Chào các bạn! Vì nhiều lý do từ nay Truyen2U chính thức đổi tên là Truyen247.Pro. Mong các bạn tiếp tục ủng hộ truy cập tên miền mới này nhé! Mãi yêu... ♥

Chapitre 1 : "Je t'ai eue, saloperie!"

Deux semaines. Deux semaines que Tom est parti en voyage. Deux semaines que je ne fais rien.
Deux semaines que je m'ennuie à mourir.
Je passe mon temps devant la télé, à regarder des trucs pourris et à m'enfiler des dizaines et des dizaines de bouteilles de lait par jour.
Je pousse un gros soupir.
Je ne suis pas sorti depuis ces deux semaines. Sauf pour aller acheter du lait, bien sûr.
Je me demande ce que fait la puce...
Je secoue violemment la tête. Je m'ennuie tellement que je me sens obligé de penser à lui.
Ça en devient vraiment chiant.
J'ai rien à faire, je m'ennuie, et j'en ai marre d'être tout mou devant la télé.
Soudain, ça fait tilt dans ma tête.
Si je m'ennuie tant que ça, je n'ai qu'à me trouver un truc à faire.
Oui mais quoi?
En ce moment, je n'ai pas envie de poursuivre cette raclure d'égout qu'est Izaya. En plus, je crois qu'il est parti très loi' d'ici.
Youpi.
Voyons voir... Qu'est-ce que je fais de mieux...?
Je me frotte énergiquement la tête avec mes deux mains, m'ébouriffant les cheveux. Au moins, je sais que la réflexion n'est pas mon fort. Avec le peu de matière grise que je possède, c'est sûr que je ne brille pas par mon ingéniosité. Mais mes poings, en revanche..
Et là, c'est l'illumination.
Mes poings. Ma force. Mon boulot. Tom. Garde du corps.
Ça y est!
Je suis pas si stupide que ça, en fin de compte.
Bon. Premièrement, trouver une agence qui pourra trouver quelqu'un à qui louer mes services. Vous savez, ces agences, là. Non? Vous voyez pas? Je vais vous expliquer, alors.
Ce sont en fait des agences dans lesquelles on donne son CV, et qui se chargent de vous trouver quelqu'un que vous pourrez et devrez protéger. C'est Tom qui m'en a parlé. Il m'a même donné la carte d'un de ses amis...
Je me redresse en sursaut de mon fauteuil jonché de vieux emballages vides et graisseux, qui autrefois contenaient des chips, des curly et autres trucs bien gras et bien dégueulasses.
Je me mets à fouiller frénétiquement dans les tiroirs de mon appartement. D'habitude, je suis content qu'il soit aussi grand. Mais là... Non. Ça va pas du tout. Pas. Du. Tout.
-Mais OÙ est cette PUTAIN de CARTE?!
J'ai hurlé cette phrase si fort que les murs ont tremblé. Merde. Les voisins vont encore venir se plaindre. Fait chier.
J'essaye de me calmer en inspirant et en expirant le plus calmement possible. Je me souviens, un jour Izaya m'a dit qu'il allait me payer des cours de yoga. Je me souviens avoir marmonné qu'en attendant il se payait ma tête.
Mes yeux vadrouillent dans la pièce, pour venir se poser sur le sol.
Et c'est là que je la vois.
La putain de carte.
Juste à mes pieds, à deux-trois centimètres de mes orteils.
On dirait qu'elle me nargue, la saloperie.
Je la ramasse puis me redresse, et je lui lance un regard victorieux.
-Ah, tu t'y attendais pas à celle-là, hein? Je t'ai eue, saloperie!!!
Je suis en train de parler à une carte. Une carte de visite. Une saloperie de putain de carte de visite.
Je suis en train de virer taré.
Bref.
Deuxièmement, appeler cette agence.
Je compose le numéro sur mon portable, puis j'appuie sur la touche "appeler".
-Allô?... Oui, ce serait pour louer mes services en tant que garde du corps... Shizuo Heiwajima... Oui, en temps normal, mais il est parti en voyage pour trois mois et je m'ennuie... Oui, c'est ça... Ah bon? Quelqu'un a besoin d'un garde du corps hautement qualifié et est prêt à y mettre le prix fort? Tant mieux. Ce sera pour quand?... Tout de suite? Très bien. J'arrive... Oui oui, au revoir.
Puis je raccroche. Bon, j'espère que je ne m'ennuierai pas.

