Perte de contrôle
"Cette fois ci je ne me suis pas forcé mais plus de 1000 mots atteint! Et petite information, quand j'écris 10 milles je parle de l'unité de mesure, les milles, unité moyenâgeuse, comme ça vous ne penserez pas que j'ai fait une énorme faute XD l'illustration est faite par une amie que j'apprécie beaucoup ^^ maintenant bonne lecture ;)"
J'étais maintenant en route pour retrouver se foutu marchand, plus déterminé que jamais, et il allait payer. C'est à cause de lui et de ses gemmes que tout ça est arrivé, alors il pourra sûrement m'indiquer qui les lui a rachetées. Mais maintenant que j'y pense, étrangement, quand je n'avais pas mon armure je me sentais bizarre, comme vide. Maintenant je me sens à nouveau bien, complet, puissant.
Mais bon, ce n'était pas important, je devais me concentrer sur ma quête, après tout j'avais déjà perdu beaucoup trop de temps dans ces geôles, et si je n'arrivais pas à temps qui sait ce qu'il pouvait arriver à Noémie. Il fallait que je la sauve, je ne pouvais pas me permettre d'échouer. Je n'avais pas réussi à protéger ma femme, ni mes enfants, alors je ne me permettrai pas un nouvel échec.
Alors je marchait, de village en village, cherchant à retrouver cet homme. Je ne me reposais que très peu, le temps avançait sans cesse et, malheureusement pour moi, du temps j'en manquais cruellement. Je demandais à tous les gens susceptibles de connaître sa position mais nul ne pouvait me dire. Comme s'il avait disparu du jour au lendemain.
Et après plusieurs semaines de recherche je finis enfin par le retrouver au détour d'une ruelle. Je ne pu m'empêcher de sourire lorsque je vis son regard terrifié tourné vers moi. Il n'eût même pas le temps de tourner les talons qu'il était déjà plaqué au mur, ma lame sous sa gorge.
-À qui as-tu vendu les gemmes??, dis-je fou de rage.
-Je... Je ne vois d-de quoi vous parlez., répondit-il apeuré.
-Ne te moque pas de moi, des gemmes comme ça ça ne se trouve pas au marché local. Alors répond maintenant ou je te promet une mort lente et douloureuse.
-Si je vous le disais ils me tueraient.
-Et si tu ne répond pas c'est moi qui m'en occupe, donc crache le morceau.
Je vis sur son visage un mélange de réflexion et de panique, ne sachant choisir s'il répondrait ou non, puis sur un ton apeuré me répondit:
-Bien, je veux bien vous le dire. C'est un homme riche et très puissants qui habite au fort-Vulgaard, seulement j'ai appris récemment qu'il était partit dans un de ses camps militaires accompagné d'une esclave. Je ne connais pas son nom, personne ne le connais a vrai dire, mais vous verrez qu'il est fort reconnaissable. C'est tout ce que je sais, je vous le jure!
-Je vois., dis-je sur un ton dés plus sérieux.
-"maintenant tue-le."
Je le regarda, son visage empli de terreur. Ce n'était pas un ennemi, juste une victime de plus. Je le lâcha par terre.
-Pars avant que je ne change d'avis.
Sans trop comprendre se qu'il se passait il se leva et partit en courant. J'espérais juste ne pas avoir commis une erreur. J'en savais maintenant assez pour retrouver Noémie et me mis donc en route. Ses ordures allaient goûter à ma lame.
Je questionna le tavernier du village sur ce camp, sa position,... tout se qu'il me dit c'est qu'il se trouvait a 10 milles au nord est, et ma prévenu de ceci: "faites attention au maître des lieux, j'ai entendu parler des tortures qu'il inflige a ses prisonniers et je préfère ne pas en parler". Il me fallait donc me dépêcher d'avantage. Je le paya pour ces renseignement et partis en direction de là où m'avais indiqué le tavernier.
