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Partie 7

Je montais les marches de ma maison en courant et la vis rentrer dans ma chambre, je fis de même et la trouvais allongée sur mon lit, nue.... Non, je blague, vous y avez cru hein ? En vrai, elle était allongée, sur le dos et faisait mine de dormir, comme si j'allais y croire, elle courait partout il n'y a pas 5 minutes. Je m'approchais du lit et me plaçais au dessus d'elle, j'appprochais doucement mon visage du sien et posa mes lèvres sur le bout de son nez,

Mathilde : Mm avait-elle lâché innocement

En reculant ma tête, je la vis, ses yeux ouvert et son sourire, capable de rendre heureux n'importe qui, elle se mit à rigoler et moi aussi puis, un énorme bruit résonna, la faisant sursauter, aurait-elle peur de l'orage ? Elle me regarda sérieusement, pendant que le tonnère grondait. Un autre bruit, plus fort cette fois, se fit entendre. Elle tira sur mon haut, me faisant m'appuyer sur elle, et cacha sa tête dans mon cou. Je frissonnais au contact de son souffle chaud sur ma nuque, mes bras glissèrent jusqu'à sa taille, que j'utilisais pour nous trouver une position plus confortable, allongés sur le côté, face à face, enfin plutôt sa tête dans mon cou et la mienne dans le sien.

Moi : Tu as peur princesse ? Demandais-je calmement

Mathilde : Oui, un peu

Le bruit s'intensifia et Mathilde se colla encore plus à moi, liant nos jambes et plaquant nos bassins... Ce n'est pas la peur que je ressens en ce moment, mais je crois que je préfererais...

Mathilde : Kook ! Retiens toi merde dit-elle en riant

Moi : Mais j'y peux rien, c'est toi qui te colle à moi, c'est une réaction normale

Mathilde : Normale ? Tu trouve ça normal que je sente un truc du contre mon bassin alors que je flippe à cause d'un orage

Moi : Oui, je suis un garçon en pleine adolescence je te signale, les hormones ça travaille mademoiselle Kim

Mathilde : Ah ouais ? Donc si c'était une grosse boutonneuse à ma place vous seriez pareil monsieur Jeon ?

Moi : Oh non, il n'y a que toi pour me faire autant d'effet dis-je en déposant un baiser sur sa nuque froide

Elle frissonna à mon contact et me fappa doucement l'épaule, elle n'a pas de force c'est mignon

Moi : Aïe ! Pourquoi tu m'as frappé ?

Mathilde : Parce que tu dis n'importe quoi !

Moi : Ou plutôt parce que tu veux pas avouer que je te fais de l'effet...

Mathilde : N'importe quoi

Moi : Ah oui donc... Quand je fais ça commençais-je en embrassant sa nuque, ça, continuais-je en la plaquant contre moi, ou ça, dis-je en l'embrassant, la commissure de ses lèvres, posant presque les miennes sur les siennes, je ne te fais aucun effet ?

Mathilde : Aucun.

Moi : Alors pourquoi tu frissonne à chaque fois ? Ou pourquoi tu te mord la lèvre inférieure ? Ou encore, pourquoi tes joues sont si rouges ?

Mathilde : Tu m'emmerde Jeon !

Moi : D'accord je vais dormir ailleurs alors

Bien sûr que non, mais elle va me retenir comme elle a peur, enfin j'espère. Elle fit une mine boudeuse en me regardant, mais je savais qu'elle n"allait pas lâcher, elle détourna le regard et me tourna le dos

Mathilde : Ok. Bonne nuit

Elle me poussa et prit toute la couette avec elle, je sortis de la pièce, mais je savais que j'allais y retourner dans pas très longtemps. Bizarrement, l'orage n'avait pas gronder durant 10 bonnes minutes, j'étais donc, comme un con, contre la porte, à attendre qu'elle ait peur et, dieu merci le tonnerre gronda. J'ouvris doucement la porte et la vis dormir, DORMIR, sérieusement ? Elle est là depuis 10 minutes et elle s'est déjà endormie, cette fille me surprendra toujours. Je m'approchais doucement d'elle et détailla son visage, de ses yeux à sa bouche, enfin, à ses lèvres qui me donnaient envie de les capturer à chaque instant que je la voyais. Elle dormait paisiblement, son souffle était régulier mais, lorsqu'un autre coup d'orage retentit, elle se crispa et commença à bouger, mais pas seulement bouger, son souffle se coupa légèrement et son visage commença à changer d'expression... Un cauchemar ?

Mathilde : N-non ! Lâche moi... Lâche moi !

Elle se débattait dans le vide, son visage était crispé de douleur et des larmes commencèrent à perler sur son beau visage. Elle tentait désespérément de s'agripper aux draps, voulant les utiliser pour sortir de son rêve

Mathilde : Ne fait pas ça, je t'en supplie ! Non !

Je la secouais doucement et elle ouvrit brusquement les yeux, s'agrippant ensuite à moi en m'entraînant avec elle dans le lit. Sa tête était dans mon torse et elle s'accrochait à moi comme si sa vie en dépendait...

Moi : Chut... Calme toi je suis là

Qu'à t-elle vécu d'autre de si marquant pour pleurer et crier à ce point... Je berçait doucement la fille que j'aimais contre moi, essayant du mieux que je pouvais de la rassurer

Mathilde : Ne me laisse pas, je t'en supplie Jungkook...

Moi : Je ne compte pas te laisser, n'ai pas peur

Mathilde : J'ai peur Jungkook

Moi : Je suis là, tout va bien, il ne t'arrivera rien d'accord

Mathilde : O-oui

J'embrassais son front, afffectueusement et la serra encore plus contre mon corps. Je tirais la couverture sur nous. Elle se blottit un peu plus dans mes bras, s'accrocha à moi et finit par s'endormir, à l'intérieur de mes bras. Seulement, elle souffla 3 derniers mots qui stoppèrent, comme à chaque fois, le cours du temps, faisant tambouriner mon coeur à l'intérieur de ma poitrine, 3 petits mots, que je n'avais jamais aimé, ne trouvant aucune utilité à l'entendre, ses mots, ils me faisaient peur, autant dans ma vie amoureuse que familliale, mon père ne me les avait dit qu'une seule fois, avant de partir, ils me glaçaient le coeur... Mais pourtant, venant d'elle, ils me réchauffaient. Activant une tornade de sentiments à l'intérieur de moi, faisant accélerant mon pouls, ses 3 mots, insignifiants pour certains, accentuèrent encore plus l'amour que j'éprouvais pour Mathilde

Mathilde : Je t'aime, Jungkook

Avait-elle dit en s'endormant...

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A suivre

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