Après qu'il est fit les gros yeux, je lui sauta à la gorge sans le vouloir. Nous tombions au sol dans un bruit sourd et je buvais son sang sans pouvoir m'arrêter. Mais lorsque je vis qu'il commençais à ne plus se débattre, je le lâcha. Je m'assis à côté de lui et le secouait. Il reprit alors ses esprits. Et des larmes coulèrent le long de mes joues.

-Je suis heureuse que tu ne sois pas mort. Dis-je en le prenant dans mes bras.

-Ce n'est rien, ma belle. Je me suis juste évanoui. Dit-il avec un sourire.

-Je ne peux pas croire que je sois devenue un vampire. Dis-je en arrêtant de pleurer.

-Pourtant, ça n'a pas l'air d'être d'aujourd'hui ta transformation. Dit-il avant de hurler de douleur.

Il glissa sa main dans sa poche de jean et en sortit mon collier qui lui brûla la main.

-Qu'est-ce que c'est ? Demanda-t-il à bout de souffle.

-Mon collier, c'est un souvenir de ma véritable famille.

-Comment ça ? Demanda-t-il inquiet.

-Gaspard et Julia sont mes parents adoptifs. Ce collier est le dernier souvenir de mes vrais parents d'après eux.

-Mais c'est un poison pour vampire, ton collier. Il sent la veine de venus. Et cette pierre, maintenant que j'y regarde de plus près, je peux reconnaître que c'est une lapis-lazuli, c'est une arme de défense contre les vampires. Comment ce fait-il qu'elle ne t'ai rien fait jusque là.

-Calme toi. S'il te plaît.

On entendit des coups contre la porte de la chambre. J'allais me lever mais Alexander m'en empêcha.

-Laisse je vais y aller.

Il se leva et partit jusqu'à la porte de la chambre. Je ferma la porte à clé, puis pris un bain rapide avant de m'habiller et de le rejoindre.

-On voudrait voir mademoiselle Blanche. Dit Lawrence.

-Pourquoi ? Demanda Alexander.
-Nous voulons vérifiés une chose. Dit Anastasya.

Sans leur laisser le temps de discuter davantage. J'ouvris la porte et sortis de la salle de bain.

-C'est elle, c'est sûr. Dit Lawrence.
-Oui, tu as raison. Dit Anastasya avant de me prendre dans ses bras.

-Vient là, ma chérie. Me dit Lawrence.

-Je ne comprends pas. Dis-je étonnée.

-Nous sommes sincèrement désolé. Blanche, nous sommes tes véritables parents. Dirent Anastasya et Lawrence en même temps.

-Quoi ? Hurla Alexander. 

-Chute. Lui dis-je. Laisse les parler voyons.

-Excusez-moi. Dit-il en baissant la tête.

-Ce n'est pas grave mon garçon. Nous avions bien compris qu'il se passait quelque chose entre vous deux. Et que nous voir débarqués dans sa vie au bout de quinze ans d'inexistence est quelque chose d'intolérable. Dit La.... Euh mon père.

-Nous savons que nous ne faisons plus vraiment partis de ta vie. Mais tu comptera toujours à nos yeux. Dit ma mère.

-Ne dites pas ça, mère. J'ai toujours rencontrée mes véritables parents, malgré le fait que j'aimais Julia et Gaspard. Dis-je en faisant un sourire.

-Tu es toujours la même, tu n'as pas changée. Dit mon père fier.

-Mais même si vous êtes ma véritable famille. Julia et Gaspard font partis de ma famille.

-Nous le comprenons.

Je leurs fis un câlin un tous les deux.

-Et si, après cette semaine, tu veux bien restée pour te montrer les souvenirs que nous avons de toi. Julia et Gaspard nous ont toujours envoyé des photos de toi petite. Même si nous ne t'avons pas vu grandir réellement, nous l'avons vu virtuellement. Et nous avons même une cassette. Tu pourras venir aussi si tu le souhaites, Alexander. Dit mon père avec les larmes aux yeux.

-Bien sûr. Je pourrais mieux apprendre à la connaître de cette manière. Dit Alexander.

-Et bien. Nous allons vous laisser. Amusez-vous bien. Et pas trop de bêtise. Dit Anastasya.

-J'en prendrais grand soin. Dit Alexander à mes parents avant qu'il ne quitte la chambre.

Il ferma à clé la chambre et se tourna vers moi.

-Nous en étions où déjà ? Demanda-t-il sans vraiment réfléchir.

-Trop tard. J'ai pris mon bain.

-Et bien. Ce n'est pas grave, nous allons continué dans le lit.

-Avec plaisir. Dis-je avant de fondre sur ses lèvres.

Et c'était partit, pour une nouvelle partie de jambes en l'air.

Au bout d'une heure, nous en avions marre et nous avions décidés d'arrêter. Je m'allongea sur le lit et le laissa me faire un massage. J'étais sur le ventre et lui était assis sur mes jambes. Et je sentais son érection contre mes fesses. Il glissa ses mains sur les côtés et toucha mes seins. Je poussa un soupir et il continuait son jeu. Je me retourna sur le dos, puis le plaqua contre le lit. Je lui fis des baisés le long de sa mâchoire puis je descendis jusqu'à son ventre. Il hocha la tête, lorsque je le regarda dans les yeux et pris son engin en bouche. Je fis plusieurs gorge profonde et sentant qu'il allait venir, je m'arrêta. Il n'était pas du tout satisfait, ça se voyait et cela me procura un petit rire. Pour se venger, il me plaqua contre le lit et s'attaqua à mes seins. Les pointes de mes seins durciçaient à cause de l'excitation, il les malaxa puis les mordillait. Et comme moi, il arrêta en me laissant sur la faim. Si nous jouions à ce jeu, nous n'avons pas finit. Alors je le plaqua une dernière fois contre le lit, et m'assis sur son érection. Je me laissa tombée, il poussa un gémissement et moi aussi. Il attrapa mon visage, m'embrassa pendant que nos bassin ondulait. A bout de souffle, nous nous séparons. Puis, nous jouissons ensemble. Je tomba épuisé sur lui.