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CHAPITRE 21: La rencontre



J'ai dormi quelques heures d'un sommeil sans rêves, le soleil n'est pas levé quand je me réveille, je n'ai pas l'esprit embrouillé, je ne me pose pas la question de savoir si ce que j'ai vécu fut un rêve ou la réalité, mon esprit ne c'est pas perdu dans le monde des songes, il est vif, je sais que la fille que j'aime m'a appelée dans la nuit, elle n'avait pas disparue elle a eu des problèmes et je suis inquiet.

Je n'ai pas bien compris, elle n'a plus de phone... j'essaie quand même de rappeler, je tombe sur son répondeur, il est 6h du matin qu'espéré-je?

Je tourne et je vire dans mon grand lit, je ne retrouverai plus le sommeil, je décide de me lever. Une petite culote souillée et tire-bouchonné git au sol, elle fait son office et ne reverra pas sa propriétaire, je la ramasse et la jette dans la corbeille de la salle de bain. Je me lave les dents en pensant à la façon dont je pourrais aider, ou trouver Emilia... je n'ai aucune idée, je ne sais même pas ce qui se passe vraiment mais la tension que j'ai perçu dans sa voix me fait craindre le pire.

Je m'installe dans la cuisine, sur le côté de l'îlot central qui fait office de table bar, je sucre mon thé, du Lapsang Souchong auquel je rajoute une rondelle de citron. L'aquarium sur le coté derrière moi n'est pas allumé, je pivote sur mon tabouret haut et le contemple en prenant une gorgée de mon breuvage, il ne s'allumera pas avant 10h, seule une petit led branche censé représenté la lune baigne le centre du bac de sa lumière blanchâtre.

Le thé éclaircit mon esprit, je le sirote doucement, c'est un moment important pour moi, si je n'ai pas cette boisson dans les veines peu après m'être levé je sais que je passerai une mauvaise journée, c'est immanquable.

J'ignore combien de temps je suis resté a regardé l'aquarium perdu dans mes pensées, mais je suis tiré de mes rêveries par le bruit des store des baies vitrées du salon et de la cuisine qui s'ouvrent automatiquement, en même temps que l'aube se lève, il est 7h30.

Mon téléphone sonne, je dépose ma tasse brusquement, elle déborde, je me brûle, je me saisit de mon mobile et décroche sans même regarder.

"Emilia?"

Ce n'est pas elle, c'est Martika...

"Salut Flo, j'ai vu ton appel ce matin, désolé j'étais pas seule hier soir, j'ai pas vu ton coup de fil, tu étais où? T'as fait quoi? Putain ta vu cette tempete hier? Waa le cataclysme..."

Je lui repond que j'ai pris l'apéro avec un amis que j'ai du ramené chez lui tôt...elle me coupe la parole

"Ptin floooo il va faire trop beau aujourd'hui apparemment, tu voudrai pas qu'on avance la session vélo a genre... heu desuite?? Allez allez steuplait, hey au fait pourquoi tu m'a appeler hier soir?"

Je lui ment en lui disant que j'avais eu la même idée qu'elle et que je voulais l'appeler pour avancer notre balade cycliste. Je revois ma cousine dans ma tête, sur son canapé deux membres turgescents et gigantesque fouillants ses entrailles pendant qu'elle s'abandonne au plaisir.

J'ai soudain une idée, je lui parle d'Emilia, je n'omet aucun détail, c'est ma cousine elle sait tout de moi, depui toujours nous somme tres proche, c'est meme moi qui lui est donné son premier baiser alors qu'elle était bien trop jeune. Je n'ai pas besoin de lui expliquer mon plan plus en détail, elle a tout compris et elle répond.

"Ok donc on va aller a St-Miéville, je connais ce village, ya l'ancienne voie de chemin de fer reconvertie en piste cyclable qui meme la bas, ça va etre une balade sympa, on sera sous les frondaison des arbres presque jusqu'au village, c'est a genre 20 ou 22 km d'ici, aller retour ça nous fera une ballade bien plus courte que d'habitude mais c'est pour la bonne cause c'est pas grave pour une fois je vais pas grossir et prendre du cul si vite"

Je souris en me remémorant ce que son petit cul a prit hier soir... pour prendre il a prit c'est sur...

