travail d'amateurs qui ne connaissaient clairement pas les limites de la mafia portuaire et qui avaient été persuadés qu'ils ne chercheraient pas au plus près.

« Ils sont dans le quartier de Tsurumi. Je veux que le bâtiment soit quadrillé dans l'heure et tout le monde prêt pour l'extraction. Akutagawa, tu feras partie de l'équipe d'assaut. Sato, tu partiras en même temps que moi, je ne veux pas que tu deviennes une cible. Hirotsu, tu restes avec moi. Les coordonnées sont sur vos téléphones. »

Un bruit de notification perça le lourd silence. Personne n'osa bouger. Dazai claqua de la langue, impatient.

« Exécution. »

Les sous-fifres partirent immédiatement, créant un bruit tumultueux dans le sous-sol. Des camionnettes démarrèrent, les moteurs ronronnant dans la pièce et les pneus crissèrent sur le sol en résine polyuréthane. Dazai soupira et laissa son crâne reposer sur l'appui-tête. Le conducteur de la voiture se tourna vers lui en silence, attendant les ordres. Le brun laissa ses yeux se fermer quelques secondes, le temps que le léger mal de crâne qui le titillait depuis des heures déjà se calme. Midi était passé depuis maintenant une heure et son corps devait sûrement réclamer les nutriments qui lui manquaient depuis deux jours. Chuuya aurait déjà oublié son bento sur son bureau, rempli d'une salade sunomono au crabe fraichement préparé le matin.

Mais, l'heure n'était pas aux hypothèses et aux rêveries.

Il commença à feuilleter dans sa mémoire les possibles groupes adverses. Les yakuzas Tokyo était plutôt mécontente de la dernière expansion de territoire de la mafia portuaire dans la capitale, mais ce n'était pas suffisant pour kidnapper le Roi des Joyaux. Kyoto était étrangement calme depuis quelques semaines, probablement à cause de la guerre de succession qui faisait rage entre les grandes familles. La triade chinoise et les mafias coréennes étaient toujours aussi obligeantes avec eux. Les petits gangs qui cherchaient à s'installer à Yokohama étaient instantanément annihilés et la politique de l'entreprise réduisait à néant les témoins. De plus, les gangs ne rentraient jamais en contact avec le Roi des Joyaux. En réalité, peu de personnes connaissaient le visage de Chuuya en tant que Roi des Joyaux, excepté...

« Hirotsu. L'appela Dazai en rouvrant brusquement les yeux. Est-ce qu'une des transactions de Chuuya a résulté un échec récemment ?

-Pas que je sache, réfléchis le vieil homme. Bien que je me souvienne d'une fois où il se plaignait de potentiels vendeurs qui avaient essayé de lui faire acheter de la contrefaçon. Un groupe étranger, des occidentaux si ma mémoire est bonne, mais cela remonte à quelques mois déjà. »

C'étaient eux. Dazai se souvenait avoir lu le rapport en diagonale : des vendeurs d'Europe de l'Est avaient proposé de vendre leurs pierres précieuses à la mafia portuaire. Les diamants, les saphirs, les rubis et les émeraudes étaient tous faux. Chuuya l'avait immédiatement remarqué quand il les avait rencontrés pour discuter des conditions du contrat et qu'ils avaient apporté des pièces témoins. Il avait été étonnamment diplomate, les menaçant simplement quand ils s'étaient enfuis de la salle de réunion. Il avait piqué une crise dans la soirée quand il était rentré à l'appartement qu'ils partageaient. Cela avait mené à une séance de détente plutôt torride, aimablement proposé par Osamu.

(Dazai ne s'était pas inquiété outre mesure : les routes commerciales qu'il avait mises en place à seize ans étaient sûres et il avait autre chose à faire que de rencontrer des partenaires commerciaux de la mafia portuaire, préférant déléguer la filière à Chuuya. Le rouquin travaillait relativement bien : il avait développé un œil critique et avait appris ce que Kouyou qualifiait de « sourire commercial ». La flamme de la colère du rouquin n'était plus aussi facilement rallumée, un privilège qu'Osamu gardait jalousement : la rage de Chuuya était la chose la plus honnête dont il avait été témoin depuis sa naissance.

