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Chapitre 7 : Au bout de la corde...


En une seconde, eu la scène suivante.

En visuel, ma vue était légèrement trouble, alors que je repérais que j'étais dans un carré fait de bois. Mais ce qui me fit impact était que je n'arrivais plus à respirer. En effet, je sentis quelque chose autours de mon cou, qui me serrait atrocement. Puis je regardais en bas, où mes jambes ne touchaient pas le sol, j'étais juste au dessus des toilettes

J'étais pendue... J'étais entrain de mourir !

"Urg !"

Du fait que je n'arrivais pas à respirer, je sentis mes vertèbres cervicales me lâcher. Par réflexe, je levais mes deux bras vers mon cou et plaçais quatre doigts de chaque main entre la corde serrée et ma nuque, voulant laisser un espace et tenter d'arracher la corde. Mais j'ai vraiment eu du mal à enfiler mes doigts, et j' n'arrivais pas à arracher la corde.

"Pourquoi je n'ai pas gardé le bout de miroir avec moi ?!" Pensais-je.

En même temps, j'écartais mes deux jambes afin de poser mes pieds sur les murs à ma gauche et à ma droite, voulant profiter du support pour me soulever et ne plus tendre la corde. Mais mes pieds glissaient sur le bois, ce qui m'empêcha de remonter.

Entre mes deux actions, je levais les yeux, essayant de respirer du mieux que j'ai pu. Je me suis mit à évacuer de la bave hors de ma bouche, ainsi que des larmes tellement j'avais mal et que l'apnée était horrible.

"Ghn...!"

Je me sentais littéralement partir. Je n'avais pas envie de mourir ici. Pas à Heavenly Host !

Mais l'espoir renaît lorsque que j'entendis une soudaine voix étouffée à proximité :

"Aaaaah ! S-Seiko ! Qui l'a... mise ici...?"

Je ne pouvais pas dire si la voix appartenait à une fille ou un garçon, mais je compris très vite que c'était quelqu'un de vivant.

Sans réfléchir, je libérais ma jambe droite de l'appuie contre le mur afin de frapper mon pied dur la porte devant moi, essayant de me donner un élan avec l'appuie de ma jambe gauche.

Je tapais de plusieurs coups, mais le léger élan tira encore plus sur le corde. De là, une voix différente surgit, légèrement plus proche :

"Qu'est-ce que...?"

En comprenant qu'ils avaient entendue mon alerte, je stoppais l'élan et ressayais à nouveau de me soulever avec l'appuie. Je n'attendis même pas une seconde que la porte de la cabine s'ouvrit, laissant une légère lumière entrer dans ma prison.

Mais à ce moment, mes jambes lâchaient les appuies, alors que je baissais mon regard vers l'ouverture. Je voyais si floue que je ne vis que deux silhouettes colorés, bouger alors que je commencer à gigoter au bout de la corde, accompagnés de mini spasmes.

"Kyaaaaah !!!" Poussa la première silhouette.

-Mon dieu, ajouta la deuxième silhouette, elle est...?!

-E-elle est encore en vie ! Il faut l'aider !

-Vite, trouve de quoi couper la corde !

-D-D'accord !

Les spasmes commençaient à me faire perdre les moyens, mais je vis l'une des personnes s'approcher de ma position tandis que l'autre s'éloignait. Puis, je sentis la personne se faufiler derrière moi, avant de sentir à la suite ses mains se positionner sous mes aisselles, qui me souleva légèrement, afin de relâcher la pression de la corde. Je tentais de mon coté de garder la tête droite pour pas me briser la nuque.

Rapidement, la seconde personne s'approcha en courant, semblant tenir quelque chose dans sa main droite.

"C'était à coté de Seiko !" Fit la personne avant d"essayer de me couper le corde.

De mon coté, mes mains finissent par lâcher la corde, laissant mes bras tomber dans le vide absolue. Je me sentais partir, étranglée, en manque d'air.

Bref, entrain de crever, comme je le dirais avec mes propres mots.

Mais je finis par sortir mon corps tomber en avant.

Mes yeux finissent par se fermer, ne sentant juste que la personne qui m'a libéré de la corde me rattraper dans ma chute.

Après, c'est difficile à expliquer. Je n'entendis que des voix presque lointaine, et comme une chaleur au niveau de mes bras :

"Hé ! Vous m'entendez ?! Hé ho !"

-M-mademoiselle !

Et c'est de nouveau le trou noir.

Je n'arrivais même plus à penser, que je perdis connaissance.

...

Je ne sais pas combien de temps je suis rester comme ça, mais après un long silence, j'entendis à nouveau ces voix. Cependant, les voix étaient bien plus clair, et reconnaissable :

"Tu crois qu'elle va se réveiller, Satoshi ?" Demanda une douce voix féminine.

-Je l'ignore, répondit une voix masculine, je l'espère quand même.

-Grand frère, fit une petite voix de petite fille, tu la connais ? Elle porte le même uniforme que Naomi...

-Non, Yuka. Et puis je ne crois pas qu'elle soit lycéenne.

-Comment tu peux savoir ça, demanda la douce voix, Satoshi ?

-Hé bien... Je ne veux pas être méchant, mais elle fait plus âgée. Elle doit avoir l'âge de Mademoiselle Yui...

-Alors pourquoi elle porte l'uniforme de ton école, grand frère ?

Plus j'entendais la conversation, plus les dialogues étaient clair et net, comme si mes oreilles se débouchaient. Je finis par me réveiller en  fronçant des paupières, avant de doucement les ouvrir, en même temps d'entendre :

"Ah ! Elle se réveille !"

Je clignais plusieurs fois rapidement des yeux afin d'éclaircir ma vue, tandis que ma respiration étaient assez forte. De là, le brouillard fit de forme, je revis les deux silhouettes précédente, ainsi qu'une troisième plus petite.

Les silhouette flou formaient enfin des personnes... Des visages que... J'avais déjà vue, accompagnés des prénoms que j'ai entendue de leurs bouches.

Leurs yeux étaient posés sur moi, unis de leurs visages entre de l'inquiétude et et la surprise.

"Où suis-je...?"

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