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Bonus 💙

— Lana, dépêche-toi !

— Oui, oui, râla-t-elle en fermant la porte de la salle de bain.

Elle adorait son père, mais elle détestait être pressée alors même qu'elle agissait de la même manière. Avec rapidité, elle quitta sa tenue de foot et sauta sous le jet brûlant de la douche. Âgée dorénavant de douze ans, elle avait conscience que sa famille n'était pas des plus ordinaires. Vivre avec ses deux pères et l'amant de l'un était sûrement la chose la plus déroutante dans ce monde. En tout cas, dans celui de ses amis. Habituée depuis sa jeunesse, elle préférait amplement ce quotidien atypique plutôt que celui si "normatif" de ses camarades. Au moins était-elle passée de la fille "bizarre" à la fille la plus "cool" de son collège. Son caractère n'était pas en reste : avec trois hommes à la maison, elle avait appris à ne pas se laisser faire. Son franc-parler et sa répartie en mouchait plus d'un.

Elle ressortit toute pimpante et se sécha rapidement avant d'enfiler des sous-vêtements. Peu pudique pour un sou - il fallait dire que les vestiaires des filles après ses séances intensives de sport avaient tôt fait de la décomplexer - elle sortit en se malaxant les cheveux à l'aide de sa serviette.

Martin pila sur le pas de sa chambre et leva les yeux au ciel en soupirant. Il avait bien vieilli et restait toujours aussi beau aux yeux de sa fille. La couleur enflammée de leur chevelure ne laissait aucun doute à leurs liens de parenté, ni même leur visage assez ressemblant.

— Lana... combien de fois dois-je te dire de t'habiller avant de sortir de la douche ? Tu n'as plus quatre ans !

— C'est vrai, j'en ai douze maintenant ! répliqua-t-elle, un sourire éclatant sur le visage.

Son père lui envoya un regard las, puis resserra sa cravate sur son costume d'un bleu pastel. Lana n'avait qu'une envie : attacher un cadenas à la porte d'entrée afin qu'aucune femme ne lui mette le grappin dessus. Le rouquin avait beau spécifier qu'elle était le seul amour de sa vie, la jeune fille avait bien grandi et depuis longtemps compris que son père ne laissait pas le voisinage indifférent. Après tout, il était un jeune père plutôt agréable à regarder qui se comportait de façon adorable avec sa fille tout en ayant un job convenable dans une entreprise du coin. Un bon parti, de ce fait.

— Lana..., commença Martin, excédé.

— C'est bon ! ronchonna-t-elle en boudant de cette mine adorable qui faisait fondre n'importe qui. Tonton Hugo pratique le nudisme.

Martin écarquilla les yeux et s'étouffa avec sa salive avant de répliquer, la suivant jusque dans sa chambre :

— Il ne pratique pas du tout le nudisme ! Et quand bien même, tu es une jeune fille en pleine floraison. Il y a un âge où tu ne peux plus te balader comme ça.

— Roh, t'es pas cool... vous êtes tout le temps en caleçon quand il fait trop chaud !

Il se massa les tempes en sentant la migraine pointer le bout de son nez. Elle n'avait pas tort, malheureusement. Combien de fois avaient-ils abandonné les vêtements pour se prélasser devant le ventilateur dans l'espoir d'avoir un peu d'air frais ? Malgré tout, il trouvait cela différent puisque ça concernait sa fille. Une pensée sûrement primaire et injuste, mais son bébé grandissait bien trop vite à son goût.

— Bref, dépêches-toi de t'habiller.

— Oui, oui..., bougonna-t-elle.

Il ressortit pour terminer de se préparer et Lana ouvrit son armoire avec un sourire ravis. La robe bleu ciel qui trônait dans sa penderie n'attendait plus qu'elle. Surexcitée, elle avait traîné les trois hommes de sa vie dans tous les magasins pour trouver LA robe de princesse qui lui donnerait l'impression de vivre un rêve en ce jour.