Après plusieurs heures de marche j'arrivais enfin devant se camp. Je devais bien avouer que ça taille était impressionnante, mais je ne devais pas me décourager,.J'entra, et vit que ce n'était pas qu'un simple camp militaire, il était aussi habité par des femmes, des enfants, des vieillards, mais tous cachés dans leur baraquement. Parce que la deuxième chose que je vis et que j'étais attendu. Des centaines de soldats, armés, équipés, en rang devant moi. Derrière eux, surélevés, se trouvais Noémie, à genoux, pleurant. À côté d'elle un homme se tenant droit, un sourire victorieux sur le visage, et à la droite de cet homme, sur une immense pique, la tête décapitée du marchand que j'avais laissé sain et sauf.
-Je vois que nous avons un visiteur!, dit-il.
Il se mit à rire. Il parlait avec un ton si arrogant que je me voyais déjà l'empaler sur ma lame avec plaisir.
-Tu viens pour elle?, dit-il en pointant Noémie de son épée.
-Libère la avant que je n'étale tes tripes sur le sol!!!
Il se remit à rire de plus belle.
-Alors qu'attends-tu pour venir la chercher? Soldats tuez cet homme.
À ses mots les gardes foncèrent sur moi, brandissants leurs armes vers le ciel, criant tel des bêtes de guerres. Les premiers soldats finirent tranchés par ma lame avec facilité, passant a travers leurs armures. Très vite le nombre de soldats autour de moi augmentais, alors je me battais comme un diable, mon corp se couvrant de leur sang encore chaud. Tuer. Ma vision se brouillait, je sentais que je me prenais de violant coups, rendant ma rage toujours plus grande. Tuer! Je sentais ma lame trancher, toujours plus. Toujours plus! Je sentais les coups mais plus la douleur, ma vision devenait rouge, du sang, partout, des meurtres, TUER! Je ne voyais plus rien, je n'était presque plus réellement conscient de mes gestes, je tranchais, je tuais, je tranchais toujours plus. Je ne voyais même qui je tuais, se que je tuais, je tuais!
Mes forces m'abandonnent peu à peu, ma lame ne faisait plus que siffler dans l'air, sans rien toucher, je finit par tomber à genoux, reprenant peu à peu conscience, voyant le massacre que j'avais commis. Hommes, femmes, enfants, vieillards, tous morts. Leurs cadavres tranchés en morceaux, le sol rougissant de leur sang. Qu'est ce que j'avais fait. Des tripes, des têtes, des bras, des jambes, des corps d'enfants morts, dispersés par terre, tout autour de moi. Soudain je me souvenu, Noémie! Je regarda partout, sans la trouver, alla voir au piédestal mais je ne vis que le corp de l'homme qui l'avait enlevé et une trainée de sang à côté. Je commença a suivre la trainée de sang et entendit le bruit d'un cheval au galop. Je me mit a courir aussi vite que je pu mais je n'eu le temps de voir qui était sur se cheval qui était maintenant déjà loin, même si je me doutais bien de qui c'était.
PDV Noémie:
Ce fût difficile mais j'y était enfin arrivé. De retour auprès de mes frères d'armes, auprès d'Ezio. Une fois arrivée je fût très vite soignée de ma blessure au ventre, encore un peu et son coup d'épée m'aurait été fatal. Mais maintenant j'était sûr de se que je devais faire, je l'avais bien vu et compris. Nous n'avions plus d'autres choix, nous devons tuer Ulfric.
"Enfin! je sais que se chapitre est assez long, même pour moi à écrire, mais c'est un grand tournant dans Berserker, un tournant important qui m'a pris du temps à préparer. En tout cas comme toujours si ça vous a plu vous pouvez mettre une étoile, commenter pour me donner votre avis ou bien me proposer vos théories. Si vous le voulez vous pouvez vous abonner et je vous dis à bientôt pour le prochain chapitre de Berserker!!!"
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