Elle me demande par contre ce qu'on va faire là- bas, comment retrouver Emilia, le village est petit mais on va pas espionner toutes les fenêtres pour savoir où elle habite, je ne sais pas quoi faire... je réfléchi, ma cousine trouve la solution avant moi et explique:

"Ecoute c'est simple on par a 8h, on va arrivé un peu avant 9h là bas, le village a une jolie place centrale, une sorte de grand rond point avec un petit parc et un kiosque a musique au millieu, tout le pourtour de l'autre côté de la rue c'est des magasin, on est Emiliaedi, si ta copine a un truc a acheter elle passera forcément par la... alors on s'emporte un picnic, des bouquins et on va dans ce petit parc au centre, on guettera au moins jusqu'à après le déjeuner... ensuite si on a pas vu ta chérie on peu aller parcourir le village un peu à vélo... et puis on verra ce qu'on trouvera.

Je n'ai rien à redire sur l'idée! Martika est toujours comme ça, pleine de trouvaille et d'entrain mais très sérieuse et posée... ce n'est pas la première fois qu'elle m'aide pour des histoires de cœur et qu'elle résout mes problèmes... elle est comme ma sœur, enfin non, restons sur le mot cousine pasque j'ai souvent fait l'amour a martika par le passé,quand j'étais jeune et qu'elle l'était encore plus, dans ma cabane dans l'arbre construite dans le jardin de mon enfance... je la revoi encore appuyée contre le mur fait de planche de bois de récupération, cambrant sa croupe tout en regardant par la petite fenêtre pour voir si les parents ne débarquaient pas pendant que je baissait son jean et sa culote juste ce qu'il faut en dessou de son cul pour pouvoir la prendre là debout contre le mur ...la cabane était solide heureusement parce que... ça chauffait la haut.

On raccroche, Marika se prépare et va arriver chez moi.

Je prépare mon sac à dos pour le vélo, je fais deux sandwichs au cantal et à la mache, deux autres au fromage de chèvre et au miel... Martika adore le fromage, moi aussi. Je nous mets une bouteille de cidre dans un thermos et me voilà prêt.

Martika sonne au portillon à peine le dernier sandwich emballé dans du papier alu. Je lui ouvre et je me rend dans la salle de bain ou je me change, Martika entre dans la pièce sans même frapper.

"C'est fou ton histoire avec cette petite, putain je suis emballé par l'aventure, enfin un peu inquiete aussi"

Je suis nu mais elle n'en a que faire, ce n'est pas la première fois qu'elle me voit dans ma tenue d'adam.

J'enfille ma combinaison en lycra pour le velo, le bas est entièrement noir c'est un short qui m'arrive a mi cuisse, le haut lui est blanc et a de courte manches. Martika a la meme mais en noir et rose, ses jambe sont plus blanche que d'ahbitude, elle a mis de la creme solaire, son corps est moulé par le lycra, ses seins genereux son applatis par la combinaison et le soutien gorge de sport qu'elle porte en dessou et don je voi les contour., elle a fait glisser la fermeture éclair de sa combinaison très bas pour limiter la pression sur sa poitrine opulente... son décolleté est tout bonnement renversant, elle a aussi de la crème solaire sur sa gorge, les cyclistes qui nous croiseront aujourd'hui auront une des plus belle mais aussi une des plus courte vision de reve de leur vie, j'en sourit un instant mais il s'efface vite, ma tete est pleine de question et je suis toujours inquiet. Me cousine le voit.

"Allez on file mon gros viens"

On enfourche nos vélos, Martika avait raison, la journée va être splendide.

New Cobruzon est une cité de taille moyenne battit dans une cuvette ou coule une large rivière, St-Miéville est un petit village dans les colline, la piste cyclable n'est qu'un immense faux plat de plus de 20 km, nos corps entraînés n'ont aucun mal à parcourir cette pente en filant a plus de a 30km/h.

Martika est devant moi, je matte son cul minuscule qui se déhanche joliment sur sa selle, elle n'a pas de culote la dessous sinon j'en verrai le dessin sous le lycra, la je ne vois qu'un cul parfaitement dessiné, même sa raie des fesse est bien en relief... c'est une vision réjouissante et mon esprit se demande comment un cul si petit a pu s'enfiler et encaissé des bite si grosse.