Cette dernière était sans manche et son haut était blanc parsemé de petits faux diamants. La taille était entourée d'un ruban bleu ciel sur lequel trônait en son centre un dessin sophistiqué d'une fleur. La jupe était longue et en tulle, d'une couleur aussi claire que la ceinture, et le bas de la robe était drapé de belles broderies en forme de lys.

Lana l'enfila avec prudence pour ne pas l'abîmer et s'observa dans le miroir avec un sourire ravis.

— Papa ! hurla-t-elle.

Il débarqua quelques minutes plus tard sur le pas de la porte et l'observa avec attendrissement. Son petit poussin était magnifique.

— Tu es très belle.

— Merci, rit-elle. Tu peux me l'attacher ?

— Bien sûr, mon ange.

Martin franchit les mètres qui les séparaient et remonta la fermeture-éclair dans son dos. Il déposa ses mains sur les épaules de l'enfant et contempla leur reflet. Dans quelques années, peut-être se tiendrait-il de la même façon, un jour presque similaire, à marier la source de son bonheur. Cette pensée lui tira de la tristesse mais aussi de la peur et de l'amour. Il ne voulait pas voir son unique fille quitter le nid, mais il serait heureux si elle l'était.

— Tu peux m'attacher les cheveux ?

— Hugo a dit qu'il s'en occuperait.

Lana arqua un sourcil, surprise, et poussa un cri de joie en apercevant le châtain devant sa chambre. Elle courut vers lui pour se jeter dans ses bras et fourra son nez contre la chemise blanche du pâtissier. Il sentait toujours incroyablement bon. Les bras d'Hugo se refermèrent dans son dos et il lui déposa un baiser sur le sommet du crâne.

— Qu'est-ce que tu fais là ? s'exclama-t-elle en sautillant sur place. Et pap's ?

— Pap's est occupé, on le rejoint après, sourit-il en balayant ses cheveux d'une main. Et je suis plus doué que Martin pour la coiffure que tu as demandé.

— C'est sûr que papa ne sait faire que des couettes ou des nattes, se moqua-t-elle.

— Allez-y, moquez-vous, souffla le rouquin en croisant les bras, faussement agacé.

Hugo, espiègle, plissa les yeux et ricana. Il suivit Lana qui s'assit devant le miroir et, en prenant sa chaise de bureau, il se plaça derrière elle munit d'une brosse, d'élastiques et de petites fleurs en plastique d'un blanc pur. Martin les observa avec un sourire, amusé de leur complicité. Au tout début, rien n'aurait pu prévoir que ces deux-là s'entendraient aussi bien. Il était heureux de constater que le temps avait su faire son œuvre.

Le châtain s'était fait tout beau aujourd'hui. Il avait bien essayé de mettre un peu d'ordre dans sa chevelure, mais c'était sûrement la seule chose qui ne se disciplinerait jamais. Son costume aussi pastel que celui de Martin mettait en lumière son teint bronzé. En emménageant dans cette ville, le rouquin avait découvert de nouvelles choses sur son ami.

L'amour avait particulièrement réussi à Arthur. Bien que ce dernier soit naturellement taciturne et terre à terre, la folie d'Hugo l'avait amené à s'ouvrir et à s'autoriser quelques écarts. Il avait notamment repris le surf, ce qui plaisait énormément au châtain qui passait plus de temps à admirer la silhouette de son amant sur les vagues, qu'à concourir contre lui. Cette proximité avait également permis à Arthur de renouer les liens avec sa famille. Il se voyait bien plus souvent qu'avant et la relation presque à contre-sens entre les deux frères semblait avoir repris sa place depuis l'annonce de son couple avec Hugo. À croire que son amour à "sens unique" avait bloqué de nombreuses choses dans sa vie.

— Et voilà ! s'exclama Hugo en levant les mains.

Les cheveux roux de Lana lui tombaient en cascade dans le dos, retenus par une couronne tressée à l'arrière du crâne magnifiquement décorée avec les accessoires que ses parents lui avaient acheté dans la semaine.