Il aimait irriter son partenaire jusqu'à ce qu'il explose, il avait besoin d'être témoin de son humanité. Rien n'était plus beau lorsque son partenaire abattait des armées à la seule force de ses coups de pied. Rien n'était plus envoutant que le pouvoir brut qui s'emparait de lui quand il relâchait les sceaux qui scellaient le dieu de la destruction. Rien n'était plus fascinant que le soin qu'il lui portait quand il trouvait Osamu dans ses moments les plus vulnérables et autodestructeurs. Rien n'était plus captivant que ses yeux fiévreux de désir, un corps brûlant de besoin et des lèvres qui allumaient un feu ardent dans l'âme d'Osamu. Il avait soif de cette flamme de vie et d'humanité et comme un trou noir, il voulait avaler l'essence même du vaisseau divin.

Le démon prodige contrôlait son corps, les gens et son environnement pour qu'ils soient pliés à ses désirs et ses stratagèmes. Il était cependant incapable de dompter ses sentiments pour l'autre moitié de son âme. Un constat qui l'avait envoyé dans une spirale descendante, seulement pour être rattrapé par la personne même qui avait initié sa frénésie maniacodépressive. Il ne pouvait pas se permettre de ressentir de l'affection pour qui que ce soit, surtout pas pour une personne aussi proche de l'entourage de Mori et prêt à s'envoyer à l'abattoir à cause d'un ordre. Il était terrifié, mais paradoxalement, il se sentait terriblement puissant avec Chuuya à ses côtés. Ainsi, il avait réalisé que son partenaire était bien plus courageux que lui pour avoir vu le monstre qu'il était et ne pas s'être enfui. Des hommes moindres et plus raisonnables l'auraient fait. Mori l'avait fait. Osamu l'aurait fait. Mais, encore une fois, Chuuya n'était pas n'importe qui.)

Cependant, le groupe était trop lâche pour essayer quelque chose d'aussi dangereux par lui-même. Ils avaient donc engagé un intermédiaire : des mercenaires. Le groupe de GSS avait disparu depuis longtemps, les restes de la Girafe Blanche étaient éparpillés loin de Yokohama et aucun mercenaire étranger n'avait atterri à Yokohama ces dernières semaines. Il devait en conséquence se référer à une personne qui savait tout. Bien qu'il ait atterri directement sur le répondeur de son correspondant, il laissa un message, déjà au courant que son ami était en pleine transaction.

« Ango, j'ai besoin de savoir quel groupe de mercenaires a décidé d'être plus actif ces dernières semaines à Yokohama. »

Dazai raccrocha aussitôt son ordre émis. Il observa pendant un long moment l'écran de son ordinateur portable, le point rouge clignotait régulièrement, toutes les quelques secondes. Le brun perdit rapidement la trace du temps, ses méninges travaillant pour imaginer de nombreuses hypothèses plausibles. Bien plus tard, 2 480 secondes plus tard, son portable vibra violemment dans sa main et il décrocha sans prendre le temps de lire le nom du correspondant.

« Rapport.

- Le bâtiment est sécurisé et les civils ont été évacués comme vous l'avez ordonné monsieur Dazai.

- Du mouvement ?

- Les fenêtres sont condamnées, les portes sont barricadées et il n'y a aucun mouvement provenant du rez-de-chaussée. Il semble complètement abandonné.

- Qu'en dit notre spécialiste ?

- Il y a trop d'êtres vivants pour savoir si monsieur Nakahara ou un être humain est dans le bâtiment. Mais il dit qu'il y a un bruit de fond ressemblant à celui d'un cœur humain.

- D'accord, faites-vous discrets, mais je veux que l'entrepôt soit une zone interdite : personne ne rentre ou ne sort tant que je ne suis pas là. C'est un ordre. »

Il raccrocha sans entendre l'acquiescement d'Akutagawa et exigea au conducteur de partir au point de rendez-vous. L'ambulance les suivit aussitôt qu'ils démarrèrent. L'ordinateur portable fut mis en veille et posé sur la plage arrière qui cachait le coffre. Bien qu'il doutât de rencontrer une quelconque résistance, Dazai vérifia que son arme était bien chargée. Il joua avec la sécurité jusqu'à ce qu'ils atteignissent la destination, muettement amusé par la peur du conducteur.

Tic, tac.

L'esprit de Dazai continuait de marquer les secondes, inlassablement.

Ce fut 1 680 secondes plus tard, à 14 h 31, qu'ils arrivèrent au point de rendez-vous.

Bạn đang đọc truyện trên: Truyen247.Pro