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🍋chapitre 38- Andrew : Passion🍋



Jeudi soir 23H

Les sandwichs étaient très bons. J'avais dévoré ceux que Livie m'avait commandés et même le sien, elle s'était contentée de s'asseoir sur le banc à côté de moi, semblant réfléchir. Elle n'avait pas voulu « s'enfermer » dans un restaurant et ça me convenait. Nous n'étions pas très loin de l'immeuble et les passants circulaient devant nous mais on s'en fichait.

- Bon, tu m'avais dit que tu m'expliquerais ce qui se passe entre Andrew et toi, dis-je en engloutissant la dernière bouchée.

- Entre Andrew et moi ? Pas exactement. Je t'ai dit que je t'expliquerai pourquoi je suis plus triste pour lui que pour moi.

- Ouais, si tu veux. Commence par cela mais je suis très très loin de comprendre et d'avoir envie de pardonner quoi que ce soit à ce type.

- Bien. Attends une minute.

Elle sembla réfléchir puis se pencha en arrière sur le dossier du banc en me regardant bizarrement.

- Je vais te poser une ou deux questions très personnelles.

- Je suis prêt.

- Facile pour commencer : Dis-moi ce que tu possèdes de plus précieux ?

- Ma moto.

J'avais même pas pris le temps de réfléchir.

- Bien. Maintenant avoue-moi ce qui, à ton avis, séduit les femmes en toi. Pourquoi elles craquent sur toi ?

Je rougis. Mince, je n'allais pas lui avouer ça ! Je me frottai le cou très gêné.

- Ne sois pas embarrassé ! Je veux juste savoir quelle est la qualité que tu « soignes » pour séduire les demoiselles, pas la taille de... tes attributs.

Je déglutis. Une Livie décidée avait un langage que je n'aurais pas soupçonné et il était hors de questions de lui parler de ma... Enfin de mes... attributs !

- Ma... mes muscles. Je crois qu'elles aiment ma musculature.

Je rêvais où je voyais le coin des lèvres de Livie se soulever en un rictus proche du rire.

- Ben quoi ! Je suis costaud et confortable. C'est beau non, un mec musclé ?

- Si tu le dis. Dernière question Justin : Pourquoi n'as-tu pas de petite amie ?

Elle était chiante. J'aurais du m'occuper de mes affaires.

- Parce que j'ai pas trouvé chaussure à mon pied. Voilà pourquoi, dis-je de plus en plus agacé.

- Merci Justin . Maintenant je t'explique. Imagine qu'un jour tu trouves... chaussure à ton pied. Une belle chaussure. Chic et brillante. Très élégante.

Ça me plaisait. Mais je ne voyais pas le rapport avec notre conversation.

- Hum ! continue.

Bien. Elle te séduit, semble séduite elle aussi. Vous passez un merveilleux et bref moment ensemble.

- Et ensuite ? demandai-je intrigué.

- Et elle te plaque en te piquant ta moto !

Je sursautai ! Personne ne me ferait cela ! C'était ma moto, mon bébé ! Mon bien le plus précieux. Je pourrais tuer pour elle !

Elle secoua la tête, comme si elle avait compris mes pensées.

- Ça va pas non ! Je ne la laisserai pas faire ! Jamais !

J'en oubliai presque que nous parlions « pour de faux ».

- Si si ! Ce que tu as de plus précieux disparaît avec elle.

Pour ne pas passer pour un idiot obsédé, je me calmai.

- Bon, OK. Je ne comprends pas ou tu veux en venir mais continue.

- Plus tard, tu trouves une autre... « chaussure ». Plus sobre. Plus simple. Mais elle te plaît. Est-ce que tu te lances ?

- Non ! J'en ai marre de tes chaussures... Enfin, je sais pas, j'hésite...

Je sentais venir le piège.

- Tu hésites. Tu as peut-être envie mais en même temps l'autre t'as dérobé un truc trop précieux pour que tu aies vraiment le courage de te lancer. J'ai oublié de te préciser qu'avant la rencontre avec ta deuxième « chaussure », tu as été malade et tu as perdu ta belle musculature.

- Merci Livie ! Tu me fais tout subir. On me dérobe mon bien le plus précieux, je tombe malade, j'ai vraiment pas la tête à aller séduire ta chaussure.

Elle sourit tristement.

- Oui, tu as tout compris. Bon, il est tard. Je dois aller voir Alice. Réfléchis à tout cela Justin .

Elle se leva et m'embrassa gentiment sur la joue avant de s'éloigner seule en direction de notre immeuble, visible à 400 mètres environ.

Pensif, je la suivis du regard jusqu'à ce qu'elle passe la porte et soit en sécurité.ooOoo

🍋  Jeudi soir 23H30 🍋

NdA : Avertissement de l'auteure : scène érotique destinée à un public ...averti

Une brise fraîche m'entoure, et un parfum printanier effleure mes narines.