— Merci ! s'exclama la jeune fille en l'enlaçant.

Hugo était toujours touché quand Lana faisait ainsi preuve de tendresse envers lui. Il n'avait pas besoin d'être rassuré quant au fait qu'elle l'acceptait dans sa famille, mais un rappel de temps à autre ne lui faisait jamais de mal.

— Bon, on devrait y aller, indiqua Martin en consultant la montre qui trônait à son poignet.

— Oui, oui ! s'enthousiasma Lana en prenant leurs mains pour les tirer en dehors de la pièce qu'elle avait décoré selon ses goûts ; un mélange de féminité et de masculinité qu'elle affectionnait. Pap's doit nous attendre.

— Sûrement, rit le rouquin en enfilant sa veste de costard. Et il serait malvenu que le marié se pointe en retard à son propre mariage.

Les joues du châtain s'empourprèrent sous le regard moqueur de son colocataire. Il allongea le pas et sortit de la maison pour s'installer dans sa voiture. Après huit ans de vie commune, Arthur avait pris son courage à deux mains pour demander à Hugo de partager sa vie, jusqu'à ce que la mort les sépare. S'il s'était écouté, le boulanger aurait sûrement franchi ce pas il y a belle lurette, mais il craignait de trop brusquer son homme. Résultat : il avait sauté de joie avant de l'embrasser passionnément.

Aujourd'hui, leur vie changerait à nouveau. Ce n'était pas qu'une bague ou qu'un papier signé sur le dos d'une table devant le maire, c'était aussi le signal d'un nouveau départ. Après en avoir longuement parlé entre eux, ils avaient tous confronté Lana pour évoquer la possibilité de quitter la maison. Pas définitivement, Arthur ne s'y résoudrait jamais. La maison voisine à la leur était en vente puisque le couple de retraités venaient de décéder cette année-là, aussi avaient-ils suggéré de la racheter et d'abattre la haie qui séparait les deux demeures afin de les faire communiquer. Ils avaient également convenu de prendre leur repas ensemble et, sur les demandes de Lana, avaient arrangé leur quotidien autour de l'enfant.

Peut-être était-ce une condition égoïste, mais Lana n'en restait pas moins immature malgré son âge et son vécu. Au final, le bail venait d'être signé un mois plus tôt. De façon progressive, ils s'étaient peu à peu installés dans la maison voisine, mais rien ne changeait vraiment. Lana avait conscience que la chambre au bout du couloir n'était plus utilisée, mais elle voyait si souvent son pap's et son tonton Hugo qu'elle n'avait pas l'impression que la situation s'était modifiée. Et cela lui convenait parfaitement ! D'autant plus qu'elle avait une chambre dans les deux demeures, de quoi lui créer deux cocons de bonheur.

Ils arrivèrent près d'une falaise qui donnait une vue imprenable sur l'océan, un spot particulièrement prisé par nombre de couples afin de célébrer leur union. En posant le pied sur l'herbe fraîche, le palpitant d'Hugo s'emballa. Il allait se marier. Avec Arthur. La réalité de la situation le frappa avec tellement de force qu'il oublia de respirer. Son histoire d'amour avec son meilleur ami était digne des romances à l'eau de rose qui passaient souvent à la télévision - s'il mettait de côté le fait de vivre en colocation avec un homme et sa fille. Malgré ces huit années écoulées, il lui arrivait de ne pas croire en sa fortune. Arthur avait mis ses craintes de côté pour leur laisser une chance. Un rêve devenu réalité.

La main de Lana se glissa contre sa paume et le sortit de ses pensées. Elle lui offrit un petit air canaille qui tira son propre sourire et il la suivit docilement en montant la côte qui donnait sur une petite clairière aménagée. Les invités étaient déjà présents et conversaient tranquillement, non loin des nombreuses chaises qui leur serviraient dans plusieurs minutes, face à une arche faites de fleurs et de coquillages - œuvre fabriquée par l'artisan du coin.