Une fois devant l'agence, je sonne. La porte émet un "clic", puis elle s'ouvre lentement, et toute seule. J'entre avec un léger haussement d'épaules.
Sur la carte, c'est écrit de se rendre au troisième étage si on vient pour un rendez-vous avec notre futur employeur.
En entrant dans l'ascenseur en face de la porte d'entrée, je suis surpris qu'il n'y aie ni musique pourrie d'ascenseur, ni odeur de pisse. Ça s'annonce bien. Les seules fois dans ma vie où les ascenseurs étaient comme ça, il y avait toujours une bonne chose qui arrivait après.
Il est vrai que je suis assez optimiste quant au déroulement des évènements, mais je n'en reste pas Shizuo Heiwajima. Vous m'avez déjà vu sourire avec des inconnus? Non? Ben voilà.
L'ascenseur émet un "ding!" et les portes s'ouvrent. À peine en suis-je sorti que quelqu'un me saute dessus.
Évidemment, grâce à mes réflexes, il n'a même pas le temps de me toucher. Je le prends par les épaules, le fracasse sur le sol, le relève à mon niveau, et je l'observe attentivement.
Mon agresseur est un homme petit, replet, et d'une laideur à faire vomir une crotte. Pas possible d'être aussi moche. Et en plus il pue.
Je fronce le nez de dégoût puis le lâche et le laisse tomber au sol avec un bruit sourd.
Il se relève avec difficulté, puis il se plante en face de moi et m'offre ce qui pourrait ressembler à son plus beau sourire, dans l'éventualité où il n'aurait pas cet amas de chair graisseuse et puante sur ce qui lui sert de visage.
Détrompez-vous, je n'ai rien contre les gros. Vraiment. Mais lui non seulement il est gros, mais il pue.
Bref.
-Ah, monsieur Heiwajima, je vois que vous n'avez pas perdu de vos réflexes! C'est très bien, ça, ça va plaire à votre employeur.
-Ah? Bon. D'accord.
-Suivez-moi, je vais vous amener jusqu'à lui.
J'hoche la tête. Il se retourne d'un air satisfait et je le suis.
Depuis peu, je me surprends à évaluer les capacités de mes adversaires, leurs points forts, leurs points faibles, et j'en déduis la meilleure façon de les neutraliser. Et cela, même avec ceux à qui je n'ai aucune raison valable de faire du mal.
Le problème, c'est que ça ne marche pas avec Izaya. Et ça, ça me fait vraiment chier.
Je reporte mon attention sur l'homme qui marche en face de moi. Il progresse rapidement, à petites enjambées. Ce serait facile de le faire trébucher. Après, il me suffirait de le clouer au sol, de lui asséner un bon gros coup de coude sur la nuque, puis il serait K.O.
Simple, rapide, efficace.
Tout comme moi.
Nous arrivons au bout du couloir. L'homme me fait entrer dans une pièce qui ressemble à un bureau. Une grande baie vitrée occupe tout un mur, et un fauteuil en cuir noir est tourné vers celle-ci.
Un grand panneau de bois posé sur deux piliers en marbre blanc et noir fait office de bureau.
-Monsieur, je vous ai amené votre garde du corps, dit le grassouillet d'une voix mal assuré.
Quoi, il est si terrible que ça, mon employeur? Les trois seules personnes d'Ikebukuro dont on parle avec cette voix-là ce sont, Celty, moi et,...
Tout à coup, je me fige. Pendant que j'étais dans mes pensées, la personne dans le fauteuil a bougé. Elle a pivoté vers nous.
L'homme, ou peu importe ce qu'il est, m'observe d'un air victorieux et moqueur, qui semble dire "je t'ai eu, saloperie! Tu t'y attendais pas à celle-là, hein?".
Je crois que je vais le tuer.
Non non, j'y songe très sérieusement.
Je crois que je vais tuer Izaya.
Saleté d'ascenseur qui m'a donné de faux espoirs.

Bon bon bon, 1342 mots pour un premier chapitre, c'est pas mal, non? Tout à l'heure, j'ai eu l'inspiration, alors je me suis lancée. Par ailleurs, je le rappelle-on n'est jamais trop prudent-, ceci est une fanfiction de Durarara!!, et une fanfiction sur du Shizaya, qui est un boyxboy. Donc, les homophobes, les gens encore innocents qui ne veulent pas perdre leur innocence et le Shizaya haters, allez voir ailleurs si j'y suis.
Pour les autres avec la reprise des cours, je ne sais pas trop quand je pourrais poster. Je ferais ce que je peux!
Bye bye~

Bạn đang đọc truyện trên: Truyen247.Pro