Le calme me gagne peu à peu, mon souffle haletant ralentit, et une main légère effleure mon front, écartant les mèches trempées de sueur.

- Elle va bien. Tout va bien Andrew,

C'est elle. Je reconnais sa voix.

La tiédeur de sa peau contre ma joue me fait tourner mon visage vers les doigts qui me frôlent. Je frotte ma joue contre ce contact apaisant. Les dernières brumes de panique s'évanouissent lorsque mes lèvres embrassent le bout de ses doigts.

Allongé sur mon lit, nu comme je me suis couché la veille au soir, dédaignant mon pyjama, étant seul chez moi, je sens mon matelas s'affaisser un peu sous un poids léger qui me rejoint.

- Livie, gémis-je, heureux de retrouver mon fantasme apaisant.

Je lève les bras et saisis les épaules de ma Livie . Si douce. Si tiède. Elle a su en un instant repousser l'horreur. Je fais glisser mes mains le long de sa colonne vertébrale dénudée en soupirant de bonheur. Se laissant faire, elle se blottit contre moi, sur moi et je sens contre mon torse les rondeurs de sa poitrine, le grain de sa peau chatouillant délicieusement la mienne. Mon corps réagit instinctivement.

Disparu le cauchemar, mon désir s'est lui, par contre, instantanément éveillé.

Mes mains continuent alors leur chemin sur la peau parfumée de ma Livie , découvrant les courbes de ses hanches. Un baiser me frôle l'épaule, me faisant frissonner. Alors, tandis qu'une de mes mains part irrésistiblement à la découverte du bas de son corps, souhaitant qu'il soit aussi dénudé que le haut, je relâche sa hanche pour saisir son cou et, levant la tête, je lui rend la pareille. Mes lèvres effleurent une nuque fragile et docile. Le parfum de sa peau m'enivre.

- Livie ? Que me fais-tu ? soupiré-je, refusant de me réveiller malgré le désir de plus en plus puissant qui fait vibrer l'ensemble de mon corps.

Je plaque ma main sur une fesse délicieusement nue et comprend alors qu'elle est réellement allongée sur moi. Je sursaute lorsqu'elle se frotte doucement contre moi. En chair et en os... en chair surtout, ses douces courbes appuyées contre moi. Aucun obstacle entre mon désir et son corps. J'ai la sensation de prendre feu.

- Livie ? soufflé-je contre son cou, soudain parfaitement conscient. Jamais réveil n'a été aussi agréable.

-Humm... ?

Elle me ferme la bouche d'un baiser auquel je m'abandonne, flottant encore entre rêve et réalité. Lorsque nos réserves pulmonaires nous contraignent à nous séparer, je veux lui demander pourquoi elle est là, pourquoi elle est revenue et ce qu'elle fait nue contre moi. Mes idées se précipitent dans ma tête mais mon corps parle un autre langage. Bon sang, je ne peux même pas me contrôler !

- Chut, tais-toi, j'ai besoin de toi, Andrew. Besoin de te toucher, comme tu sembles avoir envie de me toucher toi aussi.

Elle ponctue ses chuchotements d'un mouvement de hanches, pas du tout innocent,qui fait glisser mon sexe tendu entre ses cuisses et je grogne de désir. Que dire ?

Elle me rend dingue. Mes rêves les plus érotiques à son propos ne m'ont jamais autant excité que le fait de savoir qu'elle vient de se glisser nue dans mon lit.

Je me laisse emporter dans un nouveau baiser éperdu. Elle semble en effet avoir besoin de moi et frotte lascivement son bassin contre le mien.

- Livie, nous devons parler.

- Non, tu... parles... trop.

Elle a égrené entre chacun de ses mots, un baiser sur ma joue, ma tempe, mon oreille qu'elle mordille, me faisant gémir d'anticipation.

- Voilà la seule chose que je veux entendre cette nuit de ta part, Follen. Tes gémissements, tes soupirs, rends-moi heureuse, je t'en prie, souffle-t-elle à mon oreille.

Ses paroles me font frémir. Je veux la rendre heureuse. C'est mon désir le plus cher. Physiquement, j'en ai le pouvoir.

Ses mains fureteuses ont tâté mes épaules avant de descendre sur ma poitrine, griffant doucement celle-ci avant de couler plus bas, encore plus bas. Je me raidis de peur de ne pouvoir contrôler mon plaisir.

D'un mouvement de hanche je la fais basculer et elle se retrouva allongée sur le dos, alors que je plaque mon corps sur le sien avec douceur ne voulant pas lui faire de mal.