Machinalement, il caressa son annuaire de son pouce à l'emplacement même où aurait dû se situer sa bague de fiançailles. Il était tellement habitué à la porter que ne plus l'avoir lui donnait une sensation de perte. Dans quelques heures, elle reprendrait sa place et l'excitation fit battre son cœur un peu plus fort.

— Où est pap's ? ronchonna Lana en détaillant sa famille.

— Là, regarde ! indiqua Martin en désignant son ami en pleine conversation avec Noémie.

En apprenant l'emménagement de son ex-fiancé avec l'homme pour lequel il l'avait abandonné devant l'autel, la jeune femme s'était diamétralement renfermée, en colère et humiliée. Elle savait que Hugo n'avait pas pris cette décision dans le but de la mettre au pied du mur, mais elle s'était retrouvée particulièrement amère vis-à-vis de la situation. Il lui avait fallu du temps pour passer au-dessus tout en sachant qu'elle devait travailler pour le châtain. Sa meilleure amie lui avait dit de partir pour tourner la page, mais Noémie avait voulu rester. Certes, elle se compliquait la tâche, mais au-delà de son cœur meurtri, elle savait reconnaître le talent. Et Hugo en était bourré. Comment partir alors qu'elle avait la chance de travailler avec un employeur talentueux et respectueux ? Alors, elle avait pris son mal en patience.

Cinq ans plus tard, elle avait enfin refermé les blessures de son cœur et apprit à apprécier Arthur bien qu'elle aurait sûrement souhaité le haïr pour avoir volé sa place. Mais qui était-elle pour contraindre un être à l'aimer ? Personne. Si Hugo n'avait pas été le bon, quelqu'un le serait sûrement pour elle dans un avenir plus ou moins proche. D'autant plus que les deux hommes n'y étaient pas pour grand chose. Qui pouvait guider le cœur d'un Homme ? Personne.

Et, sept ans après sa rupture, elle était tombée sous le charme du nouveau médecin en ville, un trentenaire au sourire charmant qui avait pris l'initiative de l'inviter prendre un déjeuner avec lui, un jour où ils s'étaient croisés à l'épicerie du coin.

Les doigts de Lana glissèrent de leur prison afin qu'elle court jusqu'à son père. Avec un rire joyeux, elle sauta dans les bras du brun qui la réceptionna, surpris. Il la fit tourner sur elle-même avant de l'embrasser sur la joue, un sourire affectueux sur les lèvres. Instinctivement, il chercha son amant du regard et observa ses deux colocataires qui se rapprochaient tout en saluant les convives. Ses yeux happèrent ceux du châtain et il se résolut à l'attendre, impatient. Dans une trentaine de minutes, ils jureraient l'amour éternel. Peur ? Excitation ? Il ne savait pas trop quelle émotion choisir.

Lorsque Hugo s'arrêta à quelques pas de lui, il bougonna :

— En retard.

Plus amusé qu'autre chose, son fiancé se mordit la lippe sans le lâcher du regard.

— Toujours aussi grincheux, riposta-t-il.

Arthur arqua un sourcil en contenant son sourire et s'avança jusqu'à lui pour agripper sa taille et le ramener contre son torse.

— Et pourtant, tu l'épouses ce grincheux.

— Oui, je dois avouer qu'il a ses charmes, minauda Hugo en caressant la barbe de trois jours de son amant du bout des doigts.

— Heureusement, se moqua Martin après avoir salué Noémie. Tu comptes te le taper jusqu'à ce qu'il ne puisse plus changer ses couches tout seul.

Noémie pouffa sous l'air dégoûté de son ancien amant et Lana fronça les sourcils, perdue.

— Des couches ? Mais les adultes mettent pas de couches ! T'en racontes des conneries, papa.

— Lana ! s'exclama Martin, choqué. C'est quoi ce langage ?! Je ne t'ai pas éduqué comme ça.

— Tonton Hugo dit pleins de gros mots, se justifia-t-elle en le désignant du doigt.

Le châtain grimaça sous l'air réprobateur du rouquin et chuchota le mot "traitresse" à l'encontre de la jeune fille qui ricana avant de lui tirer la langue, friponne.