Je lui demande où ça en est les amours pour elle en ce moment. Elle me répond que helas ya rien de bien sérieux alors elle s'amuse un peu... elle prend ce qui passe sans prise de tete.

"Putain j'ai eté echaudé dernierment, entre ce conard avec qui je sortai, un prof de musique, il etait soit disant amoureux, je l'ai trouvé dans sa classe a la fin de la journé avec une de ses eleves, la gamine jouait d'un drole d'instrument..."

Je vois tout à fait l'instrument dont elle parle. Un instrument qui devait sortir tout dur de la braguette du prof en gros...

"Ensuite je suis sortir avec un vietnamien, le gars fou amoureux de moi, super attentionné, mais bon les asiatique tu vois"

Non j'ai jamais vu heureusement mais une fois de plus je vois de quoi elle parle... Elle parle du même genre d'instrument que pour l'histoire d'avant... celui des asiat est en général assez sous dimensionné.

"Ouai il était adorable le gars, mais au bout d'un moment voilà quoi, je suis plus une pucelle j'ai besoin d'une vrai bite, mais j'ai été triste de la largué, parce que a part ça il avait rien fait il était parfait, même au pieu voilà il essayait de compenser avec sa langue ou ses mains mais bon..a force a force, t'es en manque quoi. La rupture a été dure, il a eu du mal à digérer... il est passé en mode flippant un peu. Un soir je suis rentré chez moi et toute ma véranda était remplie de roses rouges, du sol au plafond, le gars avait acheter pour plusieur centaine d'euro de fleurs...tu me connais j'adore les fleurs, mais la c'est cringy quand même"

De discussion en discussion nous approchons de notre destination, la forêt laisse la place a des petits bosquets verdoyants et des champs grillés par le soleil La piste cyclable longe un petit coteau boisė au mamelon découvert, un moulin majestueux trone au sommet, ses pales brisées ont été enlever et posėes à côté de la bâtisse.

2 ou peut être 3 km après nous arrivons au abos de au abord de St-Miéville il y a des maisons éparses , la piste cyclable se faufile derrière les jardins, du linge vole dans le vent sur le fil de l'une d'elle, une maison récente qui n'a aucune barrière pour la séparer des champs alentour. Nous atterrissons sur la route nationale a présent, Martika se retourne et crie:

"Allez sprint de fin!!" elle se lève en danseuse sur son vélo, je fais de même , nous poussons de toute notre puissance sur les pedales nous franchissons les 2 dernier km qui nous sépare du centre à la vitesse de l'éclair, le radar a l'entré du village s'allume en rouge indiquant que nous ne respectons pas la limitation de vitesse pour les voitures... c'est toujours grisant de voir ca. Il fait beau, ma cousine est magnifique, son corps de gazelle fend le vent, je fais de même, je ne m'inquiète plus je suis sur que la fille je vais trouvé la fille que j'aime ici...

Nous arrivons essoufflé sur la place principale, c'est pavé et pieton, nous descendons des vélos une fois sur le trottoir du parc,

"C'est ici!" me lance Martika, son décolleté c'est encore agrandi, de la transpiration coule entre ses seins.

On s'installe sur un des bancs du parc, à notre gauche il y a une supérette, a notre droite une boulangerie, on est au bon endroit...il est même pas 9h.

On s'installe, on souffle, on fait le tour du parc, clopinant maladroitement avec nos chaussures de vélo on est comme des agents secret en mission.

A 10h nous n'avons toujours trouvé personne, les gens défilent, mais rien. A 11h nous avons faim, le sport ça creuse, j'entame un de mes sandwichs lentement, Martika dévore le sien en 1 minute chrono.

L'horloge de la mairie va sonner la demi, le soleil est haut dans le ciel, je mets ma main sur mon front, j'observe les allées et venu de la supérette, je perd courage.

Je me retourne de l'autre côté, une fille très belle traverse la route avec les bras chargé de pain son visage est caché par ses baguettes, je ne voi que ses cheveux qui brillent sous le soleil, son short court révèle ses jambe blanche splendides , elle a un déhanchement d'une grâce incroyable.

La fille fait tomber ses baguettes sur la route...elle court à présent comme si sa vie en dépendait... elle crie mon prénom... C'est Emilia.

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