-Te rendre heureuse ? Oh oui je le veux ! Te faire oublier tout ce que j'ai pu te dire. Tu es revenue à tes risques et périls. Oui, je veux te rendre heureuse, te faire gémir de plaisir. Je veux te toucher, j'ai besoin de te toucher, besoin d'être en toi. Et ciel,... si ce n'est pas ce que tu souhaites, dis-le-moi immédiatement ou il sera trop tard.

- C'est ce que je veux,affirme-t-elle, sûre d'elle.

Un nouveau mouvement de ses hanches replace habilement mon sexe à l'orée de son intimité, je tremble de désir. Il faut que je ralentisse les choses.

Prenant appui sur mes coudes et m'agenouillant au-dessus d'elle pour prendre un peu de distance, je coince son corps entre mes genoux et immobilise son visage entre mes paumes.

- Si c'est ce que tu veux...

J'embrasse ses paupières. Encore et encore.

- ... ferme les yeux, la supplié-je sans vraiment savoir pourquoi.

Je baise le bout de son nez.

- ...Et ne bouge pas, je ne veux pas te perdre. Plus maintenant.

- Je n'ai pas l'intention de bouger. Du moins, je n'ai aucune envie de partir, finit-elle malicieuse.

- Alors, je vais tenter de me faire pardonner.

J'ai tant de choses à lui dire, tant de choses à avouer mais les mots sont difficiles et lointains. Je veux alors lui faire ressentir.

- Tente mon amour. Tente, de toutes tes forces, je suis prête.

Ses mots éveillant un timide espoir en moi, je me penche pour cueillir sur ses lèvres, le sourire que j'ai deviné. Ses mains se posent sur mes épaules cherchant à me rapprocher d'elle. Secouant la tête, je repousse doucement la pression et fond sur son buste semant une série de baisers dans son cou, où une veine palpite à toute allure, me révélant ses émotions. Descendant plus bas, sur la chair tendre de sa poitrine, mes lèvres finirent leur course sur un sein qui pointe vers moi quand son corps s'arque à ma rencontre. Le mamelon durcit rapidement entre mes lèvres et elle ronronne de plaisir quand j'inflige la même torture à l'autre sein tout en caressant de la main celui que mes lèvres ont abandonné.

- Je... Andrew ! S'il te plaît !

Elle parle d'un ton haché tournant la tête en tous sens. Son corps s'agite sous le mien et tandis que je masse sa poitrine, pinçant doucement une pointe durcie, je lèche la peau tendre de son cou, revenant encore vers la veine palpitante. Ma main gauche quitte sa poitrine et descend sur son ventre frôlant le nombril, massant doucement la peau de gauche à droite et se glissant lentement vers la naissance de ses cuisses. Je frôle sa toison intime pour la première fois, provoquant un frisson violent de son corps- Doucement ma belle, doucement.

Puis mes doigts poursuivent leur chemin entre les cuisses de ma Livie, glissant aisément sur sa chair intime humide. Brûlant de désir, je me contrains à ne faire que frôler doucement son intimité, caressant à peine le bourgeon gonflé de son désir. J'épie la moindre de ses réactions. Chaque mouvement, chaque petit cri, chaque sursaut ou frémissement de son corps était pour moi autant d'indications de son désir.

- Andrew , s'il te plaît ! me supplie-t-elle.

Pensant avoir remporté une manche dans le doux combat qui nous rapproche, j'ôte mes doigts à regret mais je gémis à l'unisson de ses soupirs lorsque ses mains atteignent à leur tour mes hanches avant de se diriger adroitement entre nos deux corps, caressant la toison qui apparait à cet endroit de mon abdomen.

- Livie, tu triches... c'est à moi de te faire soupirer. Si tu me touches, je risque de perdre tout contrôle, murmuré-je pour la prévenir.

Une Livie désobéissante et audacieuse poursuit sa quête malgré cela et entoure de ses doigts, mon sexe palpitant qui durcit évidemment encore plus à ce contact. Je siffle entre mes dents.

- Livie ... je ne pourrais pas... articulé-je avec difficulté.

Bon sang ! Plus d'un an d'abstinence et un mois à rêver d'elle toutes les nuits où presque, n'améliorent pas ma maîtrise de moi. Elle ne m'écoute pas et me caresse avec une habilité dangereuse. Apparemment pour elle, l'heure n'est plus aux préliminaires.

Me déplaçant rapidement entre ses cuisses, je libère ses jambes qui entourent alors souplement ma taille. Immédiatement mon sexe palpite contre le sien, de son fait ou du mien. Je serre un peu plus son visage entre mes doigts, posant mon front sur celui de Livie.

- Livie , je... commencé je en amorçant un geste du bassin vers elle. Elle bouge vers moi et nos corps s'unsent enfin.

Je soupire de plaisir en sentant mon sexe entrer doucement en elle. Souple, chaude, elle m'entoure, m'accueille, me retient. Je suis... enfin entier. En elle.

- Oh mon Dieu...

Est-ce elle ? Ou moi ?