— C'est bien pour ça que le bocal à gros mots contient autant de monnaie, railla Arthur en déposant un baiser sur la joue de son fiancé.

— Super..., grogna Hugo en roulant des yeux. C'est ma fête ou quoi ?

— Ce serait bien que tu améliores ton langage, râla Martin.

— Mais j'ai fait des efforts !

— Oui, mais tu restes vulgaire, rit Noémie en croisant les bras.

Acculé, Hugo chercha du soutien dans les iris de son presque-mari, mais n'y trouva qu'une lueur espiègle qui venait confirmer les dires de ses amis. Génial... je me sens super soutenu, songea-t-il en boudant.

— Et les couches ? demanda Lana.

Ils éclatèrent de rire, bien loin de cette question. Rapidement, Martin lui fit un petit topo alors que les deux amoureux s'éloignaient pour un peu d'intimité. Hugo ne se décida pas à lâcher la main du brun et embrassa même son épaule lorsqu'ils s'arrêtèrent non loin de l'arche.

— Tu es plutôt sexy, susurra Hugo en agrippant les pans de la veste de costume bleu nuit de son fiancé.

Le sourire amusé d'Arthur s'accentua lorsqu'il effleura les lèvres de son amant qui frémit contre sa peau.

— Je sais.

— Oh mon dieu, tant de modestie dans ta bouche, souffla le châtain en levant les yeux au ciel.

Le brun ricana si bas que seul son fiancé l'entendit. Il raffermit sa prise sur la taille de son homme et noua ses doigts entre eux avant de l'embrasser tendrement.

— Avoue, tu m'aimes comme ça.

— T'as tellement pris la confiance...

— On se demande pourquoi.

— Oui, je me le demande vraiment, railla Hugo.

Il rit légèrement et voulut l'embrasser une seconde fois, mais la voix de Samuel les ramena à la réalité.

— Bon, les tourtereaux ! Je vous signale que vous êtes attendus.

— Oui, on arrive, râla Arthur.

Hugo sourit et posa un baiser sur la joue de son brun, puis lui glissa à l'oreille :

— J'ai eu un appel de l'assistante sociale. Elle a dit qu'une fois les papiers signés, il faudrait vite les lui envoyer...

Les iris d'Arthur brillèrent d'un éclat différent. Ses lèvres s'ourlèrent et il embrassa le front du châtain.

— Super...

— Ça prendra du temps, mais elle est confiante puisque tu as déjà Lana.

Ils échangèrent un dernier sourire complice, chargé de promesses, puis se dirigèrent vers leurs familles qui les acceuillirent avec de grandes exclamations de joie. Il était temps de passer aux choses sérieuses.


























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Et oui ! Un p'tit bonus, comme convenu 😄

Il était déjà dans ma tête depuis longtemps, mais je me rends compte que je n'ai pas raconté tout ce qu'il s'est passé depuis le temps, bien que ce ne soit pas l'objectif principal 😉

Ah ! Bonne fête des pères d'ailleurs - je l'ai appris il y a quelques heures 😆

La fin n'est pas explicite, mais je pense que vous avez tous plus ou moins deviné 🥰 Et non, je ne ferais pas d'autres bonus. C'était le seul 😅 J'espère qu'il vous aura plus 🤩

D'ailleurs, si vous avez des questions sur ce qu'il s'est passé durant ces 8 ans, ce que deviendront les personnages ou des trucs comme ça, n'hésitez pas ! Même si je ne fais pas de bonus supplémentaire, je peux toujours faire une FAQ pour nourrir votre curiosité !

FAQ : commentez ou envoyez-moi un mp 😉

Merci à vous pour votre soutien 😍 Ça me motive à écrire et me fait sourire ☺️ (bien que j'aimerais savoir où sont mes 262 abonnés quand seulement 10 se manifeste... triste vie 😂).

Bisous à tous et bonne fin de soirée !

Encore merci pour les votes et les coms ❤️

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