À partir de cet instant, ce n'est que sensations. Gémissements et plaintes inarticulées sortent de mes lèvres et des siennes entre deux baisers. Nous n'arrivons plus à refreiner la passion entre nous. Mes coups de reins en elle d'abord lents, s'accélèrent alors que nos mains caressent fiévreusement, une épaule, une hanche ou un sein. Elle se tient fermement à moi et ses cuisses m'incitent à aller plus vite. Encore plus vite. Je vais me perdre. La sueur couvre nos corps, et nos respirations saccadées s'entrecoupent de plaintes de plaisir. Je cherche difficilement, à garder le contrôle de mes va-et-vient dans son corps. Nos mains se cherchent, se trouvent et se crispent dans le plaisir qui montent et nous submergent.

Puis mes mains reviennent à ses joues, encadrant doucement le visage de cette femme qui m'offre un plaisir si intense. À ce moment-là, son corps s'arque une dernière fois contre le mien, et un long cri d'extase lui échappe. Ce dernier mouvement me fait perdre pied. À mon tour, je cède au plaisir. C'est comme si le ciel se déchire, comme une aurore éclairant la nuit de ses couleurs d'abord timides, puis éclatantes. Un soleil orangé triomphant apparait alors que je ressens encore les dernières vagues de mon plaisir vibrer dans son corps accueillant. Terrassé par un orgasme d'une ampleur inconnue, je ne peux qu'articuler.

- Oh putain !

La minuscule partie de mon cerveau encore fonctionnelle félicite l'écrivain Follen de la richesse de son vocabulaire au moment de l'extase.  Je bascule  in extremis sur le coté,  tout en la serrant dans mes bras, m'évitant d'écraser Livie de mon poids.

Le silence de ma chambre me surprend, alors que la réalité m'entoure de nouveau. Livie est là, contre moi, mon sexe apaisé est encore en elle. Je déplace mon bras afin que sa tête repose confortablement sur mon épaule car elle ne semble pas vouloir se détacher de moi, ce dont je ne me plains absolument pas, me sentant dans le même horrible et merveilleux état de dépendance.

- Livie ? Pourrais-tu m'expliquer où tu étais toutes les années passées ?,  chuchoté-je après quelques minutes, encore étonné de la force des émotions que j'ai ressenties pour la première fois.

Elle se blottit encore plus contre moi.

- Je le pourrais, je le pourrais sûrement mon amour mais pas maintenant. Je veux juste dormir. Tu m'as achevée.

- Achevée ? Achevée et heureuse, j'espère ? Plaisanté-je à voix basse contre ses cheveux.

Je me sens si....bien. Elle rit contre mon épaule.

- Aurais-tu besoin d'être rassuré ?

Je souris et choisis la franchise.

- Oui. Je n'ai pas ... « pratiqué » depuis un certain temps et je crains d'être... rouillé. Avoué-je vaguement gêné.

- Rouillé ? Toi ? Alors que ton ego grandisse ! Je viens de connaître un moment ... hum... magique et mon corps est en mille morceaux. Je serai volontaire pour ton prochain entraînement, mon ange, mais demain.

Elle s'étire langoureusement, éloignant légèrement son corps du mien et je grimace un peu. Mais ,à nouveau, elle se blottit contre moi, glissant une jambe entre les miennes, comme un petit chat recherchant la chaleur et la sécurité. Elle semble en effet épuisée.

- Alors pas d'espoir de recommencer ? Je croyais que c'était les hommes qui dormaient après et les femmes qui étaient en pleine forme ? dis-je me sentant incroyablement léger avec ma Livie dans mes bras.

- Peut-être... on verra demain. Dors, Follen!  Et ne t'avise pas de quitter ce lit.

- À tes ordres.

Tandis que j'embrasse son front, repoussant du bout des doigts les mèches de cheveux qui encombrent son visage, je sens très vite son corps se détendre et sa respiration devenir régulière.

Elle dort.

J'ai déjà dormi avec elle. Contre elle. Dans un ascenseur, dans son lit... même dans le mien... mais jamais nous n'avions partagé une telle intimité.

Elle est ma Livie. Je n'ai pas pu capter son regard au moment où je la faisais mienne. Bien sûr, je n'ai pas pu voir son corps nu s'arquer sous le mien. Évidemment, je n'ai pu voir son regard se voiler au moment de l'extase. Mais maintenant elle est là, confiante, reposant à mon côté, ayant partagé tout cela avec moi.

Demain nous discuterons. Je m'expliquerai encore une fois. Elle veux de moi. C'est là un miracle et je n'en demande pas d'autre.

En veillant sur son sommeil, je sens que je plonge à mon tour dans le pays des songes, cette fois-ci sereins. Avant que le sommeil ne m'emporte, une petite pensée insidieuse me dit que j'avais oublié quelque chose d'important.

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